Bruges est un nouveau jeu de cet auteur prolifique qu'est Stefan Feld.
Ici on est clairement dans du léger : le jeu est basé sur des cartes, le plateau ne servant que de support.
Pour essayer de faire une filiation avec ses autres jeux, l'auteur nous remet des dés. Mais ici, ils ne servent point à faire des actions, mais juste à prendre de l'argent , à progresser sur la piste de réputation et à (éventuellement) recevoir des jetons Danger, qui lorsqu'on complète le camembert, déclenchent un malus. Les résultats sont assez aléatoires, mais ça sert bien le jeu.
Le matériel est de bonne facture, avec de jolies illustrations (sauf le sabot qui est aussi solide qu'une feuille de papier !)
La grosse originalité de Bruges ce sont les cartes, que l'on peut utiliser pour faire des actions (5 en tout) et qui possèdent leur propre pouvoir, matérialisé par un personnage que l'on peut héberger. Ces personnages étant divisés en plusieurs catégories, il est facile d'imaginer une stratégie axée sur telle ou telle catégorie...à condition de garder les dites cartes en main !
Cela m'amène au défaut le plus évident : les cartes étant divisées en 5 couleurs, on peut rester bloqué plusieurs tours, ans la construction des canaux si les cartes qu'on pioche ne correspondent pas à la couleur de la case !
Les sceaux d'excellence sont bien pensés, mais celui sur les personnages peut être très compliqué à gagner si vous avez à la table un joueur qui héberge des personnages à la pelle. Seuls les malus peuvent gêner les autres joueurs, mais comme il faut compter sur les dés... Certes, certains personnages déclenchent des malus, mais il faut réussir à le poser.
Au final, Bruges est un jeu fluide et accessible, mais qui laisse un goût de trop peu dans la bouche. Certes, ce n'est pas un gros jeu, mais il n'y a pas beaucoup d'interaction dans la mécanique. Ce n'est pas comme s'il fallait se battre pour avoir la carte, pour pouvoir gagner des points de victoire ou afin d'éviter le malus en fin de manche.. A ce titre, je préfère le méconnu Die Speicherstadt du même auteur.
Partie fluide et rapide. Matériels ok. L'ensemble tourne bien et il y a de nombreux choix au niveau tactique. J'étais déçu par Rialto que je trouvais trop léger mais ce Feld me plait bien.
Je suis très heureux d'avoir joué à jeu de Stephan Feld qui me plaise vraiment. Dans Bruges il a enlevé tout ce que je n'aimais pas dans Trajan ou dans Amerigo (notamment les points de victoires qui "popent" dans tous les sens) et il a ajouté ce qui y manquait (du tirage de carte). A propos des cartes, elles sont au cœur du jeu, il y en a 165, elles ont chacune une illustration différente et avec Michael Menzel à la palette on est pas déçu du voyage. Les règles sont limpides, les façons de marquer des points de victoires sont très explicites. Il ne reste plus aux joueurs qu'à explorer les différentes stratégies en essayant de faire les bons choix dans l'utilisation des cartes.
Ce n'est pas mon premier jeu avec un nom de ville ! mais c'est bien le premier qui m'enthousiasme autant.
Il y a la dedans autant de plaisir que dans une boîte de chocolats.
Encore un jeu sur le moyen-âge serait le reproche, mais une fois encore les illustrations de Herr Menzel sont gourmandes, 165 cartes différentes ... un régal qui ajoute au plaisir du jeu.
Un jeu pas compliqué, quoique pas évident à appréhender la première fois tellement on ne sait pas trop comment utiliser ses cartes à bon escient !
Les personnages semblent tous intéressant, pourtant on ne peut pas tous les jouer dans une manche, il faut donc à regret et souvent les défausser pour pallier à une urgence (le manque d'argent, un fléau imminent etc...).
Dans ce mécanisme je retrouve ce qui m'a fait aimer "Un monde sans Fin" *(du Moyen âge à la sauce Menzel encore)*. Des possibilités mais l'impossibilité de pouvoir tout faire ce que l'on veut. Etre confronté à des choix difficiles et tenter de courir après tout ce qui nous manque sans jamais réussir vraiment à avoir ce qu'il nous faut.
Les sphères d'influence sont un moyen sympa d'inciter chaque joueur à ne pas délaisser une source de point de victoire.
Il y a probablement de la chance avec le tirage des cartes, parfois on n'arrive pas à avoir la couleur qu'on souhaite, ok les dés roulent au début d'une manche ! je comprend que ça puisse être rageant, mais moi j'aime bien cette aléa dans un jeu. Il faut savoir s'adapter à une configuration nouvelle à chaque manche.
Une fin de partie qui arrive trop vite, juste au moment ou notre quartier devient rentable ! mais on peut aussi tout simplement allonger les parties en ajoutant des cartes ! oh ben oui ...
Je pourrais résumer ce jeu comme ça :
*"argh je voulais garder la carte jaune pour défausser mon jeton danger, mais en même temps elle me rapporte 6 tunes si je le fais pas ! et m\*\*de en plus j'ai besoin de bonhommes jaunes pour faire ça donc faut que je la défausse et je voulais la poser car le personnage est trop bien !*"
En voilà un jeu sympa et bien pensé. En deux manches, on avait compris pratiquement tous les mécanismes avec ma femme. Et pourtant les règles en 12 pages et uniquement en français nous faisaient un peu peur au début. Mais au final, ça se lit vite et si en plus on regarde la trictrac TV sur le jeu, ça va vite.
Pour le coté aléatoire, il y a un seul jet de dé par tour et dont les effets affectent tous les joueurs. Le reste, c'est à la stratégie pour se débarrasser des vilains marqueurs dangers au bon moment. Risquer de perdre ses ouvriers ou son argent peu compromettre tous vos plans, il faut donc être prudent sans pour autant être parano non plus.
Pour le coté stratégie, vous avez le choix entre 6 actions par carte avec 5 couleurs de cartes différentes et vous jouez 4 cartes par tour, et une multitude d'objectif différents pour gagner des points de réputations (ou points de victoires).
Malgré la déroute de ma première partie (34 à 49 face à ma chérie), j'ai beaucoup aimé ce jeu et je le recommande.
Je le comparerait un peu à 7 wonders pour le coté multiple des stratégies pour gagner. Pour le reste, c'est un mélange de jeu. Vraiment très intéressant et très prenant.
Les plus :
- différentes stratégies possibles pour gagner au final
- système de jeu équilibré ou le hasard est largement compensé par la gestion et la stratégie.
- très sympa à deux joueurs
- les parties ne se ressemblent pas
Les moins :
- ranger c'est un peu long
- On ne peut jouer qu'à 4
Oui, on reconnait sont style, FELD : ses dés, ses cartes à effets multiples, son théme ...heu, là nnon !
Mais peu importe, j'adore jouer du Feld, on retrouve les memes qualités que MACAO, CHATEAUX DE BOURGOGNE, TRAJAN !
C'est dire; plus light que TRAJAN, mais pas moins intéressant. Si vous aimez cet auteur, vous pouvez y aller sans risque.
Ce jeu de Stefan Feld est plein de qualités. Il offre un parfait compromis entre profondeur et durée de partie : la durée n'excède en effet pas l'heure de jeu et sa complexité est suffisante pour stimuler les neurones. Ce jeu de plateau, piloté par des cartes, ravira les opportunistes, mais déroutera les stratèges allergiques au hasard de la pioche. La prise de risque est présente grâce aux dés. L'interaction - entendre la méchanceté envers les adversaires - est présente également par l'intermédiaire des pouvoirs spéciaux des cartes. Sans oublier les illustrations qui permette au jeu de s'incarner. Un bon jeu qui se joue bien dans toutes les configurations.
St. Feld est décidément l'homme du moment, ces jeux sont tous très agréables à jouer ; celui-ci est plus simple, mais ne déroge pas à la règle générale.
Plein de cartes différentes et de pouvoirs différents, une utilisation intelligente des cartes, les règles sont très aisées à expliquer... Comme dans l'année du dragon, des désastres arrivent aléatoirement...
Jeu familial par excellence il plaira à tous, même si l'on peut pester sur la couleur choisie qui n'arrive jamais...
Fluide et très très agréable...
St. Feld l'auteur du moment !
Ce jeu est bien empreint de la marque de son auteur : à la fois simple et complexe, hyper stratégique avec une part d'aléatoire à gérer, des actions à choisir judicieusement et la frustration de ne pas pouvoir tout faire en même temps. Le thème quasi plaqué, aussi, mais on s'en fiche pour ce type de jeu.
Le jeu est basé sur des cartes que vous pouvez choisir entre deux pioches en ne connaissant que la couleur. Chacune peut être jouée de six façons différentes, avec un effet bonus unique si elle est jouée en tant que personnage. Les autres actions sont uniquement liées à la couleur de la carte, l'aléatoire est donc limité.
Parlons des dés qui, au final, ne servent pas à grand-chose mais permettent d'ajouter un côté opportuniste au jeu.
Je n'ai pas joué une partie complète par manque de temps, mais j'envisage sérieusement l'acheter pour pouvoir mieux le connaitre et comprendre comment on est censés réfléchir pour bien y jouer. Deviendra peut-être un coup de coeur !
Je ne suis pas spécialement fan des jeux de cet auteur ! Pourtant ce jeu a réussi a me séduire de part ses différentes mécaniques !
Déjà un matériel plutôt sympa et des cartes de bonnes qualités. L'idée des sabots pour faire passer les deux tas de cartes est juste génial, on fait tourner les decks facilement sans avoir peur de faire tomber tout cela !
Un jeu a frustration comme je les aiment, mais sans pour autant pousser le vices jusqu'à ce que la moindre erreur vous fasse tomber dans les méandres des canaux de Bruges et que vous ne puissiez plus revenir dans la partie !
Une légère dose de risque et de hasard avec les dés pour les " catastrophe " mais qui peux très bien être gérer avec les cartes. Hasard présent aussi dans le tirage de carte, mais il y a toujours moyen d'optimiser sa main lors des tours
Avec tout ses cartes, ses différentes manières de marquer des points et des règles simples, ce jeu me donne envie d'y rejouer encore et encore
Une belle surprise ! même si j'aurai aimé une thématique un peu plus magique, festive et originale ^^
Alors que je n'en attendais pas grand-chose (je l'ai ajouté à mon panier à la dernière minute en commandant d'autres jeux en me disant "on verra bien"), j'ai été plus qu'agréablement surpris par Bruges.
Certes, la part de hasard, notamment au niveau de la pioche des cartes est importante et fera râler les plus optimisateurs, mais c'est également la principale source de fluidité du jeu : on ne passe pas deux heures à réfléchir en début de tour, on pioche et ensuite on s'adapte sa main de cartes.
Pour compenser ce hasard, le jeu nous offre la garantie de n'être jamais bloqué : on peut toujours faire quelque chose d'utile avec ses cartes, toute la saveur du jeu consistant justement à savoir comment utiliser chaque carte au mieux.
Selon les cartes piochées, le niveau d'interaction peut varier mais il ne faut jamais négliger ce que fait son adversaire, ne serait-ce que pour ne pas se laisser distancer dans un domaine.
En bref, Bruges est donc un jeu fluide, très agréable et de surcroît très simple à expliquer, avec une excellente rejouabilité. Et pour ne rien gâcher, les cartes et le plateau sont bien illustrés. Un bon et beau jeu, tout simplement.
Une ville qu'on aime visiter, et la place dessinée sur le plateau de jeu donne envie d'y retourner.
surtout une fois joué une belle partie à ce jeu de gestion, très bonne prise en main, relativement simple, mais pas si facile de gagner, plusieurs possibilités de marquer de points. Interaction entre les joueurs un peu limitée mais présente.
J'ai aimé les cartes très bien conçues, qui permettent 6 types d'action differents.
Feld est l'un de mes auteurs préférés et ses créations ne m'ont jamais déçues (à l'exception de rialto). Ici le mécanisme n'est pas original mais on retrouve ce sentiment de frustration très feldien où l'on voudrait tout faire, que cela n'est pas possible mais aussi qu'il faut forcément renoncer à quelque chose pour espérer gagner. Ici ce sont des cartes qui peuvent être utilisées de 5 manières différentes (ailleurs ce sont les dés). Le jeu est court mais intense et on est tout de suite pris dedans. Les cartes (165) sont toutes différentes et toutes superbement illustrées (menzel of course). Une VF vient en plus d'être annoncée (dommage pour moi car j'avais tout francisé)
Jeu très addictif, son intérêt, sa durée raisonnable et sa complexité moyenne (surtout pour un Feld!) font qu'il sort facilement de sa ludothèque!
Le plateau et les graphismes sont réussis (style de l’immanquable M. Menzel) et on ressent vraiment du plaisir ludique à « comboter » avec nos cartes personnages, le cœur du jeu.
Il faut tout de même savoir que la part aléatoire (du au tirage des cartes) est importante, pouvant booster sa partie (décuplant le plaisir ludique) oubien au contraire faire stagner sa progression (le jeu devenant alors plus frustrant): perso, ce détail ne me dérange pas (surtout en le sachant à l'avance) mais je comprendrai que cela gêne les plus récalcitrants à l'aléatoire.
Quelques variantes seraient possible pour moins subir le hasard de la pioche:
1/ soit piocher jusqu' à 6 cartes (au lieu de 5) en en prenant donc une carte supplémentaire de la pioche de réserve (non des 2 tas courants afin de garder la durée du jeu inchangée) puis défausser immédiatement une carte de sa main sans faire d'action (et en conservant les 4 actions du round à venir)
2/ soit avoir la possibilité de défausser toutes ou partie de ses cartes (serait autorisé une seule fois par round) et en retirer en remplacement de la pioche de la réserve mais en comptant cette phase comme une action parmi les 4 du round (à venir ou en cours selon le moment de ce choix)
avec une préférence pour la variante 1/ car j'ai peur que la 2/ "alourdisse" le jeu avec la recherche à outrance de la bonne carte potentielle...
A essayer et seulement pour les allergiques à l’aléatoire car le jeu est excellent en l’état.
Je me suis paluché "à la mano" la francisation du jeu avec impression (merci aux passionnés pour les fichiers) et découpage des 165 cartes: j'ai évité le collage en insérant la carte francisé avec la carte teutonne dans une pochette plastifiée à la bonne taille (56mmx87mm): ce fut long et fastidieux mais tellement plus agréable à jouer! Je suis également surpris de ne pas voir encore de VF éditée (annoncée officieusement chez Filosofia ca et la sur le web ludique), une version anglaise semble arrivée chez Z-Man (avec un prix d'ailleurs indécent!)...
Rate le 10/10 pour cause du manque de VF
En l'absence d'une VF, le premier constat est que l'opération de francisation des 165 cartes est pour le moins fastidieuse, sans être totalement indispensable puisque le texte des cartes reste facilement compréhensible pour des joueurs un minimum polyglottes.
Passé cette étape, le jeu s'avère simple et fluide dans le principe, tout en proposant une palette de choix et une frustration assez conséquente.
Toute utilisation d'une carte pour autre chose qu'en faire un personnage est en effet un renoncement à l'utilisation dudit personnage. On aimerait bien tout poser, mais comme on est loin de le pouvoir (par manque d'argent à chaque instant), il faut trancher.
L'aléatoire est assez présent non seulement du fait de la pioche, avec en plus l'incertitude liée aux valeurs des dés de couleur.
Quand on a le choix entre deux couleurs de cartes, impossible de savoir laquelle sera la mieux valorisée dans le lancer intervenant juste après. Et si comme par malchance tous les dés indiquent des petites valeurs justement à la manche où j'aurais eu besoin d'un gros revenu, c'est juste dommage pour moi.
A part essayer d'avoir un maximum de couleurs différentes, on ne peut donc pas vraiment contrôler cet aspect.
Plusieurs voies sont finalement possibles et le principe de majorité à avoir au moins une fois dans la partie est bien trouvé.
La partie se termine bien plus vite qu'on l'aurait voulu et on peut se faire surprendre sans avoir forcément pu exploiter ses personnages, d'où une frustration encore accrue (et une envie de rejouer !).
D'un point de vue matériel pour finir, le plateau et les illustrations de Menzel sont de grande classe, la qualité de l'ensemble irréprochable.
On apprécie d'avoir 165 cartes visuellement et nommément différentes (à défaut d'être toutes uniques en terme d'effets ; il y a beaucoup de pouvoirs identiques ou symétriques par couleur)
On aurait par contre aimé disposer de présentoirs permettant de piocher des cartes sans risque de dévoiler la couleur de la carte du dessous, ou, pire, faire s'étaler toute la pile. A chacun de se débrouiller par lui-même (sachant que Hans Im Glück a fourni des présentoirs à un moment donné, mais qu'ils sont depuis impossible à se procurer...)
**Indéniablement plaisante, cette énième felderie, sans démentir le talent de l'auteur à nous proposer une infinité de mécanismes intéressants, est quand même loin de transcender sa production antérieure.**
Elle constitue néanmoins une alternative abordable pour une entrée en matière ou une partie express (1h+).
Un bon jeu de Feld un fois de plus. Règles simples, beaux graphismes, le texte des cartes est certes en allemand mais pas si compliqué. Au final le jeu est fluide mais pas dénué de reflexion.
Ok le hasard de la pioche et des dés peut refroidir certains mais pas moi.
1 seule partie
Le jeu est globalement agréable, mais ne m'a pas marqué plus que ça. Ca tourne sans être formidablement bien équilibré, c'est plutôt bon sans être exceptionnel et relativement original sans vraiment sortir des sentiers battus.
On y retrouve une mécanique à base de dés qui favorise plus ou moins telle ou telle action, qui font arriver des catastrophes et fixe les prix pour le tour, avec le même lancer qui compte pour tout le monde.
La pioche des cartes est trop aléatoire à mon goût, c'est frustrant quand on passe 2 ou 3 tours sans tirer de carte de la couleur que l'on recherche, rendant nos personnages et notre développement de début de partie inutile.
On subit un peu l'interaction, avec peu de moyens d'empecher les autres de faire ce qu'ils veulent. (on peut leur prendre la carte qui les interresse, mais comme on en tire 4 à chaque fois et qu'on ne sait pas ce qu'il y a en dessous...)
La venue d'un nouveau jeu de Feld est toujours un évènement attendu. Perso si je trouve cet auteur brillant, je suis loin d'aimer tous ces jeux (je préfère Macao à Trajan...).
Brügge est un jeu de carte (165!) toutes différentes (mais des effets similaires pour certaines), mais aussi de pose et de choix d'action.
Le jeu est comme toujours très bien équilibré (plusieurs façons de marquer des points et des choix stratégiques importants).
Certes il y a un peu de chance, tout dépend des cartes qu'on tire et de leur effet, mais le hasard se restreint puisque si on pioche les cartes face cachée (en début de tour)on voie la couleur des cartes qu'on pioche!
un système de dé "à la Feld" qui détermine les conditions de début de tour.
Dernière précision il y a pas mal d'interactions entre les joueurs, plusieurs cartes sont "agressives" envers les autres ce qui ajoutent pas mal de piment.
En plus les règles sont faciles et s'expliquent en 10 min (ce qui est rare chez cet auteur!). La rejouabilité est importante vue le nombre de carte.
Il faut compter 30 min (maximum) par joueur.
Petit bémol, les cartes sont en allemand, mais on les trouve traduite en français sans problème (merci à ceux qui se sont donnés du mal pour faire ça!).
J'ai eu l'occasion de tester ce Brûgge vu par notre ami Feld et je dois dire que la visite fût vraiment appréciable.
Une mécanique avec des cartes personnages possédant une action propre et des actions communes à toute carte personnage.
On retrouve la ville de Bruges avec la construction de canaux, un côté Macao avec 5 dés de couleurs différentes.
Bref du bon Feld