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Boîte du jeu : Yom Kippur

Yom Kippur

Jeu

2004

Une simulation de la guerre du même nom (1973).

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Enea Riboldi
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International Team
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Nombre de joueurs :2 - 4
Age :12 ans et +
Durée de partie :120 min
Langues :Français
Date de sortie :30/06/2004
Fiche mise à jour le :24/11/2021 16:34:39

    Contenu

    info

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    5,7

    Description de la communauté

    Une simulation de la guerre du même nom (1973). Yom Kippur est une simulation de la bataille du Sinaï entre Tsahal et les armées syriennes et egyptiennes (octobre 1973). Contexte historique : en 1973, l'Egypte et la Syrie, profitant de la fête religieuse juive du Yom Kippour, attaquent Israël. La surprise est telle que les assaillants avancent rapidement dans le territoire israëlien. Mais deux jours après l'attaque, Tsahal se réorganise et contre-attaque violemment pour finalement repousser les armées de la coallition très loin dans le désert du Sinaï. Le système propose deux niveaux de jeu : débutant et expert. Certains fronts et aspects de la bataille ne sont pris en compte que dans les parties pour joueurs confirmés. Matériel : 236 pions 2 plateau de jeu en 3D Des aides de jeux [*]Règles

    Images & vidéos

      Les avis

      • 4
        15/03/2017

        K.fir VS Mig 

        Wargame sur basé sur la bataille de Yom kippur....Chiant, long, viello, moche. fragile bref un fossile dans le genre.........
      • 6
        10/03/2014

        Salomon, vous êtes juif? Je vous garde quand même! 

        Nombre de parties : 5+ / Un plateau en dur, c'était tellement innovant qu'on commence à peine à en revoir dans les boîtes de wargames aujourd'hui. Bon, faut pas être allergique aux symboles OTAN, mais à part ça le reste du matos est quand même de bonne qualité. Je regrette juste la boîte trop grande qui prend de la place. Au niveau du jeu, la situation asymétrique est bien rendue et donne un jeu tendu : qualité contre quantité, mobilité et réaction accrue des israéliens, réserves, renforts, avions, table de combat. Tout est différent dans les deux camps. Heureusement pour les arabes, les israéliens sont beaucoup moins nombreux et doivent faire des choix sur quel théâtre privilégier. Une bonne dose de bluff sur les raids aériens est pour beaucoup dans le plaisir du jeu, surtout quand on se rend compte de l'importance de ceux-ci et surtout des pertes qui y sont associées. Là est tout le paradoxe du jeu : pas facile de gagner aux points pour les arabes si l'Israélien ne casse pas ses unités, en particulier sur les Sams. En effet, l'arabe peut très bien tenir une grande partie du terrain, synonyme de victoire visuelle et finalement perdre lamentablement car ses pertes sont trop lourdes vis à vis de son adversaire. Il ne faut donc pas se laisser endormir et tuer, tuer, tuer, sans quoi aucune chance pour lui (sauf mort subite) Un jeu prenant, jouable en une séance et qui n'a pas trop vieilli. Parfait pour débuter vu le nombre de pages de règles. Attention toutefois à bien utiliser les règles de l'édition eurogames.
      • 6
        07/01/2008

        Israel succombera-t-il sous le nombre ? 

        La masse contre la quantité, tel est le choix qui s'offre au joueur de Yom Kippur. A première vue, on se dit que l'Israelien n'a aucune chance : le nombre de pions arabes est impressionnant, les indicateurs sur les pions sont relativement semblables et l'arabe dispose de quelques avanages : SAM, conditions des premiers tours suite à la surprise de Kippur bref on donne pas cher de la peau de l'Israelien. Cependant, il ne faut pas s'arrêter là et regarder les tables de plus près et là ce n'est pas du tout la même chanson , l'Israelien est outrageusement avantagés, surtout au niveau de l'aviation (au point que je pense que le jeu est déséquilibré en faveur de ce dernier). Le joueur arabe doit donc agir avec méthode et coordination s'il veut gagner. Il doit avoir un plan de mouvement qui lui laisse une couverture anti-aérienne sans laisser de répit à l'Israelien : si celui-ci à le temps de se regrouper pour frapper une fraction des forces arabes (surtout non couverte contre l'aviation), le plan arabe a de forte chance de tomber à l'eau . Bref bon rendu mais il faut un joueur arabe expérimenté pour que le jeu ne soit pas rapidement plié.
      • 6
        16/03/2007

        Duel au soleil 

        Dans les années 1980, la maison IT fournissait des jeux à la présentation impeccable mais aux règles inabouties. Ce jeu comprenait deux cartes en 3D (aux graphismes cependant inférieurs aux autres produits de cet éditeur), environ 240 pions (symboles OTAN) et deux livrets (règles et scénarios). Les valeurs des unités de combat israéliennes et arabes étaient assez proches les unes des autres mais la différence se situait au niveau des tables de combat (terrestres et aériennes) avantageuses pour le joueur israélien qui se révèlait également beaucoup plus mobile. Le jeu, malgré les approximations des règles, était très accessible et agréable. Des petits plus (SAM, génie, fortifications, etc.) rendaient ce jeu original et il abordait les deux fronts (égyptien et syrien) du conflit de 1973. Bilan globalement positif donc; j'ajoute que j'ai joué une demi-douzaine de parties de ce wargame dans la seconde moitié des années '80 dont une avec les règles modifiées par Eurogames (repreneur d'IT en 1989).
      • 6
        25/11/2005

        La quantité face à la qualité 

        La quantité : la coalition arabe, en majorité des égyptiens et des syriens. Des unités lentes, peu puissantes mais nombreuses. La qualité : Israël, peu d’unités mais quelles unités. Les israëliens doivent faire vite et bien pour repousser leurs ennemis. Seules des actions rapides et tranchantes viendront à bout de la marée arabe. La grand avantage israëlien provient de son aviation très bien entraînée et techniquement au top niveau. Mais c’est sans compter avec les défenses anti-aériennes de leurs adversaires, les fameux SAM. Redoutables batteries qui protègent les unités terrestres qui traversent le plateau du Golan ou bien le Nil. Face à cet antagoniste, le joueur israëlien a deux options : saturer le système défensif anti-aérien en jettant simultanément toute son aviation sur les objectifs. Tactique téméraire car beaucoup de Phantom ne rentreront pas à la base. Autre solution plus sage : laisser les unités terrestres arabes avancer et donc se mettre à découvert de leurs défense anti-aériennes. Les SAM bien qu’efficaces ont ce défaut : il faut un tour pour les démanteler et un autre tour pour les remonter. Il en coûtera au minimum trois tours d’inactivité pour déplacer chacun d’eux. C’est à ce moment que l’aviation israëlienne peut frapper sans prendre trop de risques. Le joueur arabe a tout intérêt à planifier ses déplacements afin d’oganiser une couverture mutuelle sous peine de perdre toute défense anti-aérienne. Les israëliens peuvent aussi se déplacer en helicoptère. Règle que j’ai trouvée assez mal définie car une unité terrestre mécanisée qui se déplace uniquement sur route va plus vite qu’une autre héliportée. Quoiqu’il en soit, un bon challenge pour les joueurs, quel que soit le camp qu’ils aient choisi.
      • 6
        07/03/2005

        Grand Ancien 

        Un des premiers wargames que j'ai acheté (1983 deja !!) Des regles simples mais pas simplistes sur un théatre d'opération peu vu en wargames. A noter un plateau de jeu en "3D" c'est a dire avec les niveaux d'altitudes représentes par des bouts de cartes a hexagones que l'on superposent, innovant pour l'époque.
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      Yom Kippur d'International Team - contenu de la boiteYom Kippur d'International Team - contenu de la boite
      tu devrais plutot demander ça sur strategikon http://www.strategikon.info/forum2/viewforum.php?f=3

      jmguiche

      08/06/2004