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94 Résultats
Leonardo Da Vinci
- 1022/05/2009Leonardo Da Vinci
- 830/03/2009Leonardo Da Vinci
poisson volant ou sous marin papillon
tres bon jeu de placement ou la chance n'a pas beaucoup de place les inventions restent tres jolies le plateau un peu moins les phases de jeu restent fluide je regrette le manque d'interactivité entre les joueurs un jeu pour bien débuter les jeux de placements - 623/11/2008Leonardo Da Vinci
pas la meilleure invention
Un jeu qui n'a rien de révolutionnaire mais qui reste agréable et fluide. Il fait quand même pas mal penser à Caylus (le placement des ouvriers, euh des apprentis je veux dire; la résolution dans un certain ordre rappelant la route), au Princes de Florence (le thème général et le nombre limité de tours qui nécessite de bien préparer la fin du jeu), mais il n'apporte pas grand chose de plus, si ce n'est les automates, la notion de "remise de temps" pour la fabrication d'une invention et l'objectif secret de réalisation d'une invention. Bon, c'est vrai que à ce niveau là c'est sympa de se dire, mais qu'est-ce qu'il fabrique dans son coin celui-là, hein? Y voudrait pas barboter mon invention à moi que j'ai, non? Caylus en plus léger alors, peut-être... - 813/11/2008Leonardo Da Vinci
La tachtichotti del signor au grandé chapeau
**Type de jeu :** Où on peut se poiler (pas se dépoiler, non, qu’allez-vous penser là) **Nombre de parties jouées :** 5 **Avis compendieux :** Leonardo de Vinci n’est pas un jeu qui brille par son originalité au niveau des mécanismes : on se bat, avec un mécanisme de type majorité, pour récupérer des ressources, qu’on peut mettre dans un four (les laboratoires) pour en tirer des points de victoire, le tout en dépensant des sortes de points d’action (l’homme au chapeau et ses lutins, voire les automatitottis) pour faire tout ceci et d’autres choses encore, comme d’aller récupérer de futurs points d’actions. A noter que les points de victoire sont ici l’argent qui permet de récupérer ses diverses ingrédients, ce qui fait qu’il faut savoir le dépenser avec discernement. Mais ces mécanismes sont réellement bien agencés entre eux, pour donner, à mon grand étonnement alors, un jeu qui a une vraie personnalité bien à lui. **Clarté des règles (4) :** Si je me souviens bien, j’avais lors de ma lecture des règles glanées sur internet sans matériel sous les yeux eu quelques petits problèmes de compréhension, mais rien de bien méchant. Une fois le matériel en place, tout est clair. Mais il me semble qu’il y a une petite ambiguïté quelque part. **Qualité du matériel (4) :** Autant vous dire que j’ai la boîte dont l’illustration a été réalisée par Mike Doyle (un peu tordue d’ailleurs, la tête du père da Vinci, dessus. Bref. Pour ce qui est du reste, le plateau est plutôt pas mal, même si les aspects graphiques servant le jeu lui-même le dénaturent un peu, mais bon, faut ce qu’il faut, hein. Ensuite tout le reste est aussi de facture classique, avec des pions en bois pour l’homme au chapeau et pour ses petits lutins qui ont un air de déjà vu, des pions en cartons pour les automates qui sont plutôt marrants avec leur rondelet ventre de barrique (le recyclage, déjà, à l’époque, sacré Léonard, toujours en avance de quelques siècles), et les laboratoires, plutôt pas beau, mais les laboratoires, pour les gens qui auraient eu l’occasion d’y user leurs fonds de culotte à un moment ou un autre de leur vie, c’est rarement une bénédiction pour les yeux. Le point noir, ce sont les aides de jeu. Elles sont en quatre exemplaire, soit une de moins que le nombre maximum de joueurs. Ça passe encore. Eggertspiele nous gratifie souvent de ce genre de mesquinerie de bouts de chandelle. Mais là où c’est plus ennuyeux, c’est que ces aides de jeu sont recto verso, ce qui fait qu’en fait, il n’y a que deux aides de jeux, certes imprimées des deux côtés, mais ce n’est guère utile. En plus, c’est écrit en tout petit. Et ces aides de jeu, en fait, elles sont plutôt utiles pour prévoir ses petits achats en ville. **Reflet du thème (3) :** Euh, je me suis rendu compte que j’avais déjà fait un avis sur Leonardo da Vinci ; honte sur moi. Alors revoici ce que j’avais écrit alors : Je ne sais pas trop comment fonctionnait la recherche au temps de Léonard de Vinci, mais cela m’étonnerait que l’on commandât des inventions aux inventeurs, comme ça, pouf, faites moi un avion s’il-vous-plaît monsieur. Parce qu’en fait, là, le vrai inventeur, si on considère qu’un inventeur est celui qui a une idée originale et non celui qui la réalise, c’est finalement le prince, non ? Le prince qui en outre, non content d’être le vrai génie du jeu, va en personne faire le tour des boutiques pour servir les ouvriers qui attendent en file indienne derrière le comptoir selon le principe des plus nombreux-premiers servis, et non du premier arrivé-premier servi (on peut expliquer cela en supposant que la rareté des matériaux donne lieu à des algarades dans les échoppes et que les plus nombreux gagnant, ils se mettent en premier dans la file ; belle mentalité), ce qui est assez irréaliste bien sûr : non mais vous voyez le prince d’une vile s’adresser à un vil disciple en lui disant « Et avec ça, qu’est-ce que ce sera ? » ; alors l’autre répondrait : « Oh, ben je reprendrai bien encore un p’tit bout de ferraille, mon bon monsieur » (s’adresser de la sorte à son prince, mais que fait la police ?) ; ce à quoi le susdit prince rétorquerait : « Ah ben je suis désolé, mais je vais d’abord servir les gens à l’œil poché et les prix vont monter entre-temps ». Pas réaliste du tout, ça. Et puis les disciples, parlons-en, des disciples : contrairement aux ouvrier de Caylus, on ne les paye pas, mais au contraire, on leur donne des sous pour aller faire les commissions. Ils ne mangent donc pas, ces pauvres disciples ? On peut en utiliser autant qu’on veut, c’est le même prix : ce n’est que lorsqu’on les recrute qu’on leur fait miroiter des sous, et encore il n’est pas certain que ce soit eux qui en voient la couleur (ils se font sans doute en réalité avoir par leurs futurs condisciples : venez avec nous, on s’éclate grave, enfin, vous connaissez la chanson). Ce n’est pas très réaliste, tout ça ; quoique ; ça représente peut-être l’exploitation des gens dans la recherche ? Bon, d’accord, en fait, il est très réaliste, ce jeu, d’accord, vous avez gagné. Et puis, bon, quand même, les inventions, encore elles, ils croient que c’est un truc qu’on met à cuire dans un four, et que quand c’est prêt ça fait ding et qu’on n’a plus qu’à le démouler ? Et le génie, dans tout ça, où qu’il est, hmm ? Un petit rajout : ce qui est réaliste, c’est que les automates n’aillent pas faire les courses en ville. Vous voyez un automate portant un cabas avec des fanes de poireaux dépasser, vous ? Il aurait l’air cnon. Et puis comment voudriez vous qu’il discute les prix (oui, en Italie, on doit forcément discuter les prix) en parlant avec les mains (oui, parce qu’en Italie bien évidemment, non seulement on discute les prix, mais c’est forcément en parlant avec les mains) ? Avec ses bras tout raides ? Alors bien sûr qu’il reste au laboratoire, l’automate, pas fou. **Avis comportant ratiocinations et autres superfétations :** A la sortie de ce jeu, on en a beaucoup parlé, certains l’ont encensé, à juste titre et puis, la folle course des sorties aidant, on n’en a plus guère entendu parler. J’ai fait mes premières parties avec des joueurs qui n’y ont pas accroché, je ne m’explique pas trop pourquoi, vu que c’est plutôt leur type de jeu et, de fait, lors des parties que nous avons faites, je pouvais faire un peu les actions que je voulais, ce qui est un peu frustrant. Puis, poussé par une sorte de doylite aiguë, j’ai acquis la version Doyle et ai voulu la rentabiliser, ce qui m’a permis d’en refaire une partie, à cinq, qui a montré tout le sel de ce jeu. En plus, la bonne humeur aidant, contrastant avec une certaine morosité de la quotidienneté de l’époque, cette partie fut on ne peut plus animée et sympathique, on s’est marré comme des bossus en enchaînant jeux de mots et calembours ; dont je ne me rappelle plus pour la plupart et qui sortis de leur contexte, tomberaient sans doute à plat du reste. Les automates y étaient pour beaucoup à ce que je me rappelle et l’explication des règles elle-même fut très agitée, gage d’une bonne partie à suivre (entre gens de bonne compagnie). Bref, je m’égare. Sur ces entrefaites, quelqu’un a demandé, sur le forum, ce qu’il en était, si LdV conservait toujours, après quelques longs mois, son crédit. Il semblerait que oui et que, si l’on n’en parle plus guère, c’est uniquement que la roue tourne, et que l’on ne peut pas parler de tout. Alors, a-t-il sa place au panthéon des Puerto Rico et Tigre & Euphrate, je n’en sais rien, d’aucuns jugeront que oui, d’autres que non, je n’ai malheureusement pas assez de parties pour le dire. Mais il s’agit assurément d’un très bon jeu « à l’allemande » (à la sauce italienne cela dit), qui fait une très bonne synthèse de mécanismes existant par ailleurs. - 629/10/2008Leonardo Da Vinci
Ha Léonard !
- 809/08/2008Leonardo Da Vinci
Et c'est ainsi que Léonard.....
Sur un plateau pas toujours très lisible, nous trouvons un jeu qui mélange placement, enchère, prévisions et bluff tout en restant simple et accessible. Servi par des cartes magnifiquement illustrés, ce jeu est un bon jeu d'introducion avant de s'attaqquer à de gros jeu de gestion (qui a dit Caylus?). - 607/08/2008Leonardo Da Vinci
3/5 mais pas loin de 4 !
Nombre de parties : 3 (2 en débutant et 1 en expert) Commençons par le matériel, il est de bonne facture. Je ne reprocherais que deux choses, le dessin du plateau qui n'est pas du gout de tout le monde(même des moins regardant) ainsi que la symbolique des cartes qui est difficilement identifiable si l'on est en bout de table. Concernant la mécanique, le jeu est bien huilé et plaisant malgré une première lecture qui m'a laissé stoïque. Le système de placement ainsi que l'augmentation du cout de l'action est bien trouvé même s'il y a un air de déjà vu. Le conseil que je donnerai pour une première partie est de ne pas jouer avec la règle de placement débutant car elle oriente trop la stratégie. Préferez lui la règle experte qui n'est pas plus compliquée et qui augmente la sensation de contrôle. De plus, la configuration parfaite semble être 4 ou 5 joueurs, à moins les blocages seront évidemment moins fréquents et le jeu perdra de son piquant. Pour conclure, le jeu n'est vraiment pas mauvais, loin de là mais il souffre à mes yeux de la comparaison avec les mastodontes du même genre (caylus en tête). - 202/06/2008Leonardo Da Vinci
un jeu d'inventeurs guère inventif
Une seule partie, tard dans la nuit et moyennement sobre. Mais ça m'a suffit pour savoir que ce n'était vraiment pas mon genre de jeu. La quasi-absence de hasard n'aide pas pour que je trouve le jeu fun mais ce n'est pas que ça. Je le trouve inutilement compliqué et surtout, peu original. On dirait Les Piliers de la Terre version hardcore. Bon... les Piliers sont sortis après Leonardo je crois mais le système à choix multiples de prendre des matières premières (Colons de Catane) ou des cases bonus en prenant l'initiative sur les autres joueurs afin d'acquérir des cartes qui faciliteront l'achat d'autres cartes (Civilization) pour avoir le plus de pognon à la fin (Monopoly! ;o)), ben... j'ai l'impression d'avoir vu tous ces mécanismes dans plein d'autres jeux. Je me lasse, donc. Une seule partie, c'est peut-être injuste de mettre une étoile, mais quand on est sûr qu'on n'a pas envie de refaire une partie... Sur un jeu court et aux règles facilement assimilables, ce n'est pas grave, on peut même jouer pour faire plaisir aux autres. Mais là, c'est un peu too much. - 825/04/2008Leonardo Da Vinci
Leonardu
Si les règles de Leonardo ne sont pas fondamentalement très difficiles, le jeu en lui même n'est pas d'un abord évident. On est en effet laissé devant une belle panoplie de choix, et il n'est vraiment pas évident de savoir par quel bout prendre les choses. Si le principe de pose/récolte fait penser à Caylus, il diffère cependant de son illustre confrère sur plusieurs points. Tout d'abord, la variété des stratégies me semble ici moindre. En revanche, Leonardo est plus interactif, et peut même se transformer en un véritable jeu d'enfoirés. Enfin, Il s'agit d'un jeu à la dimension stratégique plus importante, car la planification sur plusieurs tours de certaines actions est possible et même indispensable. Le matériel est joli mais le plateau n'est pas super lisible. *Nombre de parties : 3* - 603/03/2008Leonardo Da Vinci
Las, je compte
Léonardo Da Vinci est arrivé au mauvais moment, il semble trop léger pour les amateurs de Caylus et autres jeux de cubes et de gestion. Néanmoins il a des qualités comme une durée rapide pour le style et une règle très accessible pour tous. Une bonne entrèe en matière pour s'initier aux jeux de gestion, dommage que le plateau soit si fade cela n'aide pas à se mettre dans l'ambiance des inventeurs de la renaissance. - 826/01/2008Leonardo Da Vinci
C'est pas toujours facile!
C'est un des jeux que j'ai trouvé difficile à maitriser. Les regles sont complexes et longues à expliquer. Par contre le systeme de placement des ouvriers et de bluff est excellent. C'est un jeu où l'on a l'impression d'un grande finesse de raisonnement mais que l'on arrive pas bien à maitriser? Du coup à la fin on arrive pas tres bien à comprendre poruquoi on a gagné ou perdu! Un peu frustrant. - 813/01/2008Leonardo Da Vinci
Mouaif
Bon jeu de gestion à objectifs secrets et majorité / enchères. On pose ses artisans pour remporter des ressources pour pouvoir ensuite construire. Ca vous rappelle Caylus ? Leonardo est toutefois moins riche, les stratégies sont peu variées, mais la construction secrète épice le tout. Attention, le matériel est véritablement hideux! - 828/11/2007Leonardo Da Vinci
Veni, vidi, Vinci ... facile eeh !
Amis de Vinci (l'autre jeu), vous allez aimer : pas de dé, que de la tactique pure pour parvenir à son unique but : devenir le génie de l'inventivité. Mais que faire en premier : développer le laboratoire, engager des chercheurs, se procurer des matières premières ? thats the questions et pour y répondre ... Ben les gars faut y jouer ! Bon jeu tactique où les stratégies payantes ne doivent pas manquer. Bon achat pour ceux qui aiment se prendre un peu la tête. - 816/11/2007Leonardo Da Vinci
Je sers la science, et c'est ma joie!
Je classerais ce jeu entre "Les princes de Florence", et "Caylus". Et c'est bien là que le bas blesse! S'il s'avère être un jeu efficace, avec des mécanismes huilés à la graisse de mammouth, et agréable à jouer, Leonardo da vinci n'a rien inventé (si j'ose dire)! Il n'empêche, ce jeu est agréable, la part de hasard est toute raisonnable, et l'aspect réflexion y est important. Alors, oui, c'est un bon jeu, mais pas le meilleur dans sa catégorie. - 630/10/2007Leonardo Da Vinci
Pas inventé au bon moment
*Nombre de parties : 1 (à 4 joueurs)* Alors que le thème m'enchante, le jeu en lui-même me laisse peu convaincue. En début de partie, on pense qu'on pourra fabriquer plein d'inventions et en réalité on en réalise suffisamment peu pour qu'il en reste une certaine frustration. Le principe du jeu est la planification et pourtant, si on a mal planifié et qu'on se retrouve un tour sans pouvoir faire avancer ses chantiers, tous les petits bonhommes disponibles pour la ville permettent au joueur de gagner et de voler la victoire à des adversaires bien plus organisés (je peux le dire, j'ai gagné comme ça alors que je n'avais pas anticipé suffisamment de toute la partie). Certains diront que celà prouve que toutes les stratégies sont bonnes pour gagner...pour moi, celà confirme que cela manque de mise au point. Dans un genre proche, je lui préfère largement [[b]Les piliers de la Terre[b]](//www.trictrac.net/jeu-de-societe/les-piliers-de-la-terre) - 1011/10/2007Leonardo Da Vinci
Mon jeu de l'année 2006/2007
Après plus de dix parties je ne me lasse vraiment pas de ce jeux. C'est vraiment pour moi le jeu de l'année 2006/2007. Que de dilemme dans le départ avec les règles avancés que vais je prendre, quel sera ma position de départ ... Que de dilemme dans le choix des inventions à faire, vais je commencer par une petite invention pour avoir des réducs sur une plus grosse ? Ne vais je pas me faire chaparder la plus grosse avant ... Que de dilemme, je paie trois points de victoire pour cette ressource ou pas ... J'adore la petite tension apporté par la phrase fatidique : tu paies 2 pour refaire l'action, oui, tu paies 3 pour refaire l'action .... Vraiment un très très bon jeu. Les qualités pour gagner à ce jeu : - observation : une bonne observation va vous permettre de jouer là ou les autres ne jouent pas et donc de payer moins cher. - anticipation : savoir quelles cartes vont sortir en les regardant au forum, ou alors en regardant ce qui n'est pas encore tombé. Et puis surtout faire les inventions dans le bon sens. Un must - 1001/10/2007Leonardo Da Vinci
Ingénieux
Un joli jeu de majorité, des règles simples, une mise en place un peu tordue, le mélange des inventions et le choix des pièces de départ dans la règle avancée ne facilitent pas l'apprentissage aux débutants. Mais le reste tourne à merveille, il faut inventer le premier, mais qui dit que l'autre ne fabrique pas en même temps que vous, et puis quel choix dois-je faire un ou deux ateliers, des robots ou pleins d'apprentis. Voilà un jeu qui permet de varier les approches. Qui a trouvé la bonne tactique ? celle infaillible pour gagner ? Pas moi alors je joue encore. - 612/08/2007Leonardo Da Vinci
Manpower manque de jus !
Cela faisait un moment que j’avais envie d’essayer Leonardo et voici la chose faite ! Verdict ? A vrai dire, j’ai été un peu déçu. Est-ce parce que j’ai eu l’impression de subir la partie tout du long ? Peut-être un peu, mais globalement je crois que c’est le relatif manque d’originalité des mécanismes qui me laisse dubitatif. Une vague impression de déjà vu... Certes, le matériel est agréable et il y a plein de pions à bouger un peu partout et de cartes de ressources à prendre. En plus chacun a son plateau individuel appelé pour l’occasion « Laboratoire ». Et tout ceci contribue à rendre la table de jeu « vivante ». C'est vrai aussi que la mécanique tourne bien. Et le jeu n’est pas désagréable en soi. En fait, on pourrais même s’avancer à dire que si vous chercher un jeu de gestion un peu costaud pour y jouer souvent … pourquoi pas Leonardo ! Mais si vous avez déjà investit du temps sur Caylus, Puerto Rico ou Age of Steam, à vrai dire Leonardo n’apporte pas grand chose. En conclusion, de part ce que j’ai déjà en ludothèque, je n’achèterai personnellement pas Leonardo même si je ne refuserai pas d’y rejouer à l’occasion. - 829/06/2007Leonardo Da Vinci
O Leonard !
1 partie config 4. Le graphisme n'est pas très beau, limite un peu froid. Le jeu pourrait l'être aussi, mais la tension (et les coups dans le dos) lors du placement des apprentis et du contremaître est terrible. Les deux dernières phases la font monter encore d'un cran. J'ai pris beaucoup de plaisir, du vrai. Le seul point sur lequel je m'interroge est sa rejouabilité... Je suppose également que la config 2 doit-être un peu plate. - 615/05/2007Leonardo Da Vinci
Pourquoi un tel moubourrage ?
Hé bien oui, j'ai foncé tête baissée sur ce jeu car il avait dès sa sortie les allures d'un grand. Les gens le comparaient déjà aux grands, un peu comme s'il était le nouveau Caylus ou le nouveau Zavandor... Mais je ne trouve pas. Attention, c'est tout de même du "gros" ! Les systèmes de jeu sont méchamment bien huilés, à l'Allemande, et tout à fait fonctionnels. Il est toujours difficile de faire des choix, et il faut faire des sacrifices. Pour le coup oui, ça emprunte vraiment aux deux ténors cités ci-dessus. Au passage, le matos est tout à fait correct, et le jeu bien équilibré. Mais voilà, il manque la cerise sur le gâteau, le petit quelque chose qui fait qu'on est accro et qu'on ne joue quasiment plus à d'autres jeux pendant une longue période. Peut-être est-ce parce que la fin arrive vite, et qu'on a l'impression de ne pas s'être tant que ça battu pour la victoire ? Ou bien parce que si l'on ne regarde pas la sortie des dernières merveilles à construire, le hasard décide trop de la victoire ? Ou bien tout simplement parce que les principes du jeu sont tellement huilés qu'il n'y a plus véritablement de fun ? Arf, ça me fait tout de même mal au coeur de devoir mettre un 3/5 à un tel jeu, mais je n'ai guère le choix. Peut-être aurait-il eu une bien meilleur note s'il était sorti avant ses jeux "concurrents" ? - 412/05/2007Leonardo Da Vinci
De bons ingrédients pour une invention moyenne
*Nombre de parties : 4 ou 5, toutes configurations testées.* Voilà un jeu qui laisse un drôle d'arrière goût. On joue, les idées sont bonnes, les mécanismes tournent bien, et pourtant, non... La sauce ne prend pas, le jeu n'est pas agréable, ca fait fouilli et ca manque cruellement d'originalité. En fait, on dirait un mix de plusieurs idées qui marchent bien : un peu de majorité, un peu d'objectif secret, un peu de gestion. J'adore tout ca, mais tout mélangé, ben, non... J'accroche pas. Ca sent le réchauffé, on dirait une reprise des worlds apart sur un titre de goldman, bref, c'est pas pour moi. Pourtant j'ai essayé, plusieurs parties, à 2, à 3, à 4.. Rien n'y fait. Pas grave, je l'ai pas acheté :) - 605/03/2007Leonardo Da Vinci
La meilleure des tortues ninja?
Ouh là!!(réaction à la lecture des règles). Cool!!(réaction pendant le jeu). Voilà qui résume assez bien Léonardo. On se dit à la lecture des règles que le jeu est confus et lourd, alors que 1 fois enlevé le matériel inutile, le jeu est fluide comme le scénario du dessin animé précité. Les tours s'enchaînent, les calculs et les manoeuvres d'intimidation vont bon train, et le jeu se trouve finalement plus intéractif et dynamique dans la phase de placement des ouvriers qu'un **Caylus**. Bon les choix n'ont pas les mêmes répercussions sur la partie car, dans ce jeu, on peut toujours se rattrapper, c'est ce qui fait sa convivialité, sa force, son dynamisme donc, et aussi sa faiblesse pour certains. Pour nous c'est dans tous les cas un jeu qu'on adore, et le nombre "limité" de stratégies possibles ne se fait pas ressentir si le jeu n'est pas joué tous les jours. vraiment bon. [edit]*Aïe! L'enthousiasme autour de ce jeu s'est envolé après 5-6 parties.* La lassitude a inexorablement ponté le bout de son nez, pour atteindre de façon inexplicable tous les joueurs de mon cercle... Je l'ai revendu et ne le regrette pas, même si nous avons passé d'excellents moments en sa compagnie. De 5, la note passe à 3. - 825/02/2007Leonardo Da Vinci
Et de cinq ! Une nouvelle invention !
Leonardo da Vinci est bourré d'excellentes idées ; à la croisée des chemins entre jeu de majorité et jeu de gestion, il emprunte le système de pose des pions de Caylus pour pouvoir récolter des ressources indispensables pour la bonne gestion de ses inventions. Mais la clé du jeu, c'est l'équilibre entre invention, ressource et argent ; il faut tout calculer au plus juste sous peine de désillusion lors du décompte final et dans les deux derniers tours. Enfin, il faut surveiller attentivement le développement des autres joueurs pour ne pas se laisser prendre sur une invention passée de mode ou sur des ressources qui coûtent plus cher à acheter que ce qu'elles rapportent par la suite Mais pourtant, là où le bât blesse, c'est que les choix sont quand même limités, le bluff réduit et il y a peu de zones d'action sur le plateau autres que la récolte de ressource qui se fait, il faut le dire, au jugé... Tout du moins, à deux. Quand on passe à plus, le jeu se règle soudainement beaucoup mieux et la partie est un vrai plaisir ! Une bonne découverte à éviter absolument à deux joueurs, donc. - 823/02/2007Leonardo Da Vinci
Il manque la cryogénie comme invention
**Type de jeu :** Dont au sujet duquel à la lecture des règles on trouve un air de déjà vu, mais qui a finalement une personnalité bien à lui. **Nombre de parties jouées :** 4 **Avis compendieux :** Bon, les gens chez lesquels j’ai pratiqué ce jeu n’aiment pas trop, peut-être bien parce qu’ils n’arrivent pas à s’en dépatouiller (j’ai pas dit que c’était des débiles, ils gagnent à Louis XIV, Puerto Rico, Goa, Caylus et tout, c’est dire, quand même), alors du coup je n’ai pas pu approfondir le sujet plus que cela. Mais l’impression qu’il m’en reste est celle d’un jeu malin, finalement assez original (à la lecture des règles, je n’avais pas été spécialement enthousiasmé, contrairement au susdit gens chez lequel j’y ai joué ; comme quoi), avec un ensemble de petits mécanismes bien agencés entre eux : la pose des ouvriers, très opportuniste, très vile aussi parfois (moins à trois où cela reste relativement tranquille, plus à quatre forcément, et à cinq, je n’ai pas essayé, mais ça doit commencer à devenir chaud les marrons comme disaient les jneunes d’il y a quelques années (aujourd’hui, ils disent plus volontiers « tendu du string je crois »)), qui repose à merveille sur le principe qui fait le bonheur\* des jeux allemands, la frustration de ne pouvoir faire que peu de choses alors qu’on en a tout un tas à faire (assurer le coup quelque part en mettant plein d’ouvriers ou se mettre un peu partout ?) ; la pose de l’ouvrier en chef, qui rajoute un plus indéniable de bluff à cette phase ; la cuisson des œuvres dans le four du laboratoire ; le choix des inventions, avec anticipation possible si on a eu les faveurs du conseils… La gestion à long terme de sa partie, l’anticipation, sont fondamentales et requièrent sans doute quelques parties pour pleinement apprécier le jeu : anticiper sur les commandes à venir, sur les améliorations de ses laboratoires, sur sa main-d’œuvre, bref, c’est encore un jeu où il faut être au four et au moulin en même temps (et ce n’est pas simple, hein, disciple ?). C’est un jeu auquel on se laisse facilement surprendre par l’arrivée de la fin de la partie. On peut trouver des points communs avec Caylus : pose des ouvriers sur une sorte de parcours (avec ici bien sûr la grosse différence du principe de majorité), résolution des effets dans l’ordre du parcours (sans le mécanisme vicelard du prévôt et du bailli, originalité de Caylus, qui, si elle avait été reprise ici eût sans doute donné un plagiat (je me demande s’il ne se cache pas un anacoluthe dans cette phrase)), résolution d’effet spéciaux (je veux dire le château ou les laboratoires, pas les effets spéciaux comme à la guerre des étoiles, non) avec ici une petite enchère éventuelle, alors qu’à Caylus un système de faveurs (d’aucuns diraient « gâterie ») vient pimenter le tout, bref, pas mal d’analogies à première vue, mais au final, la gestion du jeu ne fait pas appel aux mêmes ressorts et icelui reste vraiment original. Ah oui, tiens, encore une chose, et c’est une différence fondamentale avec Caylus : cela fait partie des jeux de gestion où on investit ce que l’on cherche à acquérir (les sous, ce qui n’a rien de très original) pour en gagner plus : ici, en début de partie, on va avoir tendance à claquer tous ses sous (gare cependant à être à cours de liquidités) pour pouvoir acquérir des matériaux. A Caylus, on gagne des points de victoire sans en perdre jamais, et on les gagne en faisant tout un tas de choses, les sous ne sont qu’un moyen parmi d’autres. Bon, mon avis compendieux est beaucoup trop long, alors je serai privé d’avis comportant ratiocinations et autres superfétations, voilà, bien fait pour moi, vilain bavard incontinent du clavier. \* Drôle de notion de bonheur, j’en conviens volontiers. **Clarté des règles (4) :** Elles sont relativement courtes et synthétiques, on comprend à peu près tout par une simple lecture, même sans le matériel sous les yeux. Quelques ambiguïtés pas bien méchantes peuvent gêner lors des premières parties. Le jeu étant très fluide, l’explication des règles est quant à elle assez aisée. Bien veiller néanmoins à attirer l’attention sur les derniers tours, spéciaux puisque abrégés (ce sont de « faux » tours, puisque tout est quasiment joué), la nécessité de les anticiper et le fait que la fin de partie arrive très vite. Comme dit, la lecture des règles ne m’avait pas spécialement enchanté, je ne saurai trop dire pourquoi, j’avais eu une grosse impression de déjà vu qui n’est pas forcément justifiée après l’avoir pratiqué. **Qualité du matériel (4) :** Pas grand-chose à redire, si ce n’est que l’aide de jeu, recto-verso avec la même chose écrite au recto et au verso, ça m’a toujours laissé pantois. A quoi cela sert-il ? me demandé-je. Aujourd’hui encore, je n’ai pas trouvé d’explication. Les cartes, le plateau sont plutôt jolis (mais bon, les goûts et les couleurs, ma p’tit’ dame). Le matériel est du reste fonctionnel (souvent on dit fonctionnel comme euphémisme pour dire moche : ce n’est pas le cas ici), ce qui explique la fluidité du jeu. Bon, d’un autre côté, le plateau est à peu près aussi utile qu’à Goa : fondamentalement, on eût pu s’en passer, mais il rend les choses bien pratiques puisqu’on peut poser chaque chose a sa place, et ça, moi, l’ordre, les trucs bien rangés et tout, ça me plaît, ça, ouh oui. Par contre, ils se sont trompés sur la photo de Léonard, en tout cas, dans la BD, il ne ressemble pas du tout à ça, et puis bon, on aurait bien aimé voir le disciple et le chat, aussi (non, je ne suis pas spécialement fan de la susdite BD, je connais, c’est tout, bon. Je préfère Le Chat (mais non, pas la lessive, bien sûr)). **Reflet du thème (3) :** Je ne sais pas trop comment fonctionnait la recherche au temps de Léonard de Vinci, mais cela m’étonnerait que l’on commandât des inventions aux inventeurs, comme ça, pouf, faites moi un avion s’il-vous-plaît monsieur. Parce qu’en fait, là, le vrai inventeur, si on considère qu’un inventeur est celui qui a une idée originale et non celui qui la réalise, c’est finalement le prince, non ? Le prince qui en outre, non content d’être le vrai génie du jeu, va en personne faire le tour des boutiques pour servir les ouvriers qui attendent en file indienne derrière le comptoir selon le principe des plus nombreeux-premiers servis, et non du premier arrivé-premier servi (on peut expliquer cela en supposant que la rareté des matériaux donne lieu à des algarades dans les échoppes et que les plus nombreux gagnant, ils se mettent en premier dans la file ; belle mentalité), ce qui est assez irréaliste bien sûr : non mais vous voyez le prince d’une vile s’adresser à un vil disciple en lui disant « Et avec ça, qu’est-ce que ce sera ? » ; alors l’autre répondrait : « Oh, ben je reprendrai bien encore un p’tit bout de ferraille, mon bon monsieur » (s’adresser de la sorte à son prince, mais que fait la police ?) ; ce à quoi le susdit prince rétorquerait : « Ah ben je suis désolé, mais je vais d’abord servir les gens à l’œil poché et les prix vont monter entre-temps ». Pas réaliste du tout, ça. Et puis les disciples, parlons-en, des disciples : contrairement aux ouvrier de Caylus, on ne les paye pas, mais au contraire, on leur donne des sous pour aller faire les commissions. Ils ne mangent donc pas, ces pauvres disciples ? On peut en utiliser autant qu’on veut, c’est le même prix : ce n’est que lorsqu’on les recrute qu’on leur fait miroiter des sous, et encore il n’est pas certain que ce soit eux qui en voient la couleur (ils se font sans doute en réalité avoir par leurs futurs condisciples : venez avec nous, on s’éclate grave, enfin, vous connaissez la chanson). Ce n’est pas très réaliste, tout ça ; quoique ; ça représente peut-être l’exploitation des gens dans la recherche ? Bon, d’accord, en fait, il est très réaliste, ce jeu, d’accord, vous avez gagné. Et puis, bon, quand même, les inventions, encore elles, ils croient que c’est un truc qu’on met à cuire dans un four, et que quand c’est prêt ça fait ding et qu’on n’a plus qu’à le démouler ? Et le génie, dans tout ça, où qu’il est, hmm ? **Avis comportant ratiocinations et autres superfétations :** Je crois avoir compris que j’étais privé d’avis comportant ratiocinations et autres superfétations, cf. l’avis compendieux ci-dessus pour toute sorte de superfétations. - 712/02/2007Leonardo Da Vinci
Disciple, DEBOUT !!!
Voilà un jeu qui mèlent de nombreux mécanismes de facon très heureuse. Placement, majorités, gestion de ressources matérielles et humaines, enchères, hasard (maitrisable grace au conseil)... Autant dire que Léonardo da Vinci va porvoquer en vous un sacré remue-méninges ! Un jeu très riche donc, mais pas indigeste grâce à son excellente fluidité. A réserver toutefois aux joueurs confirmés. - 206/02/2007Leonardo Da Vinci
Imposture !!
Grosse déception, gros plateau chargé, plein de bons principes, mais jeu sans vie, sans passion. L'alchimie n'a pas pris pour moi ni pour mes trois partenaires du jour...n'est pas Caylus qui veut !! - 1031/01/2007Leonardo Da Vinci
Mais pourquoi tu mets un bonhomme de plus que moi euhh !
et pourquoi c'est pas l'invention que j'attendais qui sort ? hein ? Un jeu complexe, qui me fait penser en termes d'efforts cérébraux à Louis XIV, mais agréable et doté d'une grande jouabilité (une fois clarifiés 2-3 points de règle). Je le recommande aux "gros joueurs passionnés" ;) - 830/01/2007Leonardo Da Vinci
Des automates bien huilés !
Leonardo Da Vinci est un excellent jeu de gestion. Il pourrait rivaliser sur certains aspects avec les ténors du moment que sont Caylus ou encore Puerto Rico. Le matériel est fonctionnel et solide. Le plateau aurait juste mérité des graphismes plus soignés mais l’ensemble est dans la bonne moyenne. Le thème est bien rendu et les règles sont simples et clairement détaillées. On se réjouit de constater que les italiens peuvent rivaliser avec « l’école allemande » avec autant d’élégance. Leonardo Da Vinci vous met en permanence face à des choix cornéliens. C’est d’abord en ville que tout ce joue puisqu’on va y faire ses emplettes en concurrence avec les autres joueurs. Le placement des ouvriers est alors primordial sous peine de manquer de ressources pour approvisionner les laboratoires. La compétition est âpre et toujours cruelle pour ceux qui en sont les victimes. Il faut anticiper, programmer et même quelquefois bluffer pour arriver à ses fins. Le choix de l’invention au début du tour est crucial. Les plus simples à réaliser sont aussi celles où la concurrence est rude. Des enchères « à poings fermés » départagent les joueurs qui fabriquent la même invention dans le même tour. Il faut donc aussi gérer parcimonieusement son argent pour ne pas en manquer aux différents instants cruciaux de la partie. Les mécanismes ne sont pas particulièrement originaux mais ont le mérite d’être parfaitement huilés. Les tours s’enchaînent avec une parfaite fluidité. Le démarrage est un peu lent puis le jeu s’accélère sur la fin. On peut alors ressentir une certaine frustration si l’on arrive pas à négocier correctement les deux derniers tours particulièrement difficile à appréhender. Gare alors à ceux qui n’auront pas anticipé suffisamment la récolte des matériaux de base en ville. Leonardo Da Vinci demande comme tous les bons jeux un minimum de concentration et un temps de rodage durant les deux premières parties. Un jeu peu innovant certes mais prenant et dynamique. Leonardo Da Vinci réussit aussi la prouesse de rester relativement court et accessible pour un jeu de cette trempe. On regrettera seulement qu’il se finisse aussi vite en laissant un goût un peu amer « d’œuvre inachevé ». A moins que cette imperfection soit une qualité… - 1016/01/2007Leonardo Da Vinci
Excellent
Il faut retenir les débutants à la table lorsqu'on explique les règles car ca peut sembler complexe mais une fois lancé ca roule tout seul. Après une ou deux parties, on commence à voir les subtilités de la chose et c'est encore meilleur. Un vrai régal et dans un temps honnête (gràce au nombre de tours limité). ps : je le conseille aux fans de puerto rico... - 808/01/2007Leonardo Da Vinci
Rien à voir avec le Da Vinci Code et c'est tant mi
Ah! ça c'est du jeux comme j'aime! Pas trop long (2h maxi), facile à expliquer (10 minutes), fluide, interactif, plein de choix cornéliens... Vraiment un chouette jeu. Certains ne semble pas apprécier les 2 derniers tours où l'accès à la ville est interdit : j'y vois pourtant un élément supplémentaire de tension ludique et un effet de gestion sur l'ensemble de la partie qui m'a beaucoup plus. Seule l'extrême laideur du plateau et son épouvantable ergonomie (non mais c'est quoi ces petits flèches pour indiquer l'invention sur laquelle on travaille et qu'un autre joueur a terminé avant ???) m'interdit de lui mettre la note maximal.