Olala que ce stop ou encore est peu passionnant... Même l'ultra basique "Zombie dice" parait travaillé en comparaison (bon, je reconnais que j'aime bien ZD)... Là, on ronronne et on ne risque pas grand chose justement...
Deep Sea Adventure est le jeu de "stop and go" que j'adore sortir. Mais quand j'organise des soirées jeux pour des non-initiés, il est pas toujours simple de faire retenir toutes les petites règles aux joueurs. High Risk élimine beaucoup d'idée mais conserve la tension. C'est un jeu de lancée de dés et de prises de risque, où il est évident que si vous la jouez "Safe" vous allez vous ennuyer. Au final, le jeu est intéressant si tout le monde autour de la table rendre dans la compétition.
Simple, rapide, une ou deux parties pour commencer la soirée, ou la finir, on rigole, on s'énerve. Rien de plus.
A la première partie, je n'avais pas accroché (ha ! ha ! jeu de mot !) à High Risk parce que je le comparais à Can't Stop.
Alors, c'est sûr que je l'avais trouvé plutôt plat.
Et puis, j'ai rejoué !
J'ai joué simplement à High Risk.
Et ça m'a plu :-)
Lancer les dés, prendre des risques, s'engueuler entre amis. Bref, j'ai changé d'avis.
Je le conseille vraiment à ceux qui voudraient un jeu pas prise de tête, avec des règles simples, une mise en place et des parties rapides, un matériel agréable.
Manque plus qu'une bonne tartiflette !
On appréhende les règles en quelques minutes et si la chance y joue une grande place autour d'une pinte ça fait bien le job. Testé à 2 ou 3 il manque peut être un peu de stratégie, même si le but est d etre fun et sans prise de tête.
Un très bon petit push your luck.
Attention, il faut le prendre pour ce qu’il est : un petit jeu sans réflexion, très orienté hasard.
Ce jeu fonctionne très bien avec les enfants, je pense qu’il marcherait bien avec les personnes non joueuses ou mes beaux parents (un peu comme deep sea adventure mais en encore plus simple).
Il aurait pu être dans la collection LOKI, ce qui éviterait quelques déconvenues des joueurs plus férus qui découvrent un gameplay basique.
Comme jeu d apéro ou d entrée dans le J2s pour personnes réticentes, il fait bien le taff.
Nous on le garde pour les petites parties rapides du soir avec les enfants.
En plus le matos est top pour un petit prix.
Il est clair que si vous jouez à ce jeu sans prendre de risque alors il va être fadouille.
Mais si vous osez vous engouffrer dans le "je relance ou pas" (avec en fond sonore les adversaires qui poussent à le faire) afin de monter plus haut sur la montagne voire de gagner des boosts et donc de rejouer alors une petite saveur de "on fait la revanche" est là.
C'est un jeu sans prétention, à prendre pour ce qu'il est : 15 min de jeu familial d'apéro avec un petit goût sympatique de stop ou encore.
Notre fils de 4.5 ans y a joué sur l'une de nos partes et étonnement, vis à vis, de l'âge recommandé ça a bien pris.
Comment en tant qu'auteur(s) peut on proposer un truc pareil à un éditeur (en même temps l'un des deux à déjà réussi à fourguer les peu passionnants Raids et Fairy Tile à la maison jaune) ? Comment en tant qu'éditeur peut on accepter de publier un truc aussi bas de plafond (pour exister, étoffer son catalogue..?). Une montagne à gravir, des meeples et des dés. Lancez : vous faites des nuages/il ne se passe rien, un sommet /vous pouvez avancer, un éclair de danger/vous pouvez relancer ou vous arrêter là. Si vous arrivez sur la case d 'un autre meeple celui-ci redescend. Autant ce genre de chaos fonctionne dans Zombie Dice (à cause du thème, du parti pris potache ?) autant ici c'est plat. S'il y a une escalade dans ce « stop ou encore » fainéant c'est celle qui mène vers le sommet de l'ennui. Joli matériel.
La gamme des mini games avait bien commencé (Time bomb, Schotten Totten, En route vers les Indes), mais depuis quelque temps je ne comprends pas les choix de l'éditeur (Ninja academy...). Ici on est dans du trèèès basique à la mécanique de stop ou encore poncée rabotée raclée, avec du choix de dé très limité et une interaction (faire reculer ses adversaires) au fun tout relatif. Mais pourquoi ?