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Boîte du jeu : Fiasco

Fiasco

calendar_month2012
settingsJason Morningstar
brushJohn Harper, Jason Morningstar
home_workEdge Entertainment, Bully Pulpit
local_shippingMillennium
Nombre de joueurs :3 - 5
Age :12 ans et +
Durée de partie :120 min
Langues :Français
EAN9788496802940
Fiche mise à jour le02/03/2022 08:10:07
    8,3
    Un jeu narratif dans l'univers des frères Cohen. "Fiasco" est un jeu de rôle de ce qu'on peut appeler la lignée narrative. Ici pas de meneur de jeu mais des scénarios qui vont être créés et joués quasiment dans le même temps par tous les joueurs. Et soyez tout de suite rassuré, il y a quand même des dés ! "Fiasco" se déroule dans un univers assez libre que ce soit dans le temps ou géographiquement. Choisir le cadre du scénario sera d'ailleurs un des principes du jeu. C'est plutôt du côté de l'ambiance et de la trame scénaristique que les références vont venir imprégner les parties avec comme totem quasi ultime les films des frères Cohen. Dans ce jeu, vous serez des losers. Des losers magnifiques ou des losers pitoyables, c'est vous qui le choisirez en partie. Le mieux qu'il puisse arriver au personnage que vous interprèterez est de parvenir à une situation moins catastrophique qu'au début de l'aventure. Cela pourra prendre le chemin d'une grande vengeance personnelle ou le simple fait de trouver un endroit pour dormir. Suivant la loi de Murphy, mieux vaut garder à l'esprit que la pire des situations peut toujours empirer. La structure d'une partie se divise en deux actes. Chacun de ces actes vous prendra en moyenne une heure de jeu. L'acte I permet de mettre en place et définir les personnages et leurs motivations. À la fin du premier acte (quand la moitié des dés des joueurs ont été utilisés) commence l'Embrouille. L'Embrouille c'est simple : la situation initiale s'empire. Dans l'acte II on avancera un peu plus, chacun essayera d'atteindre son but et tout ça conduira à la phase de dénouements où toutes et tous seront enfin fixés sur leurs destins. Pendant les scènes vous aurez toujours le choix entre Établir la scène ou la Résoudre mais pas possible d'être au four et au moulin en même temps.

    Images & vidéos

      Les avis

      • boîte du jeu : FiascoFiasco : Chef-d'oeuvre
        Et bien c'est d'une efficacité redoutable. Sans prépa, en moins de 3h de jeu un one shot parfait de vrai jeu de rôle avec des images qui restent dans la tête. Sauf que chacun.e est à la fois MJ et joueureuse. Collaboratif, symétrique, play to loose, top ! Je met la note max malgré des règles écrites avec tellement de précisions et d’ambiguïtés que tant qu'on a pas trouvé le bon résumé des règles en 1 seule page on a l'impression que ça pourrait être compliqué à mettre en place. En vrai pas du tout : ça va tout seul !

        Oscarnivore

        23/07/2023

        10
      • boîte du jeu : FiascoFiasco : Fiasco de facto
        Hiver 2013. Quelque part dans le trou d'balle des Pyrénées ariègeoises. Un couple de bons potes m'a invité pour passer le nouvel an au frais. J'y vais avec ma meuf. Je sais qu'un autre couple d'italiens sera de la partie. Je sais aussi que tout ce petit monde tâte timidement du jeu de société, de loin, genre Catan et Carcassonne; point. Alors dans ma p'tite tête ça bouillonne en circuit fermé: ça va être à la cool, le gros temps va tambouriner aux carreaux, il y aura une cheminée et de la bonne gnole, bingo! C'est l'occasion rêver pour débarquer avec des trucs un peu plus fun et/ou costauds, c'est la configuration idéale pour s'enfoncer dans de longues parties bien douillettes au coin du feu. Oui mais des parties de quoi? Il y a des contraintes incompressibles: j'arriverai de je ne sais où avec un p'tit sac-à-dos de 45 litres, pas plus. Je pourrai pas trimballer une grosse boîte là dedans. Et puis, et puis, on sera six (à ce stade la dimension italienne de l'équation est recluse dans je ne sais quel cachot de mon subconscient). Alors je repense à ce petit bouquin rouge que j'ai acheté deux ou trois semaines auparavant pour sa couverture à la vertigo et pour son titre: Fiasco. Un rapide survol de la quatrième avait fini de me hameçonner, le contenu m'avait carrément rendu fébrile. Pourquoi pas? Pourquoi pas carrément un jeu de rôle me dis-je, comme aveuglé par un enthousiasme irrationnel relevant du pur fantasme érotico-ludique ou quasi tel. À ce stade prématuré je n'avais encore joué aucune partie de la chose, mais son principe me paraissait suffisamment rapide simple souple et malin pour que je conçoive le projet saugrenu de me lancer dans l'aventure avec une tripotée de noobs inter-sidéraux qui, au mieux, considérait ce genre de passe-temps régressifs avec un mélange sournois de curiosité bienveillante et de gêne réflexe... Je misais tout sur le cadre, j'anticipais la gnole, je pariais sur une culture cinématographique nécessairement partagée, je comptais sur ma capacité à embarquer tout le monde dans les écheveaux d'une fiction élaborée dans la recherche collective du "beau jeu". J'étais jeune alors, j'avais beaucoup trop de cheveux. Durant les deux premiers jours je tâte le terrain, j'enquille sans broncher les sessions de Catan et de Carcassonne, je glisse quelques allusions, je pitch à qui mieux-mieux jusqu'à susciter suffisamment de curiosité... enfin cette courtoisie de principe que je prend alors pour de la curiosité. Puis, par un après-midi venteux comme le cul de mon grand-père, nous nous sommes installés autour d'une table garnie de quelques zakouskis et de 24 dés noirs et blancs. J'ai commencé l'explication du principe général, des tenants, des aboutissants... le silence s'est abattu sur mon auditoire, alors que ma conférence s'embourbait dans un soliloque entrecoupé de "...et après heuu... attendez faut que je vérifie un truc dans les règles..." et autres "... bon ça c'est pas grave on verra au cours de la partie..." Une boule pesante grossit dans mon estomac, qui se contracte lentement. J'aurai pu tout arrêter là. J'aurai du tout arrêter là. Mais je poursuis, et déclare qu'on peut se lancer, qu'on verra bien, que de toute façon c'est hyper-intuitif et qu'il faut se laisser aller. Les italiens acquiescent en souriant, mais j'ai la curieuse impression qu'ils s'adressent à un point flou situé quelque part derrière mon épaule gauche. Quelqu'un lance les 24 dés. Trop fort. Un bon tiers d'entres eux tombe sur le plancher en rebondissant tous azimuts. Un certain nombre de minutes s'écoule avant que nous les retrouvions tous. On recommence. À tour de rôle chacun choisi des éléments de cadre, de relations, de besoins, d'objets, etc... Ça prend un temps dingue, ça part dans tous les sens, je sens que deux participant.e.s sont déjà ailleurs. On débute enfin l'acte I, c'est-à-dire qu'on commence à distribuer des scènes et à les "résoudre" pour forger une intrigue intéressante peuplée de personnages dotés de motivations à la fois crédibles et suffisamment contradictoires... Survient une brève épidémie de bâillements irrépressibles; personne n'a trop d'idée, personne n'ose se lancer franchement dans une interprétation aussi périlleuse qu'improvisée, il y a des blancs, un joueur meuble en ironisant sur le titre du jeu chaque fois qu'il le peut, un malaise s'installe au coin du feu. Alors que le premier acte s'achève laborieusement et n'importe comment, quelqu'un se propose d'aller préparer une camomille, un autre s'exfiltre aux toilettes, un téléphone sonne, une pose clope s'abat sur les plus affaiblis, dont je fais partie. Dehors une brève éclaircie fait exploser la majesté placide des montagnes environnantes. J'ai soudain envie de me volatiliser dans ce décor. Je suis redescendu sur terre. Fin de la partie. Fiasco garanti. Ça c'est de la mise en abîme! On ne peut concevoir pires circonstances pour aborder ce jeu tout à la fois systématisé, grand ouvert, et furieusement exigeant. Certes! Mais tout de même, derrière une ossature de prime abord évidente, l'explorateur débonnaire sera quelque peu désorienté par un magma de règles chargé de conseils obscurs et de mises en œuvre abstraites finalement assez peu intuitives. Les auteurs partent d'un postulat gouverné par un optimisme forcené: leurs joueurs sont des joueurs modèles, des gens alertes, impliqués, perspicaces, proactifs, confiants, cousins des frères Coen, un tant soit peu coutumiers des jeux de rôles ou de l'improvisation déclamatoire... sans quoi tout reposera sur les épaules musculeuses d'un guide expérimenté, même la gauche. Pas facile. Fort de cette première épiphanie, j'ai depuis apprivoisé ce moteur à fiascos; et si ça ne marche toujours pas comme sur des roulettes à chaque tentative, je compte maintenant quelques sessions particulièrement mémorables où le collectif des joueurs a su accoucher d'un scénario délicieusement tordu et catastrophique, un vrai synopsis de nouvelle, de film, de BD. Bref, on a forgé une intrigue crédible en reliant et en incarnant une poignée d'éléments disparates, parce qu'on y était disposé, prêt à rebondir sur chaque proposition, habile à réorienter une situation trop conventionnelle ou trop alambiquée, toujours prompt à offrir une belle scène à un joueur lorsque cela s'impose dans l'intérêt supérieur de l'intrigue qui doit se nouer comme il faut, puis se dénouer dans un paroxysme de plantages cinégéniques... C'est pas gagné les amis. Mais ça vaut quand même le coup d'essayer. Quoi qu'il se passe, le fiasco est garanti.

        Gauche-à-Droite

        25/09/2019

        7.1
      • boîte du jeu : FiascoFiasco : Excellent tout simplement
        Must have du jdr sans mj. Du rire à gogo, des histoires folles et grandioses et du vrai jeu de role(s). C'est pour les amoureux du théâtre, de l'impro, et les fans d'imagination. Ce n'est pas pour ceux qui veulent du jdr traditionnel et ceux qui n'aiment pas juste inventer des histoires. Les parties sont incroyables (à condition de jouer avec les bonnes personnes)

        tt-2bcd313a6e9b9ca...

        04/01/2019

        10
      • boîte du jeu : FiascoFiasco : Histoires de défaites assurées
        J'aime le Jeu de Rôles. J'aime le combinatoire. J'aime construire mes propres Enfers. J'aime lorsqu'un plan se déroule avec accrocs. Le JdR c'est magnifique mais il faut y consacrer du temps. De préparation et de jeu. Ici, la préparation pré-partie n'existe pas puisqu'elle se fait en jouant. On prend un cadre de jeu composé de tables (Relations/Objets/Besoins/Lieux), on balance des dés (de 2 couleurs différentes) et on choisit les éléments qui composeront l'histoire. Donc on joue déjà. Puis on raconte l'histoire à tour de rôle et on choisit (le narrateur ou les autres joueurs) si le personnage du narrateur réussit ou non. Mais le dé représentant la réussite ou l'échec doit être donné à un autre joueur. Au milieu du jeu, on rebalancera des dés pour savoir quels joueurs vont ajouter des twists à l'histoire et on reprend. Cette fois, on conservera les dés de réussite ou d'échec. A la fin, on balancera tous ses dés récoltés pour connaitre le destin final de son personnage. Donc si on s'est bien débrouillé et qu'on a une seule couleur de dé, le personnage s'en sortira pour le mieux. Tout est construit pour que les plans des personnages foirent dans les grandes largeurs. Tout est fait pour stimuler l'imagination des joueurs en les conduisant vers l'échec le plus total. Cette inexorabilité sait rester fun, c'est toujours drôle de voir un château de cartes s'effondrer. Le jeu a un défaut: l'écriture des règles est assez absconse. La "Rediffusion" en fin d'ouvrage vient éclaircir quelques points mais il faut s'accrocher. L'auteur fait de son mieux pour être didactique sur les 50 pages consacrées aux explications mais on peut se sentir très rapidement débordé. Toutefois, le jeu mérite réellement qu'on fasse un petit effort. Si vous êtes anglophile, je recommande très très chaudement la partie Tabletop de Will Wheaton avec un des scénaristes de Leverage. Du très très haut niveau. Un de mes jeux préférés, très facilement dans mon Top10, tant j'ai envie d'y jouer dès que c'est possible.

        marvelarry

        29/09/2018

        10
      • boîte du jeu : FiascoFiasco : 0% Préparation, 100% Parties endiablées
        Fiasco, c'est mon compagnon de JDR. Il manque un joueur ? Fiasco ! Avec la profusion de cadres qui existent, on peut toujours trouver une ambiance qui plaise à tous les joueurs. Et rejouer à un cadre amène souvent à de nouvelles aventures vraiment fun et tordues. Que ce soit avec des débutants ou de vieux briscards, le jeu s'explique en 10 minutes, et les idées commencent à pleuvoir rapidement. Il faut juste accepter de se laisser porter, de se faire interrompre et de rebondir sur ce qui se dit à table. Et puis, aussi, ne pas trop tenir à l'intégrité physique, morale ou sociale de son personnage.

        Gulix

        04/11/2016

        10
      • boîte du jeu : FiascoFiasco : Fiasco......il porte bien son nom celui là !
        FIASCO....c'est un guide pour pondre des scénarios à la "frères Coen". Bref à réserver à des fondus de Fargo et autres Burning after Reading, qui se feront un trip entre eux....les autres passez votre chemin.

        tt-4e05b59ea9d3009...

        04/11/2016

        2
      • boîte du jeu : FiascoFiasco : Mouais ...ça porte bien son titre ce jeu
        2 parties testées. La première fut génial car nous avons raconté une histoire formidable, drôle, étonnante ... mais il faut le dire; menée par une personne très drôle (tambour battant je dirais). La seconde fut une catastrophe car les idées ne venaient pas, les règles nous contraignaient à ne pas faire avancer l'histoire aisément, trop laborieux pour être divertissant, si vos joueurs ne désirent pas inventer et ont peu d'imagination ... ben c'est foutu et tout le monde s'ennuie dès les 20 premières minutes passées. Je suis toujours preneur pour une nouvelle partie... mais ce que jeu peux déjà confirmer c'est que le jeu est bon si vos potes sont bons... pour ça, j'ouvre une bouteille de cidre et on se regarde un bon nanard bien fun. Dommage.

        tt-bbffceda875cfbc...

        16/10/2015

        3
      • boîte du jeu : FiascoFiasco : Lapin compris
        A lire un avis récent sur ce jeu , je me rappelle que je possède e ce jeu et qu'il traîne au fond d'un placard.... Un pote me l'avait refilé car il n'avait rien compris. J'avoue à mon tour ne pas avoir vu la profondeur du jeu. Un essai plus tard (les joueurs manquaient ils de référence, de tchatche, d'imagination, étaient ils des poseurs de cubes ?....), le jeu n'avait pas décollé. Problème de narration ? je relis les avis qui en majorité, adorent....et moi je suis songeur. bon, je vais resortir mon exemplaire... y a pas quelqu'un pour une explipartie ? (cette note n'est donc pas une note....)

        morlockbob

        16/04/2015

        4.7
      • boîte du jeu : FiascoFiasco : Banco
        Tout a été dit par les autres. J'adore ! Il y a un aspect qui n'a pas été souligné cependant : les parties sont courtes ! Et c'est très facile à mettre en place. Avec mes potes, on compte faire des parties dans un bar. Tout ce qu'il faut, c'est quelques dés et quelques bouts de papier.

        garmonbozia

        16/04/2015

        10
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      Questions sur FiascoQuestions sur Fiasco
      [[Fiasco](https://www.trictrac.net/jeu-de-societe/fiasco)] Bonjour, je me lance dans Fiasco, et les règles étant si mal écrites, que j’ai eu du mal sur 2 points… si quelqu'un peut m’éclairer.... Préparation Le joueur doit il définir obligatoirement sa relation avec son voisin de gauche ? ou peut-il définir n’importe quelle relation ? même les deux gars qui sont en face de lui ? Dans l’exemple que J. morningstar donne à la fin, un des joueurs choisit son appartement dans les Terraces Hickory… (sans prendre un dé pour cela…!) j'ai l’impression que c'est voulu, pour montrer qu’on peut aussi improviser… ai-je raison ? Merci de votre aide !

      paul moud ubid

      23/04/2020

      [FIASCO] Comment ca marche[FIASCO] Comment ca marche
      Fiasco est, amha, un excellent outil de formation à la maîtrise de jdr. On y apprend à établir une scène, à définir des objectifs pour la scène, à "tailler dans le gras" pour obtenir une histoire tendue, à improviser, à réintroduire, à faire du "oui mais", etc.

      greuh

      04/05/2017

      Fiasco : cadres en français ?Fiasco : cadres en français ?
      J'ai créé un sujet à part pour mon éditeur Fiasco-Mustache. Et la version en ligne devrait corriger ce problème sous Chrome (en fait, certains trucs en local ne fonctionnent pas sous Chrome, mais fonctionnent en ligne). Sinon, voici un article sur mon blog qui référence des Cadres pour Fiasco que j'ai écrit moi-même ou que j'ai traduit depuis l'anglais. Dans le cas des traductions, elles sont toujours publiées avec l'accord de l'auteur. La première livraison propose une mise à jour de La Coupe du Chaos , un Cadre que j'avais proposé sur Edge lors d'un concours de création. Au programme, une finale d'un championnat régional de foot US, ou de toute autre compétition sportive. Avec les requins autour des sportifs, la jalousie dans l'équipe, ... Vous trouverez aussi Pas de référence ? Pas de soucis ! , un Cadre SF dans l'univers de Bulldogs ! (un jeu FATE). Au sein d'une division pourrave de livraison d'une méga-corpo, à bord d'un vaisseau pourrave, vous aurez une mission pourrave. Et vos compagnons d'infortune sont tous louches. Surtout vous. Et enfin vous pourrez plonger dans l'Angleterre du 15e siècle avec Malleus Maleficarum . Sorcières, complots, paranoïa, faux-semblants et inquisition au programme. Ces Cadres sont voués à évoluer, avec l'ajout futur des couvertures, et des révisions d'éléments au besoin.

      Gulix

      26/08/2016

      Fiasco le jeu pour les loosers sur les étalsFiasco le jeu pour les loosers sur les étals
      Pour répondre à Naok, je l'aurais bien vu aussi chez moi. Mais l'éditeur de la VO a préféré Edge car ils proposent une trad française ET espagnole. Sinon ils avaient l'air chaud pour bosser avec moi. M'enfin, ça me fait déjà bien plaisir qu'il sorte en français.

      tt-00bd09412eb5b57...

      12/04/2012