Aussi vite expliqué que the boss (environ 6 - 7 minutes), il offre une diversité bien sympa entre chaque partie.En plus le créateur et l'illustrateur sont sympa...
Super sympa de passer autourt de cette eldorado du jeu!!!
Essayé au FLIP 2012 en version proto quasi définitif et en présence de son agréable auteur, Blackrock City s'est avéré être un jeu qui combine simplicité et subtilité (dans son acception la plus fourbe).
Simplicité car le tour de jeu se résume à miser ou passer ou différer.
Fourberie car le simple fait de miser, même de manière inférieure au plus offrant, peut avoir des impacts assez redoutables.
Rapidement expliqué, il faut néanmoins au bas mot une partie pour se rendre compte des différentes situations qui peuvent se présenter et acquérir l'expérience pour sentir les coups fourrés et miser à bon escient.
Un petit plus qui met du piment dans la partie : la présence d'un sablier de 15 secondes grâce auquel on peut (dans la limite de deux fois par partie) mettre sous pression un adversaire hésitant.
Peut être parce qu'il s'agit là aussi de diriger une bande de malfrats pour gagner de l'or, peut être du fait que l’illustrateur est le même, au final sans savoir vraiment pourquoi, on sent la parenté éloignée avec The Boss.
Les mécanismes n'ont pourtant rien à voir, et il mérite le même succès, dans la veine des jeux rapides et malins.