J'ai découvert ce jeux il y a quelque jour ( j'écris cet article le dimanche 5 juillet 2009) il n'est donc plus disponible dans les boutiques c'est pour cela que je l'ai reconstitué avec les marqueurs de yinsh et un plateau que j'ai pyrogravé moi même.
C'est pour cela que je ne vous parlerais pas du tout du disigne ou de la qualité du matériel, mais uniquement des mécanismes.
Concrètement ce jeu est un bijou. Règles simple (comme tout jeu abstrait qui ce respecte) et une profondeur très grande. Alors me direz vous qu'est ce qui le distingue de la masse des autre jeux (projet gipf, exxit, Siam, Diam, Hive...) déjà on retrouve un bon vieux tablier orthogonal, plus d'hexagone. (je n'ai rien contre les hexagones, mais au bout d'un moment cela manque d'originalité).
Deuxièmement c'est un jeu qui ce renouvelle énormément. Ceci est du essentiellement à deux points, le premier est du aux deux tailles de plateaux 11 x 11 ou 9 x 9. l'autre point fait parti des mécanismes de jeu. c'est la naissance. Ici c'est pas comme au dame où un pion perdu c'est un pion définitivement perdu. là les pions vivent. ils naissent vivent, peuvent parfois changer de camp et meurent. Donc votre population ne fait pas que décroitre comme dans les classique échec et dame.
ce qui le rend plaisant c'est aussi le nombre de ses mécanisme, contrairement à beaucoup de jeu qui n'ont qu'un principe autour duquel tout repose (Reversi, Hive, Quarto, Pylos, Gobellet...) ici on en a plusieurs, majorité-conversion, surpopulation, asphyxie, naissance. Voila qui permet de rendre chaque coup capital car même en cas de "blocus" sur la frontière (cas ou dans bon nombre de jeu on est tenté de passé ci c'était possible ex: polygone, abalone) armé entre vous et votre adversaire, il faut organiser votre arrière garde pour provoquer des naissances et ainsi avoir des Mambiz à sacrifier affin de créer une brèche dans le camp ennemie et cela vous permettra de prendre l'ascendant sur lui.
Donc en résumé que du bonheur, un jeu comme il y en à peu. même mon précieux Gygès à du mal à le concurrencer. C'est pour dire.