Parties : 3
J ai fait des pieds et des mains pour l acheter celui-la! Je vous parle d un temps... ou on ne savait pas qu il allait etre reedite, et ou je pensais encore qu il existait des jeux a cote desquels on ne pouvait pas passer...
Je l'ai cherche pour son cote bataille galactique au 2d degre, facon mars attack. Il etait presente comme un jeu d affrontement original et nerveux.
Je dois avouer que ca a ete une deception en ce qui me concerne. L idee d un centre qui rapporte des points, mais qui serait aussi le centre des preocupations, donc difficile a defendre, est bonne, l idee de realiser des missions pour marquer des points aussi.... mais bon, on ne sait pas ce que cherche l ennemi, donc difficile de s ajuster, l exploration et la collecte des ressources n apportent pas grand chose, et malgre l existence d unites differentes, les effets de combinaison sont assez faibles, et l influence des des est vraiment (trop) determinante. Au final, je ne me suis jamais senti pouvoir faire quelquechose, autre que d etre balade d objectif en objectif, de bastons perdues aussi facilement que gagnees, en baston gagnees, aussi facilement que.... Enfin voila, quoi.
Vendu, sans trop de regret. Meme si j imagine qu on peut faire du TRES bon, sur le principe de base de ce jeu. Peut etre avec un peu plus de combinaisons de pouvoirs, de moyens de controler ses objectifs, et d influencer la reussite de ceux de nos partenaires intergalactiques.
Mon conseil : a essayer avant d acheter. Cela pourrait etre un kiff.... ou pas...
Bon jeu a tous.
J'étais assez emballé par *Nexus Ops*. Un an après la réédition du grandiose *Axis & Allies*, également chez Avalon Hill, le jeu de Charlie Cantino semblait renouer avec l'esprit des jeux de conquête de territoires des années 80 et notamment ceux des *Gamemaster series* de Milton Bradley. Mais assez vite on se rend compte qu'on ne parle pas ici de la même chose.
A l'ouverture de la boîte, on est sous le charme. *Nexus Ops* dispose d'un matériel splendide, notamment les figurines – le plastique translucide fluo en déconcertera plus d'un, tant pis pour eux – en nombre et finement sculptées. Ça change des pions en bois abstraits aux couleurs convenues. Le jeu a du caractère, et ça fait plaisir !
La lecture des règles est aisée, rendue d'autant plus aisée que les mécanismes sont familiers et relativement simples. Le système de baston est admirable. Pour l'essentiel, il reprend l'un des meilleurs du genre, celui de *Axis & Allies*, en le sophistiquant d'avantage par l'ajout d'un ordre de tir. Les grosses unités attaquant avant les plus faibles et les pertes étant infligées immédiatement, les combats ne se résument plus à de simples jets de dé mais impliquent quelques choix tactiques, souvent peu évidents.
A force de pratique, on se rend compte que *Nexus Ops* est fondamentalement un jeu tactique. Il est dénué de toute dimension stratégique, et ce en raison de cartes d'objectif secret pas très équilibrées qui contraignent les joueurs à des coups opportunistes. Et c'est là que le bas blesse. Charlie Cantino a visiblement privilégié la fluidité et la rapidité – sur ce point, le jeu est plutôt réussi – à la profondeur.
*Nexus Ops* est moins un jeu de conquête de territoires ample et subtil qu'un petit jeu de baston bourrin. Il reprend l'héritage de ses grands aînés en l'édulcorant et en le simplifiant. Franchement, on a fait mieux.
**Type de jeu :** A missions qu’on n’est pas obligé d’accepter ; mais c’est conseillé
**Nombre de parties jouées :** >10
**Avis compendieux :** Un jeu très agréable, mignon, rapide, éminemment tactique et pas stratégique pour un sous, où le hasard joue, oui, mais où au final les parties sont toujours serrées pour peu que les joueurs appréhendent bien les mécanismes et anticipent un tant soit peu. A 2 notamment, la découverte de Strider Rocks en début de partie semble primordiale pour contrôler le centre, lui-même primordial. Aux autres joueurs à savoir bien utiliser leurs mines supplémentaires pour renverser cet état initial. L’originalité essentielle tient aux cartes mission secrète. Bon jeu d’initiation aux jeux de type pif paf pouf.
Rajout : Après quelques parties à plus de 2, semble mieux à 2 (ce qui peut être lié au type jeu d'affrontement). Rerajout : peut-être pas, une dernière partie à 4 a été très convaincante. rererajout : peut-être en fait. Je ne sais plus que penser.
**Clarté des règles (5) :** Des règles aux mécanismes classiques, prises de-ci de-là, simplifiées, donc on est en terrain connu. Le tout est clairement expliqué et ne rebute pas non plus les néophytes.
**Qualité du matériel (4) :** Ah ben, les figurines Haribo, c’est du tout bon (pas l’ancien ministre), bien entendu, mais il ne faut pas que des enfants traînent par là. Le reste du matériel est plus moyen (certains disent tchip, ou cheap, quoi), tuiles assez peu épaisses, le monolithe (bon, nous, on le vire, il bouche la vue, ce doit être fait exprès, mais eh, oh), très léger, les cartes un peu moche du genre stakhanovistes, mais bon, au moins ce n’est pas surchargé.
**Reflet du thème (4) :** Bon, les unités aborigènes qu’on lève à coup de minerai de leur propre planète pour les obliger à exploiter leur propre planète, on y croit ou on n’y croit pas : en général, les aborigènes, on ne les paye même pas. Trêve de cynisme. Le coup des missions secrètes qui amènent à attaquer tous azimuts est assez irréaliste, il faudrait vraiment des compagnies d’exploitation minières loufoques. Voilà, c’est ça, c’est loufoque. Ca se passe à une époque où les chefs des exploitations minières inter-galactique donneront des ordres n’importequoitesques à leurs sbires. Et ça, c’est peut-être pour dans pas longtemps ; trêve de cynisme facile.
**Avis comportant ratiocinations et autres superfétations :** Ce jeu est très bon, mangez-en. Mais non, malheureux, ça se mange pas justement on vous dit. Bon, j’ai surtout joué à 2. Les premières parties ont été déséquilibrées ; mais en apparence seulement : d’une part, le joueur ayant perdu par 12 à 4 par exemple, avec un tour de plus, aurait pu marquer 6 points de plus, ce qui fait du coup un déséquilibre moindre (je dis des chiffres au hasard, c’est l’idée qui compte). Car on peut marquer beaucoup de points rapidement et il vaut mieux éviter de se retrouver à 11, on risquerait de s’en mordre les doigts (bon, d’un autre côté, ce n’est qu’un jeu, hein ?) si un autre joueur en profite pour opérer une remontée fantastique. Le contrôle du centre est important et est plus facile pour le joueur qui commence ou/et celui qui découvre le plus de Strider Rocks. Cela dit, il peut être intéressant de délaisser le monolithe, surtout si son possesseur y immobilise quelques araignées en dissuasion, et occuper ses propres araignées à ravager des Humans, des Fungoids et autres Crystallines. Mais ce faisant (et non ce poulet), on va se retrouver face à un adversaire qui aura beaucoup de cartes Energie, et ça, ça peut faire très mal ; pardon, je fais le jeune. Bref, un jeu léger mais plus profond qu’il n’y paraît. Pas comme cette dernière phrase, qui, même à y bien réfléchir, n’a vraiment rien de profond, non, ne cherchez pas, c’est très gentil, mais ce n’est pas la peine.
Des hexagones, des figurines de plastique, de la guerre bien affichée en couverture, on a là un bon exemple de jeu américain.
Le matériel est de bonne qualité, le carton est épais et les figurines très détaillées, surtout que le jeu reste dans une gamme de prix raisonnable pour son genre.
L'univers est par contre assez particulier, à base de créatures extra-terrestre qui ne ressemblent un peu à rien. Il n'est pas certain que ça plaise à tout le monde, mais au moins cette fois on est servi en terme d'originalité, c'est assez rafraichissant.
Dans ce jeu on doit donc envoyer ses troupes contrôler des raffineries et anéantir ses adversaires, rien de bien folichon à première vue.
Mais justement le système de score est intéressant puisque l'on marque de points majoritairement en réalisant des missions précises et pas seulement en bashant ses ennemis ou en se posant sur une zone.
Les victoires militaires apportent aussi quelques points en cas de victoires mais accordent au perdant de précieuses cartes d'actions, ce qui lui permet de se refaire ou d'avoir un avantage par la suite.
Comme dans les colons de Catane, il faut atteindre les 12 points pour gagner et on ne peut pas en perdre, les parties sont donc assez rapides, un peu plus d'une heure.
Les combats se résolvent aux dés, mais ne sont pas si hasardeux que ça. Car on dispose différentes troupes, dont le prix augmente en même temps que la fiabilité au combat.
De plus, les différents types de terrains octroient des bonus ou malus à certaines unités ce qui donne un peu de tactique dans les positionnements.
Enfin, on a différents modes de jeu et des versions alternatives des unités qui apportent un peu de variété au jeu.
En bref, Nexus Ops apporte un peu de fraîcheur dans le genre des jeux de guerre de figurines de plastiques.
Cela reste un jeu assez léger d'esprit, mais tactiquement intéressant à jouer. Il ravira certainement les amateurs du genre.
Simple, rapide, très fun, varié, facile à jouer et expliquer, matos bien sympa, des unittes différentes (mais pas de faction différente), pas de prise de tête, rapide...
Un bon jeu d'affrontement direct qui permet de s'amuser à taper les autres sans remords.
Quelques défauts:
Ne cherchez pas une stratégie y en a pas vraiment à avoir.
Les tuiles sont un peu chargées.
Pour les allergiques au hasard: fuyezzzzzzzzzzzzzzzz!
Plus de figurines fluorescente.
Pas de factions différentes.
Nexus Ops est un excellent petit jeu d'affrontement direct, avec une dimension tactique très intéressante.
Les règles sont simplissimes et la partie ne s'éternise pas. On peut même jouer en équipe ou adapter la longueur des parties selon son envie.
En gros, c'est fun et on s'éclate.
Pour ce qui est du détail, on peut mettre en avant :
La qualité du matériel : il y a beaucoup de figurines qui sont bien travaillées , mais en plastique souple (ce qui fait que certaines unités, notamment les araignées, ont un problème d'équilibre)
Les superbes illustrations (comme toujours chez FFG)
Cependant, ce Nexus Ops-ci n'est qu'une réedition d'un jeu plus ancien. Ce qui fait la différence par rapport à la 1ere édition, c'est non seulement ce que je viens de dire plus haut (figurines et illustrations) mais également la présence de nombreuses variantes inédites, qui augmente la rejouabilité :
Des jetons exploration additionnels
D'autres mode de jeu (King of the Hill; Intercepted Transmissions)
Un nouveau type de terrain (le vortex) qui apporte encore plus de fun
Des unités alternatives avec des capacités différentes, qui sont vraiment très intéressantes.
Les défauts :
Les couleurs des tuiles terrains sont un peu trop chargées. Cela peut poser des problèmes aux daltoniens.
Evidemment, il ne faut pas être allergique au hasard qui est omniprésent (dés, pioche, répartition des jetons exploration) et peut avantager un joueur plutôt qu'un autre (surtout à 2 d'ailleurs).
Mais au bout de quelques parties, ça s'équillibre (la chance tourne dit le proverbe !)
Note :Ils ont encore fait une coquille dans l'impression de leur manuel ! Les illustrations de plateaux de jeu sur le livret papier sont erronées. Il faut aller piocher les bonnes sur le rulebook en ligne sur le site FFG.
Nexus Ops est un excellent jeu de baston rapide et tactique. On récolte du minerai (rubium), on construit des unités, et on part à la chasse au Point de victoire en traversant le plateau (des hexagones) pour trouver du minerai, des troupes et se presser de contrôler la tuile centrale : le fameux Monolith. Pour se faire, pas 36 façons de marquer des points, il faut se fritter! Seul l'attaquant gagne des PVs s'il remporte une bataille, c'est à dire, s'il détruit toutes (!) les unités adverses présentes dans la zone. Simple, efficace; on y va pas par 4 chemins, et il ne sert à rien de rester dans son coin.
Le système de combat est très simple: les unités sont au nombre de 6 (dont une version alternative pour chacune) avec leurs caractéristiques spéciales. Les plus puissantes frappent en premier et ensuite par ordre décroissant. On lance un D6, et chaque unité touche suivant le type d'unités, plus elles sont fortes, moins il est difficile de faire une touche. Ajouter à ça des bonus de terrain et des capacités spéciales, et on a là un très bon jeu de déploiement stratégique et de contrôle de territoire .
Je n'ai jamais joué à l'ancienne version avec ses figurines fluo, mais la réédition de FFG est sublime, les figurines sont bien jolies et le plateau est assez beau bien qu'un peu chargé et confus dans les premières parties.
Les parties sont assez rapide, comptez 1h/ 1h30 pour des parties à 4 joueurs.
Un jeu très fun et tactique, mais pas pour les allergique au hasard!
Un matériel formidable et très lisible (j'adore les monstres translucides), des règles claires, une prise en main immédiate, un système efficace, nerveux, et brutal comme on les aime dans un jeu d'affrontement, tout ceci dans une durée très raisonnable d'une heure trente.
Une grande nouveauté, qui est au coeur de l'intérêt de ce jeu : la victoire ne consiste pas à atomiser l'adversaire le plus faible en s'y mettant à plusieurs, mais à réaliser des missions qui vous obligent à taper un peu partout sur tout le monde. Du coup, la problématique se situe entre extermination, survie et accomplissement de ses propres missions avant les autres. L'alchimie fonctionne à merveille.
5/5
Excellent jeu, quelque part entre Risk et Starcraft.
Les parties sont cependant courtes et les règles sont vites assimilées, le joueur doit sans cesse faire preuve d'opportunisme et de réactivité en raison notamment du hasard présent dans la pioche des objectifs, des cartes bonus et des jets de dés de combat.
Atypique également de par son look, Nexus Ops est malheureusement devenu difficile à trouver à un prix raisonnable, est-on en droit d'espérer une réédition prochaine de la part d'Avalon Hill? -qui vient de rééditer Betrayal at House on the Hill donc espoir-.
Super tout ces petits monstres phosphorescents qui puent le plastique toxique à plein nez!!
J'ai fait une partie à 3 où je me suis ennuyée la moitié du temps! En fait, lorsque la chance tourne, on se fait laminer et c'est quasi impossible de remonter la pente. La descente est longue et on attends avec impatience que le meneur termine les tours et vous achève pour enfin passer à un autre jeu!!
Ce jeu doit être plus intéressant si l'on est en nombre pair et aussi en équipe histoire de diminuer le facteur aléatoire des dés et se sentir moins seul face aux attaques acharnées!
Idéal pour 3 ou 4 joueurs,néophytes ou confirmés,c'est un Risk-like efficace et très dynamique qui évite l'immobilisme.
C'est vrai qu'il y a plus épique et plus riche,mais plus long et pour plus de joueurs. Dans le genre,pour moins de 4 et pas trop long je n'ai pas trouvé mieux. Sa force vient d'un subtil mélange entre simplicité dans les mécanismes de jeu et richesses tactiques;le tout marchant étonnement bien à 3 joueurs ce qui n'est pas très courant(ce qui pousse la note de 4 à 5).
Appelons un chat un chat: Nexus ops est un jeu de baston, rien d'autre. Dès le deuxième tour, les unités ont découvert tout le territoire et commencent à se mettre joyeusement sur la gueule. Le jeu ne consistera que à ça : gagner des batailles qui rapportent des points de victoire, le premier à 12 gagnant le jeu. L'interêt du jeu repose dans ses mécanismes qui rendent le jeu fluide et très rapide. Par exemple, un combat ne comporte qu'un seul round, si à la fin de ce round il reste des unités aux deux joueurs elle cohabiteront jusqu'au tour d'un de joueurs impliqué. Pas de jettés de dés d'une demie heure, les tours s'enchaînent très vite et on a l'impression d'être toujours en mouvement. Les objectifs qui se renouvellent sans cesse feront qu'en bon opportuniste on changera de cap régulièrement et la vangeance personelle ne rapportera pas grand chose à ceux qui en sont coutumier. Enfin, le jeu se joue en une bonne heure, pour un jeu de baston c'est un must.
Le tout est desservi par un matos qui tranche très fort avec tout ce que l'on connaît et qui participe à l'immersion dans le jeu, ce qui n'était pas évident à réaliser. Le plateau modulable et la trentaine d'objectifs différents assurent une rejouabilité très grande.
Merci à l'équipe de plato de m'avoir fait découvrir ce jeu !
Je dois avouer que je n'étais pas emballé au départ. Mais bon, j'aime jouer, alors j'ai dis oui pour ma première partie. Et là quelle surprise ! Jeu plus subtil qu'il n'y parait, et très sympathique ! En plus, c'est plutôt rapide, donc on peut enchainer. J'ai déjà envie d'y rejouer ! En plus, les figurines sont bien sympathiques, ce qui ne gâche rien.
Bilan
Les + :
• Les figurines, je les adore
• Principe simple, jeu efficace
Les - :
• Les tuiles du plateau ne sont pas très belles
• Tout en anglais
Bon, ce jeu, si on m'avait pas "forcé" à l'essayer, j'y serais pas venu de moi-même! Le matériel est trop ... kitsch! lol (ouais, les petites figurines en plastique moche - le plastique, pas les figurines - pas top top - encore que les dragons, on dirait des libellules!) Et le thème n'est pas nonp lus mon thème favori, loin de là...
Bref, me voilà devant le jeu, et c'est parti! Finalement, la mécanique est pas trop mal! J'achète des unités, je tape sur mes voisins... Classique, mais il y a un petit je ne sais quoi qui rend le jeu plus mieux que d'autres du même genre, sans pour autant être transcendant.
Plaisant donc, mais il ne rentrera pas dans ma ludothèque pour autant!
Petit jeu de confrontation/conquête très sympa, avec des règles hyper simples. Les figurines sont bien détaillées malgré un plastique translucide au premier abord déroutant, mais qui au final permet une bonne vision d'ensemble. Le plateau se compose de tuiles assez laides en revanche qui donne un patchwork de couleur assez hideux mais encore une fois permettant au premier coup d'oeil de savoir sur quel type de terrain vous êtes.
Le jeu est stratégique mais surtout tactique car le plateau étant petit, les combats arrivent très vite et changent la donne à tous les tours. A 4 joueurs, vous pouvez passer de dominateur à la fin de votre tour à une position relativement intenable au début du suivant... C'est ce qui fait le sel de ce jeu en fait : une pression continue sur chaque joueur mais une possibilité de revenir aussi à partir du moment où vos adversaires vous dédaignent pour tapper sur plus fort que vous.
Bref, il est loin de valoir un Starcraft mais on s'y amuse plus facilement !
Toujours beaucoup de plaisir lors de nos parties de Nexus Ops.
Le matériel est beau avec de suberbes figurines translucides.
Les règles sont relativement simples.
Le jeu ne dure pas plus de 1h30 à 2h.
Par contre, pour prendre de plaisir à Nexus ops, il ne faut pas imaginer gagner avec la meilleure stratégie ou tactique sur le terrain. Il faut être opportuniste et saisir chaque occasion de marquer des points même si cela vous amène à prendre des risques ou faire le contraire de ce que vous aviez prévu un tour plus tôt.
En bref, un très bon jeu de conquète, fun et pas prise de tête.
Un bon jeu de baston, ou on s'amuse fortement.
Le but ? Gagner le plus de combat avec si possible l'obtention d'objectifs en parallèle (tuer telle unité, gagner sur tel terrain, etc...) ce qui va obliger chacun à adapter sa stratégie, et animer la partie ! (On évite le Turtleing qu'on voit souvent dans ce type de jeu.)
Un matériel top (on peux ne pas aimer ...) et un thème Starship troopers qui colle parfaitement, bref du tout bon !
Et le tout en à peine une heure !
Voici un bon très bon jeu à jouer en 2vs 2 ou simplement à 2.
Il y a de la chance, il ne faut pas reflechir des heures ont est là pour bastonner.
C'est raffraichissant, rapide et le matos donnent envie de jouer.
Il n'est plus édité dons sauté dessus si vous le trouvez en occasion , c'est une petite perle pour se défouller à coup de dés en équipe.
Voilà un moment que ce jeu me faisait de l\'oeil. Je m\'étais presque résigné, ne le trouvant plus en boutique quant un beau jour voilà-t-y pas que j\'en vois un exemplaire bien caché dans un coin du magasin.
Dans ma ludothèque, déjà conséquente, il manquait en effet un bon petit jeu de baston/conquête à la risk. C\'est-à-dire avec les avantages du risk : des règles simples et des batailles aux dés. (oui c\'est un avantage pour moi)
Je m\'étais fait le raisonnement il y a quelques mois et mon dévolu c\'était pour finir jeté sur Dust. Je ne le regrette d\'ailleurs pas car Dust est un très bon jeu. Mais soit.
Or me voilà maintenant avec un exemplaire de Nexus ops dans les mains. Après une partie à trois le soir même, je ne regrette absolument pas mon achat. C\'est nerveux, rapide et tendu jusqu\'au bout. Bon certes la chance joue un rôle très important dans la pioche des objectifs. Parfois ça colle, parfois non.
Pour moi Nexus ops a plusieurs points forts que je ne connais chez aucun autre jeu, du moins tous ensemble.
-Une phase d\'exploration qui précède les affrontements
-L\'obligation de se battre
-Des objectifs secrets
-Des unités très différentes et toutes utiles, les unités faibles couvrent les unités fortes
-des combats aux dés intelligents
-Une aide de jeu qui reprend TOUTE la règle
-un plateau modulaire
-Pas de joueur éliminé pendant le jeu (il s\'arrête dès qu\'un joueur l\'est)
-Toujours quelque chose à faire de ses troupes : combattre, prendre des mines, prendre le monolithe, etc.
Alors, certes, je suis peut-être un peu sous le coup de la nouveauté et je pense qu\'il ne s\'agit pas du jeu ultime (c\'est d\'ailleurs pour ça que je lui mets 4) car malgré tous ces avantages, on sent bien que ce n\'est pas un vrai \"gros jeu\" et que les schémas de parties se ressemblent un peu tous de toute façon. A cela ajoutons l\'absence de stratégie réelle, car mis à part le sous objectif \"monolithe\" le jeu force plutôt à réfléchir tour par tour en opportuniste, pas à long terme sur l\'ensemble de la partie.
Quoiqu\'il en soit, je me suis bien amusé, et c\'est le principal.