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Boîte du jeu : Liberté

Liberté

calendar_month2002
settingsMartin Wallace
brush
home_workWarfrog
local_shipping
Nombre de joueurs :3 - 6
Age :12 ans et +
Durée de partie :120 min
Langues :Français
Fiche mise à jour le24/11/2021 16:32:30
    8,1
    La bastille est tombée, quelle faction prendra le pouvoir ? But du jeu Il y a trois factions : les Modérés, (bleu, 28 pions), les Royalistes (blanc, 24 pions), et l'Aile gauche (rouge, 30 pions) Déroulement du jeu Le jeu se déroule en 4 manches, composées chacune de 5 phases. Phase 1. Détermination de l'ordre des joueurs en fonction des points de victoire Phase 2. Nouvelles cartes Chacun peut défausser autant de cartes qu'il le souhaite, puis compléter sa main à 7 cartes. Phase 3. Tours d'action (une action au choix par tour) : Les tours d'action sont joués jusqu'à ce que l'une des piles des jetons de faction soit épuisée. - jouer une carte (personnage ou club) : des jetons de factions dans une province selon des règles de placement. Un joueur peut jouer une carte spéciale (PURGE, GUILLOTINE, EMIGRATION, TERROR, BREAD SHORTAGE, RELIGIOUS PROBLEMS) par tour d'action, avant ou après une carte " Personnage " ou " Club ". L’action peut être effectuée à l’encontre des autres joueurs ou de soi-même ! - piocher une carte. - passer son tour. Phase 4. Résolution des batailles Parmi les joueurs ayant 1 " Général " dans leur réserve, celui qui a le maximum de pions sur la case " Bataille " marque les points. Une fois la bataille résolue, tous les pions sont retirés de la case. Phase 5. Elections et points de victoire Les régions et provinces sont examinées dans l’ordre. La pile majoritaire dans une province gagne les élections. Le joueur victorieux prend un jeton de sa pile et le pose devant lui. Le marqueur de la faction victorieuse est avancé sur l'échelle de l’assemblée d'une case par jeton gagné. La faction majoritaire forme le nouveau gouvernement. Le 1er au gouvernement obtient 5 pts, le 2ème obtient 2 pts. Le 1er dans l’opposition obtient 3 pts. Chaque joueur possédant 1 jeton de la faction majoritaire est présent au gouvernement et place un pion dans la case " Presence in Government ". Les jetons de chaque joueur sont remis dans la réserve pour la manche suivante. Les piles du plateau de jeu sont conservées pour les manches suivantes. Fin de partie 1. A la fin de la 4ème manche, le vainqueur est celui qui a le plus de points de victoire. 2. Si la contre-révolution royaliste réussit, c'est-à-dire si durant le 3ème ou le 4ème tour, 7 provinces ou plus, marquées du sigle " CR ", sont contrôlées par une faction blanche, en comptant les batailles perdues. Le vainqueur est le joueur ayant le plus de points blancs. 3. Si la gauche a remporté plus de 16 points d'élection à l'issue du scrutin, le vainqueur est le joueur détenant le plus de points rouges.

    Images & vidéos

      Les avis

      • boîte du jeu : LibertéLiberté : mal vielli
        C’est triste mais je trouve ce jeu dépassé car lourd durant les décomptes. Je ne parle pas des difficultés visuelles de la première édition. Dommage.

        tt-efd2ab90f453459...

        19/10/2015

        5.1
      • boîte du jeu : LibertéLiberté : un thème bien présent!
        une chose est sûr, on est généralement à fond dans le thème. Bon sinon, les règles sont relativement simples, surtout pour un jeu de Wallace! Les parties sont rapides (1h45 à 5 joueurs), tendues et les conditions de fin sont variées et intéressantes. Bref, un très bon jeu!

        yoda37

        26/02/2013

        10
      • boîte du jeu : LibertéLiberté : Un peu chaotique sur ce coup là
        Fan du gars Martin Wallace, je suis resté sur ma fin avec Liberté. Je n'ai fait qu'une seule partie pour l'instant, certes, mais j'ai eu du mal à voir où ça allait. Le jeu à l'air d'être très calculatoire, et j'ai lu plusieurs fois que le jeu nécessitait 2 ou 3 parties pour être appréhendé dans sa pleine matière. Et puis ici, le thème semble moins concret, contrairement à Automobile, Brass ou Naissance et apogée des empires. Cela dit, je n'ai pas été rebuté non plus. Je referai une autre partie eu égard aux jeux pré-cités. Dans un coin de ma tête, il y a cette idée qu'un jeu de Martin W. mérite plus qu'une partie... Suite au prochain épisode ! (suite) Bon, on a refait des parties. Le but et la manière sont des choses plus claires désormais. On saisit un peu quelques finesses. Cela dit, c'est un jeu assez chaotique avec une part de chance relativement importante, et qui contient un petit effet "King Making". A 6 joueurs toutefois, c'est plus intéressant. Ca joue vite, c'est plus tendu. Les coups de puputes sont plus drôles et plus fréquents...

        tt-e5e446e6b25b3e4...

        15/11/2012

        6
      • boîte du jeu : LibertéLiberté : Martin Wallace, j'écris ton nom
        S’il n’était pas à ce point inscrit dans son thème, *Liberté* aurait pu être un simple jeu de majorité tout à fait classique. C’aurait été sans compter sur le talent de Martin Wallace, qui nous fait ici sentir l’odeur de la poudre à canon, la volonté du peuple, la force des baïonnettes, et la fougue des cocardes en furie, tout ça avec quelques cartes et petits pions de bois. Il est fort, tout de même, le Martin. D’ailleurs, comme le fait souvent remarquer un ancien poivron, *Liberté* est certainement le meilleur jeu créé sur la révolution française – et il a été commis par un anglais. L’une des principales originalités de *Liberté* tient au fait que comme dans *Byzantium*, les joueurs ne jouent pas une faction en particulier, mais tentent de sauter dans le train de l'histoire en marche, de tourner constamment dans le sens mouvant du vent, quitte à manger à tous les râteliers. Tant qu’on peut intégrer le gouvernement, au fond, on est prêt à soutenir n’importe qui. Et tant pis si au passage il faut étêter quelques zigotos. Il ressort donc au départ une impression de chaos nébuleux, qui restitue bien le contexte révolutionnaire instable, mais duquel finira bien par émerger une tendance politique, du moins jusqu’au prochain tour. Car se hisser au gouvernement, c’est aussi s’affaiblir localement... Le système de décompte est d’ailleurs assez intrigant au début, notamment à cause des nombreux cas d’égalité à résoudre. Malgré tout, le jeu est moins chaotique qu’il en a l’air, et combine astucieusement opportunisme immédiat et stratégie de moyen terme. Le hasard des cartes est certes présent, mais lissé par la gestion de sa main d’un tour sur l’autre. Surtout, le vrai tour de force de *Liberté* est de proposer des conditions de mort subite, qui outre leur évidence thématique, ont un intérêt ludique incroyable. La double épée de Damoclès que sont le raz de marée révolutionnaire et la contre-révolution royaliste permet d’entretenir la tension jusqu’au bout, puisque même avec une confortable avance au tableau, on n’est jamais à l’abri d’un coup de tonnerre politique (de même qu’avec un retard insurmontable, on peut toujours espérer la victoire). Cette tension va d’ailleurs croissant, entre la montée en puissance inexorable des révolutionnaire et l’ouverture de nouveaux fronts (avec un nombre de points de victoire distribués par tour qui augmente au fur et à mesure de la partie). Alors oui, il vaut mieux éviter d’y jouer à trop nombreux ; au-delà de quatre joueurs, la lisibilité devient plus difficile, et le jeu perd indéniablement en contrôle. En dehors de ça, *Liberté* est pour moi un jeu captivant, avec un thème terriblement immersif, le tout se tenant dans une durée largement raisonnable. Vous pouvez montrer ce jeu au peuple, il en vaut bien la peine !

        bilbo

        11/04/2012

        8.4
      • boîte du jeu : LibertéLiberté : Aux armes citoyens....
        Le moins que on mouises dire c'est que on va la jouer dans tous les camps. Bon, a une époque ou on coupe des têtes chastes jours, il était pas si mal de retourner sa veste en fonction de la direction du vent :) Pour ceux qui garderont la tête sur leurs épaules, il faudra bien la jouer sere pour s'en sortir. Car le jeu est bien calculatoir tout de même.... Chaque décision doit être bien mesure, mais si je vous dis que mes enfants de 8 et 10 ans y joue sans problème, et même gagne :( Enfin, c'est du super jeu !!!!!!

        tt-0af1eeb68c01931...

        25/07/2011

        10
      • boîte du jeu : LibertéLiberté : LIBERTE un peu, EGALITE beaucoup…
        Quant à la FRATERNITE, tout dépend de l’issue de la partie ;) Martin Wallace se penche sur une période trouble et fédératrice de l’histoire France : la révolution française. En effet se jeu se déroule de 1789 à 1799, année du coup d’état de Bonaparte. Durant ces 10 ans (4 tours en réalité) chaque joueur façonnera le paysage politique de la France et devra en tirer patrie… euh.. en tirer parti. Parlons du matériel : n’ayant joué que sur la version de Valley games, je ne pourrais me prononcer sur celle de l’époque à savoir celle de Warfrog. Le plateau est sobre tout en étant coloré et présente une carte d’un territoire familier de tous. Chaque région est représentée par une couleur vive, les provinces sont clairement délimitées. Les cartes « personnalité » sont toutes colorées en fonction de la région où elles vont interagir et ont une représentation d’une personne ayant joué un rôle durant cette décennie. Je soupçonne l’éditeur d’avoir collé la frimousse de l’auteur sur un de ces personnages ;) (à vous de le retrouver). Les pions « politique » et les marqueurs sont tous en bois, rien à redire là-dessus si ce n’est qu’il est arrivé lors d’une partie qu’un joueur n’ait pas assez de marqueurs… Parlons du mécanisme : On se retrouve face à un jeu de majorité, ni plus ni moins et ceci, du début jusqu’à la fin. Chaque joueur commence avec 7 carte en main et pendant son tour aura le choix entre : jouer une carte afin de mettre des pions politiques (maxi 3) d’une certaine couleur (Bleu pour les modérés, Blanc pour les royalistes, Rouge pour les radicaux) sur une région indiqué. Libre à lui de décider de répartir ou non ces pions sur les déférentes provinces de cette région ou de tout regrouper sur une seule province) Piocher une carte ou de prendre une ou deux cartes visible de tous (un peu comme dans les aventuriers du rail). Ou passer. Les rounds s’enchainent jusqu’au moment ou un tas de pions politique est épuisé. A ce moment précis on regarde, province par province qui a la majorité, afin d’attribuer une voix à telle ou telle couleur politique dans le but de constituer un gouvernement. Celui qui aura le plus contribuer à la victoire du parti au pouvoir aura 5 PV, le second 2PV et celui qui aura le plus participé dans l’opposition 3PV. Ajouter à cela plusieurs autres moyens de gagner des PV (celui qui aura le plus participé à la victoire militaire de l’armée révolutionnaire, certaines provinces rapportant des PV, plusieurs façon de gagner avec des « morts subites »…) et vous aurez, à première vue, un jeu dont le thème accrocheur avec un mécanisme assez simple. Simple ? Pas tant que ça ! Et oui, qui dit jeu de majorité dit « cas d’égalité » et là il n’y a que cela tout au long de la partie. Même si les égalités se départagent presque de la même façon, elles ont toute leur petite spécificité qui fait qu’on a toujours le nez dans les règles… C’est un jeu que je ressortirais avec plaisir mais pas avec n’importe qui (car il est exigent en temps et en réflexion) et pas dans n’importe quelle configuration (maxi 4 joueurs). Bref, si vous cherchez LE jeu de majorité pour des joueurs exigeants avec un thème bien rendu, Liberté est fait pour vous ! En revanche, si vous souhaitez initier des personnes aux jeux de plateau en général, et aux jeux de majorité en particulier, passez votre chemin… au risque de les voir perdre la tête ;).

        Modeste et Génial

        27/06/2011

        8
      • boîte du jeu : LibertéLiberté : Dansons la carmagnole !
        Ce jeu de Martin Wallace n'est pas son jeu le plus contrôlable mais il apporte beaucoup de satisfaction. Ambiance autour de la table pour faire basculer les élections, utilisation de cartes spéciales pour faire changer les majorités. Plein de mécanismes sympathiques dans ce jeu et surtout 3 conditions de fin de jeu qui pimentent chaque tour. Seulement 4 tours de jeu mais les tours sont longs comme souvent chez Wallace. De la prise de risque, du bluff, du chaos, de la stratégie...voilà les ingrédients d'un excellent jeu qui n'est pas facile à maîtriser ! La gestion des égalités est un règle bien complexe où il faudra de nombreuses parties pour bien les assimiler. Pour les amateurs de Wallace et les autres, allez-y, c'est un très bon jeu !

        Robbenblues

        06/06/2011

        10
      • boîte du jeu : LibertéLiberté : Libertés contraintes, égalités complexes
        Deux parties à 3 joueurs jusque là. La première m'avait bien titillé malgré la grosse difficulté de lecture des majorités. J'avais pris ce *Liberté* pour un jeu plus intuitif que calculateur et j'acceptais donc de voir se résoudre les décomptes sans être sûr de leur issue, même peu avant. Je trouvais que cela allait bien dans le thème, que cela faisait un peu comme les soirées d'élections où des sondages peuvent donner une tendance, mais où on ne peut être tout à fait sûr avant l'heure H. Et puis à la deuxième partie, l'aléatoire du tirage des cartes m'a beaucoup dérangé, celui-ci ne permettant pas un contrôle sur une souplesse de stratégie suffisamment importante. Le thème est bien trouvé et bien rendu, mais voilà, le charme est rompu. J'accepterai sans doute une nouvelle expérience, mais certainement pas à plus de 4 joueurs, configuration maximum pour encore avoir un jeu un peu contrôlable.

        Joker75

        28/04/2011

        6
      • boîte du jeu : LibertéLiberté : Ah ! ça ira, ça ira, ça ira
        Nombre de parties : une dizaine. Cette édition corrige les problèmes des éditions précédentes : - carte de France plus fidèle - les couleurs des régions correspondent aux couleurs des cartes Le thème est super bien rendu : - jeu calculatoire et chaotique à la fois : normal pour un jeu sur la révolution - jeu de majorité : normal pour un jeu d'élections - des cartes personnages ce cette période (Danton, Robespierre, Napoléon Bonaparte...) Les façons de scorer et de gagner sont plus nombreuses au fur et à mesure des tours : - élections - puis élections et batailles - puis élections, batailles, contre révolution royaliste et régions à cocarde. Du coup les parties deviennent de plus en plus tendues. Il existe trois façons de gagner : - au point au bout des quatre tours - mort subite par une contre révolution royaliste - mort subite par un raz de marée radical Il faut donc avoir les yeux partout, savoir manger à tous les rateliers, savoir retourner sa veste, savoir estimer si cela vaut le coup d'aller défendre ou non la patrie, savoir jouer la contre révolution royaliste si on est à la ramasse côté PV.... Des choix cornéliens, plusieurs stratégies possibles et toujours cette impression de ne pouvoir pas tout faire soit par manque de jeton ou parce qu'il nous manque la bonne carte : tous les ingrédients qui vous font sentir que l'on est bien dans un jeu Wallacien. L'interaction entre les joueurs est très présente grâce au système de placement et aux cartes guillotines, terreurs et autre purges. De surcroit, le jeu est très addictif et possède une très bonne rejouabilité : que demande le peuple ?

        fdubois

        30/12/2010

        10
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      merci c'est parfait

      bubutoutenjeux

      06/11/2011

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      oui c'est bien cela. Mais cela ne répond pas tout à fait à ma question. Un petit exemple de décompte suite à une victoire royaliste : Dans une province , il y a 3 blocs blancs pour le joueur A ; 2 blocs blancs pour le joueur B et un bloc bleu pour le Joueur C Lors du décompte, comment procède-t-on ? 1) Joueur A recoit 3 points et Joueur B recoit 2 points ou 2) Joueur A recoit 3 points et Joueur B recoit 0 points car B ne controle pas cette province Merci

      GMJC

      01/11/2011

      Liberté de Martin WallaceLiberté de Martin Wallace
      Ok merci pour vos réponses. Perso je pense que limiter à 20 pions n'est pas une mauvaise idée, ça permet un peu plus de piquant et oblige les joueurs à gérer et à faire des choix. pour info, j'ai joué pour le moment qu'à 3 joueurs, mais mes petits camarades "habitués" à jouer à plus, s'y retrouve également et disent même que c'est une autre façon de jouer...

      Zul

      22/12/2010

      Bertrand Cantat retrouve la libertéBertrand Cantat retrouve la liberté
      C'est toujours facile de parler de la manière dont on réagirait dans de telles circonstances, alors qu'en fait on n'en sait rien, mais je pense que la haine doit être bien plus difficile à dépasser lorsqu'il y a intention de donner la mort que dans un cas malheureux comme celui-ci. De plus, l'attitude du coupable joue également un rôle décisif dans ce domaine, et on peut dire qu'ici B. Cantat a exprimé ses regrets les plus vifs. C'est autre chose que s'il avait tenté de minimiser sa faute ou que s'il avait accusé la victime de l'avoir provoqué...Je ne sais pas si je pourrais lui pardonner dans des circonstances similaires, mais je pourrais probablement ne pas (plus) éprouver de haine...

      tt-7a6bd88c0cf4afd...

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      tt-6ace6108c06a79f...

      12/10/2006

      [Liberté] Marqueurs de contôle?[Liberté] Marqueurs de contôle?
      Normalement ça n'arrive qu'à peu de joueurs J'ai contacté l'auteur en 2003 et il m'a répondu qu'on se sert dans ce cas-là dans les couleurs restantes Donc le nombre de jetons fourni n'est pas une limite

      tt-af183136afe85a8...

      25/09/2006

      La fin de la liberté?La fin de la liberté?
      Fadest dit: Si quelqu'un peut me rafraichir la mémoire, j'ai un doute là : on faisait comment dans les années 70 et 80 (et avant pour les plus sages d'entre nous) ? Ou j'ai raté un truc : toute diffusion publique (radio, concert, télé...) gratuite va également être interdite ? Enregistrement cassette. Prix largement plus bas. Esprit communautaire bien plus important. Moins de facilité pour le contrôle. Par contre, moins de créations, moins de diversités etc... Tout support de rediffusion devra s'acquiter d'une taxe auprès de la SPRÉ (en outre de la SACEM ?). Si tu copiais un vynile sur une cassette parce que ton diamant à la maison était mort, tu ne risquais pas l'emprisonnement ferme et une amende que je mettrai près de 25 ans à payer... Autre époque, autre discussion.

      tt-6335d20b2c2d388...

      11/08/2006