*Nombre de parties : 1 (à 3 joueurs)*
Oui, c'est vrai, encore une fois, je donne mon avis après 1 partie seulement. mais pour celui-ci, je vous assure, il n'y aura pas de 2ème partie : un jeu où l'on ne doit que "pourrir" les autres et ou il suffit que 2 joueurs s'acharnent pour qu'un 3ème ne puisse qu'assister impuissant à sa défaite n'a rien à faire sur ma table...
Thème rigolo, mécanique originale, parties tendues où l'on aime pourrire les autres: un bon jeu de cartes une fois de plus par le maître Knizia.
Mais cela reste tout de même un petit jeu assez incontrolable quand même...
Si vous aviez des amis avant la partie, ce ne sera plus le cas après.
A moins de vous sacrifier à chaque fois, vous serez bien obligé de charger un peu vos compagnons de jeu pour qu'ils prennent un maximum de cartes. Et au prochain tour, il ne vous louperont pas. C'est là qu'il faut sortir sa farandole et refiler le bébé au suivant.
Les règles sont simples, on peut y jouer en famille, avec des enfants à partir de 7 - 8 ans, à conditions qu'ils acceptent de se prendre des cartes en veux-tu en voilà et qu'ils sachent passer outre leur désir de vengeance pour charger celui qui est le plus dangereux pour eux.
La possibilité d'inverser un morceau de tapis pour le vainqueur de la troisième manche ajoute de la tension, car l'air de rien les parties se gagnent parfois à pas grand chose.
A jouer dans la bonne humeur.
Comment ce petit jeu tout marrant a pu passé si totalement inaperçu ? Faut avouer que les graphismes sont pas très vendeurs. Et c'est vrai aussi qu'à la lecture des règles, on ne comprend pas très bien comment ça va tourner. Mais au fil des tours, on s' y prend, au jeu, pour peu que les zygomatiques soient déjà prêts à se détendre.
Surprenant, fin et assez riche pour un petit jeu qui a l'air de rien mais qui peut faire décoller la soirée en moins de deux.
Encore une des riches facettes du talent de maître Reiner...
Contexte : 1 partie jouée
Points positifs :
- un jeu de goujat où il faut en permanence pourrir le jeu des autres
- la gestion nécessaire des couleurs
Points négatifs :
- le rôle important des farandoles ... et ceux qui n'ont en pas ne peuvent pas faire grand chose
- un peu mécanique
Petit conseil : il est indispensable de tirer au début de jeu l'ensemble des lots des différentes manches.
Ce Knizia là n'est pas un Knizia comme les autres. Hélas. En effet, point ici de mécaniques bien huilées, point de choix cornéliens, point de ce petit quelque chose qui fait des jeux de Reiner Knizia les rois d'une ludothèque comme il faut.
Hélas, trois fois hélas, Figaro repose essentiellement sur la pioche de cartes, sans les aspects "probabilité" que l'on peut trouver à un Schotten Totten, Tabula Rasa ou autre Sudoku - Das Kartenspiel, pour laisser un arrière goût de manque de contrôle auquel l'auteur ne nous a pas vraiment habitué jusqu'à présent.
On pioche donc des cartes que l'on distribue pour se fait haïr, sans jamais se poser une question autre que "Mais qui est en tête ?" pour en trouver la victime. Au final, on compte les cartes de chacun, et même si l'on a une petite idée du perdant, ce n'est pas toujours ni évident, ni anticipé. L'attribution des morceaux de tapis qui suit n'apporte à mon sens pas grand chose, et semble avoir été rajouté a posteriori sur le jeu.
Bref, c'est bien la première fois que cela m'arrive, mais je ne suis pas franchement emballé par un Knizia, et n'aurai sans doute pas envie d'en proposer régulièrement des parties. Cela dit, une fois de temps en temps, c'est quand même marrant, surtout pour qui aime se faire des ennemis !
Voici un petit jeu de cartes magnifiquement illustré qui ravit dès la saisie de la boîte en main.
Mais le jeu ne prend pas car il est difficile de trouver de l'amusement. On peut se retrouver à prendre des cartes sans avoir pu faire quoi que ce soit. On s'acharne souvent sur un joueur pour lui faire prendre les cartes et voilà on passe au tour suivant. Il râle et est-ce amusant ?
Le jeu n'a pas pris chez nous mais peut-être faut-il essayer de mettre de l'ambiance pour y trouver son compte. Mais si il faut forcer la chose c'est déjà moins amusant.
On a loupé un truc ?
Peut-être mais on n'est pas prêt à faire des fouilles pour le retrouver.
Désolé Mr Knizia la sauce n'a pas pris cette fois-ci.
Figaro est une bonne surprise: Lorsque nous avons lu les règles de ce jeu, la table de joueurs habitués que nous sommes n'a pas été emballée... On s'attendait à un jeu de cartes simple et classique, et finalement il s'est révélé au fur et à mesure des manches plus stratégique qu'il n'en avait l'air. Le hasard est cependant présent dans le tirage des morceaux de tapis de tailles variables, mais cela met aussi un peu de piment et de "fun" dans la partie. De plus, les illustrations des cartes sont sympas et bien amusantes. Bref, un petit jeu stratégique et fun à la fois.
J'ai fait une partie, a 6.
Le jeu n'est pas bon ni mauvais. Disons qu'il faut jouer avec les bonnes personnes, a mon avis, pour apprecier tout le jeu. Je veux dire par la qu'il faut que ca joue vite, que ca reflechisse vite (ou peu :) )
pour que tout soit fluide. Si on commence a reflechir, le rythme redescend et on s'ennuie. Par ailleurs, c'est bien que tout le monde se mange un peu de cartes au debut pour mettre un peu de pression. Si on trouve trop vite un bouc emissaire, alors il prend vite cher et perd.
Je mets 3 parce que je peux jouer si je trouve les bonnes personnes. Pour ma seule partie, a mon avis ce n'etait pas le cas, donc je ne demande qu'a augmenter la note d'un "Knizia" de plus :)