Bon, je pense que tout a déjà été dit en long et en large sur le go. La seule chose que je puis dire de plus me concerne moi. Je préfère de loin le go aux échecs bien que j'ai appris les échecs bien avant le go mais c'est lié à un état d'esprit.
Dans les échecs, les pièces ont des valeurs différentes dès le départ et celui qui contrôle le centre du plateau gagne.(en simplifiant)
Le go, toute pièce a la même valeur au départ et c'est son positionnement qui fait tout la différence, et il faut d'abord conquérir l'extérieur du plateau avant d'arriver parfois au centre.
De plus, le go a un système astucieux de niveau et handicap et cela permet à tout le monde d'y trouver son plaisir.
Le go peut être un parcours initiatique personnel et parfois avec l'autre alors que jouer aux échecs se révèle toujours être une compétition contre l'autre.
Le go c'est un état d'esprit avant d'être un jeu.
Le Go est l'essence même du jeu de stratégie. Pas de hasard (sauf celui d'avoir l'adversaire qui se trompe :)), que du cérébral, et tout cela avec des règles qui font moins de dix lignes et qui sont d'une simplicité déconcertante. Qui plus est, un astucieux système de handicap permet de rendre passionnante une partie entre joueurs de niveaux différents (ce qui est plutôt rare avec ce type de jeu).
Un exemple de sa richesse stratégique ? Le meilleur programme informatique de Go atteint tout juste le niveau d'un bon amateur. Autant dire que l'exploit de Deep Blue face à Kasparov aux échecs est loin d'être égalé.
Bien sur, le Go est un jeu abstrait, plutôt reservé aux joueurs passionnés qui ont du temps à investir (incontournable pour progresser, à moins bien évidemment d'avoir le Magic Touch ! Mais là, c'est une autre affaire !). Mais il est jubilatoire ! Plus qu'un jeu, c'est un art de vivre !
Pour ceux qui seraient tenté d'essayer, il existe deux serveurs qui permettent de jouer via internet. L'un est IGS : <http://www.pandanet.co.jp/English/>, et l'autre KGS : <http://kgs.kiseido.com/>.
Ludiquement,
***P.S. :** Je joue sur IGS en tant que "Hebus", et sur KGS en tant que "Alx". Si d'aventure vous m'y croisez, je serais heureux de jouer avec vous :)*
Etant depuis longtemps fan de Manga avant d'être fan de jeu de société, je me suis mis au Go par curiosité en lisant le manga et en matant le dessin animé.
Ce jeu est d'un profondeur immense, un must.
Edit juillet 2009: Çà fait maintenant quelques années que je pratique le GO, et le plaisir est toujours intact, vraiment le meilleur jeu Abstrait de tout les temps pour moi.
Le jeu de go est un classique qui n'en finit pas de révéler ses secrets... Règles simples, mécanismes simples, mais stratégie super pointue !!!
Seul bémol personnel: comme aux échecs, je m'ennuie un peu en jouant; il me manque juste une petite dimension ludique au sens amusant du terme !!!
Sinon, que dire de plus: il me semble que le jeu de go a déjà fait ses preuves !!!
Le jeu de Go est le système de jeu le plus abouti qui soit :
- Chaque pierre est identique à sa voisine,
- Il ne faut pas réduire son adversaire en poussière mais juste faire un peu mieux que lui en partageant le plateau,
- Il faut avoir une vision globale et une vision locale,
- Etre souple ou sévère selon les situations,
- Ne pas subir sauf lorsqu'il convient de se battre bec et ongle,
- Mais surtout, des joueurs de force de différentes peuvent s'affronter grâce au génial système de pierres de handicap.
Honte à ceux qui parlent de variante pour ce jeu, et ne laissons pas croire que ce jeu n'est pas créatif, il est le plus poétique qui soit avec les formes des territoires qui se créent au fur et à mesure de la partie.
Un vrai bijou. LE JEU par excellence.
Le jeu poussé au rang de chef d'oeuvre artistique universel au point qu'il fait presque peur. S'investir à fond dans ce jeu c'est prendre le risque de devenir un monomaniaque, comme certains joueurs d'échecs, tant il fait tendre à une recherche formelle de la perfection comme on rentre en religion. Dès lors peut-on encore parler de jeu ? Une illustration au réel de la philosophie Yi King (Yin-Yang) ?
D'un minimalisme absolu et de possibilités infinis. Ça fout le vertige.
Voici les points forts du go par rapport aux échecs (et à d’autres jeux abstraits) :
- moins de règles
- différentes tailles de plateau (9×9, 13×13, 19×19) pour une prise en main progressive
- système de handicap permettant des parties intéressantes entre deux joueuses de niveau (très) différent
- parfaitement équilibré grâce au komi, là où les échecs présentent un avantage pour la première joueuse – pas besoin de faire un match aller-retour pour équilibrer les forces
- jouable à l’instinct même à haut niveau, en observant juste les « formes »
Ma note augmentera sans doute à mesure que j’y joue davantage.
Ce jeu... Ça fait 6 ans que j'y joue et je suis toujours mauvais. Et pourtant tellement meilleur qu'au commencement. Et je suis certain que vieux, je jouerai encore et que j'irais jouer dans un parc avec qui veut bien ou tout seul. Et je serais toujours mauvais :)
Le go est pour moi le meilleur jeu d'affrontement qui existe. C'est un jeu de partage et de concessions ou il faut accepter de laisser quelque chose à son adversaire. Si ce jeu vous intrigue mais que vous n'avez jamais pris le temps de vous y intéresser ou si vous n'avez rien de mieux à faire dans cette période de confinement, je vous emmène :)
Par contre, pour éviter de perdre votre temps, si vous n'aimez pas les jeux abstraits et long, passez votre chemin ^^ Il y a surement d'autres pépites pour vous dans le monde ludique.
Les règles sont très simples :
un plateau, le Goban, composé de 19 x 19 lignes. On joue sur les intersections, Noir débute et chaque joueur pose une pierre chacun son tour, les pierres ne se déplacent jamais. Le but est de créer des territoires de sa couleur et éventuellement capturer des pierres adverses.
Si 2 pierres de la même couleur sont côte à côte, elles forment un groupe de pierre, indissociable jusqu'à la fin de la partie. Le nombre d'intersection vide autour d'une pierre ou d'un groupe de pierre est appelé "libertés", cela concerne uniquement les directions orthogonales, les diagonales ne compte pas. Lorsqu'une pierre ou un groupe de pierre est entièrement entouré par des pierres adverses, on prend alors la dernière liberté d'un groupe, les pierres sont donc capturés et retirées du plateau.
On ne peut poser une pierre qui a zéro liberté d’emblée que si cela permet de capturer un groupe adverse adjacent (la pierre posée récupère alors une ou plusieurs liberté). Sinon, notre pierre est aussitôt capturé et on donne juste un point à l'adversaire, ce qui n'a aucun intérêt ^^
La partie s'arrête lorsque les 2 joueurs ne veulent plus jouer ou que l'un des joueurs abandonne. Si la partie est allé jusqu'au bout, on compte les points, on additionne alors les pierres capturées (1 point par pierre) et les "territoires" (1 point par intersection libre de pierre entouré par les pierres d'une même couleur ou le bord du plateau). On ajoute 6.5 points pour blanc car noir commence et voila :)
Il y a plusieurs taille de plateau (commencez par du 9 x 9 pour les règles et du 13 x 13 pour les concepts) et un système de handicap pour adapter la difficulté si les joueurs ont un écart de niveau. Il y a souvent un système de timer pour éviter que les parties ne s'éternisent. Habituellement, une partie dure entre 30 minutes et 1h30 selon la rapidité des joueurs.
Le matériel est facile à trouver avec toutes les gammes de prix imaginable. Beaucoup de gens ne jouent que sur internet gratuitement.
Il y a 2 autres petites règles que je ne détaillerais pas ici : le "ko" que vous irez voire lorsque vous aurez l'impression d'être pris dans une boucle temporelle et le "Seki" que vous irez voire lorsque vous vous engueulerez avec votre adversaire pour savoir qui capture le groupe de l'autre.
Vous voyez ? Des règles très simples, mais une multitude de stratégies, tactiques, principes, proverbes (bah oui c'est asiatique quand même...) du style "Au go, on perd ses 100 premières parties", "on joue 3 eme ligne pour le territoire et on joue 4 eme ligne pour l'influence", "au fuseki (début de partie) on s'occupe de sa base de vie et on occupe les grands espaces" ou encore "les coins c'est de l'or, les bord de l'argent et le centre c'est du désert" "Il faut attaquer pour construire et non pour tuer car c'est dur de tuer au go" "Si tu es stressé pendant la partie, alors tu as déjà perdu", "Un coup n'est jamais bon ou mauvais c'est la façon dont on se sert de sa pierre qui est bonne ou mauvaise" etc
Le principe primordial à comprendre est le principe de vie d'un groupe de pierre. A quel moment est on certain que l'adversaire ne pourra pas capturer son groupe ? Un autre principe important est la connexion des pierres entre elles, à quel moment suis je sûr que mes pierres sans vie sont obligatoirement connecté à mon groupe vivant ? Tout cela se découvre... Et passe par quelques désillusions je ne vous le cache pas !
Le go est avant tout un jeu, mais il peut aussi s'étudier. Et là débute la réflexion. Ça devient un vrai sport cérébral, avec des fédérations internationales et un système de classement pour se comparer aux autres. Si on est prit dans la spirale, il y a des livres, des cours, des youtubeurs, des clubs, des communautés... On apprend les bonnes formes, les bonnes séquences (joseki) pour profiter de certaines situations. Il faut imaginer beaucoup de coup possibles et lire les séquences probables qui vont suivre avant de choisir le résultat que l'on préférerais.
Le go est avant tout un jeu, mais c'est une vraie philosophie. Comme dit précédemment, c'est un jeu de partage (on ne peut jamais avoir tous les points), d'évaluation des gain et des pertes, de concessions (Ok prends mes 4 pierres mais moi je sécurise le coin qui fait 10 points), d'évaluation des priorités, de gestion de l'initiative (toujours se demander si on est obligé de répondre tout de suite à un coup adverse). On reconnait le tempérament des joueurs dans leur façon de jouer, les agressifs qui cherchent le combat à tout prix, les stratèges qui prévoient des coups longtemps à l'avance, les timides qui n'osent pas attaquer, ceux qui veulent capitaliser un immense territoire... Certain vont préférer jouer à l'instinct, "sentant" mieux certains coup que d'autre plus logiques.
Personnellement, ce jeu m'a appris la patience d'attendre le coup adverse et l'humilité de se reconnaitre vaincu et d'abandonner quand c'est nécessaire.
Si vous me lisez encore, c'est que vous êtes potentiellement intéressé et il faut savoir qu'il y a un avant et un après "alphago", l'intelligence artificielle qui a battu les champions de go pour la première fois en 2015 et qui a révolutionné en partie le jeu et donc son apprentissage. Je vous renvoie vers le documentaire du même nom disponible gratuitement sur internet qui est vraiment excellent (il raconte juste les éventements mais c'est bien réalisé).
Donc en résumé :
Un jeu qui traverse les millénaires pour de bonnes raisons
Une référence du jeu d'affrontement et du jeu abstrait
De préférence s'y mettre à plusieurs pour s'amuser dès le début même en faisant n'importe quoi et progresser ensemble
Pour vraiment progresser : Jouer bien sûr, étudier, éviter les parties blitz, relire ses parties pour comprendre ses erreurs
Peut être extrêmement chronophage si l'on s'y met vraiment, mais c'est une très belle façon de perdre son temps, et vous pourriez même y gagner un peu en sagesse au passage, après tout "Le monde est un jeu de go dont les règles ont été inutilement compliquées"
10 lignes de règles, matériel minimaliste (des billes, un cadre quadrillé) qui se sort en 30 sec., un système simple d'équilibrage entre joueurs de différents niveaux, différents plateaux pour moduler la difficulté ou le temps de partie : c'est bien simple, il est unique en son genre.
Son titre tient en 2 lettres : Go.
Go ! Go ! Go, et c'est parti.
Un marketing du nom précurseur. Sont trop forts ces ancêtres.
Si les échecs est le roi des jeux, alors le Go en est l'empereur.
Le seul problème avec ce jeu c'est qu'il faut réserver une demi journée pour en faire une partie.
Lorsqu’on pratique les jeux de société modernes, on tend souvent à regarder les « classiques » avec un certain dédain… Oui, les échecs, les dames, etc. C’est bien mais ça ne vaut pas la production actuelle en terme d’intérêt et de plaisir de jeu. Souvent, c’est le caractère abstrait et l’absence totale de hasard (qui vont d’ailleurs de pair) qui amènent à détourner le regard.
Seulement voilà, le Go est différent…
Si, bien sûr, l’abstraction est présente, le jeu fleure bon le conflit stylisé : on voit la bataille au sein de la guerre, les troupes qui se forment, les assauts, les poursuites, les retraites, les luttes à mort et, surtout, bien sûr la conquête de territoire. Ne dit-on pas d’ailleurs que le jeu de Go fut inventé pour enseigner l’art de la guerre ?
L’absence de hasard est également tout ce qu’il y a de plus sensible pourtant, le jeu n’a rien d’automatique ni d’abominablement calculatoire. Bien sûr, compter les libertés peut être pertinent et il est bon de pouvoir lire des enchaînements mais le Go est d’abord un jeu d’efficience où il faut savoir prioriser ses actions. Pour gagner, il faut sans cesse savoir ralentir lorsqu’on l’emporte, s’arrêter lorsqu’on est défait et trouver le coup le plus urgent et le plus rémunérateur.
Lorsque je m’y suis mis, je me suis demandé si le Go ressemblait à mon jeu favori et j’avoue avoir trouvé plus d’une ressemblance :
1. La tension – Lors d’une partie de T&E, je suis tendu comme une arbalète : que faire au mieux ? Quel assaut mener ? Ce conflit va-t-il aboutir ? Après une partie de Go, je suis nerveusement éprouvé… J’ai cherché à vaincre mon adversaire, j’ai joué quelques bons coups, d’autres moins bons… Une partie avec le bon niveau de handicap est des plus passionnantes.
2. L’apprentissage – Le Go n’est pas un jeu que l’on maîtrise à la lecture des règles… Il y a des plis à prendre. C’est même un euphémisme de dire qu’on ne l’apprend pas en un jour. C’est un jeu sur lequel on peut sans cesse progresser. T&E est sans nul doute plus simple mais il faut également un certain nombre de parties pour faire les bons choix, jauger les risques.
3. Le jeu à l’instinct – C’est à la fois vrai et moins vrai. Au Go, il faut réfléchir… Tout est sur le plateau mais il est difficile de suivre très loin les conséquences de ses choix. Pourtant, une part du jeu se fonde sur des formes de pierres ou une perception visuelle du point où il faut jouer. Tout n’est pas que calcul, loin s’en faut. Je trouve que c’est le côté le plus étonnant du jeu : pas de hasard et pourtant le fait que l’on dresse un tableau d’ensemble à l’aide de toutes petites touches dont on ne perçoit pas la portée.
4. La composante spatiale – C’est indéniable : les deux jeux se jouent dans l’espace bien que l’un soit qualifié de jeu de territoire et l’autre de jeu de placement. On part à chaque fois d’un plateau vide et l’on ajoute et retire des tuiles sans jamais vraiment les déplacer. Pourtant, dans les deux jeux, on a l’impression d’approches, de déplacements, d’invasion. Le plateau aussi peut changer d’allure au gré des conflits.
5. La tactique et la stratégie. Le Go se joue sur un plateau de 19x19. Ne voir que le théâtre d’une opération est une garantie d’échec. Il faut savoir mener un grand plan au travers d’un mélange d’escarmouches et de prises de position. A T&E, le système de score oblige également à voir le grand dans le petit et à garder l’œil sur l’objectif du jeu.
6. Le jeu contre soi. Le Go et T&E ont en commun de s’amener à se dépasser… D’une manière un peu différente. Pourtant, dans les deux jeux, l’ennemi à vaincre, c’est d’abord soi. Une grande part du plaisir du Go est de se sentir progresser de partie en partie… Certains sites en ligne (KGS) sont extrêmement bien fait pour vous montrer, chiffres à l’appui, votre progression. Au travers de ses adversaires, c’est bien soi-même que l’on essaye de surpasser. A T&E, si la progression personnelle compte, il y a aussi une part de jeu contre soi… Notamment dans la sélection des conflits. Il y a un côté « réussite » à parvenir à lire le contenu de la main adverse en fonction de ses choix et de ses réactions.
7. L’esthétique du jeu. C’est affaire de goût mais il y a un côté tactile à ces deux jeux. Une partie du plaisir du Go est aussi physique : le choc des pierres sur le damier, le plateau en relief, la capture des prisonniers. Même si T&E est un jeu ayant un thème, il a ce charme des gros pions en bois, des petits cubes et des monuments. Ils sont très différents mais j’avoue tous deux les apprécier.
Si vous aimez Tigre & Euphrate, peut-être devriez-vous vous mettre au Go.
Tout est dans le titre, il s'agit, pour moi, ni plus ni moins, que du meilleur jeu abstrait qui soit.
Une richesse infini pour des règles relativement simples.
À ton tour de jeu, tu pose une pierre sur une intersection. Mais derrière, pour apprendre à gérer l'impact de cette pose vous prendra toute une vie.
L'élégance faite jeu.
Un go-ban (qui n'est pas tout à fait carré)...des pierres, noires et blanches...des règles simplissimes...et deux joueurs qui se dispute un territoire fictif. C'est tout...
Un jeu dont les règles s'appréhendent en 5 minutes...toute une vie pour maîtriser le bestiau. Seule la règle des "yeux" n'est pas toujours évidente à visualiser dans certaines situations, mais une pratique régulière et cela vous semblera naturel.
Un jeu dont la philosophie est à l'opposée de celle des échecs : au go, on partage un territoire. Aux échecs, on détruit. Dans l'un, on discute, on négocie, on laisse un espace au partenaire...dans le second, nulle pitié...sus à l'ennemi !
Côté matos, cela va d'une trentaine de boules jusqu'à plusieurs centaines de milliers d'euros pour un go-ban en kaya\* provenant du Japon et des pierres top qualité...
Bref, un jeu passionnant. A noté par ailleurs que le go est un des vecteurs d'apprentissage les plus puissant, tant dans la sphère privée que dans le domaine professionnel...
\* L'abattage du kaya est extrêmement réglementé au Japon (essence endémique je crois). Quelques spécimens par an. D'où le prix très élevé d'un go-ban sculpté dans ce bois (un tablier qui porte la signature d'un Maître peut même atteindre près de 100.000,00 €...si si...vous avez bien lu...). On peut malgré tout acquérir un joli go-ban sur pieds en shin-kaya pour un prix raisonnable, petit frère de son prestigieux aîné...et c'est très esthétique...ça meuble. Mine de rien.
Trop peu joué pour donner un avis objectif mais ça m'a paru compliqué pour moi qui ai tendance à vouloir envahir un territoire... Je crois que je n'ai pas tout saisi... A revoir!