Les + :
Règles simples et vite expliquées
Matériel correct
Bonne rejouabilité
Le système d'enchère (c'est le premier joueur qui choisit quelle tuile à quel prix)
Devoir payer ses achats au premier joueur
Action supplémentaire lorsqu'une pièce est fermée
Plusieurs manières de scorer
Construire un château improbable
Les - :
Grande boîte bien vide
Tuiles un peu trop fines
Le ton gris sur gris du plateau de jeu un peu tristounet
Un peu de texte en anglais ou allemand (selon la version) mais rien de bien compliqué
Donc :
Version plus cheap que Suburbia mais plus agréable à jouer. Là où Suburbia m'a laissé un sentiment mitigé, Castles of Mad King Ludwig m'a convaincue
Enfin ! Cela faisait bien longtemps qu'un jeu ne m'avait pas procuré pareil plaisir ! Pensez : qui n'a jamais rêvé de dessiner les plans de son château ? Rien que le fait de disposer ses tuiles au mieux pour réaliser le meilleur château me satisfait au plus haut point. Il faut faire attention à tout, en particulier à ne pas mettre une salle de spectacle à côté d'une chambre parce que ça fait du bruit...
Alors certes, autour de la table, ça calcule et ça combine sec, mais il y a tout de même pas mal de hasard et de chaos lié au tirage et au positionnement des tuiles sur la piste d'enchères. Et cela vient briser à merveille l'austérité du mécanisme ! Car c'est le premier joueur qui choisit le prix des tuiles, mais c'est lui qui choisit la sienne en dernier. De plus les autres joueurs doivent lui payer personnellement le prix de leur tuile, ce qui fait que l'argent est presque en circuit fermé. Il est donc possible, selon le tirage, de ponctionner plus d'argent aux autres que de ne leur rendre, ce qui leur rend ensuite la vie bien difficile... La gestion des sous est donc primordiale.
Le vrai point fort du jeu est son interactivité, car il ne se passe pas un tour sans que quelqu'un peste parce qu'il ne lui reste plus que des tuiles pourries à prendre. Qu'on invective son voisin de droite parce qu'il vient de nous chourer la tuile qu'on voulait ou qu'on se gausse de prendre la tuile tant désirée par notre voisin de gauche, on se marre vraiment beaucoup. D'autant qu'on rigole bien aussi en voyant se bâtir des plans de châteaux qui ne ressemblent à rien !
Alors oui, le plateau central est très austère graphiquement, mais le jeu est tellement bon que tout lui est pardonné !!
Très bon jeu mêlant enchères, juste prix à payer et un vrai plaisir à voir naître son château.
Les parties ne se ressemblent pas et on évite la trop grosse soupe de points.
Efficace et élégant.
Quand est ce que les éditeurs français vont se pencher sur ce jeu qui fait l unanimité dès que je le sors!!!
Je n ai encore point vu qqun me dire, il est nul ton jeu!!
Franchement quand on voit qu'il sorte Suburbia ( du même auteur et quasi meme mécanique)qui est moche comme pas possible et moins intéressant dans la construction de sa ville( dans celui ci, des châteaux) , Bien des fois je comprends pas tout.
Bref si vous hésitez à vous le prendre, Bein n hésitez plus, alors oui on le trouve pas de partout et il est en anglais, mais ca reste très accessible.
Contexte :
Cet avis a pour objectif de rétablir un certain équilibre. J'ai en effet été extrêmement déçu par Suburbia du même auteur, et je m'étais laissé aller sur un avis assez critique. Du coup, quand à l'association on m'a proposé une partie de Castles of Mad King Ludwig, en me disant "Tu verras, ça reprend plein de mécanismes de Suburbia", j'ai répondu " Vous êtes sûrs ? Personne ne préfère jouer à Shakespeare plutôt ?" Bah non, ils ne préféraient pas. Et au final tant mieux ! Parce que si Suburbia m'avait laissé l'effet d'un jeu froid comme la mort, austère au possible, ultra calculatoire et aux interactions proches du néant, Castles of Mad King Ludwig m'a fait une très belle impression.
Pourtant, les graphismes ne sont pas forcément beaucoup plus travaillés (personnellement, je trouve qu'il y a du mieux, mais je comprendrais qu'on ne soit pas d'accord). La mécanique d'effet rétroactif un peu prise de tête est également toujours présente, mais, du fait d'un système de scoring plus simple (fini les blocages sur les lignes rouges), cela en devient plus digeste. Le système d'objectifs ne change pas : objectifs publics + objectifs personnels (par contre, je ne suis pas sûr qu'ils puissent être contradictoires - je manque de parties pour l'attester- ce qui était le cas dans Suburbia, et était à mes yeux extrêmement gênants).
Et surtout, et surtout, quelle belle idée que d'avoir introduit ce Master Builder ! Là où à Suburbia on priait pour que la tuile qu'on voulait sorte à notre tour, ou pour que le joueur avant nous rate sa séance de calcul mental et nous laisse une tuile bien forte, rien de tout ça dans Castles of mad machin. C'est le joueur actif qui définit l'ordre des tuiles pour les coûts d'achat ! Et ça change tout !
Il faut être super attentif aux châteaux des autres, bien réfléchir à nos besoins pour proposer une offre cohérente tout en faisant son pain (gagner des sous en vendant des tuiles suffisamment chères pour que les autres joueurs les achètent sans faire des gros coups gratuits).
Bref, grosse belle surprise que ce Castles, que je conseille à tous, même à ceux qui comme moi n'avaient pas aimé Suburbia.
Tous les grands Seigneurs de l'histoire ont eu recours à un Architecte pour la construction d'un monument à leur hauteur; le Roi Ludwig n'y fait pas exception. Si nous pouvons mettre en doute son jugement dans le choix de ses requêtes, nous nous devons de reconnaître son audace et son excentricité. Un jeu de construction alliant stratégie et enchère, facile d'accès et haut en rebondissements. Un seul bémol, la grosseur des pièces rendant la manipulation parfois difficile, mais rien pour réduire le plaisir de passer une bonne soirée entre ami(e)s.
Architectes, sortez vos crayons, car c'est à vous de jouer !
Vidéo explicative à suivre sur notre chaîne YouTube prochainement, restez à l'écoute.
Martin M. / La Société des Jeux.
Construire un chateau en assemblant des pièces de différentes formes et tailles, c'est déjà extrêmement plaisant en soi. L'immersion est totale avec des salles toutes différentes, chacune racontant sa propre histoire.
Quant au jeu lui-même, il tire parfaitement profit de son thème original, ainsi que de son matériel de qualité. Des conditions de scoring différentes à chaque partie, on ne voudra donc jamais construire deux fois le même château. Et tout naturellement, l'agencement général de celui-ci gagne à être optimisé (selon les critères d'un roi fou, c'est vrai).
De ces deux aspects découle le coeur du jeu, la nécessité constante d'estimer le prix que l'on est prêt à payer pour chaque salle. Surtout sachant que la somme dépensée rejoint directement la poche d'un autre joueur. Et lorsque vient notre tour de fixer les prix (et d'empocher l'argent), c'est la somme que nos adversaires sont prêts à dépenser qu'il faudra estimer. Un genre de réflexion mêlée de dilemmes que j'apprécie tout particulièrement, élégamment mis en pratique ici.
Je n’ai jamais joué à Suburbia du même auteur, et honnêtement, cela ne m’attire pas car graphiquement le jeu n’est pas une réussite (...) Il en est tout autrement du jeu des Châteaux du roi Fou avec sa jolie boite Neuschwanstein ses enchevêtrements de pièces bien pensés, son système de mise aux enchères par le maître d’oeuvre (=1er joueur qui change à chaque tour), de gestion de l’argent et d’objectifs secrets qui pourront faire la différence en fin de partie.
Le corps du jeu consiste à acquérir des pièces aux enchères et à les poser sur son domaine. Chaque pièce construite octroie une récompense spéciale (non récurrente) ; par exemple, pour les pièces « jardin » (oui je sais, ça ne veut rien dire…), on a une prime de 10.000 marks, et ce n’est pas un luxe dans un jeu d‘enchères. Pour les pièces de type « activités », le bonus est de 5PV etc. Un autre aspect intéressant est que vous devez gérer les adjacences c a d faire en sorte qu’une porte se trouve devant une porte (déjà, sinon vous ne pourrez pas placer votre tuile pièce…) ET empocher les bonus de pièces qui s’accordent, OU éviter les malus des pièces qui pièces ne s’apparient pas (ex. salle d’activité et chambre).
Il y a aussi les pièces du sous-sol, un peu particulières, qui vous permettront, toutes les 2 pièces construites de choisir l’avantage procuré à la finition de n’importe quel type de pièce « du haut », tout en empochant, de plus, un bonus de 1 point pour le type de pièce figurant sur la tuile ajoutée en sous-sol.
Un 3ème axe de scoring qui n’est pas à négliger (les deux autres étant la pose directe des tuiles et les cartes d’objectifs secrets), est donné par les jetons faveur du roi. Ces jetons, disposés au centre du plateau, constituent les objectifs communs du jeu, au nombre de 4, que tous les joueurs devront s’employer à réaliser au mieux au cours de la partie. Il y a des jetons faveur de type de pièces, de superficie de type de pièce, de forme de pièce, d’argent restant à la fin du jeu etc. Pour chacun des objectifs, on procèdera au classement ; le meilleur se verra octroyer 8pts, le second 4 pts , le 3ème 2 et le dernier 1. Il faut au moins avoir un type de pièce demandé par le jeton faveur royale pour marquer par ce moyen, et les égalités sont brisées en ajoutant les primes des rangs et en la divisant par autant de joueurs à égalité.
A la fin de la partie, qui intervient lorsque la réserve de pièces à mettre aux enchères est épuisée, on procède en plus à la résolution des objectifs secrets. Les points de pose de tuile, de faveur royale et ceux rapportés éventuellement par votre objectif secret détermineront votre score final à Castle of Mad King Ludwig.
Pour la note, je suis tenté de mettre 8.5 ; le jeu est simple, graphiquement ce n’est pas pire que Suburbia, il dispose d’un un mode solo, on ne peut par contre n’y jouer qu’à 4 maxi et il n’est pas traduit ; de fait, cela ne m’incite pas non plus à lui accorder davantage. Il peut, en outre, y avoir un peu de déséquilibrage au profit de celui qui reçoit un objectif secret qui recoupe celui donné par un jeton faveur.
Une extension nommée « Secrets » est annoncée pour Essen 2015
Critique après une partie a 2 joueurs. Castle est un jeu de pose de tuiles afin de construire un château. Le jeu n.est pas sans rapeller Suburbia du même auteur mais est plus accessible. Les règles sont assez rapides à comprendre et le jeu même si assez calculatoire nécessite moins de calculs que son aîné. Le jeu est uniquement en anglais a l'heure ou j'écris mais seules qq cartes comportent du texte, ça reste accessible. J'y rejouerai avec plaisir.
Dans la lignée de Suburbia, qui consiste à poser stratégiquement ses tuiles de façon à scorer un max, Castles propose un thème plus réjouissant : celui de construire un château. Les tuiles sont plus jolies que celles de Suburbia (ce n'est pas difficile...) sans être pour autant pimpantes, mais l'intérêt du jeu est ailleurs : notamment dans celui du rôle du 1e joueur qui va déterminer le prix pour chaque pièce à poser. Et qui devra acheter en dernier ! Les manières de scorer sont multiples, soit avec des choix de placement stratégiques, soit avec des cartes bonus, soit avec des faveurs de fin de partie. Le jeu est plaisant et fluide, l'édition est correcte sans être sensationnelle (piste de score minable, pas de thermoformage, tuiles austères). Un bon jeu.
Thème bien immersif ,le plaisir de construire son château en marquant des point d interaction entre pieces est simplement génial .les parties sont courtes,le jeu est un peu austère manque de couleurs sur le plateau .reel potentiel de rejouabilite.seul bémol les règles sont en anglais pour l instant
Un jeu de placement de tuiles dans la lignée de son aîné du même auteur : Suburbia. UN thème au premier abord plutot attirant : construire son chateau en achetant des pièces de chateau pour les relier entre elle afin de batir une demeure médievale répondant aux exigences du Roi Ludwig II de Bavière. Concrètement, à chaque tour, un contremaitre agence des tuiles d'un prix de 15.000 à 1000 Marks. Chaque J. en commençant par le J. à sa gauche va pouvoir soit acheter une tuile en payant le contremaitre (et non la banque) , soit toucher 5000 marks de la Banque. Le J. qui achète une pièce, place sa tuile, score ses PV. Une fois que toutes les entrées d'une tuile placée dans le chateau sont connectées, on score à nouveau des PV (parfois négatifs) en fonction des type de pièces adjacentes, ou des couloirs/escaliers connectées à la pièce etc. Pour chaque type de pièces (living room, chambre etc.) on obtient également une action bonus (rejouer un tour, marquer 5PV, piocher des cartes objectifs secrets) . A ce propos, on a donc des objectifs communs (les faveurs du roi) et des objectifs secrets. Voila qui fait pas mal de choses à prendre en compte : choix des pièces par rapport aux objectifs, placement par rapport aux contraintes des tuiles adjacentes etc. Si vous connaissez Suburbia, vous êtes en terrain connu. La petite différence, appréciable à mon gout, est que lorsqu'on place une tuile, pas besoin de demander à X ou Y s'il a un aéroport ou un restaurant dans sa ville comme dans Suburbia. Ici on se concentre uniquement sur son chateau, on regarde cependant celui des autres par rapport à la course au objectifs communs (max. de tuiles carrés, max de tuiles rondes, max de tuiles connectés...etc.) ce qui est facile à faire. En revanche ce qui est un peu délicat à 3J et 4J c'est qu'à la phase de réagencement des tuiles par rapport aux prix d'achat il faut regarder en détail toutes les pièces des chateaux adverses afin de placer les tuiles qu'on suppose convoitées par ces derniers au prix fort pour les enquiquiner. Ceci met un peu à mal la fluidité du jeu, mais bon n'exagérons rien. On notera que pour construire en sous sol il faut utiliser des escaliers puis des couloirs de souterrains. Ceux si sont en nombres très limités à mon gout lorsque l'on joue à 4. Poser des tuiles sous-sol/souterraines passe donc par la case escalier, mais une fois connectées, la première pièce vous permet de scorer des PV pour un type de pièce précis durant toute la partie, ce qui peut s'avérer intéressant. Dans CoMKL, on se plait à s'immaginer en train de composer un vrai chateau, le jeu est indéniablement fun à ce niveau. Un fun modéré par le fait qu'on en peut pas tjrs acheter les pièces que l'on veut, que l'on ne peut pas les placer toujours comme on l'aimerait et qu'il faut toujours faire attention aux malus, à ce que font les voisins etc. Coté Look, ce jeu a son propre style graphique, on aime ou pas, il est vrai que c'est plutot d'une autre décénnie question illustrations mais ce n'est pas si vilain que ça. En somme c'est un jeu ou il faudra essayer de bien agencer son chateau pour profiter au mieux des bonus et remplir les objectifs, ce qui ne sera pas chose aisée. Ceci étant dit, le jeu est très accessible et les règles sont courtes, vite assimilées, il faut juste faire attention à ne rien oublier des règles de placement et de comptage. Ce jeu en définitive est assez sympathique, je le conseillerai à 2J pour commencer voir à 3 par la suite. A 4J, la partie est un peu longue à mon gout, et en fin de partie, il y a comme une forme de chaos dans la lisibilité de tous les chateaux pour optimiser le placement des tuiles à l'achat. Si vous avez aimé Suburbia, je pense que vous pouvez y aller sans sourciller, pour les autres, je vous invite à tenter l'aventure. Le jeu est somme toute assez classique dans ses mécanique, le coup du Master Builder est bien vu, le thème fun donc allez y. On aurait aimé un peu + de folie qui ne transparait guère dans le jeu mais ça reste bien agréable.
Belle illustration de boîte, par l’auteur d’un « hit » récent, CoMKL attire l’oeil du client à juste titre. La suite est entre 2...
Le matériel se divise en une pluie de tuiles de tailles variées aux visuels naïfs et d‘un plateau de pose d’un gris et d’un design tout droit sorti d’un proto... On parviendra à oublier ces « détails » en jouant, heureusement.
Le but est de construire son château pièces par pièces en l’agençant au mieux pour scorer au maximum, avec un principe de fermeture de salles qui permet de marquer des points immédiatement. Il y a des objectifs secrets et généraux à prendre en compte.
Le système d’enchères dirigé à chaque tour par les joueurs est à la fois frustrant et malin... car, bien évidemment, les bonnes pièces ne sont jamais là quand on en a besoin et il y a de grandes chances de se les faire voler sous le nez... L’opportunisme est donc de mise.
Quelque part, ce jeu fait penser à Sultanya (construction de palais avec des tuiles qui ne viennent jamais au bon moment), mais n’évite pas la comparaison avec Suburbia (du même auteur).
Le thème est ici plus « amusant » et contempler les châteaux se construire est réjouissant. Mais passé cet aspect on s’aperçoit (du moins en jeu à plusieurs) que c’est très chaotique et au bout du compte, qu’on a plus joué aux Lego qu’à planifier une stratégie architecturale.
Le décompte , quant à lui, part dans tous les sens.
**Un Castle entre 2 : à la fois plaisant (construire / essayer de remplir les objectifs/ être maître des enchères), et décevant (lisibilité des pièces / règles peu claires / manque de contrôle du jeu à plusieurs et aucun rangement).**
Un Suburbia Like, plus accessible mais en dessous de son modèle.
Typiquement le jeu que j’achèterai si je le trouve en occase, mais pas au prix fort.
Difficile d'attribuer une note ce jeu car il me procure beaucoup de plaisir ludique mais je suis fortement déçu par :
- la piste de score en zigzag
- les pièces de monnaie minuscules (bien que ce soit justifié... vu qu'elles doivent pouvoir être posées sur les salles)
- les tuiles salles toutes fines
- la grande boîte du jeu qui contient beaucoup de vide, aucun thermoformage
- le manque de grain de folie dans le design, les salles sont trop vides
Malgré cela le jeu s'avère très divertissant et fonctionne super bien à deux.
A chaque tour joueur contremaître fixe le prix des salles disponibles à la construction, puis chaque joueur en sens horaire choisit une salle et paie le contremaître. Enfin, le contremaître a le dernier choix parmi les salles restantes et en paie le prix à la banque.
Pendant cette phase le contremaître doit faire en sorte de faire payer aux autres joueurs le prix fort pour les salles qui les intéressent. L'observation des autres châteaux et de l'argent dont disposent les joueurs est important.
Chaque salle ajoutée au château d'un joueur est scorée et dés qu'une salle est entièrement connectée, le joueur obtient un bonus en fonction du type de salle (gagner de l'argent, jouer un tour supplémentaire, obtenir une carte bonus...)
A chaque tour le pion contremaître est transféré au joueur suivant.
Les joueurs doivent être attentifs aux contraintes de pose des différentes salles, aux objectifs communs et à leurs objectifs personnels.
A la fin c'est un plaisir de comparer les châteaux créés.