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Description de la communauté
Un jeu qui ne manque pas d'air !
Et ils pompaient... ils pompaient... ils pompaient...
Non il ne s’agit pas des Shadoks mais de joueurs de Billard Nicolas !
Chacun pour soi et... c’est tout
Le Billard Nicolas a beau se jouer à 3, à 4 ou à 6 (en fonction du modèle), il n’en est pas moins un jeu "chacun pour sa pomme".
Chaque joueur dispose d’une poire, placée de manière fixe devant lui, qui va lui permettre de souffler (en pompant... pompant...) afin de déplacer la balle en liège sur la table de jeu.
Et puis ?
En face de chaque joueur, un trou d’un diamètre légèrement supérieur à celui de la balle, fait office de but. Chaque joueur va s’efforcer de ne pas se prendre de buts, mais au contraire d’en marquer à ses adversaires. La règle originelle veut que chaque joueur ait deux séries de boules (type boulier) servant à compter son score. À chaque but encaissé, le joueur déplace une boule blanche et à chaque but marqué le joueur déplace une boule rouge. Lorsque l’un des joueurs n’a plus de points positifs ou négatifs, le jeu s’arrête et le gagnant est le joueur dont la différence : points positifs – points négatifs est la plus élevée.
Toutefois, par simplicité, les joueurs peuvent ne comptabiliser que les buts encaissés. Lorsqu’un joueur a dépassé un seuil décidé au début de la partie, celle-ci s’arrête et ce joueur est le grand perdant.
Histoire de rigoler
Dans sa version d’origine, le jeu se joue debout, chaque joueur ayant sa poire dans la main.
Il existe aussi la version fun : chaque joueur est assis sur une chaise sur laquelle est posée la poire (il faut naturellement prévoir une rallonge pour le conduit d’air). Ainsi, au lieu de pomper avec leurs mains, les joueurs pompent en sautant sur leur chaise : c’est bon pour les fessiers, il paraît. Ce qui est sûr, c’est que c’est bon pour les zygomatiques des spectateurs qui assistent à la scène !