Vous retrouverez le personnage qui voyage de Marco Polo, le choix dans un pool de dés de Grand Austria, les cartes qui défilent de Lorenzo; pas de doute vous êtes dans l'école italienne du jeu.
L'originalité vient ici de la double fonction des dés : leur valeur vous permet de récupérer des cartes, leur couleur vous octroie un type de revenu et souvent vous aimeriez que le dé avec un 6 ne soit pas vert mais orange.
Comme souvent dans ce type de jeux vous avez 4/5 pistes de développement et la réussite dépendra de votre capacité à savoir combiner les bonnes cartes. La première partie est un peu dans le brouillard car on découvre mais dès la deuxième les joueurs expérimentés s'amuseront à tenter telle ou telle tactique.
Ma petite dizaine de partie me laisse penser qu'il n'y a pas de martingale et que plusieurs options sont viables.
Les parties durent entre 60 et 90 minutes. Le jeu fonctionne dans toutes les configurations mais il est plus tendu à quatre où l'ordre du tour est important. A deux joueurs vous êtes généralement premier un tour sur deux et le jeu est plus ouvert, chacun réussissant à dérouler sa stratégie.
Le jeu est beaucoup moins comptable que Grand Austria et moins punitif que Lorenzo : vous n'êtes jamais vraiment bloqué.
Le thème est totalement absent.
Les illustrations et couleurs criardes tranchent avec le marron/beige de ce type de jeu mais sinon des jeux de ce calibre il en sort plusieurs chaque année et j'aurais du mal à vous conseiller Coimbra.
Je continue de penser que Marco Polo et ses pouvoirs incroyables de personnages reste la référence dans cette gamme.
Ceci dit mes parties de Coimbra ont été agréables. Mais je ne me souviendrais sans doute plus du jeu dans quelques années (mois?).
Un très bon poids moyen qui mérite d'être connu.
Agréable, avec des gros combos plaisants, plutot rapide (45min à 2)...
Coimbra est un jeu de combos très efficace, mélangeant un peu de Lorenzo dans le fonctionnement de combos de cartes, et un peu de Marco Polo dans le déplacement de notre pelerin sur le chemin du plateau central permettant de débloquer des bonus rendant les combos encore meilleures. 4 manches, pas une de plus, pour mettre en place ET en marche une machine à point le plus efficacement possible, avec un système de sélection des cartes via placement de dés à double couche : la valeur du dé importe pour l'ordre du choix des cartes, mais la couleur impactera le déclenchement et l'amélioration de notre machine à point en fin de tour...
La direction artistique est à mes yeux très réussie, ce qui ne gâche rien.
Un jeu à ne pas manquer si on aime le genre.
Mon avis intervient après une seule partie; il est donc parfaitement pertinent et éclairé.
J'ai adoré.
Les points forts :
+ Un jeu splendide visuellement, très belle patte de l'artiste donnant une belle identité au jeu
+ Interaction très fort
+ Fonctionne très bien à 2 avec les dés neutres très malins
+ Beaucoup de blocages possibles
+ Nombreuses stratégies possibles
Les points perfectibles:
- La partie voyages dans les monastères très peu immersives
- Beaucoup d'icônes rendant la première partie un peu lente pour bien les assimiler
D'emblée ce qui m'attirait avec ce jeu ce sont les couleurs, les illustrations (vives, fraiches, un poil féminin) et le plateau. Là où même sans lire les règles on comprendre que le jeu va nous offrir une belle quantité de possibilités pour scorer mais qu'il va falloir choisir et donc renoncer ! Ce que j'adore !
Les règles sont vraiment très simples à comprendre :
4 manches de jeu qui comprennent : planification, réalisation, ordre d'initiative, activation des cartes et des dés, possibilité d'achat d'un objectif.
Les dés sont clairement le sel du jeu qui a eux seuls offrent 2 actions : l'une concernant la valeur et plus tard l'autre concernant la couleur. Ce choix est déterminant pour optimiser son moteur. Ca chauffe pas mal : on calcule beaucoup, on planifie, on choisit, on espère que le voisin avant nous ne prendra pas la carte tant convoitée, on balade son pèlerin etc... Les temps d'attente peuvent parfois être long au moment de choisir l'emplacement de son dé mais les autres joueurs ne s'ennuient pas pour autant tant il faudra optimiser son choix après celui du voisin, ça fume même pendant le tour des autres.
Il ne faudra pas faire l'impasse sur tel ou tel possibilité de scoring au risque de ce se voir assez pénalisé sur les comptes de fin. Il ne faudra pas non plus se louper car les actions types "boh je ne sais pas quoi faire, tiens ça, par défaut" seront punitives.
Le thème n'est ici qu'un prétexte, on l'oublie assez facilement en disant "j'achète la carte grise et donc je progresse de 3 sur la piste grise" mais on il revient aussi assez facilement sur la phase d'achat des cartes en disant "tiens en protégeant cet évêque avec 4 soldats il m'offre un prestige de 2 en religion, du coup mon pèlera pourra progresser de 5 étapes".
Après le tendu Lorenzo voici Coimbra et sa mécanique de dés sans hasard. C'est un poil moins tendu que son grand frère mais c'est tellement malin, on joue les dés pour leurs valeurs pour payer les cartes puis on utilise la couleurs pour déclencher les pistes d'influences, on ajoute des voyages à pied dans le Portugal pour récupérer des bonus ou en bateau pour gagner des points de victoire en fin de partie et hop quatre tours de jeu et c'est l'heure du décompte, déjà??!!! Ceci est juste un résumé c'est beaucoup plus profond que ça, voir les avis de mes camarades, bon vous l'avez compris je suis fan. Bravo Bravo Bravo
S’il n’y avait pas eu le nom des auteurs de Lorenzo il Magnifico et Egezia sur la couv, je ne me serais pas précipité sur Coimbra, mais là, il est remonté en tête de liste en un claquement de doigts. Jeu magnifico-coloré, Coimbra (au Portugal, décidément da place to be avec Azul) vous propose plein de choses à faire. Comme d’habitude dans ce type de jeu, vous ne pourrez être partout à la fois. Il faudra embaucher des gens qui donnent bonus immédiat, permanent ou de fin (en les payant en argent ou en point de gardes = gestion de son porte-monnaie), avancer sur 4 pistes de scores, voyager avec votre pèlerin sur la carte du pays et surtout vous arrêter sur les monastères qui vous offriront là aussi des bonus. C’est l’utilisation des dés qui fait le sel du jeu. Tout d’abord en les plaçant selon leur valeur pour être devant votre adversaire et faire l’action avant lui, valeur qui sera aussi le montant de votre dépense puis, en tenant compte ensuite de la couleur du dé pour récupérer les bonus des 4 pistes de score.
Le jeu n’est pas spécialement compliqué, il faut assimiler les logos et maîtriser l’utilisation des dés. Moins original que son prédécesseur, (on y retrouve du Marco Polo , du Lorenzo) ce jeu est un pur jeu de combos. Vous avez 4 tours pour créer et faire tourner votre moteur à points, un moteur exponentiel qui vous rapportera de plus en plus. Si vous ne faites pas de grosses erreurs, rien n’est vraiment joué avant terme, les bonus de fin pouvant renverser la vapeur.
Coimbra est superbe (même si certains auraient préféré une imagerie plus classique), c’est une réussite. Il faut surtout aimer les jeux de combos sinon vous risquez fort de trépigner toute la partie
Vous pensez que les jeux avec des dés c'est que du hasard ?
Vous aimez le draft et voulez découvrir une variante avec des dés ?
Vous voulez un jeu qui fasse mouliner votre cerveau en un condensé de 4 manches ? Ni un de plus, ni une de moins !
Mais aussi avec des règles sans des points de détails qu'on oublie après 1 mois ?
Ce jeu est fait pour vous !
10 parties dans toutes les configurations
ce jeu a beaucoup été comparé a « lorenzo le magnifique », d’ou mon hésitation a l’acheter, n’ayant pas apprécié ce dernier.
Du coup je vais faire un petit comparatif entre les deux
Lorenzo/coimbra = jeux de gestion avec des dés, des cartes, de la combo, et de la (pseudo) pose d’ouvrier. Mais ca s’arrete la, ca n’en fait pas du tout deux jeux comparable. (et un des meme auteurs aussi)
Thème : les deux jeux ont un thème completement plaqué. Lorenzo, avec un peu d’efforts, aurait pu avoir un thème bien plus présent grace a sa mécanique plutot cohérente (par rapport au thème), Mais dans les deux cas, ce sont des jeux ultra mécanique et le thème s’est envolé (loin, très loin)
Illustrations : plutot classique pour lorenzo, bien plus original pour coimbra, avec des graphismes qui sortent de l’ordinaire et ses couleurs pastels. On adore ou on déteste. Perso j’adooooore les couleurs pastels.
Bref on s’en fout de tout ca, ca n’a rien a voir avec la mécanique, c’etait juste histoire de donner mon point de vu sur ces deux critères.
Passons aux mécaniques et au ressenti du jeu.
Les deux jeux sont basés sur une mécanique de « pose d’ouvriers »(et encore dans coimbra la pose de son dès permet de récupérer des cartes/tuiles parmis plusieurs mais ne génèrent pas d'action particuliere. a ce niveau, lorenzo est beaucoup plus classique. Je pose, je fais mon action et c’est au tour du joueur suivant. Dans coimbra , il faut programmer ses actions. On pose nos « ouvriers » (dés) et une fois que tout le monde a placé ses dés, on résout les actions (de haut en bas). Du coup, si ta deuxieme action te permettait de faire la 3eme, mais qu’igor t’a chourré ta deuxieme action, tu l’as dans le fion. c’est plus tendu, ca cogite, c’est plus complexe a gérer mais plus interessant (selon mon point de vu totalement subjectif, mais completement vrai quand meme).
Les dés : dans lorenzo, on lance des dès qui vont donner la valeur de nos ouvriers, c’est pareil pour tout le monde, et la mécanique des dés s’arrete la. Dans coimbra, on lance les dés, il va y avoir un draft qui va créer de l’interaction. En plus de ca, dans la phase de pose, la valeur des dés va déterminer l’ordre dans le quel on va résoudre les actions, et le cout des cartes que l’on souhaitera acheter. Et enfin, la couleur des dès va déterminer le type de revenu que l’on obtiendra par la suite. On est beaucoup plus proche de la mécaique du jeu « signorie ». Il y plus de chose a prendre en compte, C’est vachement plus complexe mais fun (toujours selon mon point de vue totalement subjectif mais totalement vraiment quand meme)
Les cartes. Dans les deux jeux on achete des cartes qui vont comboter (ou pas). a la difference que dans lorenzo il y a beaucoup plus de ressources que dans coimbra . Argent et gardes VS argent, bois, pierre, serviteur etc,,, et puis des jeux ou on achete des cartes il y en a la pelle, du coup on pourrait comparer avec des tonnes d'autres jeux.
Interaction : les deux jeux sont très interactif (je n’ai joué a lorenzo qu’a 4). C’es très tendu. La difference est que lorenzo est extrêmement punitif. On m’a chourré mes cartes, je n’ai pas les ressources pour celle qui m’interesse, le temps d’aller les choper (si j’arrive a le faire) on m’aura peut etre piqué ma carte (parce qu’il y a 50 ressources, qui en plus sont difficiles a récupérer) et meme si j’arrive a la choper je n’arriverai pas forcement a l’activer ensuite. Bref, faut etre un peu maso, car tour peux completement etre plombé. Dans coimbra, on peut bien te faire chier, mais il y a toujours un moyen de te rattraper sur autre chose. Ce sera moins bien, ca combotera pas comme tu le voulais, mais t’es quand meme un peu content.
Rejouabilité : Coimbra m’a lair beaucoup plus riche et varié au niveau de ses stratégies. Il y a pleins de choses a faire. Partir a fond sur telle stratégie, faire un peu de tout, faire des mixes,,, il y a vraiment pleins d’axes differents, la ou dans lorenzo j’ai plus l’impression qu’il faille aller a fond sur un axe et un peu dans un autre, et qu’en plus de ca il n’y a pas 50 façons de marquer des points . A ce niveau coimbra fait plus salade de points, mais on se donne tout de meme un cap a tenir pour ne pas trop s’éparpiller.
Au niveau des éléments de jeu qui apportent de la variabilité, dans lorenzo il y les tuiles « je sais plus comment elles s’appelles » qu’on peut très bien ignorer selon sa stratégie. Dans coimbra il y a les differentes tuiles pèlerinage et cartes voyage, qui vont amener plus de renouvellement (toujours selon mon avis totalement subjectif patati patatra) qu’il va bien falloir étudier avant de débuter la partie
Le systeme de malus : lorenzo a ce systeme de malus, ou il faut atteindre un certains niveau dans un domaine pour ne pas se taper de pénalité (comme dans grand austria hotel) que coimbra n’a pas. Ca ajoute une certaine tension. (meme si je trouve GAH beaucoup plus interessant a ce niveau. Et a tous les autres aussi au passage)
Et au niveau ressenti : dans une partie, 12 actions par joueur dans coimbra contre 24 dans lorenzo (si je me souviens bien), et pourant j’ai l’impression de faire beaucoup plus de choses a coimbra qu’a lorenzo. Ca s’enchaine mieux, ca combote plus. En contre partie il y a plus de manipulations et il faut faire attention a ne rien oublier, mais a la fin de la partie j’ai vraiment l’impression d’avoir joué, la ou a lorenzo j’ai surtout l’impression d’avoir subi et d' avoir beaucoup galéré pour pas grand-chose.
Voilà en gros. Vous l’aurez compris, je n’aime pas lorenzo, mais le but n’etait pas la, lorenzo tourne très bien, c’est juste que ce n’est pas ma came. c’etait juste histoire de ne pas mettre les deux jeux dans le meme panier. Ils sont d'un des memes auteurs, ont quelques similitudes au niveau des mécaniques mais n’ont strictement rien a voir au niveau du ressenti de jeu.
Mis a part ca, j’apprécie énormément coimbra. Les régles sont relativement simples, mais bien y jouer demande une bonne grosse réfléxion qui pourra faire saigner par tous les orifices (du visage hein, sinon il faut aller voir un médecin). Le matériel est agréable, c’est plutot fluide (avec des joueurs qui ne réfléchissent pas trop), pleins d’axes stratégiques, ca combote, c’est plaisant, il y a une belle interaction, surtout a 3 et 4 (ca tourne quand meme très bien a deux)
Un excellent jeu dans une gamme pas si fréquente. Ni gros jeu, ni familial. Règles simples, parties rapides. Mais technicité et interactivité au rendez-vous. On adore et on a hâte de le proposer à notre association.
Avec 5 ou 6 parties plaisantes, il confirme être un très bon jeu et sans doute un des meilleurs de 2018, mais je pense qu'il n'a pas toutefois pas les qualités pour faire beaucoup plus de parties.
Cette mécanique de dés est bien sympa, mais les cartes sont trop similaires et à priori seules deux stratégies permettent de gagner : la piste violette ou la piste verte à fond. Et la stratégie gagnante sera celle ou il y aura eu moins de concurrence.
On vient de ressortir Lorenzo est il n'y a pas photo, ce dernier est devenu un classique avec une plus forte interaction.
Dans la parfaite lignée de Lorenzo ou Grand Austria, ce jeu dont la durée en fait un parfait J2s de fin de journée à deux est un classique du genre.
7 parties à 2
Ma 1ere partie, je n’avais pas aimé.
La seconde bof...
3e juste ok...
... et les suivantes j’ai commencé à y trouver mon compte.
Finalement, je ne regrette pas.
Un tres bon jeu je trouve mais ou les neurones fument pas mal car on a toujours envie de trouver ce qui rapportera plus : soit en points immediats soit en fin de partie.
Le placement de dés est ingenieux pour savoir qui va choisir sa carte en premier mais apres une fois que tout le monde à placer ses dés il faut encore se rappeller ce que l'on voulait faire !!
Mais vraiment un bon jeu ou l'on cherche à avancer sur plusieurs tableaux en meme temps ,la premiere partie est un peu laborieuse car il faut apprivoiser les cartes et les bonus apportés, je pense qu'au bout de 4- 5 parties, c'est plus facile de s'y retrouver.
Mais c'est vrai que parfois on part un peu sur plusieurs chemins et à trop cheminer on s'y perd !! ( je ne dirais pas comme le pere Noel car la blague est trop facile !! )
Quelques notes :
- Le coeur du jeu réside dans le choix des dés, respectivement des cartes personnages.
- On peut developper sa stratégie sur 4 axes bien distincts. A ce titre, il faudra tenir sa ligne pour maximiser les points. Toutes les pistes se valent.
- Quatre fois 3 dés à choisir, c'est court et rapide ! Chaque choix aura son importance.
- Coimbra n'est pas un jeu calculatoire. On n'est jamais à une ressource près. Et quand bien même, l'alternative à l'achat d'un personnage n'est pas punitive à l'excès. On peut donc mieux se concentrer sur sa stratégie.
- S'il y a pas mal de matériel, la mise en place est très rapide, car les rangements sont parfaits.
- Si la règle est assez épaisse, l'absence d'exception et les plateaux personnelles rappelant les phases de jeu permettent de facilement apprivoiser le jeu.
- La rejouabilité est fortement assurée par l'aléa des dés, des cartes personnages, des cartes expéditions et par la disposition des monastères.
- Le matériel et les illustrations sont top et changent des autres jeux.
- Coimbra est excellent dans toutes les configurations de 2 à 4 joueurs.
Coimbra est un jeu de pure gestion au thème plaqué (comme souvent dans ce type de jeu) et aux mécanismes plutôt intéressants. Le jeu se décompose en plusieurs phases de jeu : pose d'ouvriers (symbolisés par de dés), récupération de ceux-ci dans un ordre préétabli par leur valeur et achat de cartes personnages puis activation des pistes de revenus correspondantes aux couleurs des dés choisis. Il y a donc un double choix : la valeur du dé et sa couleur ainsi qu’une course de vitesse afin d’acquérir les meilleures cartes. L’interaction entre les joueurs est donc très importante. On retrouve dans ce jeu un peu des éléments ayant fait le succès de l'auteur mais le jeu se démarque tout de même de ses prédécesseurs. Il y a énormément de possibilités de marquer des points, pas de blocage et l'ensemble est équilibré. Une belle réussite
Un très bon jeu de placement d'ouvrier bien tendu ou il faudra bien réfléchir à son coup. Se placer avec son dé et ne pas pouvoir réaliser son action est très très pénalisant, j'ai perdu ma partie car j'ai pas pu acheter une carte au tour 3. Graphiquement pas le meilleur mais plutôt plaisant, on aurait simplement aimé plus de tuiles pour les lieux (même si il y en a plus que nécessaire) à visiter et plus de cartes pour la rajouabilité car là on fait tourner les mêmes.
Un jeu riche et original dans sa gestion des dès. Des regles simples, une mise en place rapide, pour des parties ou la reflexion va bien faire chauffer les têtes. Moins austère que Lorenzo, Coimbra joue également moins sur les pénuries de ressources et est moins punitif. Ca plaira a certains et moins à d'autres.
Un des meilleurs jeux que j'ai acheté ces derniers mois dans cette catégorie (si ce n'est le meilleur).
un très bon jeu de placement où il va falloir s'attirer les faveurs (avec des cartes) de différentes guildes qui vont vous blinder (ou pas) de points.
toutes vos actions comptent et la différence peut être faite sur un détail.
voilà un jeu que j'ai adoré dès la première partie.
si vous ne l'avez pas encore allez-y franchement.
Évacuons tout de suite le thème méchamment plaqué, pour s'intéresser à la mécanique: les joueurs vont choisir à tour de rôle des dés qui vont leur permettre d'acheter des cartes personnages (une valeur de dé élevée permet de choisir avant les autres, mais il faudra acheter le personnage à un prix correspondant à la valeur du dé... Dilemme). Ces personnages offrent des bonus et permettent de monter sur l'une des 4 pistes d'influence. A la fin de cette phase, les joueurs gagnent, pour chaque dé, le revenu correspondant à leur position sur la piste de cette couleur. En résumé, on choisit les dés en fonction de leur valeur pour les enchères et de leur couleur pour les revenus. Il va falloir faire des choix...
Le principe du jeu est simple, mais les choix très difficile. Pour moi, ce jeu se trouve dans la fourchette "basse" des jeux experts.
Un soupçon de Lorenzo, un zeste de Signoré, mélangez, assaisonnez et vous avez Coimbra.
Parfait kukenbois ....non Déenbois, à la mode italienne. C'est subtil, cornélien, mais que c'est bon!
Un peu plus long que Lorenzo (ce que je lui reprochai!) A deux joueurs, comptez 1 petite heure.
De plus, et ce n'est pas négligeable : un thermoformage parfait, et c'est bien la prmeière fois que j'en vois un aussi bien conçu. Déballage et rangement éclair!
Foncez !!!