Tout commence par des tuiles hexagonales representant différents typesde terrain. Chacun se constitue son armée (faite de bric et de broc : les choses) et part à la conquête de ce territoire. Le but du jeu est d'être le seul à construire une citadelle, ou d'en avoir deux. Cela nécessite d'avoir un revenu suffisant et pour acquérir la deuxième d'aller piquer celle du voisin. Ajoutez à cela des"choses" cachés, des héros, des objets magiques, des sources de revenu annexe, et vous obtennez grand jeu où se côtoient chance, bluff et décisions tactiques ....
Le jeu mythiques de tout plein de trucs qu'on rassemble pour faire une armée revient. Et c'est digne d'un coffret Chanel.
C'est joli et toujours aussi agréable à jouer. Évidemment, le jeu reste old school, et il faut aimer les coup de pas d'chance et les grosse catas sur un jet de dé. L'ambiance du jeu est très chouette, surtout si vous jouez avec quelqu'un qui le connait déjà.
J'insiste sur la beauté de cette édition ! ! !
Kings and Things est un jeu amusant, très fondé sur l'aléatoire, mais à l'ambiance incomparable.
La grosse idée du jeu, ce sont les Things : on les tire totalement aléatoirement, et on peut se retrouver avec des crottes immondes, tout comme avec des créatures à la puissance démesurée. Mais ce qui est amusant, c'est qu'on ne peut contrôler ces créatures que si on possède les terrains correspondants. On peut donc conserver des créatures puissantes en réserve pour le moment où l'on conquérra la précieuse montagne qui donne l'allégeance des géants. Ou encore : on s'en sert de leurre, en les plaçant sur le plateau même sans avoir le territoire, mais si l'adversaire s'en aperçoit.... bye bye la Thing!
Et ça marche aussi à l'envers : si dans un combat, on voit que l'adversaire dispose de puissantes créatures des marais, on peut tenter de lui conquérir son seul et unique marais de manière à lui faire perdre l'allégeance de la majeure partie de son armée.
Cette idée assez géniale est servie par un système de recrutement de héros totalement aléatoire mais rigolo, un système de combat totalement aléatoire mais très bien fait, et un système d'événements et d'objets magiques totalement aléatoire mais si amusant !!!
Tant d'aléatoire ne nuit-il pas au jeu? Non, car le mécanisme d'équilibre est bien pensé : un joueur même puissant ne peut construire seul deux citadelles. Les deux joueurs les plus puissants vont donc devoir s'affronter pour conquérir celle de l'autre, ce qui fait que les plus faibles, observant parfois des combats titanesques entre des armées surpuissantes, vont avoir le temps de faire leur niche avant de construire la précieuse Zitadelle qui en fera une cible prioritaire.
Les alliances sont possibles, et à moins d'être marqué par une poisse persistante sur tous les nombreux tirages, chacun peut trouver son plaisir dans le jeu.
C'est un jeu tout à fait comparable à Heroes of Might and Magic sur ordi : on recrute des créatures, on les fait combattre, on améliorer son chateau, et au final, on passe un très bon moment à se friter les uns les autres.
Attention néanmoins : le système d'équilibre bien pensé peut quand même produire des parties longues si personne n'arrive à prendre l'ascendant.
Ce doit probablement être le premier jeu de plateau que j'ai acheté et j'ai longtemps pensé que j'en gardais un plaisant mais exagéré souvenir. Mais de régulières parties, et une réédition, n'ont fait que confirmer le plaisir apporté par ce jeu.
Kings and Things, c'est Heroes of Might and Magic avant l'heure, un Titan digeste et drôle.
On part de rien, on rassemble une armée improbable voire truquée - mais tant que personne ne le voit, aucune importance - on recrute des héros (hmm, Ghaog II), on les dote de sorts démesurés ou ridicules (l'explosion de l'université de magie n'a pas arrangé les choses), et on envahit un territoire composé d'hexagones amovibles, qui change à chaque partie, et qui reste inexploré jusqu'à ce qu'on le découvre avec ses habitants que l'on peut corrompre (et je peux vous assurer que la prochaine fois que vous mettrez en place un plateau de Catane, cela vous paraîtra bien fade). On exploite les ressources des mines ou des champs pétroliers, on amasse de l'or. On rencontre les armées de ses adversaires, on s'affronte en d'épiques combats, et pendant ce temps on tente d'ériger sa citadelle ou de conquérir celle des autres dans un ultime affrontement, forcément épique, et de régner sur le continent de Kadab. Et si tout semble perdu, on peut toujours lancer le Big Juju, qui reconfigure tout le terrain et mettra peut-être une mer providentielle entre vous et ce voisin un peu envahissant.
Voilà, Kings and Things c'est tout cela, et dans mes souvenirs et dans la réalité. Il y a des pions de toutes les couleurs avec des dessins laids mais sympas, des pelletés de dés et une vraie ambiance autour de la table. Polisseurs d'arêtes de cube en bois, passez votre chemin, ici il faut du sang dans les veines pour jouer.
Etonnant d'ailleurs que personne ne l'ait édité dans une version francophone.
*El Co, member of the rag-tag army*
NB : ceci est un copier-coller de l'avis publié sur l'édition originale du jeu.
Ce doit probablement être le premier jeu de plateau que j'ai acheté et j'ai longtemps pensé que j'en gardais un plaisant mais exagéré souvenir. Mais de régulières parties, et une réédition, n'ont fait que confirmer le plaisir apporté par ce jeu.
Kings and Things, c'est Heroes of Might and Magic avant l'heure, un Titan digeste et drôle.
On part de rien, on rassemble une armée improbable voire truquée - mais tant que personne ne le voit, aucune importance - on recrute des héros (hmm, Ghaog II), on les dote de sorts démesurés ou ridicules (l'explosion de l'université de magie n'a pas arrangé les choses), et on envahit un territoire composé d'hexagones amovibles, qui change à chaque partie, et qui reste inexploré jusqu'à ce qu'on le découvre avec ses habitants que l'on peut corrompre (et je peux vous assurer que la prochaine fois que vous mettrez en place un plateau de Catane, cela vous paraîtra bien fade). On exploite les ressources des mines ou des champs pétroliers, on amasse de l'or. On rencontre les armées de ses adversaires, on s'affronte en d'épiques combats, et pendant ce temps on tente d'ériger sa citadelle ou de conquérir celle des autres dans un ultime affrontement, forcément épique, et de régner sur le continent de Kadab. Et si tout semble perdu, on peut toujours lancer le Big Juju, qui reconfigure tout le terrain et mettra peut-être une mer providentielle entre vous et ce voisin un peu envahissant.
Voilà, Kings and Things c'est tout cela, et dans mes souvenirs et dans la réalité. Il y a des pions de toutes les couleurs avec des dessins laids mais sympas, des pelletés de dés et une vraie ambiance autour de la table. Polisseurs d'arêtes de cube en bois, passez votre chemin, ici il faut du sang dans les veines pour jouer.
Etonnant d'ailleurs que personne ne l'ait édité dans une version francophone.
*El Co, member of the rag-tag army*
Ce jeu est est une exception culturelle.
Certes les parties peuvent être très longues (mon record : 6 heures) mais quelles rigolades, quelles engueulades et quel plaisir !!!
Il faut impérativement le jouer au second degré et s'attendre à ce que le hasard des dés vous soit défavorable. Mais ce n'est pas grave : on s'amuse.
Le plateau (tuiles hexagonales) est différent à chaque partie et légèrement modifié durant celle ci. Les troupes recrutées plus saugrenues les unes que les autres. Les personnages et évènements spéciaux funs et délirants.
Bref, pour moi de grands souvenirs ludiques mais tout le monde n'appréciera pas !
*(Note : je suis plutôt adepte des jeux sans hasard ou avec une bonne canalisation de celui ci mais K&T fait figure d'exception totale à mes yeux)*
(entre 2 et 5 parties)
Très bon gros jeu de combats mêlant batailles et conquêtes (j'aime le genre), tactique, échevelé, fun, et avec une pointe de bluff et un thème assez drôle.
Ahhh, quel plaisir ce jeu ! Il a très bien vieilli cet excellent jeu fantastique des années 80.
On lance des dés, et alors ? Cela n'est pas préponderant non plus car les lancers s'équilibrent de toute façon et ça rajoute de l'interactivité entre les joueurs donc plus de fun. Le hazard très présent dans ce jeu, puisqu'on tire les ressources au hazard, est selon moi un élement qui apporte du piment au jeu et qui fait toute sa slendeur. On s'éloigne des ternes jeux où tout est pratiquement prévu d'avance purvu qu'on a compris les mecanismes du jeu.
Et quel plaisir de conquerir le monde avec Sir Lance-a-Lot menant une armée de Pingouins et d'esquimaux enragés ;o)
Le jeu est, derrière son apparene fun et non prise de tête, drôlement stratégique. Il y a tellement de possibilités qu'on ne sait pas où donner de la tête.
Et les façons de gagner sont multiples. Pour notre jeu par exemple, le joueur ayant gagné avait le moins de territoires, mais chacun lui rapportait plein de fric avec ses multiples villes/villages/mines.
Et que dire du fait qu'il a gagné aussi parce qu'il a bluffé le joueur le plus fort militairement en faisant avancer une armée "cachée" qu'il ne pouvait jouer cer il n'avait pas de terrain correspondant !
Excellent je vous dis ! Tiens, j'y rejourai tout de suit là, maintenant... ;o)
C’est un jeu à l’ancienne sorti à peu près en même temps que Full Metal Planet. Mais autant ce dernier a bien vieilli, autant le premier est un bon exemple de ces jeux avec beaucoup de dés et des mécanismes un peu pesants.
Bon, il faut lui reconnaître une chose : c’est (pour moi) le premier jeu à plateau variable, avec des hexagones qu’on place en début de partie (genre les Colons de Catane).
Et conquérir le monde avec une armée de pingouins, de squelettes et d'elfes, ça ne se trouve que dans Kings & ...
Je ne suis pas sûr d\'être très objectif, il y a la nostalgie de ces parties marathons que j\'ai jouées à la sortie du jeu...
Ben oui c\'est un jeu des années 80. Long, règles un peu lourdes, trop de hasard. Cela dit, le surréalisme médiéval fantastique du thème est vraiment très réussi et amusant; j\'ai de temps en temps envie d\'y rejouer, mais pas trop quand même.
Le matériel est plutôt chouette, avec une carte formée d\'hexagones qu\'on assemble, elle est autrement plus attrayante que celle de mon \"Colons de Catane\", c\'est sûr.
un jeu qui a peut-être un peu vieilli mais c'était un must jadis !
se balader avec des pingouins en plein désert et faire croire à une grande armée / quel plaisir !
ce jeu assez long est très riche et très bien conçu
le système de combat est bien rendu bref un très bon ancien jeu une vraie réussite