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47 Résultats
Genoa
- 1011/04/2009Genoa
- 1011/04/2009Genoa
Y pas de gène dans la négo.
Bon j'adore la négo, la tactique, la stratégie. Cela tombe bien ce jeu est un jeu de négoce, maté de stratégie et nécessitant des anlayses tactiques en permanence. De part toutes ces qualités, il est extrèmement tendu. La qualité d'édition est exceptionnelle. Il faut le souligner. C'est ce que l'on appelle un beau jeu. Ce qui me parait important pour ce type de jeu, ce sont les partenaires. S'ils ne partent pas avec une attitude "positive", le jeu peut devenir extrèmement méchant et pénible. Donc faites le bon choix de partenaires de jeu. Gagner c'est bien, mais passer un bon moment, c'est mieux. Enfin, félicitation à Filosofia et sa ligne éditoriale. Que vive Filosofia !!!! - 424/03/2009Genoa
bon jeu de négociation mais beaucoup trop long
C est un très bon jeu de negociation, le theme est sympa, le matos est jolis. Cependant, les parties sont beaucoup trop longues, je conseille de jouer 1, voir 2 tours de moins. - 1018/03/2009Genoa
un must des jeux de negociations/gestion
3 parties 2h/2h30 à 4 joueurs en se disciplinant un bijou de Rudiger Dorn presqu'aussi bon que Goa son chef d'oeuvre plein de choses à faire dans les négociations pour le déplacement du marchand (mécanisme que l'on retrouve dans Goa), remplir des contrats, collectionner des titres, prendre possession des batiments De plus le matériel de Filosofia a été amélioré par rapport à l'édition Aléa (plateau deux fois plus grand, meilleure lisibilité) bref j'adore ce jeu , c'est vraiment 10 000 lieux au dessus de Chinatown - 1017/03/2009Genoa
Quand y a d'la Genoa, y a du plaisir!
Les jeux proposés par Filosofia sont incontestablement d'une élégance et d'un raffinement sans égal. C'est un peu du meilleur du Québec dans une boîte en carton à chaque fois. Pour Genoa on ne déroge pas à la règle: travail éditorial magnifique, plateau superbe et fonctionnel, règle claire, concise et presque sans faute d'orthographe (je suis sensible à celà -déformation professionnellle- c'est preuve d'un travail de relecture multiple et appliqué, et pas toujours le cas chez les autres éditeurs francophones...), matériel très bien pensé. La mécanique du jeu, à l'instar de Chinatown( dont il est très différent), incite aux palabres et à la bonne ambiance corruptive; en outre le jeu fonctionne à 2 également, bien qu'évidemment c'est à partir de 3 qu'il prend tout son sel. Le coeur du système est bien entendu la phase de négociation lors du déplacement du Marchand, les propositions de corruption y sont exaltantes! Filo a tellement fourni de preuves quant à sa capacité à sublimer les jeux considérés comme désuets aux mécanismes pacifiques et commerciaux que je me prends à rêver d'un jeu de ce label qui serait tout aussi joliment édité avec plein de dés et de batailles épiques!! - 1005/06/2008Genoa
Chaud devant !!!
Délivrez des messages, livrez des colis, traversez pour ce faire les rues de la ville, le parc ou même le port : faites comme bon vous emble, de toute façon vous prendrez du bon temps ! Je vous laisse découvrir. Du grand Alea ! - 1010/02/2008Genoa
Pousse-toi tu m'Gênes
Je suis peut-être un excellent public, je demeure quand-même perplexe devant les observations de certains ludologues autorisés qui encensent des jeux fort médiocres sous prétexte qu'ils sont faciles d'accès, et qui ne se privent pas d 'allumer certains jeux dit "complexes" et donc superflus. Nous, nous le trouvons simplement extraordinaire. Du grand Alea des grandes heures. Il y a tout là dedans : du placement, du parcours, de la gestion, de la négo, et c'est interactif à souhait, dynamique et tendu, carrément jouissif. DHVG est l'un des tout-meilleurs jeux de ma ludothèque et sans doute celui qui a eu le plus de succès depuis le début de cette année ludique, du bonheur en boîte. Très original, il relie différents types de jeux sur un thème très présent puisqu'on fait un peu du commerce "à la criée". On finit dans un mouchoir de poche, ce qui prouve en plus qu'il est remarquablement ( et étrangement) équilibré. Evitez de le jouer à 5 si j'en crois les avis, il est délicieux à 3, ou mieux à 4 joueurs. - 831/05/2007Genoa
De l'Alea comme on l'aime!
Attention, je suis tout à fait conscient de mon manque d'objectivité éventuel de mon opinion (en meme temps, un avis, ca ne peut etre que subjectif, non???) de par l'effet auteur et l'effet collection. Dorn chez Alea, je reste pas indifférent. J'avais découvert le jeu avant de connaitre l'auteur (qui selon moi a explosé avec Goa, puis Louis IV), je trouvais déja le jeu très bon, j'avais hate de le redécouvrir en connaissant un peu mieux rudiger dorn. C'est chose faite, et chapeau bas, il était déja très bon! Je vais commencer par ce qui d'apres moi est la petite faiblesse du jeu: il est trop long. Rien à faire, autant il est bon, autant la tension finit par dramatiquement chuter de par la durée de la partie... Rien à faire. Cela dit, ce détail devrait etre facilement contourné en diminuant tout simplement le nombre de tour. On est ici dans un magnifique jeu de négociation, basé sur un système de missions vraiment bien pensé, au point de ne parfois plus trop savoir ou donner de la tete, mais qui donne une sensation d'ivresse devant le nombre d'options... Ennivrant! Premiere difficulté, parvenir à estimer la valeur de chaque action. Pas facile. Et heureusement, parce que sinon, apres trois parties, plus aucun interet! Et la liberté donné par l'auteur de pouvoir vraiment tout négocier est tout simplement génial, surtout avec une jouabilité entièrement préservée! Bref, grande réussitie de la gamme, un peu méconnue malheureusement, mais qu'il serait dommage de ne pas découvrir! good game merlin - 827/10/2006Genoa
Petites commissions et grosses commissions.
**Type de jeu :** Où l’on coupe les marchands en fines tranches **Nombre de parties jouées :** 4 **Avis compendieux :** Un bon jeu déroutant et original au sens où tout se négocie : à l’aspect gestion et logistique inhérent à beaucoup de jeux à l’allemande qui est ici quelque peu mis sous le boisseau du reste, se rajoute une grosse partie de négociation. Cela peut en dérouter certains, et je ne proposerais pas ce jeu à tout le monde. Il vaut du reste mieux éviter, je pense, d’avoir dans un groupe un gros tchatcheur et des gens plus réservés. Mais si tout le monde est à peu près pareil de ce point de vue là, ça passe très bien, il faut juste se discipliner un peu pour éviter que chaque négociation ne dure 5 minutes, parce que sinon le jeu serait évidemment très long (on négocie tout le temps, vous dis-je). Ca permet des coups de bluff du genre : « Ah bon, tu veux aller là ? Pas moi, tu me donnes combien pour que j’y aille ? D’accord ». Même si on voulait y aller, là. Bon, après aux autres de savoir dire non et ne pas trop monter les offres. Très original donc. **Clarté des règles (3) :** Je ne comprends pas bien l’Allemand et je me suis donc rabattu sur les traductions françaises. Celle de Bruno Faidutti est incomparablement plus claire (et rédigée dans un bien meilleur Français) qu’une autre règle que j’ai lue et que la bienséance m’empêche de nommer. Le seul reproche que je ferai à la règle de B. Faidutti est de ne pas comporter les termes techniques en langue originale, ce qui, pour un non-germanophone, complique le rapprochement entre les règles et les objets qui sont régis par ces règles. Mais bon, c’est un détail. Les règles nécessitent de bonnes lectures attentives, parce qu’il y a des subtilités qui peuvent faire l’objet de débats. Mais une fois comprises, elles sont relativement simples à expliquer. Une aide de jeu serait néanmoins utile, ne fût-ce que pour retenir le rôle des cartes spéciales, dont les symboles ne sont pas forcément explicites (un arbre pour une action supplémentaire ??). D’ailleurs, tenez, paf, j’en ai proposé une sur la fiche, en espérant qu’elle soit utile. **Qualité du matériel (4) :** Ma première réaction lors de l’ouverture de la boîte a été : « Quoi ? C’est tout ? », habitué que j’étais à la profusion des jeux de la même gamme (comme Puerto Rico, Les Princes de Florence). Le thermoformage n’est visiblement pas adapté à ce jeu (il n’y a même pas écrit Alea dessus) et est bien trop grand (parce que ce que j’aime bien chez les Allemands, c’est leur psychorigidité : chaque chose bien à sa place (comme à Goa, magnifique, le rangement à Goa), là, ce n’est pas le cas, on sent la contamination italienne). Sinon le matériel présent est plutôt joli, les illustrations de Franz Vohvinkel sont aussi belles que dans les PdF (y compris la boîte, qui est du plus bel effet à côté de cette dernière et qui est beaucoup plus réussie que celle de PR), le plateau avec la ville vue de dessus, avec les toits faisant penser à ceux de PdF est très agréable, moins saisissant cependant que celui de Aqua Romana auquel les perspectives font penser. Les dés, à 8 faces, sont du plus bel effet dans un jeu allemand. Le marchand ne correspond pas à l’illustration du dos de la boîte, on ne peut pas emboîter les différentes rondelles. Et alors ? Et alors rien, je disais ça comme ça. Sinon, le plateau est fortement peu plan après dépliage, et même après l’avoir longuement comprimé sous mes Petits Roberts pendant toute une longue nuit, la situation ne s’est guère améliorée (je parle des dictionnaires, hein). Comme quoi, il n’y a pas que Tilsit qui fait ça (oui, je défends la veuve et l’orphelin à l’occasion). **Reflet du thème (3) :** D’un côté, même si je ne connais pas la ville de Gênes à l’époque à de laquelle est censée se situer l’histoire, je ne vois pas trop pourquoi un marchand irait se scier en 5 pour aller faire tout un tas de choses, y compris pour des concurrents, sans même le savoir parfois (hop, une lettre), même s’il se fait payer comme tout bon marchand qui se respecte. Bref, je ne saisis pas le prétexte historique du marchand, il doit plutôt être là pour servir la mécanique et de fait il est au centre d’icelle. Pour le reste, tout n’étant que négociation, même si on aurait pu choisir un autre contexte historique, on se sent vraiment pris dans cette foire d’empoigne où tout se négocie (lieu que je ne fréquente guère du reste). Le thème peut être de plus grotesquement plombé si, comme moi, les joueurs aiment à dire, l’air benoît, je vais faire une petite commission au parc ou une grosse commission dans telle villa. Y a des gens comme ça, je vous jure, qui ont l’esprout, pardon, l’esprit mal tourné. **Avis comportant ratiocinations et autres superfétations :** Pour être franc, ce qui m’a attiré dans ce jeu, ce sont les dés. Des dés à 8 faces dans un jeu allemand ? Quelle est donc cette chimère fantastique ? Ce mystère m’a longtemps titillé, j’ai lu les règles, celles des PdF en même temps, et mon dévolu s’est d’abord jeté sur ce dernier, car les règles me parlaient plus (et je préfère encore de toutes façons les Princes de Florence). Puis je l’ai un peu oublié, bien que de temps en temps je lorgnais sur la couche de poussière qui s’épaississait sur l’exemplaire en exposition chez mon crémier habituel. Puis, un jour, on m’a fait découvrir Goa, de Rüdiger Dorn. Tiens, me dis-je sous le charme de ce jeu, ce nom me rappelle quelque chose. Et je découvre donc c’était le même nom qui disparaissait sous la susdite couche de poussière. Et puis qu’il avait fait aussi Louis XIV dont on m’avait dit grand bien également (et que je découvrais du reste peu après). Alors je m’enquiers un peu plus de ce jeu, je lis des critiques très négatives, et parce que j’ai l’esprit de contradiction, me disant qu’un jeu inventé par l’auteur de Goa et de Louis XIV et édité par ceux qui nous ont livré PR et PdF ne pouvait pas être fondamentalement mauvais, sentant monter en moi l’esprit chevaleresque qui prend la défense des veuves et des opprimés (oui, vous dis-je), j’envisage de plus en plus de me le procurer. J’en parle dans mon cercle restreint de joueurs du moment, et quelqu’un (on l’appellera monsieur X.) qui avait lu les susdites mauvaises critiques déclare tout de go (pas le jeu) que c’est « une boubouse » parce qu’il a la plus grande confiance en ces gens-là (ceux-là même qui avaient rédigé les susdites critiques). Mon esprit chevaleresque aiguillonné par tant de mauvaise foi, je m’efforçai néanmoins d’attendre avant de l’acheter d’ouvrir un sujet sur le forum après avoir relu les règles, et là, parce que j’en avais quand même pas mal parlé avec flamme, voilà-t-il pas qu’alors que je sortais de chez moi un samedi pour aller faire ma lessive, je vois pas arriver M. X, un sac à la main, contenant un paquet cadeau. Et M. X m’offre le susdit paquet. Alors moi, bien sûr, je suis gêné, pensez donc. Bon, du coup je lui paye le thé, et j’ouvre le paquet, et c’était donc Die Händler von Genua. Très très gêné et confus évidemment. Bon, le lendemain on l’essaye, et M. X a bien été obligé de convenir que ce n’était pas une boubouse. Bon, assez parlé de ma petite vie qui n’intéresse personne. C’était juste pour dire qu’il faut se méfier des avis des autres parfois (même s’ils sont utiles). - 1024/01/2006Genoa
2 kilos de fer ma petite dame !!
Excellent jeu de négociation et de placement. Il faudra passer au-dessus de l'heure d'apprentissage et des régles en allemand. Mais une fois se cap passé. Quelle plaisir de pouvoir essayer de négocier tous les passages obligés. - 206/10/2005Genoa
Marchand de sommeil
Materiel triste pour jeu somnifère, c'est long, inutilement compliqué et artificiel. Cela peut plaire à certains joueurs "expert" sinon à éviter. - 830/09/2005Genoa
Riche, dense, mais pas assez fluide !
Les Marchands de Gêne est un bon jeu, c'est sûr, mais il aurait mérité un peu plus de rigueur dans les règles. En effet, beaucoup de possibilités sont offertes en fonction des bâtiments visités, mais le fait que chaque déplacement du marchand soit négociable rend le jeu parfois assez lourd. Je précise "parfois" car certaines parties ont été plus fluides que d'autres... Tout dépend des joueurs autour de la table ! - 1031/03/2005Genoa
Ou y' a de la Gènes... y'a du plaisir
Voilà un vrai jeu de baratineurs comme je les adore. Les principes ne sont pas évidents, car il y a pas mal d'éléments, et il est difficile de les assimiler complètement dés la première partie, mais ça vaut le coup de se concentrer. Les mécanismes semblent complètement artificiels, mais pourtant ils transcrivent bien les principes de la libre concurence, et en jouant, j'ai vraiment l'impression de devoir rentabiliser une affaire. Pour cela, des tas de possibilités sont offertes, et on se sent maître de son destin de marchand. J'aime cette grande variété. Bien sûr, on fait sans arrêt des enchères, et il faut aimer ça. Il faut aussi être capable de supporter des coups vaches sans foutre son poing sur la figure du mec d'en face. On regrettera simplement les jets de dés, car s'ils ne permettent pas d'aller où on veut plusieurs tours de suite, on aura beau tenter de s'adapter, on trouvera ça injuste... Certains semblent le trouver long, mais cela dépendra plus des joueurs que d'autre choses. Nos deux parties ont durée 2h30, c'est parfait. - 827/03/2005Genoa
Bonne idée à améliorer
La mécanique de déplacement du marchand est très originale (il faut juste revoir le positionnement initial). De plus les options offertes aux joueurs pour gagner de l'argent (et donc gagner le jeu) sont nombreuses, et enfin le fait de considérer tous les éléments accessibles du jeu comme des biens échangeables (que ce soit des cartes, des jetons, des matières premières ou des marqueurs de propriété), sont les véritables "plus" de ce jeu. Coté négatif, le positionnement inital du marchand qui est géré par un jet de dés alors que le deplacement sur le plateau est un élément fondamental du jeu, les cubes de ressources (particulièrement blé & riz) difficiles à reconnaître, le fait que le jeu puisse avancer plus vite "au hasard" (place du marché en position initale). Globalement ce jeu est un bon jeu d'enchères et de commerce qui mèle à la fois la négociation, la réalisation d'objectifs secrets à termes différents dans la partie, des "bonus" qui permettent de modifier la mécanique de base et un placement tactique des propriétés. Il est donc assez complet. Pourtant le hasard de départ enlève aux joueurs beaucoup de maîtrise sur le jeu, et le matériel disponible rend le jeu à 5 très contesté (5 jetons pour le marchand, 5 ressources de chaque...) et le rend préférable à jouer à 4. Une bonne connaissance du jeu et des différents éléments permettant d'accumuler de l'argent (et donc des points de victoire) est comme toujours nécessaire pour commencer à élaborer une tactique. Au final on se retrouve bien dans un jeu de type "Alea" mais peut-être un des moins achevés de la gamme. On pourra toujours apprécier le matériel nombreux et d'assez bonne qualité, l'interaction très présente et travailler sur une variante pour éliminer le hasard initial (on y bosse, on y bosse...) - 426/10/2004Genoa
trop long
alors le systeme de deplacement est tres original le jeu fourmille de bonnes idees mais voila, je l ai trouvé bien trop long et j etais bien content de finir... - 1001/09/2003Genoa
On discute et on joue
Dommage qu'il ait une durée de jeu qui fasse qu'il sorte moins que d'autres, car voila un jeu où on discute un peu, où on suit une stratégie beaucoup, avec un peu de tactique et de chance. Et la force ultime ? On peut tout échanger !! Tout est négociable, à nous de définir le prix de chaque chose selon nos propres intérêts... Puis, les parties ne sont pas répétitives, et les possibilités sont nombreuses. La nouvelle édition du jeu, en français, avec une boite un peu grosse mais du matériel bien agréable à manipuler a fini de me séduire pour qu'il rejoigne ma ludothèque. - 426/07/2003Genoa
Je préfère la ville au jeu...
Oh secours... non j'exagère un peu là... Mais il est vrai tout de même que les marchands de Gênes n'est pas un jeu très accessible. Je peux même dire y avoir été très hermétique. Le but : faire un max de profits et tous les moyens sont bons pour ça... Et à côté de tout celà pas vraiment de stratégie ou de tactic. Seul la diplomatie compte alors. Bon vous l'aurez compris le thème ne me plait pas... les graphismes non plus. Mais ce qui m'embette le plus c'est que le jeu est très répétitif. Et oui encore un mauvais point... pas frappé, pas frappé... ;-)