2° partie testée en solo pour explications futures à mon cercle de joueurs.
La première partie avait eu lieu tôt le matin après une soirée... hum hum, disons, euh... arrosée et une journée dédiée au plaisir ludique.
Mais rien ne m'empêche de jouer et tester. Par tous les temps. Dans tous les états.
J'avais déjà saisi l'idée générale du jeu et son intérêt.
Rebelote avec les yeux grands ouverts et le cerveau sur ON.
Attention, le battement d'ailes du papillon peut causer une tempête à l'autre bout du monde. C'est la théorie du Chaos, l'effet papillon.
Fichtre, faut pas aller trop loin quand même avec les papillons sur le plateau, parce qu'il faut revenir avant la fin de l'automne et c'est bien rendu.
S'épanouir, grandir pour aller grapiller ici ou là quelques fleurs et des bonus, et répondre aux objectifs de saison mais pas trop quand même parce qu'il faut rentrer et effectivement le chemin est long. Et c'est ici qu'on se rend compte qu'un simple battement d'ailes peut avoir des conséquences importantes. Bien doser son effort.
Qui voyage loin ménage sa monture...
Si on se réfère à la genèse du jeu, le périple suivi par les papillons est fort bien rendu.
Je ne connais pas Wingspan. J'ai joué trop souvent au loto des animaux et de la forêt et tout jeu à vertu pédagogique m'emmerde prodigieusement, ce qui fait que les cartes avec les descriptions d'oiseaux me fait peur. En fait, c'est aussi parce que je ne peux pas m'empêcher de lire toutes les infos sur les cartes. C'est vrai, il faut que je lise tout ce qui me passe sous la main !!!
Docteur, un avis ?
Bref... Je m'égare.
Mais au vu de la qualité de ce Mariposas, je vais me faire greffer des plumes dès que je le pourrai.
En conclusion, je vais revenir plus d'une fois à Mariposas. C'est sûr. Il va même sûrement rentrer dans ma ludothèque.
Parce que pour le moment, sur ce jeu, je ne suis même pas au stade chrysalide et je veux bien voir jusqu'où j'irais en tant que joli papillon. J'ai dit papillon ! ; )