Autant le dire, ce n'est pas d'une originalité incroyable, un monopoly Like mais avec une mécanique assez agréable entre les assurances, la gestion du stock, la vente et autres.
On commence le jeu au second degré et on se prend au jeu de la production et de la vente, le fait d'avoir comme support des marques françaises disparues ou en déclin rajoute un peu de kitch ce qui n'est pas pour déplaire.
Facile à sortir, explication simple.
Il s'agit d'un jeu de l'oie amélioré sur les thèmes économiques ; amusant, sans prétention, un brin stratégique. Il n'est donc pas désagréable d'y jouer de temps en temps.
Un jeu primé en 1975 "oscar du meilleur jouet"...
Juste après le premier choc pétrolier... tout un symbole et pourtant, le principe du jeu qui fonde ses règles sur le capitalisme est toujours d'actualité.
Rien à voir avec le Monopoly, mais au contraire, les choix et les décisions à prendre restent toujours de votre ressort et pas celle du dé (sauf pour le déplacement quoi que vous pouvez allez vite en jouant avec deux dés ou plus lentement en jouant avec un seul dé)...
Au final, votre stratégie (produire/vendre), s'avérera payante si vous avez fait les bons choix...
Un jeu rarisimme en 2009 et si vous en trouvez un exemplaire, n'hésitez pas à le mettre dans votre ludothèque, vous ne le regrettrez pas!
voici un bon jeu d'argent, alternative agréable aux classiques monopolys.
par contre le jeu présente un petit bug : les jetons PUB vous emmenant directement à la fin du plateau vous permettant de toucher une rente, on peut faire cela en boucle le gain et moins important mais constant et sans risque (on peu même gagner ainsi!) dons il faut limiter les revenus de tour de la case "départ" aux tours complets!
Trois domaines d'action dans ce jeu, donc des choix un peu plus poussés qu'au Monopoly. Un jeu néanmoins simple, fun et sympathique, pas original pour un sou et qui est loin d'être le plus mauvais dans son genre.
bon jeu ou il faut sur un circuit acheter deqoui produire et sur un autre vendre mais où plus on attend plus on peut acheter peu cher et vendre tres cher. possibilité aussi d'acheter des actions qui permettent de récuperer une partie de la somme perçue par la vente des autres concurrents.
Bien sûr les eternelles accident, bonus, malus qui pimente le jeu sous forme de cartes, ou pion à acquerir.
Le premier de mes jeux de socièté dit moderne. La mécanique d'achat et de vente est très originale.
Il faut se fixer un temps sinon les parties sont interminables.
Un jeu à huit qui fait la pige au monopoly!
Un peu long, un peu répétitif, mais la stratégie gagnante se découvre au fur et à mesure du jeu et le choix est un peu plus varié que "j'ai des sous: j'achète...j'ai pas de sous, j'achète pas!"
Bref, un jeu qui plaira à la famille une fois les règles assimilées (2 tours de piste et c'est dans la poche)
(Version Fenwick)
Sous des dehors austères, Business est un jeu qui dispose d'un matériel de grande qualité. La finition est soignée et l'éditeur a eu le sens du détail, que se soit pour le plateau, les éléments de jeu (pions, cartes conjoncture, vie des affaires), ou la règle (qui bénéficie d'une présentation journal originale, bien qu'un peu déroutante).
Le jeu en lui-même est agréable tout en gagnant le pari de la simulation de la vie d'une société, ce qui était au départ une gageure.
A la vue du plateau en forme de parcours, on pourrait croire à un monopoly-like. Grossière erreur. Certes, il y a une part de hasard - dans les déplacements et dans le tirage des événements - mais le jeu est avant tout une affaire de choix et de gestion de risque (ce qui est le propre de toute société). On est donc au final plus proche d'un Puerto Rico que d'un Monopoly...
Le progrès étant ce qu'il est, je vous recommande de jouer à Puerto Rico plutôt qu'à Business. ;o)
Mais en 1976, ca valait vraiment le coup...
Pas le divertissement du siècle, mais des mécanismes sympathiques pour un jeu de dés et de cases.
Diverses stratégies sont possibles dans cette mini simulation économique, mais il faut toujours des volontaires pour produire, sinon, les actions, elle ne servent à rien.
A noter l'humour de la plupart des cartes d'événements.
Eh bé, y nous rajeunit pas celui-ci et pourtant, bien que les subtilités financières du jeu m'échappaient totalement à l'époque, je me souviens m'être battu pour avoir Lotus, à toutes les parties.
Il faut devenir riche, à coup d'OPA et autres coups fourrés de Golden Boy.
Bref, il est encore d'actualité ce jeu dites moi!!!
Ca doit être un collector
Ce jeu bénéficie d’un matériel riche et d’une présentation luxueuse. Pour l’époque de sa sortie, c’était déjà un point positif. Business n’a rien à envier sur ce point aux jeux actuels.
Les règles paraissent complexes et rébarbatives car il y a beaucoup de paramètres à prendre en compte. En fait elles sont détaillées et étayées de nombreux exemples qui permettent de bien assimiler toutes les subtilités.
Sur le principe d’un parcours rappelant les jeux de type « monopoly » , Business est un jeu économique qui réussit assez bien le pari de simuler le fonctionnement d’une entreprise commerciale. Achats, ventes, souscription d’assurance, emprunts, actions, obligations, tous les éléments principaux sont là pour recréer au mieux l’ambiance d’une société.
Des choix quelquefois douloureux seront à faire tout le long de la partie pour le PDG que vous êtes censé incarner. Prise de risque ou sagesse, quel sera votre attitude au moment du choix ?
Doit-on vendre immédiatement à bas prix ou attendre pour tenter de faire plus de bénéfices mais avec le risque de manquer la transaction et de tout perdre ?
Doit-on souscrire une assurance ou faire l’impasse sur les aléas comme les incendies ou autres événements imprévisibles pouvant grever vos finances ?
Tout le long du parcours les choix sont permanents. Le hasard intervient souvent mais s’intègre bien dans les mécanismes du jeu. En particulier la régle permet astucieusement de lancer au choix un ou deux dés pour se déplacer.
Un jeu de prise de risque qui sous des apparences classiques est bien plus fin qu’il n’y paraît.