La couverture est éloquente mais pas spécialement attirante, voire déprimante. Les illustrations sont à l’avenant dénonçant les abus du pouvoir et du pognon sur les masses laborieuses . Ce jeu se veut militant ((l'influence Kapital?). Pourquoi pas, mais cela peut en refroidir plus d’un. On peut aussi féliciter l’éditeur de ne pas tomber dans le gentil-panda-trop-choupi. A vous de voir. Le jeu est une digression à la fois du Uno, du Skyjo et des pouvoirs d’Omerta. Piocher, prendre ou pas, poser une valeur identique, appliquer le pouvoir (échanger une carte/nommer une carte/rejouer) et surtout essayer d'atteindre le score le plus bas en point d'égocentrisme avant la fin de la manche… On pourra se dire que puisqu’il fonctionne, on va faire avec. On pourra, si on est un joueur plus habitué, laisser tomber car on a déjà croisé ses semblables plus d’une fois. Et dans de meilleures conditions.