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Tous les avis sur Fürstenfeld 2010

14 Résultats

De la finesse et de la stratégie
Un jeu qui a l'air simple mais malin mais qui se révèle sur plusieurs parties être un jeu de course qui permet de vrai choix stratégique et ça fait plaisir.

LoLad

28/04/2020

9
Ils ont du oublier d'intégrer la bière...
Tiens un jeu qui parle de la fabrication de la bière ça change. Et pourtant dès qu'on commence à jouer, on est en droit de se demander... mais où est passé le thème? Clairement un pur jeu à l'allemande comme l'auteur sait le faire. Sauf que par rapport à des Funckenschlag, ici le thème disparaît dès le premier tour. Dommage! En dehors de ça, le jeu est assez simple à jouer, très calculatoire (surtout à plusieurs), jolie mais sans plus. De bonnes idées par ci par là mais au final un mécanisme assez répétitif. Ce qui aurait pu devenir incontournable n'est au final qu'un jeu à l'allemande de plus.

guilou05

24/04/2012

6
Un jeu concis
Une fois les règles apprises. il est aisé de jouer et même à plusieurs les tours sont rapides. Une grande tension à la fin du jeu. Le nombre d'emplacement restreint rend la gestion difficile mais amusante.

tt-6494601b7fe2aa0...

03/11/2011

8
Un jeu allemand type
C'est un bon jeu pour toute la famille. Mais bon échanger des petits cubes pour les points victoires, j'ai déjà Cuba qui est bien plus beau et bien prise de tête. Alors oui, il tourne bien, le système avec les bâtiments dans les cartes est bien penser, mais il manque d'un peu d’âme. A rejouer, mais que de temps en temps.

cosmocrator

26/04/2011

6
Finement Fait
Au vu du matériel (meeples ressources, bâtiments spéciaux...), je m'attendais à un jeu de développement sur le thème de la bière. En fait, pas vraiment : - le cœur du jeu est plutôt la gestion de sa main de cartes - on n'a pas spécialement l'impression de faire de la bière. Hormis la vente des 3 ressources à des brasseries, aucun rapport dans la mécanique. Les différents bâtiments sont eux aussi hors sujet (mairie, banque, etc.) La partie production/vente de ressources est donc des plus classiques, avec un système de montée - descente des prix pas si original que ça. Les interactions sont assez faibles, on vend en général à la brasserie la plus offrante pour soi-même sans forcément gêner les autres. On construit ensuite chacun de son côté. J'ai par contre apprécié : - les dilemmes pour la défausse de cartes - la condition de victoire : pas d'usine à points ici - l'ordre du tour inverse des gains du tour précédent - les pouvoirs des bâtiments qui sous-tendent quelques manières différentes de jouer Le timing à trouver pour construire son palais, et donc gagner, est particulièrement délicat : - il faut déjà avoir les bons bâtiments en main au bon moment. La moindre erreur ou tirage défavorable fait très mal. - c'est de plus en plus cher mais chaque partie construite est handicapante puisqu'elle rend un de ses 6 précieux emplacements inutile Le rush final pour la victoire vient plus rapidement qu'on le pensait (moins d'1h30 à 5, règle incluse). Pas indispensable mais plus que plaisant.

Grovast

28/02/2011

6
J'aime la bière mais pas ce jeu
Un thème porteur: La bière Une boîte rigolote et colorée. Voilà on a fait le tour des aspects positifs du jeu. Le matériel est commun et pas pratique, le jeu est répétitif, banal et calculatoire au possible. Il y a quelques bonnes idées (les différents bâtiments et le nombre de places limités)mais elles ne suffisent pas à sauver ce jeu. Faut vraiment que j'essaye les jeux avant de les acheter!!!

biomnu

03/01/2011

4
Aussi bon et imprononçable que les autres
J'aime les jeux de Friedman Friese. Et celui-là est un de mes préférés (ma c'est funkenschlag mon chouchou), bien plus fluide et moins calculatoire que elektromanager, il a un coté "draft" très intéressant. Interaction entre joueurs dans l'ordre du tour et surtout la manipulation des cours.

tt-20df267ffce8bf2...

29/12/2010

8
Fuper Bock !!
Mr FF nous sort un jeu dont il a le secret : -Un thème pas trop rebattu, l’exploitation des matières 1er nécessaire à l’élaboration de la bière. -Une mécanique de flux de prix efficace et retors (vendre beaucoup en sacrifiant l’envolée des prix pour la suite…) -Une ambivalence cornélienne du choix de la construction des éléments du palais (indispensable à la victoire mais rédhibitoire pour son développement financier) -Une auto-draft des cartes pernicieuse. Vient s’ajouter à ce cocktail une ou deux idées supplémentaires qui font de F un jeu à la prise en main instantanée mais au goût de « reviens-y pour faire mieux » indéniable.

tt-7c879782997056d...

15/12/2010

10
Le palais de la biere
Vendre de la biere pour construire ses palais, tout un programme. Un jeu accessible qui mélange deux mécanismes intéressants : la gestion de son deck de cartes avec ses batiments et la gestion de la production avec la loi de l'offre et de la demande. Un jeu tendu et malin. Coté thématique ca se tient, un matériel chouette. Bref Furstenfeld permet de passer un bon moment et surfe sur la vague du jeu de cartes avec la gestion de son deck (Dominion, Magna Carta...)

tt-74b2c5ba26155b0...

12/12/2010

8
Cartes et développement, cinquième !
Fürstenfeld se situe bien dans la tendance actuelle à développer des jeux de développement avec l'introduction de cartes à jouer. D'ailleurs, il reprend un peu l'idée du deck de Dominion, mais ici, le deck est complet dès le départ, et les joueurs doivent plutôt en gérer le « flux », obligeant les joueurs à s'adapter et les empêchant de suivre une voie stratégique toute tracée. Du coup, Fürstenfeld conserve sa touche propre, son originalité. L'autre point unique dans le jeu réside dans l'espace réduit donné à disposition des joueurs : très vite, il faut écraser ses anciens bâtiments, faire des sacrifices, et ce particulièrement en fin de partie où tous les espaces se font progressivement remplacer par des palais inutiles. L'interaction entre les joueurs est assez limitée : il y a certes la course à la construction du palais (plus on construit vite, plus les palais seront chers pour les autres), mais surtout un système de cours des matières premières qui rappelle furieusement le « marché » de Funkenschlag ! Malgré des manipulations qui peuvent paraitre fastidieuses (enfin, moi, j'aime bien jouer avec les meeples), ça marche assez bien. Il ne faut clairement pas s'attendre ici, comme il semble être la mode chaque année, à un nouveau Funkenschlag : Fürstenfeld se situe plutôt dans la production habituelle de l'auteur, c'est-à-dire des jeux « poids moyen » de 45 minutes à une heure, toujours originaux, jamais bêtes. Si l'opus de l'an passé, Fabrikmanager, n'avait pas évité l'écueil du jeu excessivement calculatoire, Fürstenfeld apparait bien mieux équilibré de ce point de vue. Bref, plutôt une réussite, même si on peut exposer quelques réserves sur la durée de vie du jeu. Le temps nous le dira.

tt-889302ea960a314...

11/11/2010

8
bof
Un thème en or mais gâché : allez comprendre le principe de vendre des ingrédients à des brasseries pour acheter des palais que vous construirez à la place de vos précédents champs ou batiments... Un matériel bof : le plateau de jeu est bof, les cartes moyennes, pas d'aide de jeu pour vous rappeler les phases.. Certes le système de variation des cours est pas trop mal mais c'est tout. Autant sur Funkenschlag je comprends la logique te l'intérêt du jeu autant là ca me dépasse.

tt-efd2ab90f453459...

10/11/2010

4
De l'eau, du houblon de l orge, un jeu...
Et nous voici a Furstenfeld, une ptite ville Autrichienne semble t il, ou nous allons gérer notre terrain pour prospérer et fournir les usine a Biere avec les trois matières premières : Orge, houblon et eau. Notre terrain fait 6cases et chacune ne peut contenir qu'un bâtiment de production ou un bâtiment qui donne des avantages, ou (et c'est avec ça que l'on gagne) des morceaux de notre domaine. Le problème pose par le jeu est que l'on n'a pas assez de place pour tout construire et que donc, il y a de nombreux dilemmes car un bâtiment en écrase un autre, bref, réflexion sur quoi faire quand. Le jeu est agréable, tourne bien, et les quatre seules reproches que je pourrais lui faire seraient : - les pièces du jeu en bois sont un peu petites et pas facile a manipuler. - on aurait aime des tuiles en cartons a la place des cartes, plus simple a manipuler mais aussi plus addictives dans un jeu de construction. - le contraste visuel des icônes sur les cartes n'est pas assez important et on doit y regarder a deux fois pour savoir ce que fait un bâtiment ou un autre. - la piste de tour de jeu est un peu courte a 25 cases, surprenant :( Dans l ensemble, c'est quand même un bon jeu, mais il est quand même derrière Elektro Manager. Retenons sont système de cours des matières qui est original et qui reste un des points forts de cet auteur a la verte chevelure....

tt-0af1eeb68c01931...

10/11/2010

8
Le petit prince
J'ai longuement hésité entre 4 et 5 pour la note. Le jeu est très bon, bien pensé, d'une longueur tout-à-fait acceptable (une fois les règles connues, comptez une heure grand max pour boucler une partie), bref, du grand Friedeman (mais on est rarement déçu par l'homme vert). Le système de marché est très bien pensé : simple à appréhender, mais suffisamment bien étudié et original pour être efficace (sur le principe, rien de bien original : je ne vends rien, ça grimpe, je vends un peu, c'est stable, je vends comme un fou, ça dégringole). Les bâtiments qu'on pose ensuite sont très classiques dans leurs effets : produire plus, gagner plus d'argent, avoir des réducs, bref, ce n'est pas là dessus que le jeu se démarque. Par contre, nous posons jusqu'à 2 bâtiments par tours sur maximums 6 slots disponibles. Autant dire que la place vient rapidement à manquer. Et c'est là que tout se joue : le timing. Tout est question d'équilibre : jusque quand dois-je continuer à engranger de l'argent (au détriment de la pose des châteaux, bâtiments inutiles par eux mêmes mais qui sont la condition de victoire) ? Ai-je assez pour me permettre de casser un système qui tourne bien ? Du timing, donc. D'autant plus intéressant que le jeu est court, une fois que les joueurs commencent à inverser la tendance (en gros, à réduire leur voilure pour commencer à poser ces inutiles châteaux pourtant nécessaires à la victoire), la partie se conclue rapidement. On loupe complètement le coche ? Pas grave, le temps d'en prendre pleinement conscience, la partie est pour ainsi dire terminée. La seule question que je me pose, c'est au niveau de la rejouabilité. Certes, les marchés changent un peu avec les différentes cartes disponibles, mais est-ce qu'au final on n'arrive pas rapidement à une combinaison optimale, après seulement quelques parties ? La version expert du jeu gomme quasiment complètement la partie hasardeuse du jeu : la gestion de la main. Si je tire mes châteaux trop tôt (ou tous en même temps, et du coup incapable de les poser tous, je peux perdre alors que tout ronronne parfaitement). En résumé, du très bon, qui sous des airs de jeu remâché, propose quand même de belles idées, qui se combinent à merveille

toooooof

05/11/2010

8
C'est a boire, a boire, a boiiiireeeuuuuh
Pour moi le meilleur achat de cet opus d'essen. Une mécanique excellemment bien huilée comme d'habitude avec Friedmann Friese. Les mouvements du marché et les choix à faire pour l'occupation de son petit plateau font de ce jeu un moment très agréable avec un énorme gout de reviens-y :) Après une partie de découverte à 4 et deux partie à 2, en un mot: j'adhère.

daseed

23/10/2010

10