Personnellement on m'a acheté ce jeu dans ma jeunesse jeune, tellement jeune que j'ai pas compris les règles (en mode hu? à 8 ans... pas comme si c'était marqué à partir de 12 ans sur la boite ^^).
Puis un jour, vers mes 14-15 ans un ami vient et on se dit "tiens si on faisait un jeu de société". Et la je sors $hark pour changer un peu. Je crois que pendant 2 ans on a pas lâché le jeu et on a vraiment passé de bons moments dessus.
Bref ce jeu permet de se plonger dans le monde des finances ou le but est, soulignons le, d'être sans pitié avec les concurrents afin d'aiguiser ses dents et de croquer les autres joueurs. Pas seulement un jeu de hasard, la manière d'investir dans les actions et de placer de manière stratégique les différents building.
Conseillé à 3 ou 4 joueurs.
Très proche d'Acquire, en plus compliqué et plus hasardeux à la fois ; ce jeu ne tient malheureusement pas la comparaison. Il n'est même pas plus beau…
J'ai bien du jouer des centaines parties depuis que j'ai ce jeu (ca remonte a loin), dailleurs j'y joue toujours.
C'est a 6 que le jeu prend vraiment toute son empleur car sinon les banqueroute sont trop rares. Neamoins, shark fait partie de ces jeux sur lesquels il est difficile d'etre imbattable ce qui le rend encore plus attrayant.
Un des meilleurs flying turtles.
Shark était resté sur mes étagères depuis des années victime de sa règle insipide à décrypter. La découverte de Trust, son ancêtre au look repoussant mais aux règles limpides, m’a inciter à sortir ce jeu qui commençait à prendre la poussière.
Si la règle est peu compréhensible, le matériel n’a évidemment aucun mal à être plus attrayant que celui de son aîné… C’est fonctionnel et agréable à l’œil même si l’ensemble reste un peu austère.
Les mécanismes sont similaires et le plaisir de jouer est toujours là.
Les manipulations de billets sont toujours aussi fastidieuses mais le principe est toujours aussi addictif.
Les règles laissent astucieusement le choix entre plusieurs variantes qui permettent de varier les plaisirs ou de corser la difficulté en diminuant le hasard (suppression du dé de couleur). Ce dernier est finement dosé et on a jamais l’impression de subir le jeu.
Les parties ne traînent pas en longueur et le jeu est étonnamment accessible. On est vite absorbé par le dynamisme des tours qui s’enchaînent avec une belle fluidité.
Shark est un jeu ancien qui reste encore attractif par bien des aspects.
On pourra seulement lui reprocher un thème un peu froid et son manque d’originalité. En effet il ne fait que reprendre des mécanismes déjà vus des excellents jeux précurseurs Trust et Acquire.
Partir de rien et s'en mettre plein les fouilles, quel fantasme !
Très bon vieux jeu, aux règles relativement simples, et au mécanisme bien huilé.
Un tout petit peu de hasard (pour placer ses sociétés)qui pimente juste ce qu'il faut pour ne pas que le jeu tombe dans une mécanique d'"autiste".
Après, ben tous les coups sont permis, surtout pour faire exploser les sociétés des autres....
Jeu familial de placement à la mécanique simple.
Évidemment on n'est pas dans du haut de gamme, dans le jeu hyper chiadé pour hardcore-gamer-pseudo-intello-qui-ne-sort-jamais-de-chez-lui-quand-il-fait-beau-et-qui-du-coup-est-bien-pâle.
Mais les mécaniques boursières, les placements géographiques, tout cela a un côté très pédagogique pour les plus jeunes, notamment en période actuelle de crise.
Les parties sont de durée raisonnable (pas plus d'1H30), les coups de crasse sont possible et même fortement recommandés et le tout reflète bien la logique financière du beau monde capitaliste dans lequel nous vivons.
Requins? Oui, et alors?
Je n'ai pas aimé Shark malheureusement. Pourtant après avoir lu les autres critiques j'ai vu que c'était un bon jeu probablement, mais je ne l'ai pas vu ou pas ressenti lors de ma partie.
Le jeu est très/trop abstrait et assez froid. Peu d'interaction entre les joueurs, beaucoup de calcul et extrêmement peu de plaisir ludique pour moi. Peut être n'ai je pas bien compris, peut être les joueurs avec qui j'ai joué ne m'ont pas assez aidé à comprendre le jeu mais en tout cas Shark est pour moi une déception.
Soyons clairs: Shark est une simulation boursière simple mais dont les rebondissements reflètent très bien la tension et les évolutions de la Bourse.
Investissez sur des entreprises, construisez des filiales pour faire monter les cours et ce faisant, faîtes s'effondrer le cours d'une société faisant perdre des brouzoufs aux autres joueurs.
Un peu de hasard avec des probabilités, un peu de tactique à la Acquire, un peu de réflexion pour maîtriser le hasard...
Pour gagner à Shark, un conseil qui est valable également si vous jouez en bourse: ne mettez pas tous vos oeufs dans le même panier. Diversifiez votre portefeuille et n'ayez pas de scrupules à vendre quand une action est haute mais composée de plusieurs petites filiales menacées de disparition.
Comme dans la vraie bourse, les coups de bol existent, mais sur le long terme, la diversification et la prudence sont garantes de succès!
Bon jeu, facile à comprendre et amusant à jouer.
(2 parties)
Un petit jeu de spéculation (un thème plein d'adrénaline, mais faut aimer...), dérivé d'Acquire, dont on fait vite le tour et où le rôle de la chance est trop important... pas terrible.
Si on m'avait dit que *Shark* était un jeu de Sid Sackson, je l'aurais cru sans le moindre doute. Basé sur un mécanisme de spéculation, cette création de Jean Vanaise ressemble beaucoup aux autres jeux du même genre, c'est-à-dire la gestion d'un porte-feuille, créés au début des années 90 et qui prennent comme toile de fond le krach boursier d'octobre 1987 – explicitement dans *Black Monday*. Naturellement, tous ces jeux renvoient à un ancêtre commun, *Acquire*, véritable précurseur. Un jeu comme on a l'impression d'en avoir vu des tas. Tout le problème est là.
Il s'agira ici d'accumuler des actions colorées tout en s'assurant que les cours continuent de monter. Il faudra savoir vendre au bon moment et anticiper sur les futures hausses. En d'autres termes, tout n'est qu'histoire de chiffres et de multiplicateurs. La problématique est claire : combien pouvez-vous obtenir de cartes et par combien devez-vous multiplier ce nombre ? Voilà le genre de mécanismes, déjà peu intéressant en soi, qui en plus a été usé jusqu'à la corde par bon nombre de jeux de l'école allemande depuis plus de dix ans. On pense en particulier à l'oeuvre de Knizia, très abondante dans ce domaine. *Shark* a au moins le mérite de les avoir précédé.
Mais le défaut majeur du jeu tient plutôt de son manque d'exigence. « L'imprévisibilité » des marchés y est simulé par deux dés et la concurrence économique par un damier aussi abstrait que simpliste. Jean Vanaise aurait pu se creuser un peu plus la tête. On passe son temps à lancer des dés et à s'adapter aux résultats en vendant ou en achetant. Les plus joueurs pourront également tenter des paris en misant tout sur une couleur et en croisant les doigts pour que les dés leur soient favorables. Autant jouer à *Can't Stop*.
$hark, c'est l'apologie du jeu ancien. Compliqué, très métaphorique (avec un plateau où les détails, voir les représentations sont inexistantes), prise de tête, et incluant une part de chance redoutable.
N'empèches, quand on dépasse le stade du plateau de jeu moche et des règles abstrait ("mais qu'est ce que tu racontes avec tes actions là ? je comprend rien !"), on commence à comprendre tout l'intérêt du jeu. Car, contrairement à d'autres, le but n'est pas de gagner ici, mais bien de tout faire pour empècher les autres d'ammasser de l'argent, et accessoirement, s'en faire un peu.
On se surprend à se faire perdre de l'argent uniquement parce que les autres joueurs en perdent aussi ; on se met à faire des plans machiavéliques pour faire chuter le cours d'une action en cours, essayant par tous les moyens d'inciter les autres à en acheter dans le même temps.
Un jeu qui porte bien son nom donc, difficile d'accès, mais très prenant une fois qu'on a réussi à rentrer dedans !
Soyons clair, les jeux d'argent ne sont pas mon fort.
Le traumatisme monopoly est encore trop important chez moi.
Le jeu me paraît froid et les manipulations de billets de banque me donne de l'urticaire.
Pour une personne que ça ne rebute pas le jeu peut s'avérer agréable, moi je m'y ennuye malgré les possibilités stratégiques offertes.
Bref, je ne suis pas le public cible de ce type de jeu.
Un bon jeu pour tout ceux qui ne sont pas alergique aux jeux d'argents.
Un jeu addictif pour ceux qui aiment jouer à la "bourse".
Par contre, il n'est vraiment bien qu'à 4 ou 5 joueur. Si on est trop peu, on joue tros souvent et il devient fastidieux de gérer ses gains gargantuesques. A trop, le jeu n'étant pas intéractif, on s'ennuie pendant le tour des autres et on à moins d'influence sur le déroulement des événements.
bon jeu mais il ne faut pas avoir peur de manipuler l'argent et de compter. On passe son temps à çà !!! Le dé est de plus un peu trop présent à mon goût...Mérite 3,5. Indémodable cependant et ressort régulièrment, marque des bons jeux sur le fond.
Soutenu par un matériel honnête, ce jeu probablement créé par des disciples d' «Acquire », propose une simulation de bourse amusante.
Le matériel qui date du début des années 90 (et au style années 80) est de bonne qualité quoi qu'assez sobre.
La mécanique est basée sur des achats et reventes en bourse (dans le but de faire des plus values). Les cours sont influencés par les joueurs dans un système mêlant stratégie et hasard.
Il faut 10 minutes pour comprendre les règles, 5 pour les expliquer. Une partie va durer une trentaine de minutes et ravirant les joueurs appréciant les jeux économiques assez simples.
A éviter à deux joueurs, bordélique a 5 ou 6, "Shark" est idéal a 4 joueurs.
A avoir dans votre ludothèque, comme un vieux standard.
C'est vrai aussi de Shark (comme de Acquire que j'ai aussi acheté ce week-end à Essen) : facile à apprendre, et laissant bcp de choix de jeu.
Moins joli que le Acquire de Ravensburger, en matériel.
Un vrai jeu de requin ...
Je ne connais pas encore Acquire, donc je ne peuxpas comparer.
Mais la mécanique de Shark me va trés bien, et les parties ne se ressemble jamais.
Pas evident de faire des alliances stables. ;o)
Evidemment, la bourse, le capitalisme, tout ça, y en a qui aiment et d'autres qui détestent. Si vous faites partie de la seconde catégorie, donnez quand même une chance à ce jeu. S'il est vrai que la mécanique et le thème collent parfaitement, il s'agit avant tout d'un jeu "d'enfoirés" comme on dit ici sur tric-trac, un jeu où on fait des croche-pieds à ses amis et pendant lequel on ricane sinistrement.
Je trouve d'ailleurs que la couverture de la boîte de la première édition (celle représentée ici) est plus révélatrice du jeu que celle de la réédition - regardez la tête du requin de droite. Les alliances se font et se défont à grande vitesse.
Je n'ai pas encore pu jouer avec la réédition, d'ailleurs, il s'agit peut-être d'une nouvelle édition avec d'autres différences; j'y reviendrai dès que j'aurais eu l'occasion d'y jouer.
[edit] voilà, j'ai joué avec la réédition... le plateau de jeu est différent, les possibilités tactiques de l'aspect pose des pions en est améliorée.
Excellent.