Contenu
infoLe contenu de cette boîte n'est pas renseigné.
Description de la communauté
Déplacez vos hordes de barbares au travers de plaines, forets, collines... jusqu'à ce que la civilisation vous rattrappe !
Nostalgique de Populous? Incarnez un dieu et peuplez le monde de vos créations!
Au premier jour, les dieux créèrent la matière
La première phase du jeu est de créèr le plateau en piochant puis plaçant à tour de rôle les tuiles paysages parmi:
- plaines, collines, forêts et îles (habitables)
- mers, montagnes et déserts (inhabitables)
Le plateau de jeu sera donc différent à chaque fois.
Au deuxième jour, les dieux insuflèrent la vie
A chaque tour de jeu, en simultané, les joueurs vont révéler une de leurs cartes terrains (qui comprend l'illustration d'un type de terrain habitable et un numéro).
Les cartes sont alors résolues par numéro croissant (le plus petit d'abord), numéro qui réprésente le nombre de barbares apparaissant sur un terrain libre du type choisi. Il faut alors faire un choix entre s'installer puissament quelquepart et la rapidité d'installation.
Les barbares peuvent alors se déplacer en restant sur le même terrain (et affronter les barbares ennemis si besoin) ou effectuer des raids sur les terrains de types différents adjacents aux leurs, sans toutefois pouvoir s'y installer. Seules les cartes terrains permettent de s'installer sur un nouveau type. Les combats sont résolus avec des dés.
Au troisième jour, les dieux apportèrent la connaissance
Un joueur peut décider d'apporter la civilisation à sa population à partir d'un de ses barbares. Celui-ci devient civilisé et seules les cases adjacentes à une case civilisée peuvent elles-mêmes être civilisées.
Un civilisé ne pourra plus attaquer mais rapporte deux points en fin de partie alors que le barbare n'en rapporte qu'un.
Au quatrième jour, les dieux insuflèrent la foi
Un joueur peut créèr un altar en sacrifiant un civilisé. L'altar peut être détruit par les barbares adverses mais rapportent trois points en fin de partie.
Au cinquième jour, les dieux admirèrent leur création et virent... que c'était un beau foutoir!