J'aime bcp les jeux de cet auteur.
Celui ci ne déroge pas à cette règle même s'il ne s'agit pas de mon préféré.
Il y a ce mélange de mécanique Istanbul et fresco que j'aime bcp (je mets ces 2 jeux au-dessus de celui-ci).
Le jeu est simple à comprendre, les parties sont relativement variées par les tuiles nobles et plateaux modulables
Par contre 2 points négatifs :
- assez long (partie à 4 déconseillée)
- je ne comprends pas pourquoi l'éditeur n'a pas ajouté le nom des lieux et le numéro d'ordre sur les plateaux du tour pour plus de clarté et de fluidité.
Dommage car l'iconographie était facile à prendre en mains.
Ah...des mécaniques nouvelles, enfin !La thématique ne me branchait pas trop, mais bon...Au premier abord, le jeu est très beau. Mais, est-il aussi bon qu'il est beau ??? OUI !!! Jeu de réflexion sans ressources à gérer, je dis bravo ! Par ce que y'en a marre des petits cubes de bois en guise de jambons, bois, pierre ...etc. Les règles ne sont pas trop compliqués. Elle sont d'ailleurs très clairement expliquées. le rythme est bon car durant une partie on est quasi incapable de déterminer un potentiel vainqueur. C'est tendu du début à la fin et une partie à 4 joueurs ne devrait pas excédée les 2h.
A la fin de la lecture des règles, un gros doute subsistait concernant l'intérêt de ce jeu.Au bout de 2 tours, tout était clair. Ce jeu est une perle.Un des jeux qui sort le plus à la maison. Il tourne parfaitement à deux.
les enchaînements des actions sont bien foutues, il faut savoir doser le placement de ses serviteurs.la mécanique peut paraître un peu plaquée mais j'aime bien ce jeu quand même.il se joue très bien à 2, 3 et 4 joueurs.
Le jeu paraissait sympa mais en fait le thème est plaqué, voire inexistant. Ce thème là ou un autre c'est pareil.
Après plusieurs parties à deux on s'aperçoit que le jeu tourne en rond, qu'i n'y a pas vraiment plusieurs stratégies possibles donc on fait tous toujours le même! on se précipite pour avoir les plaquettes extérieures du plateau jardin car elles apportent des points de victoire supplémentaire ( mais à deux c'est pas forcément utile puisque chacun annule le bonus de l'autre), on cumule un max de plaquettes et de cartes et voilà, merci au revoir!
Donc moi je dis bof bof bof... Tout ça pour ça! au final on s'ennuie et on est bien content que la partie soit finie!
jeu qui manque d'âme , je ne déteste pas mais bon je ne saute pas dessus non plus , c'est un peu répétitif et tout le monde se précipite sur les tuiles extérieur , je m'attendais a mieux
Jeu intéressant avec un thème vraiment sympa. On se prend très vite au jeu et on place tous nos serviteurs afin de recruter un maximum de nobles. Il faut jouer sur plusieurs tableaux et ne jamais perdre le fil. Bref excellent jeu qui est assez facile d'accès.
Mais une partie qui m'a donné d'en savoir plus et d'y rejouer prochainement. C'est bon signe !
Les parties offrent une rejouabilité des plus intéressante. Et ça c'est un vrai plus !
J ai été assez surpris par la mécanique, là où je pensais trouvé un jeu de geste, j ai trouvé un jeu de placement assez intéressant. Les moins seraient le manque d interaction entre les joueurs et les tours qui peuvent devenir long si les personnes réfléchissent pendant des heures. Mais dans l ensemble le jeu est plaisant même s il reste assez déroutant.
Avec son thème original mais complètement plaqué à des mécanismes quasiment abstraits, Palais Royal s’inscrit dans la longue liste des jeux à l'allemande.
Le moteur d'actions bien pensé est évolutif avec la possibilité de disposer les différents lieux à sa guise : un bon point pour le renouvèlement des parties (pour peu qu'on y joue plus d'une fois).
Pas évident de dispatcher ses différents serviteurs au mieux pour à la fois avoir de la main d’œuvre en continu et à la fois pouvoir déplacer celle-ci convenablement. A ce titre, le jeu est assez exigeant et la moindre erreur pénalise immédiatement au tour suivant.
La partie scoring est elle-même assez bien conçue, le recrutement de nobles présentant un chalenge intéressant qui est se positionner assez tôt sur les majorité des bords du jardin, ce mouvement immobilisant un serviteur qui peut alors manquer pour faire tourner la machine si on le réalise trop tôt ou avant d'avoir obtenu un renfort.
A deux joueurs, cette belle mécanique s'est malheureusement avérée plate voire ennuyeuse et répétitive à dérouler. La lutte pour la majorité sur les différents lieux perd en effet complètement de sa substance à deux.
En conclusion, encore un jeu de gestion estampillé pour deux mais relativement ingrat dans cette configuration.
Les petits plateaux mobiles de positionnement des serviteurs est une bonne trouvaille. Le jeux est simple avec un peu de stratégie, on devrait pouvoir y jouer vite et se faire plaisir, en réfléchissant à l'avance à son prochain coup. Sauf quand un joueur se décide à réfléchir à son tour pendant des plombes. Là on s'ennuie ferme, car c'est plutôt un jeu ou on joue tous en // mais chacun pour soi sans grosses interactions avec les autres. Donc vaut mieux bien choisir con partenaire sinon, on a le temps de pioncer entre 2 tours....
Si vous cherchez LE jeu d'ambiance... Passez votre chemin! Voilà un très bon jeu de réflexion pour combiner correctement le placement de vos personnages en fonction des actions offertes dans chaque salle. On découvre les subtilités au fur et à mesure de sa première partie et le tout a un bon goût de reviens z'y. Le matériel est de qualité, les règles sont en fait très simple et l'enchaînement des actions devient instinctif dès son premier tour de jeu.
Un jeu aux règles assez simples. Le matériel est soigné. On retrouve le même style de boîte que l'age de pierre.
Malgré des règles vite expliquées, le jeu demande pas mal de réflexion. Il s'agit cependant pour moi, plus d'un jeu d'opportunisme que d'un jeu qui a une stratégie bien définie.
La mécanique est bien huilée mais le jeu manque d'un goût de reviens - y et reste finalement assez froid.
Je me pose enfin des questions sur sa durée de vie car mis à part le début de partie, le hasard est guère présent. Au final, on en revient à quelques exceptions près à s'intéresser aux mêmes tuiles !
Pour résumer, c'est un jeu intéressant mais je trouve qu'on a mieux sur le marché.
Palais Royal c’est comme une glace qui sort du congélateur et que l’on croque à pleine dents, c’est bon mais c’est froid !
Le jeu est malin, pas facile à cerner mais le thème parais loin, très loin même et cela est assez regrettable. C’est une sorte de pur jeu à l’allemande ou l’on ne sait pas si l’on vend des automobiles ou si l’on est un chevalier du moyen âge mais où, au final, on a passé un bon moment et ou l’on trépigne d’impatience de connaitre le score des autres joueurs.
Personnellement en plus de ne pas ressentir le thème, il ne m’attire pas beaucoup, ce qui ne m’aide en aucune façon en m’en imprégner.
Un bon jeu donc mais un poil trop glace.
Je n'ai pour le moment testé ce jeu qu'à 2.
J'apprécie beaucoup ce jeu de placement et de majorité.
Points positifs :
- Beau matériel
- Règles simples
Points négatifs :
- Thème calqué
- difficulté pour un débutant face à joueur expérimenté
Avec une seule partie à quatre au compteur, je laisse tout de même cet avis à chaud : c'est chaud, justement.
Dans le genre qui paye pas de mine, ce jeu m'a collé bien des maux de crâne.
J'y allais pourtant à reculons, d'abord parce que je n'aime pas l'époque qui sert d'ambiance (en fait on s'en fout, hein ?), ensuite parce que, ben voilà, c'est comme ça les apriori, ça ne s'explique pas forcément.
On retrouve le principe des bonshommes qui offrent une action chacun, comme dans Agricola ou Norenberc. C'est un système que j'aime assez. Ensuite, il faut tout prévoir : le nombre de déplacement à effectuer, où laisser les bonshommes pour qu'ils soient le mieux placés le tour suivant, quels personnages recruter, au bord ou non, anticiper sur les cases qui deviendront libres au prochain tour, permettant ainsi d'économiser de l'argent, penser à se placer sur les bords, aux endroits stratégiques, afin d'obtenir les majorités... Bref, Palais Royal est un casse tête en même temps qu'un poids lourd. S'il ne paye pas de mine, je le répête, il appartient bel et bien à la catégorie des gros jeux pour joueurs confirmés.
J'ai laissé passer ce jeu sans savoir pourquoi et il aura fallu que Pirlouit me le fasse sssayer pour que je savoure mon plaisir.
Mille mercis à lui...
Ah oui, évidemment on dira que le thème n'est pas présent.
Si on doit couler tous les jeux dont le thème est plutôt plaqué, on va faire un grand vide...
Reste que le jeu est diablement efficace que la pose aléatoire des tuiles action le renouvèle fortement.
C'est un jeu opportuniste, certes, mais la disposition des tuiles action et nobles va modifier sa manière de jouer à chaque partie et oblige à la mise en place d'une stratégie globale.
Il existe plein de possibilités à chaque tour ce qui en fait un jeu richissime.
Les tuiles nobles à bonus sont rares et la frustration habituelle est bien au rendez-vous. Ce jeu est fait pour moi et je l'adore.
Les illustrations de Menzel sont superbes aussi.
Un seul bémol c'est que la lisibilité du jeu s'effectue à l'instant présent et qu'il faut attendre le tour du joueur précédent et son tour pour prendre des décisions définitives.
En un mot, Royal, votre majesté !
Un peu de placement un brin de majorité, un zest de gestion, des cartes, de tuiles, tout ça pour un ensemble bien réussi.
Palais royal est un très bon jeu, qui tourne parfaitement à deux joueurs. Les règles sont simples et les tours s'enchainent rapidement, mais le jeu est suffisament tactic pour être interressant. La durée du jeu est ni tros longue ni trop courte ce qui en fait un jeu qu'on peut ressortit facilement.
Ce n'est pas un "poids lourds" du jeu de gestion mais c'est tout de même une belle réussite et un jeu très agréable.
Jeu de placement majorité au mécanisme fluide, pas complexe et subtile.
La règle du jeu est très bien écrite avec de nombreux exemples pour l'illustrer.
Matériel de bonne qualité, le graphisme des cartes est détaillé.
Présence de sachets plastiques pour ranger les pions et les tuiles.
Grand plaisir à renouveler les parties.