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Boîte du jeu : Das Ende des Triumvirats

Das Ende des Triumvirats

settingsJohannes Ackva, Max Gabrian
brush
home_workZ-Man Games, Lookout Games
local_shippingZ-Man Games, Lookout Games
Nombre de joueurs :2-3
Age :12 ans et +
Durée de partie :90 min
Langues :Français
    7,4
    Un jeu de conquètes pour 3 joueurs au temps des Triumvirats. Présentation Das Ende des Triumvirats (DEDT) est un jeu optimisé pour 3 joueurs. Le mot « triumvirat » désigne à l'origine une association de trois généraux romains pour s'emparer du pouvoir. Le premier triumvirat fut l’alliance politique illégale conclue entre Pompée, César et Crassus en 60 av. JC : ces trois hommes s’engageaient à mettre en commun leur influence pour satisfaire leurs ambitions et dominer l’anarchie régnante. DEDT vous propose d'incarner l'un de ces 3 généraux à la lutte pour le controle de l'empire romain quelques années avant JC. Déroulement Le positionnement sur le plateau de jeu est immuable. Chaque général possède 5 provinces et tous ont le même nombre de légions. Il existe 3 types de provinces : politique, militaire et de compétences. César commence à joueur puis Pompée puis Crassus... Le jeu se déroule en 3 phases : 1. Phase d'approvisionnement Les provinces sont approvisionnées en or et/ou légions en fonction de leur type. De plus le trumvir reçoit l'approvisionnement de Rome (or et/ou légions également) 2. Phase de mouvement Le triumvir se déplace par terre ou par mer emmenant avec lui ses légions et ses fonctionnaires. Il récolte l'or dans les provinces, réorganise ses armées et peut envahir les provinces ennemies. descriptif des phases de combat : Chaque joueur pioche un certain nombre de pions armes dans le sac en fonction du nombre de légions engagées (en fonction du nombre minimal de légions engagées dans le combat). Pour chaque pion de sa couleur on retire un pion légion adverse du plateau de jeu. Puis on retire à chaque joueur simultanément les pions restants jusqu'à ce que qu'un joueur se retrouve sans pion. Le joueur qui perd sa province reçoit alors une carte de compensation. 3. Phase d'action En fonction du type de province sur lequel le triumvir est positionné, le joueur peut convaincre des citoyens au forum de le rejoindre, produire des armes ou améliorer ses compétences politique ou militaire. A la fin de son tour de jeu, le joueur avance le marqueur "Tempus Fugit" en direction de l'élection. Dès que la case Election est atteinte, un nouveau consul est alors élu en fonction du nombre de citoyens du forum qui ont rejoints les généraux. Fin du jeu Un des généraux gagne la partie s'il rencontre un de ces critères de victoire : Victoire militaire : un personnage qui conquiert sa 9e province victoire politique : un personnage qui a déjà été consul et qui place un 6e citoyen dans sa section au forum ou qui est élu consul pour la 2e fois Victoire de compétence : un personnage atteint la valeur VII dans chacune des 2 compétences.

    Les avis

    • boîte du jeu : Das Ende des TriumviratsDas Ende des Triumvirats : Jeux pour 3 joueurs, chapitre 1 : La fin du triumvirat
      ... ou plus précisémment "Das ende des triumvirats" dans sa version d'origine, un jeu de Johannes Ackva et Max Gabrian, sorti en 2005 chez Lookout Games . Ces deux auteurs, à ma connaissance en tout cas, n'ont pas édité autre chose. Avec cet avis, je vais commencer une petite série que j'espère terminer un jour, même si le plan de charge est un peu lourd, jugez plutôt : Quel est le point commun entre Das Ende des triumvirats (DEDT pour les intimes), After the flood, God's playground, Maria et The road to Canterbury ? Oui ? "- Moi je sais : ils sont tous des jeux de baston". "- Et... non. Pas The road to Canterbury". "- Moi je sais : ce sont des vieux jeux". "- Alors vu que de nos jours, 5 ans c'est déjà vieux, avec de plus de 10 ans c'est sur, certains peuvent être considérés comme des jeux antédiluviens, mais c'est pas ça." "- Ils sont tous dans ta ludo ?" "- Oui, mais c'est pas le plus intéressant. Bon, je vous le dis : nous avons là des jeux créés pour la configuration trois joueurs. Pas deux, pas quatre... non, non, trois joueurs. Ils sont vendus comme tel. Alors certes, sans doute sous la pression d'éditeurs, certains disposent de quelques aménagements pour être joués en duo, mais ça fonctionne nettement moins bien, voire pas du tout et la vraie configuration est bien trois joueurs. Cette configuration n'est pas la plus facile à équilibrer, surtout dans les jeux d'affrontement direct car on pense immédiatement à la potentielle alliance 2 vs 1, une situation guère appréciée en générale. Cependant, les auteurs de DEDT, Martin Wallace ou encore Richard Sivèl ont trouvé des astuces différentes pour contourner cet obstacle. Je commence avec DEDT car chronologiquement c'est le premier et puis je trouve plutôt marrant de démarrer une série de commentaires sur les jeux pour trois avec un titre qui parle de la fin d'un trio justement... pas vous ? Ah..! Ben toutes mes confuses alors. DEDT traite de la rivalité entre César, Crassus et Pompée, le premier triumvirat qui va annoncer tout doucement la fin de la République romaine avant le passage à l'Empire un peu plus tard avec le second triumvirat et Auguste. Notons que Le jeu prend quand même quelques libertés avec l'Histoire car ce premier Triumvirat, malgré les rivalités de ces trois hommes ambitieux, fonctionnait en fait pas trop mal. Cependant, Crassus fut mis hors-jeu en -53, tué par les Parthes lors d'une campagne militaire ; La guerre civile opposa ensuite César à Pompée]. Chaque joueur va défendre les chances de l'un de ces trois personnages ; DEDT est donc ce que certains appellent un "warteau" terme sujet à polémique parfois, mais il est assez pratique pour décrire un jeu d'affrontements militaires à thème historique qui n'utilisent pas les mécanismes habituels des wargames. Le contenu de la boite ? Un plateau agréable et bien dans le ton qui représente une carte des conquêtes romaines de l'époque avec pour centre la Méditerranée, quelques tuiles cartonnées (personnages, aides de jeu, fonctionnaires, carte "compensation" et autres) des pions en bois (cylindres, plaque carrées et évidemment moult cubes), quelques piècettes en carton, un sac noir en tissu (c'est important) et puis c'est tout. Avec tout ça, personne ne soupçonnerait un jeu aux mécanismes astucieux, voire innovants (en 2005 en tout cas), finalement assez thématique et qui engendrent des parties tendues. L'objectif ? Devenir le maître de Rome bien sur ! Pour cela, il y a trois façons d'y parvenir, il suffit de réussir l'une d'entre elles : soit par une victoire politique (au forum par un système de majorité et deux victoires à l'élection consulaire), soit par une victoire militaire (conquête d'une 9ième province), soit en parvenant sur les plus hauts niveaux des deux pistes compétences (militaire et politique). Les joueurs s'affrontent donc sur 3 secteurs de jeu et il faudra si possible en négliger aucun sous peine d'ouvrir les voies vers la victoire de l'un de vos adversaires. Et cela peut aller vite. Je ne vais pas rentrer dans les détails des mécanismes (il y aurait pourtant beaucoup à dire) mais signaler quand même que les combats se jouent par le tirage d'un nombre variables (selon les forces en présence) de cubes (appelés "armes") préalablement placés dans le sac noir. En fait, les auteurs ont un peu reproduit, mais sous une autre forme, le système de la tour de combat présent notamment dans Wallenstein/Shogun ; Néanmoins, cela était assez nouveau, simple et malin. Autre aspect intéressant, le mécanisme d'approvisionnement (Or et/ou Légions) amène les joueurs à faire des choix complexes, car une province produit un tour sur deux (sauf présence de fonctionnaires, peu nombreux) et donc vous posséderez sans doute des provinces produisant en "décalé" par rapport à d'autres. Enfin, le dispositif "anti-deux-contre-un" : César et Crassus pourraient par exemple s'entendre pour taper sur Pompée. Oui, mais voilà. Lorsqu'un joueur perd une province, le jeu prévoit un mécanisme de compensation : après une défaite, le vaincu rajoute une "arme" (cube) dans le sac et si le même joueur perd une deuxième province d'affilée, il grimpe sur l'échelle des compétences. En fait, le personnage apprend de ses défaites ! Donc taper sans relâche sur le même pourrait apporter quelques désagréments par la suite. Il faut alors doser et frapper au bon moment... et pas toujours le même. Il y a quelque chose d'abstrait dans DEDT, c'est un peu "sec" dans le déroulé, mais pourtant le thème reste assez présent ; L'ensemble est de complexité moyenne et pourrait parfaitement revenir sur les tables aujourd'hui. Certes, il faudrait revoir un peu le matériel, par exemple nos héros sont représentés par des plaques en bois carrées : c'est pas top mais pratique pour déplacer les cubes/légions... on les place dessus ! Des figurines, ce seraient mieux quand même. Le temps de jeu annoncé est de 90 minutes mais c'est parfois plus court quand un joueur surprend des adversaires pas assez attentifs. C'est avec DEDT que je me suis intéressé à la configuration trois joueurs, une configuration qui a quelque chose de spéciale pour ce type de jeu. On en verra un autre une prochaine fois, mais en attendant, si vous avez l'occasion d'essayer ce Das Ende des Triumvirats devenu rare aujourd'hui, n'hésitez pas... :-)

      Le Zeptien

      05/09/2020

      7
    • boîte du jeu : Das Ende des TriumviratsDas Ende des Triumvirats : De la politique pour trois, tendue et passionnante
      César, Pompée et Crassus sont dans un bateau... La république vacille et trois hommes se sont mis d'accord pour se partager tous les pouvoirs. Mais chacun se dit qu'il serait volontiers chef tout seul. C'est cette lutte que retranscrit ce jeu allemand pas très connu mais très agréable. Il s'agit donc d'un de crapulerie et d'équilibre tendu pour trois joueurs. Oui, et à trois joueurs, on se tire forcément dans les pates tout le temps. Faut aimer donc, et éviter de le pratiquer avec des mauvais joueurs, mais c'est un format que j'aime particulièrement. On est forcément amis et ennemis en même temps. Les mécanismes sont surprennament simples et rapides à assimiler et permettent de jouer sur tous les fronts : financiers, militaires, politiques et personnels. Car on peut gagner grâce à une domination dans n'importe lequel de ces domaines. Du coup, faut surveiller ce que font les deux autres et éviter de les laisser faire leur sauce tranquille dans un coin. Ca semble de plus riche de possibilités stratégiques différentes et ça me donne envie de retester vite d manière plus approfondie. Un jeu, si ce n'est pour gros joueurs, au moins pour joueurs appréciant l'embrouille et la tension, mais étonnamment rapide et facile à prendre en main. Je conseille très fortement de tester.

      tt-5c04acdd8426d2f...

      02/03/2011

      10
    • boîte du jeu : Das Ende des TriumviratsDas Ende des Triumvirats : Mériterait un meilleur matériel...
      La fin du triumvirat m'avait été conseillé il y a quelques années de cela par un ami, qui le décrivait comme étant bien calibré pour jouer à trois. J'avais donc acquis la bête, tout désireux que j'étais d'avoir quelque chose de bien à proposer dans cette configuration, les jeux qui donnent bien à trois joueurs n'étant pas légions. Ce n'est cependant que le week-end dernier que j'ai eu l'occasion d'y jouer, et le résultat de la partie me laisse un sentiment mitigé. Les trois conditions de victoire sont très différentes: entre la compétence, la guerre et les élections, le choix est difficile, mais néanmoins très orienté par les positions de départ de chaque personnage: César semble taillé pour la Guerre, Crassus pour la politique, et Pompée pour la compétence. J'imagine que l'on peut toujours prendre le contrepied de son rôle, mais pour ma première partie, j'ai choisi d'optimiser au maximum les talents de Crassus, me contentant d'envahir l'Egypte pour bénéficier de ses revenus. Ma stratégie s'avéra payante: pendant que César et Pompée se lançaient dans une ronde pour la conquête de territoires, je thésaurisais, augmentais mes compétences politiques, et achetais des citoyens au Sénat... Au final, je n'ai même pas eu besoin d'attendre les deuxièmes élections: mon avance dans les compétences politiques rendait le coût des sénateurs exhorbitant pour mes adversaires. Il m'a suffit d'accumuler 6 partisants au Sénat pour empocher la victoire, un tour avant la deuxième élection. Au final, je ne saurais dire si cette victoire un peu trop facile est due à un déséquilibre dans le jeu, ou à l'absence de réaction de mes deux opposants suite à mon élection en tant que Consul. Dans tout les cas, il me semble clair que la multiplicité des stratégies possibles devrait me permettre de ressortir ce jeu assez régulièrement, sans risque de lassitude... Mon seul regret: le côté austère du matériel de jeu: les légions sont représentées par des cubes, les gouverneurs par des cylindres, et les Triumvirs par des gros carrés en bois. Même si c'est très lisible, ce n'est pas de nature à favoriser l'immersion dans le thème. A quand des Meeples légionnaires?

      Sherinford

      30/08/2010

      8
    • boîte du jeu : Das Ende des TriumviratsDas Ende des Triumvirats : L'ennui...
      Thème plaqué, sans aucun rapport, C'est une course à amasser ce qu'il faut pour gagner. On tape sur le plus fort pour le ralentir. Je n'ai pas aimé du tout.

      Iulius

      05/03/2010

      2
    • boîte du jeu : Das Ende des TriumviratsDas Ende des Triumvirats : un bon jeu à 3
      règles un peu étonnates au départ, mais un vrai bon jeu à 3

      tt-5a59962ad51b372...

      18/02/2010

      8
    • boîte du jeu : Das Ende des TriumviratsDas Ende des Triumvirats : Urbi et orbi
      Une première partie avec un sentiment mitigé qui demande confirmation. Un jeu pour trois, c'est toujours délicat, surtout quand c'est un jeu d'affrontement : en effet comment ne pas penser que si on commence les hostilités on va forcement avantager celui qui reste en dehors du conflit. Ce jeu propose de chercher la victoire par trois moyens différents (politique, conquête et infmuence) mais au final, on a relativement besoin d'une maitrise militaire pour y arriver, au moins pour tenir ses positions indispensables au bon dévelopement de chaque joueur. En fait, il faut compter sur vos adversaires pour ne pas répondre à l'agresseur mais pour créer une chaîne et tapper sur le 3e larron. C'est un peu alambiqué mais ça pourrait marcher. Donc comme dit au départ, à confirmer parce que là je suis perpexle.

      tt-46787320d257dd5...

      08/02/2010

      6
    • boîte du jeu : Das Ende des TriumviratsDas Ende des Triumvirats : Abstrait
      Un jeu pour trois qui tourne aussi pas trop mal à deux. Le matériel est assez agréable même si les gouverneurs et le triumvir auraient mérité d'être plus petit pour faciliter la visibilité. Les règles sont simples du fait du peu d'actions différentes. Mais, il est vrai que les premiers tours on a du mal à savoir vers quelle voie s'orienter. Le jeu s'équilibre de lui même et de fait tout le monde est toujours dans la course pour gagner. Le hasard dans la pioche des "armes" pour déterminer les premières pertes d'une bataille est bienvenu dans ce jeu qui est finalement très abstrait. J'aime bien mais il lui manque une âme pour que j'en devienne fan.

      allard92

      21/10/2009

      6
    • boîte du jeu : Das Ende des TriumviratsDas Ende des Triumvirats : Sympa
      C'est pas le jeu ultime mais c'est pas trop long et le fait d'avoir un bon jeu à 3 est assez rare pour pouvoir y préter attention. Malheureusement, comme beaucoup de jeu de conquête on est à la frontière entre conquête et majo. On penche peut être même un peu plus vers de la majo que de la conquête. Sinon c'est quand même un bon jeu.

      benben

      05/05/2009

      6
    • boîte du jeu : Das Ende des TriumviratsDas Ende des Triumvirats : Concept original !
      Excellent jeu pour trois ! Suffisamment rare pour en faire sa force première. Un jeu tactique à souhait, aux conditions de victoires suffisamment variées pour que chaque partie soit différente. Certes, il faut oublier la diplomatie qui tourne généralement rapidement court, mais de bons moments, toujours !

      Artibus

      12/05/2008

      10
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    publications

    autres sujets

    [Das Ende des Triumvirats] Les fonctionnaires ![Das Ende des Triumvirats] Les fonctionnaires !
    Merci mille fois, j'avais loupé ce point en lisant la règle. Encore merci

    Mano

    10/12/2009

    [Das Ende des Triumvirats] Vol d'argent et gouverneurs[Das Ende des Triumvirats] Vol d'argent et gouverneurs
    Merci !

    grolapinos

    21/07/2007

    [Das Ende des Triumvirats] Blokus sur l'or ?[Das Ende des Triumvirats] Blokus sur l'or ?
    Ca me semble loin d'être ultime comme stratégie. Le nerf du jeu est l'équilibrage entre les trois joueurs. Si l'équilibrage se fait sans prendre en compte l'or restant, ie, en ne tapant pas sur le joueur qui fait pas grand chose et qui garde l'or, vous le favorisez. Au passage, le cout des actions allant crescendo, je vois pas l'intérêt de tout garder pour tout dépenser d'un coup. Je suis très sceptique quand à cet aspect là

    tt-f4c0b35c0b24bf8...

    07/05/2007

    [Das ende des triumvirat] Edition anglaise ?[Das ende des triumvirat] Edition anglaise ?
    ya tout ce qu'il faut sur bgg pour angliciser le jeu, et c'est plutôt bien fait. ça me rappelle que j'ai vu "the end of the triumvirate" en boutique parisienne, au double du prix outre-rhin...

    Toftof

    06/10/2006

    [Das Ende des Triumvirats] Attaque maritime[Das Ende des Triumvirats] Attaque maritime
    djoul dit: Tu le ramènes dans la province d'origine, et ça ne coute rien (comme si l'attaque venait de terre d'ailleurs). Oki, Merci (c'est plus clair là).

    Blue

    12/12/2005

    [Das Ende Triumvirat] Phase de mouvement et de bataille[Das Ende Triumvirat] Phase de mouvement et de bataille
    merci loic pour tes ces eclairssissements

    Davy

    28/11/2005

    [Das Ende des Triumvirat] Déplacements, élection, défaites[Das Ende des Triumvirat] Déplacements, élection, défaites
    Frédérick dit: Doul dit: Une précision, pour les égalités de consul, la règle aussi bien allemande qu'anglaise est trés étrange sur ce point (me rappele plus les intitulé, mais juste que c'était étrange ). Il semble (et cela peut paraitre logique) que ce soit effectivement celui qui soit précédement majoritaire. Heu... non, c'est pas l'ancien consul, mais plutôt celui qui a joué son tour de jeu le moins récemment. Même à l'écrire c'est pas facile C'est exactement ça. Même en français, c'est dur à dire. Alors le comprendre dans une langue étrangère. Mais je suis allé me faire expliqué ça sur le stand Lookout, et c'est bien ça.

    loïc

    16/11/2005

    [
[Ende des Triumvirats]du texte sur les cartes?[ [Ende des Triumvirats]du texte sur les cartes?
    djoul dit: :lol: bon ben entre ma réponse de loïc et la mienne, t'es vachement aidé ! Effectivement, y a beaucoup de texte sur ces cartes, mais en fait on s'en fout : ils ont reécrit la régle dessus, ça pourrait tout à fait être juste une jouli symbole. Perso ça m'a pas du tout gêné, d'autant plus qu'elles sont visibles par tout le monde et jamais cachés. On est d'accord !

    loïc

    05/11/2005