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Tous les avis de la communauté

5 Résultats

Napoleon1
  • 10
    30/04/2023
    Napoleon

    Chef-d'oeuvre 

  • 6
    27/09/2006
    Napoleon

    Waterloo en moins d'une heure ? 

    Un vénérable ancien, rapide, tendu, idéal pour la compétition. Des règles simplissimes qui ont été à la base de nombreuses autres par la suite. Néanmoins un peu trop simpliste pour un féru de jeu d'histoire.
  • 10
    30/01/2006
    Napoleon

    Waterloo, glorieuse plaine... 

    Voilà plus de 20 ans que j'en entendis parler. Et je l'ai enfin découvert, dans sa version Avalon Hill. Ce jeu date de 1977 et n'a pas pris une ride. Au contraire, il préfigure cette tendance actuelle des wargames à règles relativement simples et durée de jeu raisonnable. Dans ce genre de blockgames, il reste l'un des meilleurs. Vous cherchez un wargame rapide jouable à trois ? Il n'y a pas mieux, en attendant peut-être le futur "Waterloo - Fate of France" de L2 ?
  • 8
    09/12/2005
    Napoleon

    Initiation 

    Un très bon jeu de blocs qui vieillit très bien, fort connu dans le cercle des joueurs de wargames. Hélas, une carte beaucoup trop petite en rend sa pratique quelque peu désagréable.
  • 10
    24/05/2004
    Napoleon

    Waterloo ? Pas pour Columbia, du moins... 

    Napoléon demeure aujourd'hui l'une des grandes réussites parmi les wargames accessibles et brefs. Sa carte (misérablement petite, et c'est un problème navrant) est divisée en villes reliées par un réseau de routes majeures et mineures. D'entrée de jeu, l'armée française se doit d'éviter la réunion des forces de l'alliance anglo-prussienne, mais ces derniers, en plus de céder à Napoléon l’avantage des cavaleries et des artilleries, se doit aussi de défendre les villes belges qui lui assurent un ravitaillement. Aussi, le plateau se présente-t-il comme une sorte de carrelage qui ne peut manquer d’évoquer les échecs. La grande force de Napoléon repose sur les mécanismes des combats. Les unités sont alors disposées en trois colonnes : un front central flanqué de deux ailes et défendu par une réserve. Les cavaleries règnent en maîtres sur le champ de bataille. Elles peuvent rapidement se resituer d’une colonne à l’autre et causer de lourds dommages à une infanterie mal préparée. Mais des unités d’artilleries bien placées risquent de ravager l’ennemi, même à distance. Les infanteries, elles, peuvent à leur tour se défendre des cavaleries en adoptant une formation en carré, mais selles reçoivent alors des dommages accrus de la part des artilleries et des autres infanteries. Comme dans "Québec 1759", une armée est vaincue dès qu'elle perd l’une de ses trois colonnes de combat. Dans « Napoléon », les combats se déroulent de manière simultanée, et il arrive même que les unités d’un conflit retraitent pour s’engager dans un conflit concurrent. Certes, « Napoléon » n’a pas la profondeur des meilleurs Columbia, mais il est facilement la plus dynamique de leurs créations. Il a encore l’avantage de pouvoir être joué à trois joueurs, ce qui est passablement rare pour les jeux du genre. La balance penche en faveur de l’alliance – nettement, même. Il faut donc adopter les règles de tournoi qui accordent une victoire napoléonienne si les Français occupent les trois villes principales à la fin du jeu. Solipsiste