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Description de la communauté
Dans le monde cruel de l'entreprise, saurez-vous gravir les échelons pour devenir le PDG ?
Un jeu de cartes pour s'amuser entre amis, de 3 à 6 joueurs.
Le Président Balayeur Général, alias PBG, est un jeu qui prend appui sur le monde de l'entreprise pour développer un mécanisme de jeu pluriel.
Présentation :
Le but du jeu est d'être le plus riche à la fin de la partie, qui se déroule en un nombre de manches déterminées à l'avance par les joueurs.
Chacun va tenir un rôle à jouer qui représente une fonction dans l'entreprise, et, à la fin de la manche, le salaire correspondant.
Evidemment, plus on tient un rôle élevé dans l'entreprise, plus on est mieux payé, mais plus il est difficile de garder sa place !
Le soucis est que le conseil d'administration veille, et si à la fin de la manche - mois de travail - vous avez fait plus de travail de votre subalterne immédiat que du vôtre, le C.A. vous démissionne, et vous prendrez alors le travail que le Président Directeur Général voudra bien vous confier.
Il vous faudra alors à votre tour essayer de prendre la place de votre supérieur pour gravir les échelons !
Mais attention, comme dans toute entreprise, les joueurs doivent respecter des règles de langage lorsqu'ils souhaitent s'exprimer, sous peine de sévères sanctions ! Et certains roublards ne vont pas arrêter de vous parler pour vous faire des embûches...
La mécanique :
Le PBG est un jeu de plis, dont les règles sont courtes et simples, mais dont les implications demandent aux joueurs une réflexion permanente.
Comment s'y prendre pour faire chuter les joueurs qui ont une fonction plus élevée, sans se mettre trop en danger soit même ? En effet, les cartes qui permmettent à un joueur de faire rétrograder un supérieur sont aussi celles qui sont nécessaires pour essayer de garder son rang. Et plus le rang est élevé, moins il y de cartes représentant cette fonction.
Chaque joueur reçoit 6 cartes en début de manche, puis par ordre de rang décroissant, choisit 2 cartes supplémentaires parmi celles proposées face visible (un peu comme le chien au tarot). Ce choix vient atténuer le hasard dû à la distribution des cartes tout en favorisant les fonctions élevées.
Puis, le joueur de rang le moins élevé lance la première carte ; les autres joueurs doivent fournir une carte de la même fonction, mais sans avoir obligation de mettre une carte de valeur supérieure.
Si un joueur ne peut pas fournir la fonction demandée, il joue la carte de son choix, mais ne pourra pas emporter le pli. C'est le joueur qui a mis la carte la plus forte dans la fonction demandée qui gagne les cartes.
Lorsqu'après 8 levées, toutes les cartes ont été jouées, chacun regarde dans les cartes qu'il a gagnées : s'il possède plus de cartes de la fonction de son subalterne immédiat que de sa propre fonction ou s'il n'a gagné aucune cartes, il est sanctionné et rétrogradé.
La difficulté est de savoir quel est le bon moment pour prendre un pli en risquant de gagner des cartes défavorables, ou pour le laisser à quelqu'un d'autre pour essayer de le faire chuter au risque de ne pas gagner de cartes. Il faut aussi tenir compte qu'il y a toujours dans le jeu plus de cartes représentant la fonction du subalterne que celle du supérieur.
Tout ceci est pimenté car les joueurs doivent respecter des règles de langages plus ou moins simples et nombreuses en fonction du niveau de jeu. En cas d'infraction, le joueur reçoit une carte "pénalité" qui a de fortes chances de l'entraîner vers la rétrogradation et lui coutera une retenue sur salaire !
En résumé, un jeu de cartes tactique et d'ambiance dans une atmosphère où les joueurs doivent s'imprégner d'un rôle à jouer sous peine de sanction.
(Descriptif éditeur)