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Boîte du jeu : Awithlaknannaï

Awithlaknannaï

settingsIndiens du Nouveau Mexique
brush
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Nombre de joueurs :null-2
Age :6 ans et +
Durée de partie :30 min
Langues :Français
    4
    C'est un jeu pratiqué par les indiens du Nouveau Mexique, descendant de jeux apportés par les espagnols au XVIème siècle. Matériel : - 1 plateau de jeu constitué de 14 losanges + 2 arc de cercle à chaque extémité du plateau - 46 pions (23 par joueur) But du jeu : Symbolisant un combat de serpents, le but du jeu est de capturer tous les pions adverses. Principe : Les pions se déplacent d'intersections en intersections. On capture un pion si l'intersection derrière le pion est vide (même principe que le jeu de Dames). La prise n'est pas obligatoire. Le premier à capturer tous les pions adverses gagne la partie. * Attention, on trouve des plateaux de Awithlaknannaï tronqués (seulement 8 losanges) sans les arcs de cercles qui appauvrissent terriblement la richesse tactique du jeu. Une variante qui accélère et dynamise le jeu est de rendre la prise obligatoire (comme aux Dames).

    Les avis

    • boîte du jeu : AwithlaknannaïAwithlaknannaï : Au musée
      Ce jeu est long et inintéressant. Son origine est sujette à caution au vu des sources. A laisser au musée.

      yahndrev

      13/02/2010

      2
    • boîte du jeu : AwithlaknannaïAwithlaknannaï : Le jeu de dames des indiens Zunis !
      Avec son esthétisme particulièrement soigné et son nom imprononcable, l'Awithlaknannai séduit dès les premiers regards et donne une envie irrésistible de tester l'objet. Il existe deux sortes de plateau : le mosona comme sur la photo du haut avec seulement 8 losanges et le kolowis avec presque le double. Les règles restent identiques peu importe la version jouée. Le principe est de capturer tous les pions de son adversaire ou de le bloquer (pour qu'il ne puisse plus se déplacer). La capture s'effectue comme le saut du jeu de dames traditionnel. Les premières parties, avec ce plateau atypique, amène de la nouveauté et surtout un nombre d'erreurs grossières de la part des néophytes. La victoire se joue sur celui qui visualise le mieux le déplacement des pièces. Des fourchettes dévastatrices sont possibles et impitoyables pour l'adversaire. Toutefois, le jeu suscite un enthousiasme plus modéré et on ne peut pas dire que les parties s'enchaînent les unes aux autres. Par rapport à de nombreux jeux dérivés de l'alquerque (ancêtre du jeu de dames), l'awithlaknannai ne se distingue pas véritablement dans cette famille. Le jeu semble, entre joueurs confirmés, avoir toujours les mêmes coups, une répétitivité d'une partie sur l'autre. Le jeu réserve moins de surprise et une fois habitué au plateau si particulier, un manque de profondeur stratégique se remarque. Le Kolowis gomme ce sentiment en raison d'une liberté de coups plus importante en milieu et fin de partie. Toutefois, par son origine si distincte (les indiens Zunis du nouveau-mexique, descendants des Anasazi), Awithlaknannai demeure un magnifique support pédagogique, culturel et ludique comme initiation aux jeux de stratégie abstraite. Pas le meilleur de la famille, préférez lui le Srand ou Dhamet mauritanien pour les amateurs chevronnés de stratégie combinatoire ou le Felli (jeu marocain) pour les enfants. C'est un jeu intéressant pédagogiquement, beaucoup moins sur un point de vue ludique.

      momov

      12/07/2009

      6
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