Un jeu de cartes et de prise de risque.
Danger est un jeu de prise de risques.
Le matériel est composé de 108 cartes en 4 couleurs. Dans chaque couleur, les cartes vont de 1 à 9. Chaque chiffre est présent 3 fois dans chaque couleur.
Le but du jeu est d'obtenir le plus de points possibles dans chaque couleur sans jamais dépasser 15.
La partie se joue en 5 manches.
À son tour, le joueur actif pioche une carte qu'il place devant lui.
Tour après tour, il va accumuler les cartes par couleur. Les valeurs de chaque série sont additionnées.
Après avoir posé une carte, il peut "sécuriser" une rangée d'une autre couleur. Ainsi, il conserve ces points. Néanmoins, il n'a pas le droit de "sécuriser" une rangée s'il possède le plus petit total de cette couleur.
Si le joueur pioche une carte dans une couleur qui lui fait dépasser la limite critique de 15 points, cette couleur est "condamnée", il ne gagnera pas les points de cette couleur.
La manche se termine dès qu'un joueur sécurise ou condamne sa quatrième et dernière rangée.
Lors du décompte, on additionne les points de chaque rangée. Néanmoins, dans chaque couleur, le plus petit total ne sera pas pris en compte.
Contrairement à guerre froide qui est une super variation du black jack, celle-là est très pauvre et à la stratégie quasi-nulle. Sinon à part ça les cartes et la boite sont plutôt jolies.
Un bon petit jeu d'ambiance pour l'apéro. Les règles sont simplissimes, les parties pas trop longues, et beaucoup de plaisir à prendre des risques ... jusqu'à se faire exploser!
Cela résume la finalité de ce petit jeu qui consiste à emmagasiner le maximum de points le plus rapidement possible dans toutes les couleurs en évitant à tout prix de dépasser 15 et d'en avoir le moins dans aucune afin de ne pas être éliminé du challenge sur la couleur en question. Simplissime, un peu stratégique, un léger goût de réchauffé, bien un quart d'heure avant de passer rapidement à autre chose !
[[Danger](https://www.trictrac.net/jeu-de-societe/danger)]
Monsieur François-Marie B. est un artiste qui excelle dans bien des domaines, dont notamment la photographie. Madame Liliane B. en a bien conscience, au point d’en être un mécène généreux qui lui a confié, paraît-il, jusqu’à un milliard d’euros pour lui donner un petit coup de pouce.
Formidable me dire-vous, seulement voilà, monsieur François-Marie B. a eu quelques ennuis avec un SDF. Ce dernier n’avait pas voulu que le grand artiste-photographe le prenne en photo. Monsieur François-Marie B. s’était fait gifler par ce sujet récalcitrant, vous savez, ce genre de personne qui a eu l’idée follement originale et tellement rebelle de vivre dans la rue par mépris pour le monde moderne.
Monsieur François-Marie B. avait porté plainte.
Comprenez la déception de monsieur François-Marie B. : Il voyait déjà cette photo figurer dans une exposition, avec vernissage, petits-fours et VIP triller sur le volet. Il imaginait déjà les commentaires sur la beauté de ces prises de vues qui auraient valorisé son talent à capter la détresse dans les regards…
Résultat ? L’ingrat, que monsieur François-Marie B. voulait immortaliser comme il l’aurait fait avec un bâtiment en ruine ou un chien qui pisse contre un réverbère, n’a pas voulu que son image soit captée par l’appareil de monsieur François-Marie- B.…il le lui aurait fait comprendre en lui donnant une gifle ! Quelle horreur ! On est vraiment plus en sécurité. L’agresseur a-t-il eu la vulgarité de demander aussi de l’argent à monsieur François-Marie B. ? C’est une simple supposition et l’histoire ne le dit pas, mais gageons que cette brute en aurait bien été capable. Ça respecte rien ces gens là, et surtout pas l’Art.
Mais finalement, j’ai lu aujourd’hui que notre photographe-aventurier, miséricordieux, avait retiré sa plainte. Eberlué, notre artiste a du découvrir que même les clodos avaient un droit à l’image, et puis son agresseur devait être de toute façon insolvable. Bon, faut dire aussi que prendre en photo des SDF en prison, c’est un peu comme photographier des animaux sauvages dans un zoo : c’est moins "visuel", et il n’y a plus le petit frison qui-va-bien lorsque les images sont prises en milieu naturel.. Alors ce serait gâcher le métier que de les faire enfermer.
Il prendrait quoi en photo monsieur François-Marie B. sinon ? Le phallus en or qui trône sur une table de madame Liliane B. ?
j'avais fini apres moult effort pr mon jeune age le 1. Et j'ai beaucoup beaucoup peiné sur le second opus sur mon atari.
Le cri quand il se faisait tué etait tordant !
arthemix dit: Sauf que la couleur des cheveux, c'est peut-être ce qu'on a le plus en commun avec ce californien-là
Ca me rassure parce que c'est bien ce qu'il me semblait... mes souvenirs du WelPlay étant un peu flous...
[[Danger](https://www.trictrac.net/jeu-de-societe/danger)]
Salut tout le monde !
"The American Heart Journal, la bible mensuelle de la cardiologie, publie dans sa livraison d'avril une étude qui évalue le rapport bénéfice-risque de la pratique de la prière. Ce travail est signé de seize praticiens
Je vous résume la suite :
Une expérience est pratiquée auprès de plusieurs groupes de personnes afin d'évaluer les effets (positifs ou négatifs) des prières.
1802 personnes sont concernées par ce test, entre janvier 1998 et novembre 2000. Elles ont toutes subi un pontage un ou plusieurs aorto-coronariens.
3 groupes ont été constitués en tirant au sort : les 2 premeirs ont été avertis qu'ils pourraient bénéficier de ces prières (seul le deuxième en a réellement bénéficié).
Le 3ème groupe a lui été expressément averti qu'il bénéficierait de prières (et ce fut bien le cas).
"Dans les deux premiers groupes - ceux composés des personnes ne sachant pas si on priait ou non pour elles -, les auteurs de ce travail ont observé une égalité presque parfaite des conséquences de l'intervention.
Des complications sont survenues chez 315 des 604 personnes du premier groupe et chez 304 des 597 du deuxième, soit des taux respectifs de 52 % et 51 %.
Quant au troisième groupe - pour lequel les prières étaient effectivement effectuées et les malades informés qu'elles l'étaient -, le taux de complications a été de 59 % (352 sur 601). La fréquence des nouveaux infarctus fut aussi supérieure (18 % contre 13 %).
Les auteurs de ce travail en tirent deux conclusions. Non seulement cette forme de prière n'a pas, ici et dans cette indication, démontré la preuve de son efficacité, mais il est désormais établi qu'elle peut avoir des effets nocifs. Du moins quand les malades savent que des inconnus s'adressent à Dieu pour implorer qu'Il oeuvre à prévenir les complications d'un pontage aorto-coronarien.
Comment comprendre ? Les auteurs expliquent ce résultat, non sans un certain bon sens, par le stress subi par des patients inquiets de se savoir à ce point malades "que l'on avait dû avoir recours, les concernant, à un groupe de prière".
Source : Le Monde
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 936,0.html
Mais j'y pense ?! Vous imaginez les dégâts que peut causer une messe de minuit à la Noël avec les millions de prières qui s'élèvent partout dans le monde ?
Combien de % d'infarctus en plus ?
Ludovic.
Ben moi ce qui m'a le plus troublé le plus est tout récent, c'est dans le forum énigme: "quel est le plus petit nombre que l'on ne peut pas décrire en moins de 500 mots?"