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Tous les avis sur Die Sternenfahrer von Catan

23 Résultats

Perdus dans l'espace
Les + : Règles simples Matériel en quantité et très original Jeu devenu classique et donc, beaucoup de joueurs connaissent (ce n’est plus la peine d’expliquer les règles) Thème assez bien rendu Les - : Un peu les mêmes défaut que je jeu de base : - Part de chance trop importante (avec en plus du hasard dans les cartes ‘Rencontre’) - Etre doublement pénalisé avec un 7 (se faire voler une carte et avoir sa production bloquée) Mais aussi : - Texte en allemand sur les cartes ‘Rencontre’ (c’est assez laborieux de devoir chercher la traduction de la carte piochée) - Répétitif et donc lassant - Durée des parties - Fusées très fragiles Donc : Quand on ne peut rien faire contre le manque de chance, on s’ennuie en attendant des jours meilleurs (ou que quelqu’un gagne la partie). Et lorsque la partie dure 3 heures ...

PtitJu

10/01/2012

5
Objectif Teuber
Ce jeu est: -une déclinaison originale de Catane -très beau -bien rendu dans son thème Ce jeu n'est pas: -dénué de hasard (plus présent encore que dans l'original) -familial -solide (les fusées se cassent dès la première partie et c'est très dommage!)

yahndrev

08/05/2010

6
Vers l'infini... et au-delà !
Le meilleur de la série Catane. On a vraiment l'impression d'aller coloniser l'espace. J'en reste à chaque fois inter-sidéré. Le matériel est unique (quoiqu'un peu fragile pour les pas soigneux !). On en a plein les yeux. J'adore.

tt-634437adf672b83...

24/12/2009

10
Une bien agréable alchimie spatiale
**Type de jeu :** Un de ces jeux allemands atypiques **Nombre de parties jouées :** 4 **Avis compendieux :** Certes, ce jeu comporte du hasard, peut-être plus que les colons, avec les cartes rencontre notamment, mais il ne faut pas oublier que c’est un jeu de la série des Colons, avec tout ce que cela comporte. Certes le matériel est clinquant (voire cliquetitant) et ne comporte que peu d’élément en bois (les marqueurs de points), mais pourquoi pas un peu de clinquant de temps en temps ? On a affaire là à un jeu divertissant, vraiment, où de nombreux choix pas forcément évidents sont à faire, où il faut consolider les amitiés contractées avec les peuples aborigènes sous peine de les voir passer à d’autres, coloniser de nouvelles planètes, être le premier à être apte à coloniser les planètes de glace et les repères de pirates, tenter de construire des ports plus avant dans l’espace, tout en customisant le plus possible sa bécane de l’espace. Ca fait pas mal de choses à faire, sachant que les ressources peuvent être rares. Et du coup, on obtient un jeu qui peut être long, surtout à 4 : la variante qui consiste à piocher deux cartes ressource quand on a moins de 7 points est un palliatif aisé à mettre en œuvre et efficace. On peut facilement arriver à 12 points par exemple et y rester bloqué sans arriver à décrocher les 3 points supplémentaires. Mais c’est qu’on aura mal anticipé le déroulement du jeu (je sais, c’est ce que j’ai fait à ma quatrième partie, j’ai caracolé en tête et suis resté comme un emplâtre bloqué à 12 points). **Clarté des règles (5) :** La traduction des règles données sur le site du club de Moissy-Cramayel est tout à fait satisfaisante, quoique émaillée de quelques fautes, tout comme la traduction des cartes. C’est regrettable, car je comptai sur ce jeu pour jouer avec mes petites nièces et quand même, ça ne se fait pas de faire lire à des enfants un texte comportant des fautes. Ceci étant dit, un niveau moyen en Allemand lié à un apprentissage ancien et laborieux de cette langue permet grosso modo de se tirer honorablement de la lecture des cartes de rencontre, et de renouer agréablement avec cette langue, pour peu qu’on assimile le vocabulaire du genre de « tuyère », « vaisseau », « retourné de fusée »… qu’on avait bien omis de nous enseigner au lycée, en tout cas en ce qui me concerne. **Qualité du matériel (5) :** J’aime beaucoup les fusées qui font pouêt-pouêt. Oh, je sais, on me dira, « D’abord, c’est même pas vrai, elles font pas pouêt-pouêt, elles font dreling-dreling-gring-gring ». Certes. Mais à y regarder de plus près, en considérant les nombreux attributs qu’on y peut attacher de ci de là, un container, une tuyère, un canon, un point de prestige, je ne vois pas comment on peut nier l’évidence du fait que ces fusées font pouêt-pouêt, tant le caractère superfétatoire des susdits attributs saute aux yeux comme une évidence patente. En outre, et c’est ce qui me ravit le plus, sans doute parce que cela fait émerger mon côté enfantin qui n’en demande pas tant pour ramener sa fraise, à chaque fois que je les agite pour voir de combien elles se déplacent ou pour faire un test de combat ou de vitesse, je ne peux m’empêcher de penser au moyen mnémotechnique qu’un certain professeur de biologie nous inculquait pour nous faire souvenir de la signification de cytoprocte ; comprenne qui pourra (allez, si tant pis, je vous donne ce moyen mnémotechnique, tant pis pour le qu’en dira-t-on : « cytoprocte-crotte-crotte » ; ça vole pas haut, les cours de biologie, hein ?). Laissons-là ces charmantes fusées qui à bien y réfléchir ne ressemblent à rien d’autre qu’à des fusées (si monsieur) et considérons le reste du matériel. Le plateau ne se déplie pas très bien, mais cela arrive souvent. Le seul reproche majeur que je ferai au plateau est d’ordre pratique : il aurait été plus pratique de faire figurer sur les planètes les icônes représentant les denrées produites, la couleur des planètes étant moins pratique pour faire le lien. Les petites figurines représentant les colonies, les ports, les stations commerciales, sont très jolies, d’un emploi très pratique et ne sont pas pour rien dans la présence du thème. Les cartes des denrées sont dans la lignées de celles des Colons, et on peut être rassuré d’apprendre que dans quelques milliers d’années, les hommes et les femmes se lançant à corps perdus (façon de parler espère-t-on pour eux) dans l’espace consommeront toujours du blé. La lecture des jetons comportant les numéros n’est me semble-t-il pas aussi pratique que dans les Colons de base. Je ne saurai dire pourquoi (peut-être justement à cause du fait que la ressource produite ne figure pas par son symbole sur la planète). Et les cartes représentant nos amis les aborigènes du cosmos sont fort sympathiques, tout comme les cartes de rencontre. Ah, dernier détail, les aides de jeu ne sont pas très faciles à détacher et relativement fines, assez bizarrement pour un jeu Cosmos. Bref, le jeu est un peu cher, mais à quelques détails prêts, on en a pour ses sous. **Reflet du thème (5) :** Osons le 5 pour le reflet du thème dans un jeu allemand. Alors, oui, certes, il n’y a pas de combats spatiaux entre les vaisseaux des joueurs, mais que diable, on peut quand même espérer qu’une humanité assez évoluée pour se promener dans l’espace saura enterrer la hache de guerre, non ? Comment ça, je rêve ? Mais il y a quand même les rencontres de pirates qui nécessitent un important investissement en canons, les rencontres fortuites de commerçants, celle du peuple errant, les vaisseaux en perdition à sauver (c’est fou la densité de population dans le cosmos, quand même, je n’aurai jamais cru ; il y a même des feux rouges qui vous bloquent parfois pour un tour (voire deux si on n’a pas de bol) et on peut même se faire attraper par la maréchaussée volante), sans oublier les sauts dans l’espace. Tout en maintenant un système léger et un jeu fluide, la transposition du système des colons de Catane au thème de la conquête spatiale est donc bien réussie, avec la possibilité d’explorer les planètes, la présence de planètes hostiles, l’introduction du côté « livre dont vous êtes le héros », la présence de peuples aborigènes du cosmos, certes tous moins hostiles les uns que les autres, mais il ne faut pas oublier que les Colons, c’est le jeu pour les bisounours (quoique). **Avis comportant ratiocinations et autres superfétations :** Les dés à huit faces de Die Händler von Genua, le fait de « tuer des gens » dans Im Schatten des Kaisers, le côté guerrier assez marqué d’Imperial sont les petits plus qui démarquent ces jeux allemands de la production classique de cette école ludique. Die Sternenfahrer von Catan rejoint ces jeux à petit plus par son matériel riche, essentiellement en plastique, ce qui n’est pas courant dans les jeux allemands, convenons-en (quoique Klaus Teubver semble bien aimer le plastique, on en trouve pas mal dans Richard Cœur de Lion et récemment dans La Conquête de Rome). On n’aime ou l’on n’aime pas le côté kitsch des fusées, largement superfétatoire, mais on ne peut s’empêcher de penser que l’auteur s’est vraiment amusé en élaborant son jeu, voire même, comme diraient la frange la plus jneune de notre population, qu’« il s’est lâché » (ce qui ne signifie pas qu’il a émis des émanations gazeuses malodorantes, non). Bref, en voyant le plateau de Die Sternenfahrer von Catan, les vaisseaux colonies s’y balader, explorer les espaces lointains du cosmos à la recherche des nouvelles planètes à investir et en évitant les pirates qui rôdent çà et là, les vaisseaux de commerce tenter d’établir des liens d’amitié avec des peuples aborigènes, on ne peut s’empêcher de penser (amèrement en ce qui me concerne tant j’ai de mal à y jouer) à Twilight Imperium. De là à dire que Die Sternenfahrer von Catan (on va dire à l’avenir DSvC, hein) sont un ersatz de Twilight Imperium, une version allégée, il y a un pas immense que je ne franchirai naturellement pas. DSvC reste profondément un jeu de la lignée des Colons, dont le thème est l’espace, la science-fiction, traitée de façon assez classique, mais aussi de façon agréablement immersive, comme le décrit fort bien M. Faidutti dans la chronique qu’il a consacrée à ce jeu sur son site. Bref, si vous recherchez un jeu assez léger dont le thème soit la science-fiction, pensez à DSvC. Ceci étant dit, force est de constater que ce jeu a été assez mal accueilli. Ayant été séduit par icelui dès le premier coup d’œil et dès la première partie, je m’en vais tenter d’analyser les causes de ce dédain dont il a été l’objet (bon, vous me direz, en tenant ce genre de discours, j’ai l’air de vouloir péter plus haut que mon cul ; mais non, je ne pète jamais qu’à environ 92 cm, et un peu moins haut lorsque je suis assis (sauf si je suis assis sur un tabouret haut, m’enfin bon, ne chipotons pas). Très schématiquement, on peut regrouper les critiques qui lui ont été faites en deux grandes catégories : « C’est un jeu avec trop de hasard » ; « Ce n’est pas un bon jeu de la lignée de Catan, et puis pourquoi pas Catan va à la mer, ou encore Catan et les Schtroumpfs noirs ». Pour la première. Du hasard, il y en a, certes. Qu’il y en ait trop, cela dépend des sensibilités. Ces poncifs étant assénés, tentons de dire quelque chose d’intéressant, ce qui ne risque pas d’aller sans peine. Au hasard classique des Colons (et gnagnagna, le 5 n’est jamais sorti), va se rajouter celui des rencontres, qui sont là essentiellement pour le lustre, pour le thème, pour la chantilly diraient certains, mais qui influencent indéniablement la partie : si vous donnez peu de ressources à un marchand, selon que vous tombiez sur un grincheux ou un débonnaire, vous allez vous retrouver avec un prestige en moins et un vaisseau saboté ou couvert de cadeaux donnés par pitié ; si vous vous montrez généreux, vous pourrez vous retrouver avec un vaisseau, ou une simple marchandise. Et il en va de même de tous les types de rencontre (peuple errant, pirates). Mais il y a des constantes : par exemple, sur quatre parties, je me suis toujours retrouvé sans point de prestige, c’est quand même un signe, ça, non ? Cela signifie à l’évidence que je ne suis qu’un odieux colon qui se moque pas mal de sa renommée. Enfin, à propos de la contrôlabilité du hasard, des parties très équilibrés avec des marqueurs de points alignés comme des légionnaires romains bombant le torse sur la case 13 montre bien que le hasard est gérable et que les joueurs, en utilisant des tactiques diverses, peuvent tous tirer leur épingle du jeu. A propos de « Martine et Oui-Oui au pays de Catan » maintenant. Je ne suis pas un grand familier du système Catan et ce n’est pas ce jeu qui m’a conduit au jeu de société, je n’ai donc pas une sensibilité particulière à son égard, ni un attachement particulier. Ma première partie de Catan classique, avec l’extension ville et chevaliers remonte à peu – c’est dire mon inculture en la matière – et j’y ai trouvé un jeu agréable et léger, rien de plus. DSvC est également un jeu agréable et léger, mais un poil plus lourd quand même, ce qui fait qu’à quatre notamment les parties peuvent durer au-delà du raisonnable pour des jeux de ce genre et donc détourner les adeptes du Catan conventionnel qui recherche dans ce jeu des parties rapides. On ne saurait donc trop que conseiller, de ce point de vue, de se limiter à trois joueurs (bien que le syndrome du deux contre un risque de se manifester, étant donné que l’univers comporte grosso modo deux côtés). Sinon, les fondamentaux de Catan sont conservés, avec la production des ressources, le 7 fatidique (bien que j’ai vu peu de personnes devoir se séparer de cartes, tant le flux est tendu), la possibilité d’améliorer ses échanges avec la banque, les pirates (qui ici ne bloquent pas la production d’une ressource mais se rencontrent dans les cartes), les bonus de deux points qui ne sont pas forcément acquis définitivement (ceci soit dit en passant, il est autrement plus intéressant de tenter de conquérir l’amitié d’un peuple que de piocher des cartes noires en espérant avoir la majorité de chevaliers). On retrouve bien ses petits, et la différence provient essentiellement d’ajouts qui servent le thème, ajouts qui, selon moi, sont bien vus et s’adaptent très bien au jeu. Alors pourquoi pas « Catan et le club des cinq » me direz-vous. Et bien, je pense que c’est une excellente idée et qu’il faudrait de ce pas la suggérer à l’auteur.

Meeeuuhhh

01/06/2007

8
Trou noir de 3 heures
Le hasard relatif aux mondes de Catane se résume ici aux cartes-évènements (même si le saut dans l’espace réussi en début de partie peut avantager l’un des joueurs). La liberté de mouvement plus grande permet de maîtriser les planètes de ressources sur lesquelles on souhaite atterrir (sauf à être pris de vitesse) après avoir pris connaissance de leur dé de ressources. Assurément un grand jeu de développement peu complexe (une fois passé l’obstacle de la langue), fluide, magnifiquement édité et exceptionnellement immersif. Dommage qu’il soit si long ! *Si j’étais fan des colons, je lui mettrais 5 sans hésitation.*

nemo

15/05/2007

6
DSVC, alias "Dés, Silence, et Vile Commerce"
(au moins je suis sûr que ce titre ne sera pas déjà pris par quelqu'un d'autre) Die Sternenfahrer von Catan doit être l'un des premiers jeux que j'ai acheté. Moi et mes amis joueurs ne connaissions pas encore grand chose, et nous sommes arrivés en plein dans l'irrésistible ascension des jeux de plateau dans la hiérarchie ludique. Bien sûr, les Colons de l'Espace n'existait pas en français, et comme je bossais à l'époque dans une reprographie, j'ai scanné/retouché/imprimé/plastifié tout le jeu dans notre langue ;) Ca m'a pris un temps fou, pour rien finalement car on s'en lasse vite. Passé la stupéfaction devant le matériel très original, et le design pas trop mal... Le jeu est comme tous les Catanes : trop long, trop hasardeux, et pas très fun. Qui plus est, le matos est particulièrement fragile, et vos zoulies fusées ne feront pas long feu. Au final, une note de 1/5 contre 2/5 pour le Catane de base, car il n'a même pas le mérite d'être bon pour initier les "non-habitués" aux jeux de plateau.

Maruk

02/05/2007

2
très beau et très bien
Très bon jeu unrien plus complexe que catane mais avec un très bon thème

tt-a0de465f2738afe...

22/12/2006

10
Ca change un peu
(après 3 parties) Les colons, toujours les colons : dans l'espace, ça change un peu, mais pas tant que ça. Le matériel est assez beau, et les fusée à mourir de rire. Pas indispensable, mais si vous avez l'occasion d'y jouer.

tt-ee1715f7a9f4297...

09/11/2006

6
Pourquoi vouloir a tout prix tirer sur la corde ?
Ce jeu uniquement pour initier les enfants a autre chose que la bonne paye. Le materiel est sympa a agiter mais c'est tout. Comme il reprend les grands principes des colons de base, autant jouer avec du beau materiel en bois, et pas avec des fusees qui petent des la 2e agitation. J'ai fait une partie, pour connaitre un peu les autres univers des colons de Catane. Mal m'a pris. Que Dieu me preserve d'en refaire une autre. Je mets 2, par gentillesse pour Teuber et ses bons et loyaux services rendus a la nation ludique. Mais le 1 le guette...

Torg

29/04/2006

4
Et ensuite? Die Schlumpfe von Catan ?
Cela aurait pu être une variantes comme une autre de "Siedler von Catan", mais là on rise le n'importe quoi avec le dé en forme de fusée. Notons que les fusée de chaque joueurs sont trop fragiles et ont tendance à se casser facilement. C'est fort dommage pour un jeu qui semble s'adresser pour les plus jeunes. Qu'on ne vient pas me dire que le dé qui fait 10 cm de haut et un bruit de maracasses est destiné aux plus de 30 ans!

tt-12423f1170c251b...

27/04/2006

4
Les Colons de Catane en mieux !
Une variante des colons de Catane, avec le thème spatial et surtout avec le principal défaut de Colons de Catane en moins : un hasard trop déterminant. Dans ce jeu, qui reprend les grands de son illustre ainé, certains petits mécanismes supplémentaires ont été introduits (en plus des changements adoptés pour coller au thème) de manière à limiter l'impact du hasard notamment sur les débits de parties. Mais le jeu comporte tout de même une dose de hasard non négligeable, sans être trop pesante. Bref, une excellente variation sur les Colons de Catane !

tt-da03a8f3bbdca90...

26/04/2006

10
Les colons se déplacent - ils volent
Moins légendaire que les colons de catane, cette version spatiale est une réussite. Le déplacements des fusées ajoute du mouvement au principe très "statique" des colons. En revanche il y aura beaucoup moins d'échange, on joue plus sur ses propres ressources que sur l'échange.

tt-5092d7bd3ae0816...

17/02/2006

8
Trop long pour ce que c'est
Le matériel est super (mais ultra fragile : les emplacements des propulseurs sur les fusées se cassent plus vite que la vitesse de la lumière.). Le plateau de jeu est très sympa et les règles sont très bien pensées. Mais c'est horriblement long pour un jeu où finalement les choix à faire sont plutot simples. Qu'un jeu soit long, soit, parce que l'on doit réflechir et qu'on prend plaisir à élaborer des stratégies. Mais qu'il soit long parce qu'on doit jouer à l'épicier et faire passer plein de cartes, c'est un peu dommage. Le hasard a, par ailleurs, une part très importante, les renversements de situation ou les phases de stagnation sont très nombreux. Malgré cela, j'ai envie d'y rejouer car le jeu est vraiment plaisant quand ça décolle un peu. Et on se surprend à rejouer la partie en se disant qu'on aurait du faire autrement... Un grand bravo à DocTV qui nous avait imprimé toutes les cartes en français et les avait montées sur du carton.

drfox

11/06/2005

4
Bonne déclinaison de Catane
Ca ressemble à du Catane, mais ç'est quand même original, avec les vaisseaux spatiaux à équiper et faisant office de dés... Un gros inconvénient si on ne comprend pas l'allemand, le côté laborieux de recherche de la signification des cartes dans une traduction et le risque d'erreurs à cause de grandes ressemblances entre certaines cartes...

tt-8e451d6fe2cbaae...

18/02/2005

8
Les colons dans l'espâââce...
Une planète ne suffisait pas, voici les colons dans l'espace, là où personne ne les entendra... euh... marchander... Vous voici donc, armé de votre vaisseau-mère, parti à la conquête des planètes les plus productives, et à la rencontre d'extra-terrestres avec qui commercer. A l'ouverture de la boîte, on découvre un matériel riche. D'accord, un ou deux dés spéciaux auraient aussi pu faire l'affaire, mais ces fusées ont un côté jouet très sympathique. Malheureusement, elles sont beaucoup trop fragiles: essayer d'accrocher une tuyère aux endroits pourtant prévus à cet effet suffit souvent à briser un des ergots censés la maintenir en place. Le jeu en lui-même est simple et varié, grâce aux tables de rencontre aléatoire que sont les cartes des événements pouvant survenir une fois sur deux lors du voyage spatial d'un joueur. Ces dernières sont sous la forme de questions à choix multiple ("Vous rencontrez un pirate. Essayez-vous de fuir ?") dont la réponse peut entraîner des résultats différents suivant les cartes. Plusieurs cartes commencent en effet de la même façon, empêchant ainsi les joueurs de pouvoir les apprendre par coeur pour garantir la meilleure réponse. Tout ceci introduit une très grande part de hasard dans le jeu. On aimera ou on n'aimera pas. Le principe dans le cadre des rencontres de devoir se mesurer au vaisseau-mère d'un des autres joueurs permet de mettre en place une sort de politique de mise à niveau: on peut choisir de ne pas développer ses canons, mais attention si on doit affronter un pirate alors que les autres joueurs ont blindé leurs vaisseaux... Malheureusement, ce concept est le seul avec la lutte pour se placer près des meilleures planètes qui soit propre à générer des interactions entre les joueurs. Pour le reste, il n'est pas possible de freiner quelqu'un qui s'approcherait un peu trop vite de la victoire. Tout au plus s'il a des points grâce à des contacts extra-terrestres pourra-t-on essayer de les lui voler, ce qui reste relativement difficile à faire si le joueur a décidé de préserver ce contact. En conclusion, un bon jeu dépaysant pour les amateurs de jeu pas trop réflexion qui aiment s'amuser avec du matériel.

Dncan

15/02/2005

8
Quand les joueurs regardent le jeu plutôt que d'y jouer !!
Bon, nous ne reviendrons pas sur le matériel qui est vraiment édifiant, soit. Par contre le jeu mérite qu'on s'attarde un peu sur ses règles car je ne pensais réellement pas qu'il était possible de faire plus hasardeux que le jeu de base alors que Sternenfahrer semble démontrer le contraire ! Les jets de dés ou de petites billes dans les vaisseaux se suivent et se ressemblent pour que quatre joueurs totalement à la merci des règles passent trois longues heures de jeu interminables. Je ne parle même pas des cartes événements qui viennent donner des avantages décisifs à des joueurs qui ont eu la chance de voir une petites billes noires tomber dans leur fusée ! Pour moi, c'est trop et je ne pense pas rejouer à Sternenfahrer de sitôt. J'espére réellement que la version à deux de ce jeu est aussi différente que le jeu de cartes des colons avec le jeu de base. Oystercult

tt-2f4ebf190716678...

12/11/2003

2
Colons de l’inutile
Voila un jeu avec un matos impressionnant ; et avec une telle boite, vous en avez pour votre argent, c’est indéniable ! Pour le reste, on dira que le jeu est sagement délirant, atteignant son but primitif de distraire avec une grande quantité de pions qui s’imbriquent ou s’accolent les uns aux autres, mais pour ceux qui préfère de beaux mécanismes complexes pour chauffer leurs neurones groggy, ce jeu ne pourra être qu’une terrible déception. Donc stratèges et fans de combinaisons subtiles s’abstenir! Si vous cherchez le fun en tuant quelques heures avec un jeu inclassable, ce jeu là est fait pour vous.

Oxianne

19/03/2003

6
Ou sont les aliens ? Avec leurs navettes plein de armes !
C’est un jeu qui avait tout pour me plaire : un matos de folie (les fusées sont adorables et amusantes), une filiation très à mon goût (j’aime beaucoup les Colons de Katäne) et un thème que j’affectionne particulièrement et qui se fait rare actuellement. Et puis après deux parties c’est un peu la soupe à la grimace… ! Essentiellement en raison de la durée du jeu. 3 heures je trouve ça vraiment trop long pour un tel jeu. L’ennui guète dès l’heure trente de jeu et les derniers coups sont à la limite du soporifique. L’autre aspect du jeu qui m’a un peu énerver est la façon dont Teuber a traité le thème. La galaxie est un havre de paix ou les pirates quand ils sont de bonne humeur laisse partir leurs proies et ou les E.T sont exclusivement de paisibles marchands. C’est frustrant, moi j’aurais voulu des pirates sanguinaires avec lesquels on aurait pu s’affronter dans de terribles batailles spatio-galactiques, des aliens agressifs et résolus à faire cesser l’hégémonie commerciale de l’empire terrien….des chose comme ça quoi…mais bon je m’emballe un peu là… ! Dans le cadre de Sternenfharer le thème à l’allemande ou « tout le monde il est pote et tout le monde il est gentil » me laisse un peu sur ma faim. C’est dommage parce que sinon c’est une bonne retranscription des Colons de Katäne avec son lot de nouveautés et de bonnes choses. PS : quelques temps après avoir joué au Colons de l’Espace, j’ai joué au Cochons de l’Espace de Tilsit qui à failli définitivement me fâcher avec le thème de la Science Fiction et à côté duquel Sternefharer peut faire office de chef d’œuvre… !

Guyomar

17/03/2003

6
Mouif
Franchement pour tous les amateurs de Colons de Cathane qui seraient tentés par cet opus "dans l'espace" passez votre chemin... Fun à la première partie, le jeu devient vite répétitif et des petits bugs de règles viennent gacher le tout (merci le saut spacial dès le début...). Bref jouez y si vous avez l'occasion, c'est divertissant mais n'allez pas mettre 450F pour un jeu qui n'en vaut pas la peine !

tt-23fba78c9e5ab8c...

15/05/2002

6