Nous sommes en 2849, à l’aube d’une incroyable émergence d’énergie stellaire. Des sociétés rivales ont positionné leurs navettes d’exploration aux abords d’un amas d’étoiles riche en pulsars et elles sont prêtes à en exploiter les richesses. À la tête de ces sociétés, les joueurs vont s’efforcer d’étendre leur influence en construisant de larges mégastructures spatiales.
... c'est la vitesse de rotation d'un pulsar ordinaire, mais le plus rapide mesuré à ce jour atteindrait les 716 tours/seconde. Comme souvent, les "performances" des objets qui peuplent l'univers dépassent complètement les capacités de représentation concrète de notre cerveau. Toutefois, l'imagination nous permet de rêver et c'est bien ce que nous propose ce Pulsar 2049 de monsieur Vladimir Suchy, auteur notamment de Last will, League of six, Underwater cities ou encore Praga Caput Regni.
L'accès à une énergie propre et quasi-éternelle est bien une préoccupation dans l'air du temps. Ici, nous sommes dans le futur, l'Humanité est partie loin dans l'espace et en construisant des gyrodines, nous projetons d'exploiter la formidable énergie des Pulsars. Au passage, on explore aussi des mondes inconnus et puis on développe diverses technologies que l'on ne partage pas avec les autres (c'est pas un coop non plus hein...).
Techniquement, le jeu est un 3 X (exploration, expansion, exploitation) avec du développement de technologies, le tout fondé sur un système d'activation par des dés. Pulsar 2849 impose une vraie compétition dans les différents secteurs du jeu, à commencer par la sélection de vos deux dés : il serait fastidieux de vous expliquer comment, mais sachez que choisir deux dés est déjà un beau challenge si l'on considère ce que vos choix impliquent. A noter qu'il y a 8 manches et que vous disposez en théorie de 16 dés-actions pour toute la partie. Toutefois, vous pouvez avoir une action supplémentaire grace à un dé rouge qui vous semblera indispensable après quelques tours. Les actions possibles, variées, exigent d'effectuer de vrais choix stratégiques et d'anticiper notamment le décompte final dans lequel figurent entre autres des contrats qu'on a parfois tendance à oublier lors des premières parties mais qui peuvent s'évérer cruciaux pour déterminer le vainqueur.
Le livret de règles peut faire un peu peur (20 pages), et pourtant tous cela est très clair, le déroulé de la partie est fluide et l'on découvre un nombre de possibilités qui vous désarçonnera un peu au début avec vos deux pauvres petits dés. Et pourtant, au fil des tours, vous sentez une montée en puissance, les idées de coups vous viennent plus naturellement à l'esprit, les petites fourberies aussi... je pense par exemple aux pistes Ressources et Ordre de jeu, ou encore aux technologies dont les places sont limitées. On peut intégrer (ou non) dans la mise en place les Quartiers Généraux, un petit plateau individuel où vous êtes seul maître à bord. Le développer vous apportera plein de bonus bien utiles, néanmoins il est recommandé de ne pas les utiliser lors la première partie.
Parfois comparé à Die Burgen von Burgund de Stefan Feld (surtout pour le système d'actions des deux dés et la possibilité de les modifier), Pulsar 2849 est quand même plus joli [EDIT du 16/12/2023 : Je comparais ici Pulsar avec l'édition Alea des Châteaux de Bourgogne, pas avec celle "deluxe" sortie en 2023] avec un matériel très sympa, mais c'est surtout un jeu plus concurrentiel et bien plus varié dans ces options. Pulsar 2849 est d'une grande richesse, les tuiles technologies sont recto-verso avec des options différentes (à choisir durant la mise en place), pareil pour les quartiers généraux. C'est un jeu avec plein de tentations, mais le nombre d'actions vous obligera à vous discipliner pour ne pas partir dans tous les sens et vous concentrer sur quelques aspects du jeu. S'installer sur de nombreuses planètes, développer les transmetteurs, placer un maximum de Gyrodines à un, deux ou trois points, développer le QG, découvrir des techno, préparer les contrats de fin de partie... je vous préviens, il faudra faire des choix.
Habituellement, je tique toujours un peu quand les pistes potentielles de points de victoires sont trop nombreuses, comme dans la plupart des jeux feldiens ou rosenbergiens. Avec Pulsar, ça passe très bien, peut-être parce que chaque source de points a été pensée non pas pour équilibrer le jeu, mais bien pour laisser la possibilité aux joueurs d'élaborer des stratégies différentes à chaque partie et trouver de nouvelles combinaisons. Attention quand même, si on se disperse, on peut prendre de grosse ratatouille.
En parlant de dispersion, si j'avais une petite critique à formuler, ce serait à propos des QG. Je trouve d'une part qu'ils font un brin doublon avec les plateaux technologies (et accessoirement les rendent un peu moins concurrentiels) et d'autre part, on pourrait ressentir un peu de frustration car le nombre de dés pour les actions n'augmente pas alors que les cases où jouer sont du coup encore plus nombreuses. Mise à part cette réserve très mesurée (je joue avec les QG à la demande et sans rechigner), je ne comprends pas pourquoi Pulsar 2849 est passé sous les radars des amateurs de jeux genre Châteaux de Bourgogne ou Marco Polo (sauf un certain trictracien qui ponce le jeu depuis quelques temps avec son fils au moment où je rédige cet avis).
Je compte Pulsar 2849 parmi mes jeux préférés sortis en 2017 (édité chez Iello en 2018), en compagnie notamment de Terraforming Mars et Great Western, c'est vous dire...
Pour en savoir un peu plus, deux petits conseils de lecture : un article d'Arthélius sur Trictrac et l'article de Loïc sur son site jeudeplateau.com.
Bon bon bon, je commence par ou ?
Ce jeu permet de faire une fouletitude d'actions de toute sortes, si bien que l'on peut partir dans pas mal de directions différentes: vais je coloniser des planètes... ou alors des pulsars... a moins que j'améliore les transmetteurs, etc etc... On vois bien que lors des 8 manches constituant une partie on sera très loin d'avoir le temps de tout faire ! Et c'est ca qui est bon, les possibilités sont vastes et il faudra pas mal de parties avant d'en faire le tour (si toutefois on y arrive) d'autant plus que le plateau de jeu est recto-verso tout comme les projets, les objectifs et les plateaux joueurs qui peuvent être différent à chaque partie ^^
Niveau mécanique ca tourne bien, pas de hasard malgré l'usage de dés (draft de dés au programme) et la tension monte au fur et a mesure que la partie avance car les choix deviennent de plus en plus cornéliens.
Niveau matos, c'est bien fournit et de qualité: pions nacré, dés argenté, carton épais.... Malgré que le thème soit l'espace, le plateau est loin d’être froid, Il est justement superbe et coloré a la fois. Par contre, attention, prévoir une grande table !
Pulsar 2849 c'est aussi du "jeu velu" alors évitez de le sortir quand la grand mère viens vous rendre visite :p ! Pour info ma première partie à 3 aura duré 3h.
Mention spéciale pour le thème qui a été bien bossé. On vois que l'auteur s'est renseigné et sait de quoi il parle. Très intéressant !
NB: Après quelques parties, on se rend compte que certaines "voies" rapportent trop peu pour être réellement utilisé lors d'une partie: les transmetteurs et objectif personnel sont alors délaissés quand on connait le jeu, c'est dommage.
simple et malin, ce pulsar m'a fait une très forte impression !
A notre tour 2 actions + éventuellement 1 action bonus sur 8 tours, c'est peu, très peu mais ce jeu fourmille de tellement d'invention que le plaisir de jeu est très intense.
Déjà le système des 2 pistes initiative et technologie pour la répartition des dés est d'une intelligence et d'une élégance surprenante.
De nombreuses façons de marquer des points mais il faut bien préparer ses coups car ils sont rares et donc il faut optimiser au mieux ses actions Ce jeu me fait penser dans l'esprit aux Château de Bourgogne, surement l'utilisation des dés mais pas uniquement. Peut être pas aussi riche (à voir), mais en tout cas bien plus dynamique, une lutte de tous les instants sur les différents secteurs du jeu.
Par contre graphiquement on est aux antipodes du pastelo pâlichon on passe au psychédélico bariolé.
La variante 2 joueurs est excellente.
manque juste une variante solo pour atteindre le nirvana ludique
Underwater cities et prodiguals club mettent cet auteur au rend de génie du jeu! Avec ce PULSAR 2849 il nous offre rien de moins que son meilleur jeu... une perle du multi point, un must de la rejouabillité, les mécaniques qui tournent au cordeau ...
Un pure bonheur
Sorti il y a un peu plus d'un an Pulsar 2849 a déjà quasiment disparu des radars ludiques.
Et pourtant je considère qu'il s'agit d'un des meilleurs jeux sortis ces derniers mois.
Aussi agréable à deux, trois ou quatre, proposant des parties rapides (une heure à deux, rarement plus d'une heure trente à trois ou quatre) il est desservi par une installation assez longue et un encombrement certain.
A l'instar d'un Yokohama la table de jeu est visuellement surchargée et le jeu semble plus complexe qu'il n'est en réalité.
Il s'adresse à des joueurs aguerris et la première partie permet de découvrir toutes les voies de développement. Il existe dans ce jeu quatre ou cinq axes de scoring (visite de planètes, gyrodines, transmetteurs, technologies, plateau individuel) et contrairement à certains jeux il ne s'agit pas de grappiller des points partout mais plutôt de s'investir sur une ou deux voies en utilisant les autres a minima pour optimiser ses actions. L'éparpillement est à proscrire mais il faut être opportuniste et pragmatique pour adapter sa stratégie.
Le système de sélection des dés permettant de réaliser des actions est particulièrement astucieux.
Le jeu à quatre est plus tendu qu'à trois ou deux car la compétition est plus rude mais on n'est jamais bloqué, plutôt ralenti.
Thématiquement le jeu est porté par le plateau central et le déplacement des navettes mais c'est surtout sa mécanique qui lui permet de briller.
J'ai joué plus d'une dizaine de parties sans jamais utiliser la même stratégie (ce qui est permis voire imposé par les plateaux modulaires). Toutes m'ont semblé compétitives et il m'a toujours semblé que le vainqueur était celui qui avait le mieux maitrisé sa partie, ce qui est un critère d'excellence pour un jeu expert.
Les règles sont claires et les aides de jeu efficaces ; je n'ai jamais eu le moindre doute dans mes parties.
Je sais que si je ressors le jeu dans quelques mois je serais à même d'y rejouer sans difficulté et sans hésitation tant il est fluide et cohérent. Aucun point de règle n'est artificiel ou difficile à retenir. Et pour avoir fait découvrir le jeu à de nombreux joueurs je crois n'avoir jamais eu de point de règles soulevé en cours de partie, après une explication initiale d'une vingtaine de minutes.
Alors certes ce jeu n'a pas fait de buzz (8 avis sur TT en un an, quasiment aucune mention sur le forum), il sera peut-être soldé dans quelques mois mais il n'en est pas moins excellent. Parmi les dizaines de jeux que j'ai pu pratiquer cette année, il est sur mon podium.
Voici un jeu avec une très belle édition : le plateau principal est rond et il faut de la place sur la table. Et l'ensemble est très modulable par les plateaux joueurs et les plateaux technologie qui peuvent changer selon notre désire.
Les règles sont facile à comprendre et à expliquer. 3 phases : on choisit les dés, on joue les dés et puis on passe à une phase production de points de victoire et de réajustement du 1er joueur (attention il faut avoir le nez sur les règles pour les égalités)
Il n'y a pas à dire les tours s'enchainent. Et même si l'on est un peu perdu au début. La stratégie s'installe en fonction des dés et des actions des autres joueurs.
Un jeu sympa ou l'on regarde le jeu des autres joueurs sans rester dans son coin. On oublie un peu le thème au cours du jeu pour faire une course aux points de victoire.
A posséder dans toute bonne ludothèque cela change des jeux ou l'on utilise les dés.
Excellent jeu de gestion de ressources et de placement, cependant même si il peut légèrement être atténué le hasard des dés est là, de plus par rapport à d'autres jeux du même style je ne lui mettrais pas plus car je suis frustré qu'il n'y ai pas une réelle évolution quand aux possibilités de faire plus de choses au dernier tour par rapport au premier. En effet, à son tour on joue 2 dés, souvent 3, au maximum 4 mais que ce soit au ° ou au 8° tour ce sera pareil or on aimerait sentir l'évolution de ses actions précédentes comme dans un terra mystica, orléans, altiplano, russian railroad.... que je n'ai pas retrouvé ici, cependant le jeu est excellent
"Même après avoir fait un écrémage à travers divers articles, vidéos....il y a encore beaucoup de jeux qui nous (me) tentent.
Et parfois, il faut l'avouer, on attend TANT d'un jeu, on a imaginé tant de choses, espéré tant de sensations, d'excitations, que, quand arrive l'ELU, et bien on est parfois déçu, voir grandement déçu, on en attendait (ou imaginait) trop. " : Ça serait pas aussi un des travers de Kickstarter et autres Ululle ?
Ca j'avais déjà compris.
Donc tu penses que les règles de déplacement standart s'applique aussi au courses quantique (Cf projet du QG) ?
Mon interrogation est justement la. Est que l'on visite en course quantique ?
Dans l'exemple du livret le jeton planète n'est pas retourné, il reste face cachée.
Cette année encore, durant Ludinord 2018, nous avons organisés le France Europemasters, tournoi officiel qualificatif pour l’Europemasters, championat d’Europe de jeux de société se tenant annuellement lors du Spiel à Essen (Allemagne)
Cette année, nouvelle salle, ce qui a été positif et négatif pour l’heure de début du tournoi. Positif car les portes furent ouverts à 9H15, ce qui nous a permis de recevoir les équipes au fur et à mesure de leur arrivées, et pouvoir espérer démarre à 10H, heure officielle du début du tournoi. Négatif, car qui dit changement de salle, dit personnes qui se trompent, et donc retard à l’arrivée. Heureusement, la dernière personne à fini par arriver à 10H15, ce qui nous a permis de démarrer le tournoi avec seulement le quart d’heure de politesse de retard.
Les jeux du tournois étaient Ilôs (la boite de jeu), Photosynthesis (Blue Orange) Roll for the Galaxy (Gigamic) et Otys (Pearl games/Libellud). 11 équipes ont répondu présent, promettant un tournoi relevé.
Entrée (chaude), Ilôs. Un bon jeu pour une entrée en matière en douceur dans la compétition. Il s’agit d’explorer un archipel et d’en exploiter les ressources, tout en jouant subtilement sur leurs valeurs. Il y a également un moyen de mettre quelques bâtons dans les roues des adversaires par l’intermédiaire de bateaux pirates qui viennent perturber l’exploitation des ressources des iles. Le temps moyen des parties est de 59 minutes, la première table finissant après 44 minutes, la dernière après 1H15. Le meilleur gagnant a fait 208 points, les gagnants à minima, à égalité sur une table ont fait 72 points, le meilleur dernier s’est incliné malgré 170 points, le plus faible score étant de 54 points
Plat principal, Photosynthesis. Un casse neurone comme on les aime, aucune chance au hasard, un jeu simple dans les règles et ardu à maitriser. Le concept : faire croître des arbres en utilisant l’énergie récupérée par l’ensoleillement desdits arbres. Au plus les arbres sont grands, au plus ils amènent d’énergie, et au plus ils perturbent les autres arbres par leur ombre. Le soleil tournant autour du plateau fait changer à chaque tour l’orientation des ombres et donc les arbres ensoleillés ou non. Le seul moyen de gagner des points de victoire est d’amener ses arbres à maturité afin qu’ils meurent, en libérant 1° de la place pour les autres et 2° les points de victoires. L’inconvénient principal étant le risque d’analysis paralysis de la part de joueurs un peu lents à l’analyse. Les résultats montrent effectivement les écarts importants qui peuvent exister entre les diverses parties. Le temps moyen des parties est de 1H36 , la première table finissant après 1H05, la dernière après 2H15. Le meilleur gagnant a fait 114 points, les gagnants à minima ont fait 88 points, le meilleur dernier s’est incliné avec 76 points, le plus faible score étant de 47 points
Trou(noir) normand. Rejeton de Race for the Galaxy, Roll en reprend le thème et le principe, mais sous forme de dés à lancer. Au plus vous colonisez de mondes, au plus vous aurez de dés, et au plus vous aurez de développement, au plus vos dès auront de capacités, réduisant drastiquement les aléas des jets. Les mondes de départs ont été déterminés pour toutes les tables, afin de réduire le hasard du tirage initial. Le temps moyen des parties est de 58 minutes, la première table finissant après 41 minutes, la dernière après 1H10. Le meilleur gagnant a fait 67 points, le gagnant a minima a réussi à gagner avec seulement 24 points, en rushant sur les mondes et technologies à bas coûts, le meilleur dernier s’est incliné malgré 35 points, le plus faible score étant de 16 points.
Dessert. Otys. Dans le genre dessert, Otys est plus du genre Choux à la crème nappé de chocolat, que corbeille de fruits ! Mais c’est tant mieux, car nous ne sommes pas venus pour faire un régime ludique. Le principe du jeu est de faire agir des ouvriers au diverses capacités, afin d’obtenir de quoi réussir des contrats, dans un environnement évoluant (verticalement) sans cesse, d’où la nécessité de prévoir des plans A, plans B… sans aller néanmoins jusqu’au plan Q (quoique…). Le temps moyen des parties est de 1H20 , la première table finissant après 1H08 minutes, la dernière après 1H45. Le meilleur gagnant a fait 19 points, les gagnants à minima l’ont fait avec le minimum légal de 18 points, somme à atteindre pour faire terminer le jeu. Les meilleurs derniers se sont inclinés avec 16 points, le plus faible score étant de 4 points.
A la fin de ces 4 parties, l’équipe des Simul’ à tort (simulateurs de Villeneuve d’ascq, champions d’Europe 2010) se retrouve en tête avec 59 points de victoire, et sont donc qualifiés pour l’Europemasters. (voir cet article) La seconde équipe, avec 56,5 points est Ludopale (Lud’Opale de Calais, second à l’Europemasters 2016) qui elle aussi est qualifiée. Gageons que ce tournoi relevé aura su faire émerger la substantifique moelle des joueurs afin de conquérir à nouveau le Graal Européen. A noter que nous savons depuis peu quels seront les jeux sur lesquels se disputera l’Europemasters. Il s’agit de
Pulsar 2849 – CGE
Keyper – R&D games
Clans of Caledonia – Karma Games
Heaven & Ale – Eggertspiele, en France, le Bien et le Malt , édité par Plan B games
Comme vous pouvez le constater, ça ne va pas être de la gnognotte.
Nous tenons à renouveler nos remerciements à nos généreux sponsors sans qui nous ne pourrions pas organiser ce tournoi. La fédéjeux, qui organise Ludinord , et nous fournit le lieu, et la visibilité de l’évènement, Les éditeurs Blue Orange , Gigamic , La boite de jeu , Libellud et Pearl Games , pour nous avoir offert les jeux du tournoi, et le site Esprit jeu pour les lots distribués. Sans eux, rien n’aurait pu être organisé.
[[Clans of Caledonia](https://www.trictrac.net/jeu-de-societe/clans-of-caledonia)][[Ilôs](https://www.trictrac.net/jeu-de-societe/ilos)][[Keyper](https://www.trictrac.net/jeu-de-societe/keyper)][[Le bien & le malt](https://www.trictrac.net/jeu-de-societe/le-bien-le-malt)][[Otys](https://www.trictrac.net/jeu-de-societe/otys)][[Photosynthesis](https://www.trictrac.net/jeu-de-societe/photosynthesis)][[Pulsar 2849](https://www.trictrac.net/jeu-de-societe/pulsar-2849-1)][[Roll for the Galaxy](https://www.trictrac.net/jeu-de-societe/roll-for-the-galaxy-1)]