Bad Company, où l'enfant caché de Valéria le Royaume et de Augustus.
Thématique sortant de l'ordinaire dans le jds et bien rendue par les illustrations et le plateau de "course" et son mécanisme.
Pour bien le savourer, jouez-y en bonne compagnie, comme moi. Evitez les voleurs de plaisir, ceux qui commettent des casses dans votre amitié et se braquent. Ces voyous qui insultent et coupent la parole, qui demandent le paiement d'une bonne action et qui préfèrent rester dans l'illégalité plutôt que de travailler.
Ceux-là iront trainer avec leur bande et auront besoin d'améliorations, voire de recruteurs pour en former une.
Jouez-y plutôt avec ceux qui cochent les bonnes cases, qui même les mains sur le guidon, réussissent à avoir une bonne conduite. Le butin à se partager sera un moment de plaisir assuré et quelle que soit l'issue et la raison (plusieurs possibles) de la fin de la partie, vous serez comblés. Le nettoyeur, grâce à votre paire d'as, mettra tout çà au propre pour que la saleté, l'hémoglobine, disparaisse à jamais.
Vous vous sentirez alors plus légers, soulagés d'un poids, une fois que l'aventure aura pris fin.
Et peut être vous direz-vous qu'au final aller à l'essentiel est le mieux. Et que Valéria et toutes ses extensions (rincé après de belles années de pratique) vient de se faire braquer par un jeu de haute voltige allant à l'essentiel dans le genre.
Il y a de ces claps de fin qui parfois sont des plus joyeux.