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Boîte du jeu : Last Will

Last Will

Jeu

2011

Votre oncle vient de mourir et sa dernière volonté est de...dilapider l'argent que vous recevez!

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Vladimír Suchy
brush
Tomas Kucerovsky
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Czech Games Edition
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-
Nombre de joueurs :2 - 5
Age :11 ans et +
Durée de partie :60 min
Langues :Français
Date de sortie :21/10/2011
Fiche mise à jour le :24/11/2021 16:44:31

    Contenu

    info

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    8,1

    Description de l'éditeur

    info

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    Images & vidéos

      Les avis

      • 5
        update09/11/2022

        Notation abusive 

        Je ne suis pas à l'origine de cette notation de 5/10 apparue mystérieusement sur mon compte Tric-Trac, en même temps que plusieurs centaines d'autres notations sur plusieurs centaines de jeux, toutes de 5/10 et toutes datées du même jour (16/08/2017). Comble de la malhonnêteté, Tric-Trac ne permet pas de supprimer une notation (ni même de supprimer un compte). Mais je peux au moins modifier une évaluation en associant ce commentaire afin de prévenir les auteurs de ce jeu que je n'ai pas la chance de connaitre leur création et que je regrette que mon compte ait été utilisé pour émettre une note à son sujet.
      • 7
        update10/02/2022

        Bon 

        J'aime bien ce jeu. Les illustrations, les combinaisons de cartes, la gestion des biens immobiliers est originale. Mais, 2 points pêchent pour moi. D'abord le thème. L'idée de perdre tout son argent est bonne, mais ce qui devait être drôle et un peu fou fou ne se reflète pas dans le jeu. Le fait de se forcer à dépenser au maximum n'est donc pas spécialement jouissif. Ensuite les interactions entre les joueurs. C'est simple, elles sont inexistantes. Chacun prend ses cartes, prépare ses combinaisons et pose ses cartes et enclenche les effets. Donc le jeu en soit est bien et intéressant de part ses différentes manières d'arriver à son but. Mais il n'y a pas le fun auquel on peut s'attendre ni d'interactions entre les joueurs.
      • 8
        update20/11/2018

        Délirant 

        Un thème complètement barré (être le premier à être endetté) pour une mécanique de jeu de gestion tendue à souhait. Une fois assimilée l'iconographie des cartes, le jeu est un délice de combos de cartes toutes plus saugrenues les unes que les autres (claquer son argent en amenant femme, cuisinier et chien en croisière, raquer à chaque tour à cause de son copain poivrot, se faire faire un costume à chaque fois qu'on va au théâtre, dévaloriser au max sa maison etc). C'est drôle et pas évident à prendre en main tant on est habitué à jouer à l'inverse. Rafraîchissant et grosse envie d'y revenir.
      • 5
        04/06/2017

        Pas convaincu... 

        Comme pas mal de jeu j'ai du mal quand il faut compter sur le hasard des cartes et le calcul à tout va des possibilités de combo. Je trouve qu'il n y a pas assez de baston entre les joueurs, on se contente de faire notre truc chacun dans son coin en espérant être le plus rapide a tout dépenser. Ce jeu est sympa mais sans plus.
      • 7
        08/05/2017

        Original mais... 

        J'ai déjà joué à mieux. Reste qu'il demeure sympathique à jouer de temps en temps pour son thème clairement décalé. A déconseiller à deux joueurs, aucun intérêt.
      • 8
        update16/10/2016

        Une question de sensibilité 

        Les avis sur la mécanique ludique de Last Will sont relativement unanimes : jeu de gestion à base de cartes, il tourne bien et sans être particulièrement original il est agréable à jouer. Là où les avis divergent généralement c'est sur l'intégration du thème, décalé, au jeu. L'idée du jeu est de dilapider au plus vite tout son argent en multipliant les achats dispendieux, les reventes à pertes, les soirées coûteuses et les croisières en bateau. Les illustrations amusantes des cartes renforcent ce sentiment de jeu décadent, éloigné des jeux classiques dans lesquels le plus riche l'emporte. Et personnellement je considère que le thème est suffisamment présent pour ajouter une plus-value et lui donner une place à part dans la catégorie des jeux de gestion. Mais il faut reconnaitre que se ruiner méthodiquement nécessite autant de planification que s'enrichir et si l'on s'absorbe dans ses calculs le jeu devient un simple jeu de combinaisons de cartes. Le jeu n'est pas très difficile et offre plusieurs options tactiques (se ruiner avec l'immobilier, avec des dépenses courantes...) aussi efficaces si bien utilisées. On peut parfois déplorer un manque de chance dans le tirage des cartes (je n'arrive pas à trouver le cuisinier pour organiser ma soirée) et une grande importance de la position de premier joueur à certains moments clés. Les parties sont rapides (entre 60 et 90 min); le jeu est aussi bon à deux, avec une petite variante qu'à 3, 4 ou 5. Même si à 5 on peut regretter l'épuisement rapide des pioches et la réapparition de cartes. C'est un jeu qui pour moi a les mêmes caractéristiques que 'le Testament du duc de Crécy' avec un thème fort et original qui le distingue des autres jeux et en fait un élément atypique de ma ludothèque. Sans cela il ne serait qu'un jeu moyen au milieu d'autres. Par sa spécificité, j'arrive à le sortir avec des joueurs qui craignent les jeux de gestion froids et impersonnels aux thèmes plaqués. C'est un atout majeur pour pouvoir jouer plus souvent. S'il vous intéresse il vous faut trouver un moyen de l'essayer pour savoir si vous ressentez une bonne intégration du thème. Sinon vous trouverez mieux ailleurs.
      • 5
        update12/10/2016

        Les derniers seront les premiers 

        Last Will possède un thème fort; si beaucoup de jeu vous demande d'être le plus fort, le plus riche, avoir le plus de points de victoires etc... Ici... pas du tout, le ton est un peu décalé. En effet un héritage sera donné uniquement au plus pauvre de la famille. Autrement dit, il faut s'endetter. Seulement, le thème plutôt rigolo, décalé, ne se retrouve pas dans le jeu. Au final, c'est de la gestion comme d'habitude, ou plutôt de "l'anti-gestion". Mais ça revient au même, on réfléchie, on calcule, mais au lieu de calculer comment gagner des sous, ici on calcule comme en perdre. Mais l'ambiance promise par la couverture ne se ressent absolument pas en ouvrant le livre... Du coup... bof... belle originalité mais qui ne se traduit pas par une mécanique en lien avec le jeu. Un jeu de gestion de plus, il existe mieux alors... tant pis. Je ne suis pas sûr d'y repasser.
      • 10
        13/09/2015

        Très drôle 

        Ce jeu est excellent, autant par son thème (cramer le plus d'argent possible) que par sa mécanique assez simple
      • 9
        04/09/2015

        All that money away 

        **Ça raconte quoi ?** Tu es en deuil. Un peu parce que ton oncle est mort. Beaucoup parce que tu n’es plus tout à fait sûr de toucher ta part d’héritage. Car au lieu de faire des parts égales pour chacun de ses héritiers, ton oncle a préféré réserver son immense fortune au plus épicurien d’entre vous. Il vous impose donc de manière posthume le défi de dilapider en un minimum de temps une somme d’argent déterminée, qui n’est qu’un avant-goût de ce qui sera remis au plus dépensier des héritiers. C’est tordu, mais ça doit être de famille… Tu as soif d’événements mondains, de propriétés impossibles à entretenir, de compagnons extravagants. **Ça marche comment ?** Comme un jeu de placement d’ouvriers. Pardon, de coursiers. Ces fidèles coursiers qui iront acquérir les Opportunités (les cartes) les plus onéreuses pour ton compte. Et comme un jeu de pose de cartes, aussi. Car ces Opportunités devront être accomplies, acquises, entretenues, revendues, si possible de la manière la plus catastrophique pour tes finances personnelles. Le but est effectivement de dilapider tout l’argent attribué au départ, entre 70 et 130£ selon les parties. Pour cela, il faut avoir revendu toutes ses propriétés, et dépenser au moins tout son argent (finir endetté est fortement conseillé). Dès qu’un joueur atteint cette condition, on termine le tour de jeu et on compte qui a le plus de dettes. Sinon on attend le 7ème tour et on voit qui a le moins d’argent. Le jeu suit la mécanique standard du placement d’ouvriers : ***On planifie sa journée*** en choisissant l’un des 6 sabliers disponibles. Cela détermine l’ordre du tour, le nombre de cartes immédiatement piochées (0-6), le nombre de coursiers (1-2) et le nombre de points d’action (1-4) pour ce tour. ***On envoie ses coursiers*** à la pêche aux bons plans. 5 types de bons plans. On remporte l’une des cartes Opportunités encore disponibles ce tour. On agrandit son domaine pour pouvoir y poser encore plus de cartes Opportunités. On influe sur les cours de l’immobilier. On pioche une carte au hasard. Le bon plan loose : la soirée à l’opéra, qui permet de dépenser 2£. ***On réalise les actions*** ainsi préparées, en tenant compte de ses points d’action disponibles pour le tour. ***On entretient*** tout ce bazar : On remet sa main à 2 cartes. Les propriétés non entretenues perdent de la valeur. Les Opportunités non saisies disparaissent. Les cartes activées sont de nouveau activables. Une bonne partie du jeu repose donc aussi sur l’utilisation des cartes. Les cartes ***événements*** sont des cartes à usage unique : en dépensant un certain nombre de points d’action, on peut dépenser une certaine somme. Les cartes ***propriétés et extras*** sont des cartes à effet permanent : en dépensant un certain nombre de points d’action, et éventuellement une somme d’argent, on les pose dans notre domaine personnel. Elles pourront ensuite être activées, généralement pour dépenser encore plus d’argent. Les cartes ***compagnons*** permettent d’optimiser les effets des autres cases : un chien, un cheval, un chef ou une charmante invitée augmenteront à coup sûr le coût des événements ou l’entretien des propriétés ! Ces dernières ont un fonctionnement particulier. Elles ne peuvent pas être défaussées comme les extras, mais peuvent être vendues pour une action, ce qui fait alors rentrer de l’argent dans les caisses. On tient alors compte de la décote due à l’absence éventuelle d’entretien, et au marché de l’immobilier qui peut faire varier la valeur de -3/+3. Cet aspect du jeu est essentiel car tant qu’on n’a pas vendu toutes ses propriétés, on ne peut mettre fin à la partie ni tomber en négatif. **Ça vaut quoi ?** Le point fort du jeu est sans conteste son thème et l’adoption réussie d’une logique à la « qui perd gagne ». L’association des cartes de base avec les « compagnons » renforce à souhait la thématique du jeu tout en introduisant en douceur de la combinaison de cartes : on se retrouve ainsi à faire des sorties au théâtre à cheval, à des promenades en mer avec maîtresse, cuistot et clébard. Le matériel n’est pas en reste avec un très beau plateau central qui s’adapte au nombre de joueurs tout en nous plongeant dans l’atmosphère brumeuse de l’Angleterre victorienne. On peut seulement regretter que les compagnons d’un même type soient tous identiques (d’où un deck entier avec seulement 4 dessins…), et que les plateaux des joueurs ne soient différenciés autrement que par leur couleur. Du point de vue des mécaniques, l’ensemble fonctionne bien dans l’absolu : on sent que l’équilibrage a été rude, et que la répartition entre les types et les effets des cartes Opportunités a été savamment étudiée. Là aussi on peut se contenter d’un bémol concernant la thématique : si le jeu avait été un peu plus riche, on aurait imaginé un système où l’endettement serait intervenu plus tôt en cours de partie, et aurait été proportionnel aux propriétés achetées. Car il se trouve que dans *Last Will* on ne prête qu’aux pauvres… Le seul vrai bug concerne l’ordre du tour pour la planification (c’est-à-dire pour choisir l’ordre du reste du tour, soit pour les coursiers et les actions). Le 1er joueur de la phase planification ne fait que tourner en sens horaire à chaque tour d’où une certaine inégalité due au placement. Un peu dommage, surtout si l’on y ajoute qu’il y a malgré tout une carte Opportunité prise automatiquement par le 1er joueur lors des 3 premiers tours, la carte extra qui rapporte une action supplémentaire, et qui est nettement rentabilisée au cours de la partie. Ces quelques imperfections sont probablement le prix à payer pour pouvoir afficher un « 60 minutes » peut-être un peu trop flatteur sur la boîte : on voit mal un tour de jeu entier à 5 joueurs tenir en moins de 10 minutes... Reste que grâce à la diversité des cartes, le ratio densité de jeu + rejouabilité / complexité des règles est évidemment très élevé. Chose logique, somme toute, car quoi qu’en dise mon banquier, l’argent est fait pour être dépensé, et vite !
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      Il s'agit de l'ordre du tour pour choisir les sabliers. Il n'y a plus de pion premier joueur qui change de main en fin de tour pour déterminer cet ordre. Une fois les sabliers choisis, on reprend l'ordre du tour déterminé par les sabliers comme dans le jeu normal. Tu trouveras les règles sur la fiche BGG.

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      06/11/2011