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Boîte du jeu : My City

My City

calendar_month
settingsReiner Knizia
brushMichael Menzel
home_workIELLO
local_shippingIELLO
Nombre de joueurs :2 - 4
Age :10 ans et +
Durée de partie :30 min
Langues :Français
Fiche mise à jour le02/03/2022 08:10:07
    8
    Fondez et développez votre ville dans un palpitant jeu évolutif qui conserve vos choix de partie en partie ! Avec My City, vivez une expérience de jeu exceptionnelle dans laquelle vos décisions vous engagent sur le long terme ! Au travers de 24 épisodes riches en événements, vous serez à l’origine de la naissance de votre cité et écrirez son histoire, la faisant évoluer de sa première pierre jusqu’à sa pleine industrialisation. À chaque nouveau chapitre, le contenu d’une enveloppe scellée introduit de nouveaux éléments de jeu et vous propose de nouveaux défis ! Et une fois l’aventure finie… rejouez autant que vous voulez ! My City propose également un mode totalement rejouable, même après avoir fini la campagne évolutive.Créez votre Cité et faites la évoluer jusqu'à une complète ère industrielle dans un captivant jeu Legacy signé Reiner Knizia. de chapitre en chapitre, faites évoluer votre plateau de jeu et assumez chacune de vos décisions de partie en partie !

    Images & vidéos

      Les avis

      • boîte du jeu : My CityMy City : Tout l'monde veut être une star... à My City
        Mais que cache My City ? Au début, ça commence pas top avec une règle de jeu proposant de placer des tuiles de toutes formes sur son plateau avec des contraintes. C'est vu et revu. Tout le monde veut que tout le monde l'aime, ce mécanisme, mais personne n'aime tout le temps le même mécanisme. Et en fait c'est plus simple et plus épuré que la majorité de ses proches tout en étant vachement plus efficace. Bon point. Ensuite, on apprend qu'on a là un jeu Legaçy. Donc, du "one shoot" à jeter ensuite... :( Et en fait, non. Ils ont prévu une face du plateau qui permettra de jouer et rejouer tout le temps des parties avec une bonnes parties des règles. Règles qui vont s'épaissir au fil des scénarii, comme dans tout bon Legaçy. Alors oui, il faudra coller des autocollants sur nos plateaux de jeux... ou pas ! Nous, nous les découpons un peu plus larges et les plaçons comme des tuiles (je vais d'ailleurs les coller sur du carton dur pour en faire des tuiles, et on note sur une feuille les abscisses et les ordonnées du placement de chaque joueur (c'est pas bien lourd et ça permet de refaire ces Legaçy à l'infini). On note sur ces mêmes feuilles les points de progrès remportés. Donc, au final, on a un jeu "pas legaçy" (et ça c'est cool), mais qui comme un calendrier de l'avant, va révéler une nouvelle règle chaque fois (enfin, 24 fois). Et si vous craignez que les premières parties avec peu de règles soient peu intéressantes pour les gamers, comme j'ai pu le lire ailleurs, soyez rassurés : c'est le cas si vous êtes un joueur qui ne prend son pied que si les règles de jeux sont compliquées inutilement. Autrement, ça pue le ludique d'entrée de jeu. C'est excellent. Vous allez pouvoir ensuite vous amuser avec ces petites extensions et jouer avec les règles que vous souhaitez. Et vous apprécierez autant d'en mettre à foison que de jouer avec le minimum syndical : c'est déjà super agréable. Sérieux. Bref, carton plein plutôt inattendu pour moi (enfin, je l'ai acheté car je sentais un possible potentiel, mais là, c'est au delà de mes espérances). Bravo au spiel de l'avoir nommé. Dommage qu'il ne soit pas dans la liste de l'As d'Or (mais bon, on ne peut en nommer que 4 en même temps). Laissez-vous tenter : vous allez revendre vos autres jeux de placement de tuiles sur plateau pour créer des villes et villages. Le champion, c'est le bébé de maitre Knizia, logiquement finalement : My City sera votre !

        limp

        19/12/2022

        9
      • boîte du jeu : My CityMy City : Bidon-ville
        Pas facile de trouver de bons jeux familiaux au parfum allemand dernièrement. Luxor et les Charlatans de Belcastel sont les dernières grosses boîtes goodifiées au carton épais qui ont fait mouche et depuis, pas grand chose dans ce segment. Le coop' a la cote. Mais c'est pas mon truc. La boîte carrée de taille moyenne, bâtarde d'un couple Azul/Wingspan, devient le standard actuel : un thème choupinou aux illustrations mielleuses, auquel on colle une mécanique de motifs ou de puzzle en prenant soin d'inhiber l'interaction. Bof. Toujours pas de grosse boîte farcie au punchboard... Où se place donc My City là-dedans ? Des polyominos : la promesse du nez sur notre plateau perso et d'une inflammation du canal carpien à force de retourner les pièces dans tous les sens. Bof. Patchwork a déjà plié l'affaire sur le sujet. Cartographers s'est affirmé en alternative notable. A-t-on besoin de plus ? Un mode campagne ? La réponse allemande, plutôt bien vue, on pense à Pfister notamment, aux demandes répétées de variabilité ou de renouvellement. En tout cas plus intéressante que l'ajout ou le mix de mécaniques genre Ile des Chats, et moins ambiguë que la proposition de modules, le fameux plat qui se mange avec ou sans sauce. Campagne, modules, surcouche mécanique : un coup de Botox finalement pour cacher une base mécanique un poil trop faiblarde ? Une campagne laisse également entrevoir une fin de vie prématurée pour une boîte promise à la poussière une fois l'aventure terminée. Qui dit campagne dit, normalement, surprises à gogo ! Une grosse boite de bonbons célébrations : addictive, colorée et pour toute la famille. Raté. La couv' bleue/verte du jeu augure plutôt d'une ambiance " pastilles Valda". Des bonbons ? Oui. Colorés ? Oui. Appétissants? Non. On évite néanmoins les Mon Chéri. Et puis il y a le nom de l'auteur, Reiner Knizia. Dont on nous rabâche que ses plus belles années sont derrière lui, pris au piège de la surproduction, loin du jeu expert. Si ses jeux sont de qualités inégales, Knizia conserve un talent : celui de bousculer le joueur en cours de partie. La promesse d'une tablée toujours impliquée, rarement indifférente, à défaut d'être toujours passionnée. Nous voilà donc face à une boîte de pastilles Valda, parfumées à l'allemande, aux arômes de chiantine. Mais préparées par le Meilleur Ouvrier de France. Bon, je vous avouerai que ce n'a pas été assez pour me convaincre, en dépit d'une nomination au Spiel. Il m'a fallu 3 épisodes sur BGA et le hasard d'une vente d'une boîte sous cello dans mon quartier pour me faire sauter le pas. Mes motivations ? Parfait en termes de règles et de durée (20 minutes) pour faire jouer Miniphus, 9 ans, et un puzzle garanti sans coups fourrés pour ma belle-fille, généralement difficile à convaincre et hostile aux interférences de l'adversaire. On joue la première partie au pied levé, on ne sait pas trop à quoi s'attendre. Dans les suivantes on pourra appréhender la partie de manière globale mais Knizia, fidèle à sa philosophie, a trouvé des leviers pour nous empêcher de nous sentir en contrôle. Alors oui, on a notre nez sur notre plateau ! Oui, le placement de notre polyomino n'aura aucune incidence sur le jeu nos adversaires. Reste ce moment étonnant : celui où chaque joueur relève la tête, sûr que son choix a été le meilleur. Paradant comme un coq dans un poulailler. Un petit coup d'oeil à gauche, à droite, puis en face... le doute s'installe... "Ah ouais j'aurais pu faire ça". On n'a pas vraiment le temps de douter, la carte suivante brise l'intermède. Comme on relance des graines au troupeau de poules, on retourne picorer sur notre plateau perso, qui nous rappelle régulièrement que nos choix précédents n'étaient pas aussi brillants qu'on ne le pensait. Et hop, je relève la tête. Vous avez compris la dynamique autour de la table. Au fur et à mesure des parties, notre plateau perso devient le reflet et le révélateur de notre façon d'appréhender le jeu ou les problèmes en général. Du placement millimétré au poil de cul sans fantaisie, aux hésitations bien intentionnées hantées par la peur du mauvais choix, en passant par l'insolence de l'instinct, ou de la suffisance, ou par un plateau de jeu dont l'agencement fera pâlir une assiette de la cantine en fin de déjeuner. My City fait l'éloge de l'imperfection, de l'imperfection la moins imparfaite. Le jeu n'offre pas des dilemmes inoubliables, ni de ces gros coups qui vous donnent envie de parler de votre dernière partie de (insérer votre jeu fétiche) à de parfaits inconnus en plein repas de mariage. On joue bien à un jeu à base de polyominos. C'est la succession de micro-choix, car chacun d'entre eux compte, qui vous fera passer de l'ivresse de la satisfaction au désespoir ludique. Vous maudirez cette rivière, pourtant si anodine, pour avoir érigé cette barrière inflexible et infranchissable. Vous enverrez un petit mail à Kosmos pour leur expliquer que leurs tetraminos en Z sont à l'envers. Vous ne comprendrez jamais, au grand jamais, pourquoi vous ne pourrez jamais recouvrir entièrement votre plateau, le Graal ultime du polyominopathe. Pour vous empêcher de prendre confiance, notre meilleur architecte d'Allemagne altèrera votre plateau, proposera des nouveaux scorings et vous confrontera à des nouveaux dilemmes parties après parties. Loin du coq en pâte. Le jeu est clairement destiné à un large public avec un minimum de règles et un système évolutif. Si ça vous évoque surprises et aventures, laissez tomber. Non, le souffle épique n'apparaîtra pas au bout de 20 minutes. Le thème, bidon, non plus (allez jouer aux Majokit plutôt) ni l'histoire d'ailleurs. Non, ce n'est pas Mon premier Tainted Grail ni My Little Legacy. Comme prévu, le plaisir s'arrêtera une fois la campagne terminée. My City a néanmoins eu le mérite de nous faire passer un très bon moment en famille, et on n'en demandait pas plus. Derrière la boîte de Valda se cachait un paquet de Werther's Original, au goût rond et sucré, aux ingredients chaleureux et marronnasses. PS : C'était un 8 pour moi. 1 point bonus pour avoir motivé ma belle-fille et amusé mon fils.

        Sysyphus

        18/12/2022

        9
      • boîte du jeu : My CityMy City : On a adoré tout le long, 24 parties plaisantes
        'est un Top à LudiGaume pour My City car c'est un jeu accessible, familial mais surtout il nous a tenu en haleine jusqu'au bout. L'envie de découvrir les nouveautés au fil des parties est très forte, ce qui fait que le jeu mérite cette note. S'il avait obtenu le Spiel des Jahres, cela ne m'aurais pas étonné car il a tout pour faire sa place dans les familles ludiques. Ce fut 24 parties de pur plaisir ludique. N'est-ce pas ce que l'on attend d'un jeu ?

        LudiGaume

        16/08/2022

        9
      • boîte du jeu : My CityMy City : My tetris
        Expliquer en 5 minutes,jouer en 15 ou 20 minutes . Toujours envie d’une autre partie pour ouvrir la prochaine enveloppe et améliorer le jeu ou creuser son avance ( ou rattraper son retard ). Vraiment prenant.

        Gregos38

        27/11/2021

        9
      • boîte du jeu : My CityMy City : My si City, le jeu fleuve ?
        Edition (Univers, Direction artistique, Matériel) 3/5 Règles (Clarté, Ergonomie, Complexité) 5/5 Rejouabilité (Mécanique, Profondeur, Efficacité) 4/5 Renouvellement (Répétitif, Sensation, Durée) 4/5 Ce cher Docteur Knizia, sans réelle innovation, nous propose pour la x-ième fois, de ranger des figures polynomiales à la Tetris. Chaque joueur a son set et il faut suivre la pioche des cartes en une sorte de match "Duplicate" avec quelques contraintes de poses et de pertes/gains de points de victoire. Alors attention, ça n'est pas déplaisant. Et puis il y a les enveloppes à ouvrir au fur et à mesure et qui permettront d'apposer des autocollants en fonction de ses résultats, de partie en partie, modifiant ainsi le plateau de l'un ou de l'autre pour, à l'issue de la campagne, voir celui qui en aura tirer les meilleurs profits sur l'ensemble... Et ça fonctionne parce qu'il est agréable, comme un série, de suivre et découvrir ce qu'il y a de nouveaux : Bâtiments, évolution et changement des décomptes, etc. Seulement, il faut recommencer sa cité à chaque partie là où l'histoire nous parle d'évolution, ce qui casse complètement l'aspect "cité dont l'histoire continue", dommage ! Il est également pris en compte ceux qui veulent jouer sans "altérer" le matériel avec un plateau joueur recto-verso prévu pour. My City est donc un jeu plaisant pour ceux qui aiment ranger méthodiquement des pièces tout en profitant de l'effet Kinder Surprise des enveloppes, comme un appeau à continuer à jouer au jeu... Mais il a aussi la "contraposée" de se sentir potentiellement "floué" par ce système d'enveloppes un peu illusoires pour "forcer" les parties malgré un "tout ça pour ça" À vous de voir de quel côté penche la balance pour vous et vos joueurs et joueuses !

        Monsieur Guillaume

        10/10/2021

        7
      • boîte du jeu : My CityMy City : Excellent
        Un excellent jeu de pose de polyominos. On en redemande !

        Julian08

        09/05/2021

        10
      • boîte du jeu : My CityMy City : Très sympa pour la campagne, mais sinon, rien de très nouveau
        Pour commencer je précise que j'aime particulièrement les jeux à campagne qui permettent de varier les règles sur un même thème, d'éviter de perdre sur une "mauvaise" partie, et d'avoir la surprise des nouveautés entre chaque partie. Je précise aussi que ce jeu est un Legacy dans le sens ou vous allez altérer votre plateau de jeu de façon irrémédiable, et chaque joueur aura donc son plateau personnel modifier à sa façon... Mais un plateau, c'est recto-verso ! Et il y a donc la possibilité de jouer de façon "standard", ce qui correspond peu ou prou aux règles du milieu de campagne. - Maintenant, My city c'est un jeu de placement de tuiles de formes et couleurs variées qu'il faudra placer en fonction de contraintes et d'objectifs pour avoir le plus de points possible en fin de partie. - Les règles ne sont pas compliquées, mais en mode campagne (8 chapitres répartis sur 24 parties) elles sont modifiées entre chaque partie et comme le scoring est une salade de points, il est très facile d'oublier une règle ou deux. - La seule "interaction" entre les joueurs consiste à être le premier à atteindre tel ou tel objectif, donc cela reste très très limité, pour ne pas dire absent du jeu. Reste - De même, le thème est plaquée, et le script de la campagne tient sur 2 lignes entre chaque chapitre. On ne peut pas dire que l'immersion soit au rendez-vous. En résumé, nous avons apprécié de faire la campagne. Nous y reviendrons certainement de temps en temps. Mais l'effet wahou des jeux à campagne est absent et on a l'impression d'être dans une énième déclinaison des jeux de pose de tuiles avec contraintes de placement et de scoring.

        stueur

        25/04/2021

        5
      • boîte du jeu : My CityMy City : Merci au maitre Knizia de continuer à nous sortir des jeux...
        My city?? Mais quelle pépite!!! Attention, je ne suis pas du tout objectif, soyons clairs, j'adore Knizia. Vraiment. Après, je n'aime pas forcément tout ce qu'il a sorti. Il a fait un nombre de jeux conséquents, et a tendance à recycler beaucoup de ses jeux. Cela ne m'a jamais gêné, mais c'est à noter. J'aime quand il sort des jeux un peu plus touffus, comme Amun Ré par exemple, là, c'est le bonheur absolu. Mais j'ai bien compris qu'actuellement, c'est globalement peu rentable et très chronophage, je comprends qu'il s'oriente vers du plus léger. Et comme j'aime ce qu'il fait, je continue à tester ses jeux, même si plus familiaux. Et c'est exactement ce qu'il propose ici. Un jeu familial, simple d'accès, mais très intéressant. On est comme toujours sur du jeu à l'allemande, thème plaqué, avec plein de petits mécanismes sympa. Attention, ce qui fait et a toujours fait la force de Knizia, ce sont ses jeux d'une pureté remarquable. Très peu de choses à faire, mais plein de possibilités. Une mécanique simple, mais très riche. Exactement ce que je recherche actuellement. La possibilité d'installer le jeu en moins de 5 minutes, l''explication se fera en 10 minutes, et puis on peut activer les neurones à loisir. J'adore. Autre point intéressant, il s'attaque ici au jeu legacy. Donc ces jeux qui se jouent en campagne, plusieurs parties qui s'enchainent, avec des modifications du matériel qui rendent le jeu non jouable une fois la campagne terminée. Dans ce cas ci, il y a 8 "chapitres", donc 8 enveloppes avec du matériel supplémentaire, des autocollants à apposer de ci de là, des règles en plus. Chaque enveloppe propose 3 parties, au total, 24 parties pour clôturer la campagne, il y a de quoi faire. Une partie dure environ 30 minutes, nos sessions se sont faites par chapitres, 3 parties chaque fois. Alors de quoi s'agit il? De pose de tuile façon tetris, embriquer les tuiles aux bons endroits, gestion de l'espace et des contraintes, avec un système de point de victoire qui changent entre chaque partie. J'ai vraiment retrouvé la patte de Knizia, on a un jeu simple mais dingue, ou on voit l'auteur qui a plein d'idée de variantes, qui a justement l'occasion ici de tout intégrer progressivement... Il avais déja fait quelque chose de semblable dans "Neue spiele in alte Rom" (allez voir mon avis dessus, j'ai été assez complet), je m'étais déjà extasié sur le nombre de jeux présents dans la boite, beaucoup étant très qualitatifs, avec surtout toute une série de variantes pour transformer le jeu. Dans my city, c'est exactement ce qui se passe, sauf qu'il vous prend par la main, scénarise les parties, introduit au fur et à mesures les nouvelles mécaniques, toujours assez simple, mais qui transforment chaque fois les objectifs du jeu et leurs ressentis. Bref, tout le plaisir d'un legacy est présent, avec le plaisir de manipulation de matériel supplémentaire, le plaisir de découvrir des mécanismes, mais en même temps, l'installation est facile et rapide, les règles simples à assimiler, le jeu s'adresse à un très large public, on joue sans soucis dès 7 ans (voir plus jeunes si on est doué) et on garde du plaisir de réflexion quelque soit l'âge. Et le coté compétitif? Il faut bien avoué qu'il est peu présent, on joue chacun sur son plateau avec peu d'interaction, on est pas limité (ou très peu) par les autres joueurs. Mais ce n'est franchement pas un soucis. Et la compétition se fera plutôt au travers de la campagne, ou toutes les récompenses ne seront pas accessibles pour tous les joueurs. C'est la première fois que j'arrive au bout d'un legacy. Parce qu'effectivement, j'ai fait 24 parties du jeu, sans jamais trouver le temps longs. Une réussite absolue pour quelqu'un qui en général, ne rejoue pas à ses jeux. Et la cerise sur le gateau? Knizia nous propose un mode eternel, sur le verso des plateaux individuels, pour rejouer quand on le souhaite au jeu, sans le mode campagne! Donc un legacy à garder sur ses étagères. Surtout que toutes les petites règles de la campagnes peuvent parfaitement s'adapter sur ce mode eternel, donc porte ouverte aux règles maisons!!! Allez, je clôture, ce jeu est une bombe, on est dans du familial pur, accessible aux enfants et jouable clairement entre adulte, pour des parties facile à mettre en place, durée 30 minutes la partie, avec un jeu très pur, peu de choses à faire, règles très claires, mais pas mal de possibilité d'optimalisation et d'anticipation. On retrouve très clairement la patte de Knizia, ceux qui l'aiment prendront leurs pieds, ceux qui ne le connaissent pas auront peut-etre l'envie de le découvrir. Je réinsiste, ce n'est pas du jeu pour joueur, c'est léger, mais tellement bon. Bon jeu!

        merlin2812

        20/04/2021

        9
      • boîte du jeu : My CityMy City : où sont les souris ?
        New York Zoo, Prehistories, pour citer des jeux récents, font la part belle aux polyominos. Le puzzle serait il tendance ? Perso, c'est Ad nauseam. Autant dire que ce Knizia, après m'être tapé les ennuyeux dominos de « Renature », tombait plutôt mal. En plus je découvre que c'est un Legacy. Jouer à Tetris pendant 24 parties pour finir l'aventure, sérieux ??!! Car il s'agit bien de placement de pièces et d'optimisation sur un plateau quadrillé et légèrement décoré d'arbres et de roches. Il y a donc 24 épisodes divisés en 8 chapitres. Un chapitre c'est une enveloppe avec des ajouts de planches autocollantes, des polyominos etc et surtout de nouvelles contraintes de construction et de marquage de points. Vous serez seul face à vos choix de placement, celui des formes vous étant imposé. Si le chapitre 1 est hyper classique (on score les groupes de bâtiments de la même couleur et on gagne 1 pt par arbre visible (comme dans Paris ville Lumière et ses lampadaires)) et donne envie de fuir, la suite va attiser notre curiosité. Sans vous dévoiler l'intérieur des enveloppes, sachez que vous partirez d'un espace vierge pour arriver à l'aube du 21 ème siècle et que vous transformerez plusieurs fois votre plateau personnel (qui se décolle par endroit d'ailleurs). Petite cerise, une fois ce legacy terminé vous pourrez vous servir du verso pour refaire des parties en mode plus familial (couvrant les contraintes des épisodes 1-5), évitant ainsi une mise au placard du jeu. Même si on retrouve des similitudes dans les ajouts et une illusion de progression, cette évolution est bien orchestrée. On pourra lui reprocher d'être répétitive (on recommence toujours avec son plateau vide (quelque part c'est 24 fois le même jeu)) et d'une narration légère. Alors, faut-il y aller ? Si vous aimez Cartographers, Petites Bourgades, Patchwork, Tetris etc... construire votre cité pas à pas devrait vous plaire. Car Knizia connaît le job. Il n'offre pas un titre bouleversant mais un jeu qui peut plaire à des joueurs voulant passer le niveau supérieur des Aventuriers etc. Si par contre ce genre de mécanique vous ennuie, vous pouvez laisser tomber la ville et prendre la mer sous peine de ras le bol immédiat.

        morlockbob

        09/03/2021

        7
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      Bonjour, J'aurais juste besoin d'une petite confirmation. Il faut ouvrir la première enveloppe directement avant de commencer la première partie ? On ne joue pas une première fois avec les règles de base uniquement ? Ca me semble être ça, mais je suis habitué aux jeux ou l'on debloque des enveloppes.

      Joran

      22/10/2022

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      Ah merci pour ce point de règle important.

      Molmo

      03/02/2022

      [My City] Chapitre 12[My City] Chapitre 12
      merci

      Abileor Bordeaux

      19/11/2021

      Hommage à Knizia... Ou pourquoi my city est une bombeHommage à Knizia... Ou pourquoi my city est une bombe
      Oui, je connais American Rails, j'ai fait quelques parties. Ca reste assez différent de mémoire (en sachant qu'on reste dans le jeu de train à actions ). De mémoire, encore, SR propose un système de fusion/acquisition vraiment retors. Faudrait que j'essaye de rejouer aux 2 pour voir de près les différences

      loïc

      24/04/2021

      [Spoiler sur le chapitre 5] Il est pas une peu bizarre ce ...[Spoiler sur le chapitre 5] Il est pas une peu bizarre ce ...
      [[My City](https://www.trictrac.net/jeu-de-societe/my-city)] Je viens d'ouvrir l'enveloppe du chapitre 5 et de découvrir le meeple "investisseur". Bon, il est un peu dérangeant, ou c'est moi qui ai l'esprit mal tourné? Déjà que commencer par construire des églises, puis déforester, puis construire des usines ça me donnait pas franchement envie d'étendre ma ville au niveau du thème mais là...

      fouilloux

      08/03/2021