Le Roi Arthur est un jeu qui dénote dans le paysage ludique. On est immédiatement intrigué par l’énorme boîte puis admiratif pendant le déballage du matériel. Le prix est conséquent pour un jeu de société mais Le Roi Arthur en donne pour son argent. Le plateau de jeu est immense et le matériel semble au premier abord d’ excellente qualité.
Ce croisement contre nature entre jeu de plateau et jeu électronique m’incitait à la prudence mais je me suis laissé tenté par l’aventure séduit par le concept pour le moins original.
Le jeu cible principalement les jeunes ados. On y retrouve beaucoup l’esprit des jeux de rôle avec les découvertes en chemin de monstres ou de personnages à combattre. Je pensais y retrouver un peu de la magie de ces livres « dont vous êtes le héros » qui ont bercé ma jeunesse.
Il y a peu d’interaction entre les joueurs qui poursuivent tous le même but. On joue contre l’ordinateur et le jeu en solo est presque aussi intéressant. Les choix s’avèrent limités mais la voix de Merlin met un peu d’ambiance dans une quête qui a tendance à être un brin trop linéaire. La mémoire informatique gère cependant très convenablement les parties et pardonne correctement les éventuelles erreurs commises par les joueurs.
Le Roi Arthur est avant tout un jeu d’ambiance luxueux au principe novateur mais qui paraîtra trop simpliste pour les adultes. Les enfants (d’une tranche d’âge relativement étroite) peuvent y trouver leur compte un moment mais risque de se lasser à la longue. A l’ère des jeux vidéos, la voix nasillarde de Merlin fait un peu gadget et pourra sembler ringarde à bien des jeunes. Le Roi Arthur peut paraître selon les cas sympathique ou démodé par son côté à la fois rétro et novateur. Un paradoxe qui de toute façon ne laisse pas indifférent !
Attention au risque de panne ! Les circuits imprimés sur le plateau peuvent devenir capricieux… Là c’est beaucoup moins drôle !
La durée de vie au propre comme au figuré semble donc sujette à caution.
Le Roi Arthur est un hybride électronique bien singulier dans la production actuelle des jeux de société. Une tendance ou devrais-je dire un courant qui ne peut que s’accentuer avec le temps et qui affecte tous les jeux dans leur ensemble…
Le jeu est vraiment pour les pré ados. On reconnais la griffe de knizia avec ces cartes à gérer et à défausser pour gagner les différents objets.
Les choix ne sont pas très difficile si on l'y réfléchie bien mais nos chères tête blonde se régalerait dessus. Le système électronique est impressionant. Mais j'ai peur qu'il lasse vite les joeurs. J'ai trouvé le jeu un peu long vers la fin mais plutôt amusant.
Un jeu qui parle, ce n'est pas la première fois qu'on en voit. Mais la, on met le paquet. Un des auteurs les plus prolifiques (Reiner Knizia), un thème ultra porteur de nos jours (La chevalerie Arthurienne), une énorme boite et on essaye de viser les enfants de 10 ans (age physique ou mental, y'a pas d'importance ;o)).
A l'arrivée c'est une réussite. Les parties durent moins de 1 heure et la durée de vie du jeu reste intéressante bien que l'on s'habitue aux réactions du jeu au fil des parties. L'interaction avec le module « Merlin » qui parle est assez sympas (infiniment moins crétin qu'un "Atmosphear" je vous rassure...) et au final les parties sont plaisantes avec grands et petits.
On notera quand même le matériel assez fragile pour les enfants (notamment le plateau de jeu que j'ai du renvoyer en réparation chez « Ravensburger »). Il faut prendre soin de ce jeu pas vraiment donné mais qui reste une curiosité pour les grands et fascinant pour les enfants à partir de 9/10 ans dans leurs baskets ou dans leur tête.
Une nouvelle réussite dans le jardin de « Reiner Knizia ».
Eh oui, les enfants d'aujourd'hui ont bien de la chance...
Mais personnellement, je pense que j'ai passé l'âge pour ce type de jeu. Je me suis un peu embêté et j'ai trouvé que les situations ne change que trop peu pour un bon renouvellement.
Alors c'est peut-être rigolot, mais pas très longtemps.
Par contre, l'apport de l'électronique dans le JdP laisse entrevoir des possibilité infinies...
Je m'attendais à beaucoup de ce jeu vu le bruit que l'on en fait.
Je suis presque totalement déçu.
Le jeu est totalement linéaire, vous ne faites que vous déplacer de gauche à droite comme vous le dit Merlin.
Aucune interaction n'est possible et certains bruitages sont assez obscur.
Ce jeu est ennuyant ou alors il faut le donner à jouer à des jeunes enfants.
Il est vrai par contre que le matériel est assez bien et le système très novateur.
A condition de ne pas se tromper de public, que voilà un excellent jeu !
Jeunes chevaliers ou grands enfants émerveillés se délecteront de leurs glorieuses aventures.
Dommage cependant que tout le monde ne "conduise" pas l'électricité de la même façon et que certaines personnes soient du coup dans la quasi incapacité de faire fonctionner le jeu sans aide.
Pour apprécier ce jeu, il faut se laisser aller à redevenir un gamin à qui on raconte une histoire de chevaliers. Sinon, je crains qu'on ne s'ennuie ferme dans ce jeu sans aucune interaction et où presque aucune décision ne vous appartient.
*Nombre de parties : 2*
C'est qu'elle m'énervait à me réclamer 4 boucliers pour la protéger, non mais! et paf! à l'abbaye, au lieu de transformer mes "pendragons" en points de gloire, je me fais jeter comme un malpropre par le curé qui était au courant de mon manque de chevalerie... Enfin un jeu où on rigole quand on perd, mais vous avez toutes les chances de gagner si vous êtes gentil avec tout le monde.
Bien que répétitives, les rencontres sont assez nombreuses pour ne pas se lasser et puis voir son adversaire prisonnier de l'ogre c'est jouissif, non?
Bref, chez nous on aime bien.
Le Roi Arthur est une réussite technologique (gestion des personnages, voix...), mais pas un grand jeu de stratégie.
D'ailleurs si on le considère comme un jeu de stratégie, c'est la déception assurée.
A l'inverse, il se révèle être un jeu d'ambiance fort sympathique; où à tour de rôle les joueurs se réjouiront du malheurs des autres.
Le jeu est profondément injuste, déséquilibré, mais c'est ça qui est drôle :-)
... si le jeu est bon!
**Goutons voir oui oui oui**
Mélanger électronique et jeu de plateau est un défi dur à relever. Des chevaliers vont se déplacer sur un plateau "imprimé" qui va mémoriser les actions de chaque joueur, ce qui permet de la variété (éviter d'avoir toujours les mêmes évènements) et de la complexité (tuer un mendiant va attirer les foudres des guardes). Cerise sur le gateau, on a pas besoin de noter les points de prestige gagnés ou les trophées.
**Goutons voir non non non**
Une interaction beaucoup trop minime: à part les cartes pour voler, et chiper des trésors de dragons sur les cadavres fumants, l'interaction entre les joueurs se résume à une course contre la montre. J'aurais bien aimé de pouvoir se fighter entre les joueurs (ou alors j'ai loupé la régle?) ou encore du mode coopératif. Si on se prend au jeu et qu'on roleplay un peu, on vit les péripéties des autres avec plaisir. Sinon on s'ennuie. Le côté linéaire et durée de vie limitée rendent le jeu vite lassant. D'autant plus qu'il est dommage que les quêtes annexes ne prennent pas en compte du fait d'avoir un chevalier déjà sur l'emplacement...
Pour moi l'alchimie électronique/plateau ne prend pas. Mais une partie de temps à autre, pourquoi pas...
enfin un avis sur ce jeu !
j'ai un peu hésité avant de dire ici ce que j'en pensais car j'ai une seule partie a mon actif.
Partie a 3 joueurs, les débuts ont été laborieux, j'avoue que dans un premier temps on comprenait absolument rien de ce qu'il fallait faire ;)
Puis après avoir recommencé 3-4 fois, on a compris comment procéder. Ce jeu nous a plu, il est simple et rigolo.
Ce qui m'inquiete un peu par contre c'est la durée de vie de ce jeu etant donné l'electronique qu'il comporte.
J'aime bien le principe en tout cas ou il garde en memoire les actions de chaque joueur et propose des quetes pendant la partie.
Si après quelques parties, le jeu s'avère lassant ou répétitif, je changerais cet avis.