Que voici un nouveau mémori inintéressante dont la chance influx pour bcp.
Rapide, règle facile certes! Mais du méga réchauffé.
Préférez lui le bois des couadsous qui se jouera avec un public bien plus large et dont la chance interviens moins.
Voilà un jeu indispensable dans toute bonne ludothèque qui se respecte! Et c'est pas celui là qui vous coûtera le plus cher loin de là... Par contre il vous apportera un plaisir ludique immédiat et vraiment marrant.
Madame Irma (ouais je la connais bien, c'est ma tante) prédit que ce jeu va devenir un classique dont on ne se lasse pas. Surtout entre des parties de jeux plus conséquents. Dans le genre jeu court, super simple, avec une forte ambiance, sans prise de tête c'est le top!
Impossible de s'arrêter après seulement 2 manches. Naaaaaaaaaan vous verrez vous ne résisterez pas :))
Merci messieurs/dames les auteur(e)s de nous pondre des jeux de ce type là. Un vrai bonheur à partager, qui ravira jeunes et moins jeunes, joueurs et moins joueurs ;)
PS : Je ne test que les jeux en ayant fait au minimum 3 parties. Bon ok ici on en a enchainé une dizaine d'affilée dès réception ;)
Un jeu à posséder ABSOLUMENT : la mise en place prend littéralement 10 secondes, l'explication des règles 30 secondes et les parties moins de 10 minutes pour un jeu mélangeant bluff, mémoire, un peu d'aléatoire et un peu de stratégie.
À consommer sans modération !
Robin Wood est un jeu minimaliste, de part le matériel (13 cartes, 4 aides de jeu) qui évoque l'école asiatiaque du jeu de société avec les célèbres Love Letter, BraveRats... Et pourtant c'est bien une création française (auteur, illustrateur et éditeur) qui s'est chargé de mettre le célèbre justicier en boîte.
Bluff et mémoire sont les deux mécaniques exploitées pour ce jeu, un subtil mélange qui permet aux «gamers» comme aux plus jeunes de s'amuser autour de la table. Après une première manche hésitante (le temps de bien appréhender le pouvoir de chaque personnage) la part de bluff prend une place plus importante, et, c'est à ce moment là que la saveur de Robin Wood se révèle : un très bon jeu, plus profond qu'à l'apparence, qui mélange coups fourrés, surprises et ambiance délectable autour de la table, un vrai régal !
Outre toutes ces qualités, l'ensemble est superbement illustré : C'est ni trop sombre, ni trop «cartoon» et le jeu sera probablement vendu une dizaine euros. Enjoy :)
(Parties réalisées sur un prototype définitif)
Jeu sympa, bien illustré et mélangeant bien bluff et mémory. Et franchement avec tous les effets des cartes, ce n'est pas si simple de s'y retrouver !
En revanche pour moi c'est plutôt un jeu à deux.
Avis laissé après 13 parties (10 parties à 2 joueurs, 1 partie à 3 joueur et 2 parties à 4 joueurs).
Petite boîte à la fois mémory et effet de carte. Retournez une carte, ne faites rien ou faites le pouvoir du personnage, vous pouvez mentir bien sûr en prétendant que vous êtes la sorcière alors que pas du tout. Votre adversaire peut vous accusez de bluff. Il a raison, vous perdez un P.vie, sinon c’est lui. 2 erreurs et vous êtes mort. Vous pouvez aussi trouver l’emplacement du shérif et de ses acolytes ou de Robin et de ses compagnons. Dans la lignée de Complots ou Mascarade voilà un jeu qui se joue vite et bien. On accuse moins qu’on aurait pu imaginer, l’erreur coûte cher.
Les + :
Règles simples
Parties rapides et fluides
Jeu accessible à tous
Choix très simple
Ambiance
Un peu de mémoire, un peu de bluff, un peu de chance et de la mémoire
Les - :
Avoir l’air crédible lorsque l’on tombe sur l’embobineur (quand on ne sait pas mentir)
Donc :
Un peu de Love Letter (élimination), un peu de Ciao Ciao (devoir mentir avec l’embobineur), un peu de ….
Idéal en début ou fin de soirée !
Un petit jeu futé, dans l'esprit d'un Mascarade ou d'un Complot, avec une grosse part de bluff, de memory, et la possibilité de mentir outrageusement comme Pinochio. Chaotique mais maîtrisable, avec un effet course à celui qui trouvera le plus vite les cartes rouges ou les cartes vertes. Graphiquement réussi et intelligemment édité dans une petite boîte (merci !!).
Rien ne m'a parut extraordinaire dans ce jeu, beaucoup de déjà vu. Les illustrations sont sympas, j'accepterai souvent de faire une partie, mais je ne les enchainerai pas. Sûrement pas mon type de jeu. J'ai trouvé cela assez plat et l'ambiance n'a pas décollée autour de la table (on est pourtant assez bon public).
Une tiers de bluff, un tiers de déduction, un tiers de mémorisation et ... un tiers de prise de risque.
penser à plastifier les cartes pour leur accorder la durabilité qu'elle méritent.
Essayer dans toutes les configurations possibles (pour le jeux bien sur) il est à n'en pas douté un bon jeu ! J'ai gagné à chaque fois. C'est à 4 que je trouve qu'il y a le plus de piquant, en équipe c'est même fort rafraichissant. Ce n'est pas le jeu le plus calculatrice que vous pouvez trouver dans le style, le coté memory et bluff étant les dominant.
A quasiment mettre en toute les mains, du joueurs accomplis au plus noob parmis les noobs
Un excellent jeu de bluff. Rapide, déséquilibré et équilibré à la fois. Bref, la recette des bons jeux de bluff.
J'ai plusieurs choses à partager. Une analyse et une variante. Et tout ça nécessite un petit récap préliminaire.
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Petit survol des règles
Il y a 12 cartes, présentant un recto représentant un personnage muni d'un effet, et un verso neutre commun à toutes les cartes.
Les effets sont en rapport avec la collecte d'information et le brouillage de piste. (Retournez une carte, échangez des cartes, regardez une autre carte etc)
Les 12 cartes sont disposées au centre de la table, face cachée, sauf l'Assassin, seule carte visible.
A son tour, on choisit une carte parmi 12 et on la regarde discrètement afin de décider si on applique son effet ou pas (à quelques exceptions près)
Ensuite, soit on repose la carte sans rien dire, soit on annonce l'effet de notre choix (celui qu'on veut parmi les effets du jeu, pas forcément celui de notre carte)
Si les autres joueurs nous croient, on laisse la carte face cachée et on applique l'effet annoncé.
Sinon, on retourne la carte, et :
1 : Si on a dit la vérité, on applique le pouvoir et notre accusateur perd une vie.
2 : Si on a menti, on n'applique pas le pouvoir et on perd une vie.
La carte reste donc au même endroit mais désormais face visible.
Au bout de 2 vies perdues, on est éliminé de la partie en cours.
On peut perdre des vies en accusant à tort, en se faisant chopper pendant qu'on ment, et en retournant l'Assassin.
On peut gagner directement grâce au Shérif et à Robin, ce qui nécessite d'avoir récolté les bonnes informations afin de réussir l'effet de la carte.
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C'est un jeu amusant, mais très déséquilibré. Je vais vous expliquer pourquoi mais aussi pourquoi c'est un avantage.
Certaines cartes ont un effet pas exploitable en début de partie.
Elles sont 6 : Les 2 Paysannes, l'Embobineur, le Sherif, Robin et enfin l'Assassin.
Donc la moitié des cartes ne permet pas de progresser dans la collecte d'information. Et si on tombe dessus dès le début, on va devoir mentir, car rester réglo fait perdre du temps et nous mènera à notre perte.
Je ne vais pas vous mentir. Pour les débutants, l'injustice et la malchance se feront ressentir car ils n'ont pas les clés pour jouer à ce genre de jeu.
Les débutants mentiront quand ils seront obligés ou quand ça sera risqué, les expérimentés le feront quand ils n'auront aucune raison de mentir, parfois dès le début, afin de prendre l'adversaire de vitesse et de repousser la prochaine échéance de mensonge.
Les débutants joueront vite et ralentiront quand ils sont obligés de mentir, les autres jouerons avec ça afin de ne pas toujours donner la même information.
On ne joue pas au même jeu, donc pas de la même manière, en fonction du niveau et donc du comportement de l'adversaire. Comme au poker.
Clairement, les joueurs pas habitués trouveront le jeu frustrant. En général, soit ces joueurs n'ont pas encore compris comment apprécier ce genre de jeu, soit ce genre de jeu n'est juste pas fait pour eux.
Donc je disais injustice et malchance. Et qu'est ce qui a toujours permis de pallier ça ? Les joueurs de poker le savent mieux que moi : la courte durée des manches, et ... le bluff ! Ça tombe bien c'est le principe du jeu et les parties s’enchaînent rapidement.
Je rajouterai même la notion de long terme.
Si on fait 2 parties on risque d'être déçu par le jeu. De la même manière que 2 manches de poker ne suffisent pas à apprécier le jeu. Pareil au tarot. Tous les jeux souffrant d'un grand écart-type en terme de déséquilibre (potentiel d'injustice trop grand) trouvent leur salut dans la quantité.
C'est pour ça que si vous fixez un objectif du genre Bo9 ( = max 9 manches = le premier à faire 4 victoires a gagné = je crois que c'est ce qu'on appelle un 4 manches gagnantes en français) vous vous rendrez compte que les déséquilibres se répartissent et que c'est un jeu qu'il est agréable de sortir, et rares sont les jeux suffisamment rapides et sympas en 1v1. ( J'ai pas poussé plus que ça le 2v2 )
Ce jeu a peut être un défaut de rejouabilité à cause du faible nombre de cartes et donc du faible brassage.
On pourrait également me rétorquer qu'au poker, on n'est pas obligé de jouer les mauvaises mains, alors qu'ici, à part reposer la carte sans la révéler, ce qui est souvent inutile, on se retrouve souvent piégé.
C'est vrai. C'est justement ce qui m'amène à ma variante.
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C'est la variante à Bibi. J'en fais tout le temps, et ce jeu n'y coupe pas.
Celle ci n'est pas indispensable, elle sert à renouveler le plaisir une fois qu'on a fait le tour du jeu de base, et à aller plus souvent au bout de chaque partie sans qu'on ne meure constamment avant la fin via les échecs de bluffs / contre bluffs.
Il s'agit tout simplement d'ajouter une ressource :
Au début de chacun de vos tours, prenez un jeton ressource (un pion, un kubenbois, un bouton, un caillou, une boule de pétanque, un frigo, c'est vous qui voyez)
Si vous devez perdre une vie de quelque manière que ce soit, vous pouvez "feindre la mort" et éviter de perdre cette vie en défaussant 3 jetons à la place.
Traduction : Tous les 3 tours, vous gagnez une vie. A vous d'ajuster le prix de "feindre la mort" en fonction de vos préférences. (2 jetons est pas mal pour les débutants ainsi que pour les parties détente)
Ça ajoute également une variante psychologique : Notre adversaire a 3 jetons, on sait qu'il peut se permettre de mentir. A contrario, il sait qu'il a peu de crédibilité à ce moment là, il va peut être en profiter pour nous piéger.
Variante subsidiaire : Le pouvoir de la paysanne est désormais "Prenez un jeton". (attention, ça n'est pas très équilibré lorsque le prix de feindre la mort est de 2).
Autres paramètres facultatifs ajustables (là ce sont mes préférences par défaut, à vous de découvrir les vôtres en fonction de vos envies et de votre niveau) :
Nombre de jetons attribués à chaque joueur en début de partie : 1.
Limite au nombre de jetons possédés simultanément : 4.
En espérant que ma variante soit adoptée par nombre d'entre vous :D
Bon jeu !
Très déçu par rapport au Buzz fait autour de ce jeu.
Dans mon groupe de joueurs, on a pas du tout accroché.
C'est un Mémory re-thématisé, rien de plus.
Et 10 € pour une douzaine de cartes, c'est pas donné ! :(
Re-vendu après 5 ou 6 parties jouées.
J'adore les jeux de bluff. Je crois que, si ça ne tenait qu'à moi, ma ludothèque serait quasi intégralement composée d'objets de cette lignée. Par chance, mon entourage n'a pas attendu que je leur en fasse bouffer ad nauseam pour bien m'indiquer que je commençais à être relou avec mes jeux de bluff. Grace à eux, je joue aussi à autre chose.
Mais pour Robin Wood, j'ai craqué. Je n'ai pas Love Letter dans ma ludo (car des proches l'ont déjà) alors j'ai vu là une bonne occasion d'en avoir un cousin germain sur mes étagères.
Alors certes, la ressemblance avec le jeu sus-cité est flagrante : un jeu rapide, ou chaque tour un joueur contrôle temporairement l'un des rôles prévus en jeu, parmi un maigre panel, forcément, y'a une odeur de redite, ou à minima d'inspiration flagrante. Mais en réalité une fois en jeu, on s'accorde très vite à dire que la comparaison est peut-être exagérée, car il s'en éloigne finalement assez. Déjà, on ne pioche pas un rôle, mais on choisit une carte face cachée, et c'est une différence de taille, car on passe d'aléatoire à mémoire. Lorsqu’on pioche pour la première fois une carte donnée, on est dans l'aléa, mais les fois suivantes, c'est de la mémoire. Et va falloir aussi se souvenir de ce qu'ont pioché les autres. Enfin autant qu'on peut, car ça va vite s'embrouiller dans nos caboches. Et puis, le sel du jeu, c'est ce rôle précis : l'embobineur, carte qui vous OBLIGE à mentir sur votre rôle. Quand on tombe dessus, il faut avoir une bonne capacité d'impro, cogiter grosso merdo sur "qui sait quoi", et donner un rôle en espérant ne pas se faire griller comme une grosse tanche en ayant mal dissimulé nos émotions au moment où l'on a pris connaissance de la carte. Je dirais même d'ailleurs que le jeu perd un peu de sa force à partir du moment où celle-ci est retournée face visible, car il y a subitement beaucoup moins d'options Bluff / Contre-Bluff possibles.
Une alternative plaisante à Love Letter, bien que je ne sois pas sûr qu'il ait la durée de vie de son ainé.
Voilà un jeu qui perpétue une erreur de traduction qui est devenu culte, puisque Robin à la capuche (Robin Hood) en France est devenu Robin des bois (Robin Wood) !
Mais plus sérieusement, ce jeu est une petite perle "Made in France", ici il n'est pas question de voler les riches pour donner aux pauvres, mais il est question d'être le plus malin, le meilleur bluffeur ! Même si j'avoue me faire battre à plat de couture par ma compagne ou mes amis qui mémorisent souvent mieux que moi, je me défends par ma capacité de bluff !
Le jeu est simple, rapide, bien illustré et en plus il tient dans la poche d'une veste ! Que demande le peuple !
Aussi bien à 2 qu'à 3 ou 4, c'est un jeu à posséder !
Ce jeu simple et rapide à expliquer nous a fait passer un excellent moment. Les parties courtes s’enchaînent avec toujours autant de plaisir et de rire autour de la table. A posséder.
Bravo à Goupil pour les illustrations.
Simple, amusant (la tête des gens qui ont du mal à mentir, qui hésitent, qui rougissent...), beau et de très belle facture... Il va en faire des heureux en petit cadeau de Noël pas encombrant et pas cher !
Dans Robin Wood, chaque joueur va essayer de gagner la partie soit en étant le dernier autour de la table à avoir encore des PV, soit en réussissant à démasquer la team Robin ou la team Shérif. Minimaliste, le jeu possède 13 cartes et 4 aides de jeu qui servent aussi de décompte de PV. Il va falloir allié avec subtilité mémoire, bluff et prise de risque
Les 3 points que j'ai le plus apprécié
+ simple mais très efficace, on se plaît à tenter des bluff et ça tourne très bien
+ les parties sont rapides et l'on peut enchaîner les parties facilement
+ la variante par équipe est sympa et rajoute un aspect jeu d'équipe très intéressant
Les 3 points que j'ai le moins aimé
- il y a une erreur dans les règles : les 2 seuls cartes qui, face cachée, nous oblige à les jouer, sont l'embobineur et le traître (la règle suggérant qu'il pourrait y en avoir d'autres...)
- le jeu n'est prévu que pour 2-3-4 joueurs
- avoir d'autres pouvoirs pour les changer à chaque partie aurait été un plus
Quel jeu !
12 cartes. 2, 3 ou 4 joueurs. 10 minutes devant soi et c'est parti !
Les règles sont simples, fluides et il ne vous faudra qu'une ou deux manches pour retenir les rôles de chaque personnage. Du bluff, de la tension, de la déduction, de la mémoire (si si j'vous assure il en faut !), du stress, du rire, des soupçons, dans ce jeu minimaliste aux belles illustrations et à la grande rejouabilité.
Ca a un sacré goût de reviens-y et de revanche, et de belle, et de "on recommence ?".
Une jolie découverte peu onéreuse qui sera certainement souvent de sortie chez nous.
[EDIT : il y a une suite à lire sous les commmentaites pour mettre au clair la suite de ma critique]
Par contre, la jolie bourde presque incompréhensible ! Si les auteurs/éditeurs décident d'un titre en anglais pour faire "in" et ouverture à l'internationale il faut aller jusqu'au bout du truc. Robin des Bois se dit "Robin Hood" en anglais (à cause de sa capuche et en aucun cas des "bois").
Une simple recherche sur Google et même Wikipedia aurait évité cette grossière erreur.