Jeux de ressources, assez calculatoire, avec des points de règles assez complexes au premier abord.
Je le trouve agréable à jouer bien que les parties peuvent être tendues par le choix des tuiles et de la construction des phares (plusieurs ou seul dessus).
Attention certaines personnes n'ont pas apprécié ce jeu après une seule partie et n'ont pas voulu en refaire, alors que d'autres l'ont trouvé très sympa.
Jeu pour ceux qui aiment la gestion de ressources.
Jeu de gestion superbe et original où le maitre mot est l'optimisation. Il ne faut pas chercher forcément à construire tous les phares (c'est compliqué avec la météo), mais bien chercher à gagner grâce au subtil système de majorité lors du décompte des phares. Bonne re-jouabilité, notamment grâce à la météo qui vous fera changer de priorité. Petite remarque sur l'éditeur qui a fait l'économie de ressources, ce qui oblige à utiliser des multiplicateurs. Dommage car il y a de la place dans la boîte et, à ce niveau là, on n'est pas à 1 € près lors de l'achat.
Breizh ma bro, évidemment je me jette sur le jeu Bretagne. Les phares sont beaux, ensuite, rien d'exceptionnel.
Au contraire, le matériel (bien que de bonne qualité) manque en quantité. Pas assez de pièces dès le deuxième tour...
Les tuiles constructions sont tellement petites qu'à chaque tour de jeu c'est 10 min de mise en place pour les faire tenir sur le plateau. Pourtant je n'ai pas de gros doigts...
Ensuite, sur les cartes ressources de Quimper, aurait-il une erreur d'impression à 2 joueurs ? c'est l’abondance de ressources à chaque tour. Par contre à 3 joueurs, c'est l'inverse... va comprendre.
Sur la mécanique du jeu, on ne va pas se battre pour avoir la 1ere barge (ressources abondantes à Quimper).
Si on se retrouve seul à faire un phare, nos ouvriers vont être bloqués jusqu'à la fin de la partie (et il est très difficile d'en avoir) ou un autre joueur attendra le dernier tour pour finir les phares et récoltera la rançon de la gloire. En gros, comment se faire distancer de 50 points en un coup...
Il y a que deux choix à son tour : construire une partie de phare ou échanger.
Donc après 3 parties, le jeu m'ennuie. Quel dommage, je ne suis pas certaine qu'il ressortira de ma ludothèque.
Du bon jeu de type européen avec de la ressource et des cubes en bois. Demande un peu de maîtrise. Les joueurs pointus risquent de se tordre les neurones pour de bon. Très efficace pour qui aime le genre. C'est à dire pas trop de fun et de rigolade mais un silence qui permet d'entendre chaque gorgée et autres craquements de M&M's durant les parties...
C’est l’histoire d’une région où quand il fait beau, on se promène avec son parapluie. Une région où on mange des quatre-quarts en entier. C’est l’histoire d’une région encerclée par la mer, qui décide alors d’en extraire le sel (d’où la mythologie « seltique », bien entendu…) pour en faire le commerce.
Et comme ils en ont de trop et ne savent pas quoi en faire, ils le mettent même dans le beurre qu’ils vendent…
C’est l’histoire d’un climat où ça barde, la seule histoire réelle où on peut croiser du Rohan, une bécassine qui ne vole pas ou encore la forêt de Brocéliande, demeure du mort Merlin.
Et ceux qui y vivent, dans ces petits villages qui résistent encore et toujours à l’oppresseur romain, vous diraient que c’est aussi la région des phares.
[url]<https://www.youtube.com/watch>?v=BdWZhAAf6gA[/url]
Et c’est donc en toute logique qu’un romain, Marco Pozzi, a décidé de lui rendre hommage en créant ce jeu éponyme dont je compte vous donner mon avis, là, maintenant, sans tourner autour du pôt, Pierre (ouais, mon œil !), sans dériver dans des délires, à vous parler du Mont St Michel ou du tonnerre de Brest, qui seraient pourtant des sujets ad hoc. Non, rien, tintin.
Bretagne, donc. Qu’en ai-je pensé ? Déjà, le jeu est attirant. L’illustration de son couvercle de boite est plus qu’engageante, attirante même. Et si j’étais très « jeux de mots », je la qualifierais d’ « épharante », même. Mais non, ce n’est pas mon genre…
Et on est ébloui jusqu’au titre du jeu où on retrouve un phare éclairé en T (et donc, sans fantôme, ndlr). Rien à redire non plus sur le matos. Le plateau de jeu est tout particulièrement réussi.
Enfin, rien à redire…
Dans la pratique, on regrettera tout de même deux choses : si vous placez les différents éléments du jeu comme prévu et précisé dans la règle, il vous faudra avoir de petits doigts pour ne pas faire tout tomber. Certains opteront peut-être pour une pince à épiler ou des baguettes chinoises. Ils riront jaune quand ils se souviendront que les tuiles de construction des phares achevés doivent être remélangées dans leur pile respective (de quoi casser le rythme du jeu et faire un intermède « partie de Dominos »).
Bien dommage car la taille du plateau est plus petite que ce qu’on voit d’habitude.
On aurait pu éviter cela.
Ce choix de taille s’explique peut-être du fait qu’on doit placer de grosses tuiles tout autour du plateau de jeu. Ce qui au final prend beaucoup de place sur la table de jeu.
Bon, ça c’était pour le premier reproche au niveau du matériel dans la pratique. Le second étant qu’il n’y a pas suffisamment d’argent. Ce qui implique de devoir faire de la monnaie à répétition durant la partie. Là aussi, ça casse le rythme. Et s’il y a bien trois types de pièces (et que la règle ne précise pas si certaines ont une valeur de 5 ou de 10, par exemple) et qu’en début de partie on se demande comment ne pas souffrir au niveau des finances, le problème sera tout autre quand on avancera dans le jeu…
Tel un gimmick, tout ceci va se répéter : du positif, mais de petits reproches qui auraient pu être évités.
Autre exemple : la règle du jeu. Ne soyez pas effrayés en la prenant en main : votre périple ne débute qu’à la page 31, et jusqu’à la 40. Bretagne est ce qu’on appelle un « gros » jeu. J’entends par-là un jeu pour gamers, un jeu où le hasard n’a peu ou pas sa place. Un jeu bien calculatoire où la première partie ne sera que découverte. Un jeu où un mauvais choix peut signifier que vous allez subir le jeu.
Je m’explique avec Bretagne : ici, il s’agit de vos cubes ouvriers, qu’il ne faudra pas bloquer sur trop de phares inachevés (alors que c’est tentant quand on découvre, puisqu’il y a un mécanisme de majorité de cubes sur les phares, justement). Pourquoi ? Parce qu’ils sont également vos points d’action : si vous n’en avez plus de disponibles, vous ne pouvez rien faire…
C’est d’ailleurs cette gestion sur le fil qui fait de ce jeu qui peut sembler accessible un vrai jeu qui ne rigole pas.
Mais je me suis perdu en route… Je voulais préciser que pour un jeu de ce calibre, les règles sont simples à retenir. On les digère avec une aisance étonnante. Un très bon point, surprenant.
Et c’est là qu’arrive un autre petit reproche. Ces règles manquent de précision sur de nombreux points. L’approvisionnement de Brest au début de chaque tour par exemple : doit-on ajouter chaque tour le maximum de ressources précisés ou ramener le stock jusqu’à ce maximum? En y jouant, nous n’avions plus de doute, certes, sur la réponse, mais elle manque cruellement à la règle.
Idem pour Quimper. La phase de « Fin de Tour » oublie de mentionner ces reboots. Idem pour les différentes valeurs des pièces. Je pourrais même faire mon difficile par rapport au choix des couleurs pour les phares faciles, moyennement faciles et difficiles à construire. En effet, le code couleur sélectionné est Bleu-Blanc-Rouge (belle idée que ce petit clin d’oeil) et n’est pas aussi parlant qu’un banal Jaune-Orange-Rouge, par exemple. Mais oui, je chipote, car on s’y fait très vite dans la pratique.
Comme d’habitude, je vais faire très court sur les mécanismes, vu que les règles sont accessibles sur le net. Voilà en gros ce que ça donne :
Selon l’ordre du tour (le premier à passer sera le premier joueur de la prochaine manche et ainsi de suite), on choisit une barge, qui donne un bonus particulier, puis on va à Quimper et on gagne des ressources par un système malin et proposant de l’interaction.
Ensuite, on joue une action à tour de rôle parmi trois :
– Acheter une construction avec nos ressources et la placer sur un phare en payant tout ce qui est nécessaire (matériaux supplémentaires, ingénieurs et ouvriers).
– Aller à Quimper et Brest pour y acheter/échanger cartes, ressources et ouvriers (et s’y rendre vous coûte des ouvriers).
– Passer.
Alors, c’est pas magique une explication si courte pour un jeu costaud ?
Bon, je vous raconte pas les différentes actions et les décomptes lorsqu’un phare est terminé, parce que là, c’est un peu plus long. C’est quand même le but du jeu, de les construire ces satanés phares !
Et pour coller à la thématique du lieu, la météo va s’en mêler. Ça ne va pas être de tout repos…
On en arrive à la partie que les plus pressés se contentent de lire.
Donc, voilà, c’est dit : je pense que Bretagne est un bon jeu. Un très bon jeu même. Les petits défauts soulignés ne sont que du fait d’un éditeur qui n’en est pas encore à son vingtième jeu.
Je pense également qu’il va plaire aux joueurs. Surtout ceux qui aiment bien les jeux demandant de la rigueur. Mais c’est pour cette raison que moi, personnellement, je ne possèderais pas ce jeu dans ma ludo. Non. Pourquoi?
Eh bien, je trouve que Bretagne est un jeu avec un hasard quasi inexistant. Un puzzle, un sport cérébral comme le sont les échecs. Bref, pas assez d’aléa, une interaction qui ne suffit pas pour me provoquer le coup de coeur, une diversité des parties frôlant le zéro absolu. Bref, un jeu où les gros joueurs s’exerceront pour savoir qui a la plus grosse, un jeu où le néophyte ne pourra se méler à la course à la victoire mais révisera au moins une partie de géographie.
Un très bon jeu pas fait pour moi. Je dois vieillir : les gros jeux ne me font plus autant vibrer que ça. Même quand ils proposent pourtant une énorme profondeur et des règles d’une épure saluable…
Voilà un jeu de gestion de ressources et de placement assez original. Il s'agit de construire des (vrais) phares sur les côtes bretonnes. Les constructions sont communes sachant que chaque phare dispose d'un nombre d'étages différents et demande des ressources différentes. la remarque est la petitesse des pièces du jeu et la lisibilité entre autre des tuiles de ports. Le système de décompte des phares une fois construit est très casse tête et très intelligemment trouvé, à savoir conserver des majorités ou jouer des cartes ou s'installer dans un port pour obtenir des ressources au début de chacun des tours restants. Il m'apparaît cependant compliqué de réussir à construire les 15 phares, d'autant que la météo joue avec le hasard et les difficultés de placer des ingénieurs pour construire un étage. Les ressources sont en bien trop petit nombre et nous obliges systématiquement à sacrifier 1 à 2 ouvriers sur l'un ou les 2 marchés pour tenter le plus intelligemment possible là aussi à récupérer ce qui nous manque sans trop en avoir car la plupart sont défaussés en fin de tour. Pas le jeu de l'année mais agréable.
La gueule du plateau, et le thème m'ont vendu du rêve.
La mécanique m'a ramené sur Terre.
Trop de "petites" règles qui mises bout à bout, sont cohérentes, mais voilà, le joueur expert ne sera jamais surpris, et encore moins enchanté par une trouvaille quelconque. Ce jeu à au moins 5 ans de retard, auquel cas, j'aurais été plus indulgent. C'est du vu et revu dans la catégorie Gestion-Transformation-Optimisation-Siestons.
Alors bien sur, il y a des tas de stratégies possibles, une rejouabilité certaine, des optimisations à gogo, mais est-ce vraiment l'assemblage maladroit de tout ça qui fait qu'on a envie de faire une deuxième partie ? Ben non ! C'est sec à défaut à sex, efficace à défaut d'être charmant, exténuant à défaut d'être extatique.
Déjà la Bretagne, la vraie, j'aimais pas. Et c'est pas ce jeu qui va me donner envie de faire du tourisme.
Côté mécanique les choix sont simples (prendre de la matière première, bâtir, échanger) avec , pour objectif de construire tous les étages de phares sur lesquels vous pourrez vous mettre à plusieurs (ou pas) pour vous partager les points de victoire. Les ouvriers majoritaires remportent le pactole, les autres un peu moins. Il faut donc s'assurer les majorités mais pas trop quand même, histoire de pas décourager les autres joueurs à poser de l'ouvrier sur votre phare : le risque étant que si le phare n'est pas fini, il ne rapporte rien.
Dis comme ça , sur le principe ça semble sympa et pourtant...Comment dire ? Compte tenu des stratégies envisageables, le jeu est inutilement lourd; surtout les décomptes lorsqu'un phare est construit et les conséquences d'action déclenchées, qui auraient peut-être méritées des aides de jeu... Il y'a trop de choses impactées par une seule action pour ne pas en oublier à un moment ou à un autre. Enfin, pour être clair ce n'est pas qu'il y'a trop de choses mais elles sont si peu intuitives !... Effet usine à gaz garanti.
C'est dommage parce qu'il est pas inintéressant, avec son système d'alliance pour bâtir les phares, son incitation à la prise de risque...
Côté thème, c'est un avis purement personnel, mais construire des phares en Bretagne, je trouve ça d'une tristesse... Je crois que je prendrai plus de plaisir à gérer un cimetière de campagne... Et quand j'écris ça, je veux être clair : je n'ai rien contre la Bretagne, je n'ai rien contre les phares, je n'ai rien contre la pose d'ouvriers ni contre les jeux de gestion en général (au contraire)... Je crois que j'ai simplement beaucoup de mal à trouver un enjeu exaltant à bâtir des grosses loupiotes au bord de la mer. Je vous l'accorde, c'est subjectif et certainement totalement infondé mais... bof.... quoi... J'ai du mal à rêver quand même là.
Côté matos, il est important de souligner que l'on a dû vérifier trois fois la règle rien que pour savoir s'il était normal de se retrouver face à des pénuries de jetons... C'est quand même incroyable de devoir compléter sa boîte avec du matériel improvisé pour pouvoir jouer ! Je ne peux pas croire que le jeu n'ai pas été testé, le choix de disposer d'un matériel en quantité réduite a donc dû être fait pour des raisons de coût. Sinon, les illustrations sont correctes, dans le thème, mention spéciale au plateau , de toute beauté.
Bref, si on fait abstraction du thème qui ne m'a pas séduit, je ne considère pas Bretagne comme un mauvais jeu mais il est trop lourd dans sa mécanique par rapport ce qu'il propose vraiment en terme de stratégie. Du coup, sa lourdeur le desservira auprès d'un public casual (par rapport à un Agricola ou un Âge de Pierre par exemple) sans forcément que les hardcore gamers y trouvent vraiment leur compte (comparé à un Caylus, un Descendance ou un Myrmes) En plus, le fait de manquer de matériel est assez déplaisant - Dommage !
Bretagne ce que j'en pense ?
test 3J duree Partie 2h30 regles incluses. Scores 124 - 83- 71.
Jeu de gestion aux mécaniques très classiques : ressources a collecter pr construire des phares, scoring des phares via majorités et placement de cubes (ouvriers). Décomptes en trop d etapes qui enlevent de la fluidité. Interaction limitée. Une part de co-op déguisé matiné d'opportunisme ( on peut s arranger avec 1 voisin de table pr finir un phare lors d un tour pr scorer). La lourdeur du decompte des phares divisée en plusieurs phases fait qu il est un peu compliqué de voir ou l on en est apres y a des dilemmes intéressants sur ce qu'on fait de ses cubes, combien on en place, combien on en utilise, c'est pas inintéressant. Apres y a pas 36 chemins vers la victoire, je le critiquerai la dessus. Pour gagner il faut amasser un max de cartes, s arranger pr placer 1 max de cubes ouvriers ( sur les phares et ds les ports). Le j. qui a gagné haut la main s est arrangé pr etre present ds 1 max de port et d amasser 1 max de cartes afin de scorer à donf. L introduction de la meteo n apporte rien de bien original. Les cartes que l' on pioche sont toutes les memes, seuls les pv qu elles permettent de scorer varient un peu. Un cube en bois basique. Le matériel de jeu est corecte sans + et y a pas assez de jetons ingénieurs ni d' argent. On se demande si les auteurs testent leur jeu ou si y a eu un couac avec l'usine. En bref ce jeu n est pas déplaisant et possède quelques bons élements mais reste classique, du deja vu, pas tres sexy, pas vraiment de fun à y jouer sauf pour les amateurs d'opportunisme et de majos qui devraient y trouver leur compte (pas mon cas), un seule facon de scorer = construire des phares. J ai pas été emballé + que ça. Je pense aussi qu il aurait du s orienter vers un familial (+) en l allégeant car la on a un jeu orienté gamer qui manque de richesse et qui est trop linéaire. Avec ttes les sorties d Essen, il y a mieux, la Bretagne ne restera pas dans les mémoires. (d'ailleurs on dit la Montagne, ça vous gagne et pas la Bretagne).
Les + :
Thème inédit
Mécanismes cohérents avec le thème
Plusieurs stratégies possibles
Les surcoûts de construction des phares (selon l’emplacement et la météo)
Construction semi-coopérative des phares (il ne faut laisser trop de cubes sur les étages pour ne pas faire fuir les autres joueurs et devoir le finir tout seul)
Interaction
Jeu de gestion, de construction, de majorité
Les - :
Quelques imprécisions et manques dans la règle
Il faut deviner que les pièces ont une valeur de 1, 2 et 3 (c’est écrit en tout petit sur un côté de pièces)
Il manque du matériel (argent, architecte, ressource). C’est pénible
Beaucoup de matériel sur le plateau qui ne demande qu’à tomber lorsque l’on approche avec nos gros doigts
Avoir des ouvriers bloqués sur un phare pendant plusieurs tours
Malgré les cartes météo et un placement aléatoire des phares (tout en respectant quand même les couleurs), cela manque un peu de rejouabilité
Donc :
Malgré tous ses défauts, ce jeu est très bon pour les amateurs du genre
Autant je n'avais pas vraiment accroché à la première année partie jouée certes dans de mauvaises conditions (règles pas assimilées) autant la deuxième partie qui fut mieux préparée m'a vraiment plu. Vous allez devoir vous torturer les méninges pour construire ces phares et les poses d'ouvriers vont devoir être murement réfléchis dans le but de créer des majorités. Après un ou deux tours on a vite compris la mécanique mais ce n'est pas pour ça qu'on optimise ses coups car oui le jeu est très exigeant et ne se laisse pas dompter si facilement. Au niveau des points forts, je retiendrai les illustrations, les interactions entre joueurs, le thème, l'optimisation des ressources, l'aléatoire proche de zéro et le système de météo (bah oui on est en Bretagne quand même). Les petits points faibles sont surtout d'ordre matériel. Les tuiles étages de phare sont trop petites et c'est vraiment pénible de les mettre en place a chaque tour sur le plateau principal, de même pour les ouvrier à poser dessus (attention aux joueurs maladroits et aux gros doigt). Le jeu est également très long, prévoir 3-4h avec des joueurs qui réfléchissent beaucoup. A ne pas mettre entre toutes les mains mais très très bon!
Un jeux à l'allemande vraiment intéressants, un bon moyen de se trituré le cerveau durant 2 Bonnes heure à 4 Joueurs.
Mérite une meilleur note, mais attention prévoyez de sortir une autre boite de jeux pour utiliser les jetons ressources. Bien la première fois qu'il manque des pièce sur un jeux, que même les jetons multiplicateurs de ressources manque, "attention les gars sur cette manche les jetons gris représente la pierre mais également le bois", "les tuiles construction des pièces", même les ingénieures vienne à manquer bref une vrai galère pour jouer. du coup prévoyez 2 heures de jeux et 1 heure pour à chaque instant revoir les support de ressources.
Bref tellement galère à jouer, passer votre chemin, d'autre jeux, avec un meilleur travaille d'édition, mérite le détour
Tout d'abord, éliminons d'entrée les points qui fâchent, les ressources (cubes, jetons, argent) en quantité un peu chiche puisque dans certaines configurations, elles viendront à manquer, alors que pourtant il n'y en avait pas besoin de beaucoup plus... et des règles qui auraient méritées un peu plus de clarté à mon sens.
Ensuite, passons au jeu en lui-même et il faut avouer que le mécanisme central du jeu sur l'évaluation des phares construits par 3 majorités successives est original et justifie presque à lui seul l'achat de ce jeu ! Mais il y a aussi l'optimisation nécessaire pour gérer au mieux ses ouvriers afin d'y mettre juste ce qu'il faut pour : soit encourager un adversaire à venir construire le phare avec soi pour le finir au plus vite ou, au contraire, les décourager pour pouvoir le finir peinard et choisir ses gains tranquille.
En tout cas, c'est la clé de ce jeu avec bien sûr la gestion des ressources utiles à la construction, mais cela est du "classique" dans un jeu de construction.
Pour finir, à 4 joueurs, toutes mes parties ont duré 3 heures, mais tous les joueurs ont été d'accord pour dire que personne ne s'est ennuyé et que ces 3 heures sont passées très facilement, ce qui est un point positif de plus car on peut préparer ses mouvements pendant ceux de ses adversaires.
Pas un "grand" jeu, mais un jeu qui a du caractère et donc de l'intérêt !
Bretagne ,pays celte par excellence ,ce jeu fait honneur à cette belle région .il faut être patient pour: apprendre les règles,jouer,décompter et dompter la bête.....
pas facile pas intuitif ,mais une fois qu on est dedans c est bon très bon .
une aide mémo de règle aurait été indispensable pour être quitte d avoir la tête dans les règles. ce jeu n est pas pour tous en effet il demande la la réflexion de la programmation.un peu long pour ma part ,pour au final des victoire sur le file .
Bretagne, du gros du lourd, mais aussi du bon. Apres une bonne explications des règles, quelque tour a blanc, ont peut vraiment trouver du plaisir a bâtir ces petits phares. Ok le thèmes n'est pas des plus prenant, mais le jeu est bien équilibré, et ont s'amuse bien, bon jeu.
les +
Du bon cubenbois avec beaucoup de mécanismes (déjà vus)
de la réflexion car les façons de scorer sont nombreuses (peut être trop) notamment lors du décompte d'un phare il faudra choisir comment on souhaite scorer : laisser ses cubes pour prendre les points de la majorité ? retirer ses cubes pour activer les cartes générant de gros PV ? garder un cube pour se placer sur un port et prendre un revenu en début de tour et glander quelques PV en fin de partie ?
Les -
La durée du jeu trop longue
Beaucoup de manipulation de début de tour (attention au gros doigts)
Un bon cubenbois sommes toute pas indispensable mais j'y rejouerai avec plaisir.
Coup de cœur dans les gros jeux récents, même si je lui préfère un peu Mombasa…
Un excellent de gestion et d’optimisation, doublé d’une mécanique de majorité pour le décomptes de phares finis.
Plein de petites mécaniques qui s’imbriquent au poil ! Et quoi, les auteurs sont Italiens, ils pouvaient pas construire des phares en Sicile ! A ces romains, ils la voulaient cette Bretagne…
En début de tour on récupère des ressources pour construire des phares, il y a quelques actions qui permettent d’en récupérer d’autres par la suite, mais c’est cher et ca prend du temps, le vrai sel du jeu réside dans la construction des phares proprement dite…
Construire seul c’est dur, c’et long (je parle de phares toujours), mais construire à plusieurs, c’est risquer de ne pas être celui qui bénéficiera des bonus de majorité lors du décompte d’un phare achevé !! Mais il y a trois niveaux de décompte, et les majorité peuvent s’inverser d’un décompte à l’autre…. On marque bcp de points lors du premier décompte, mais cela nous coute autant d’ouvriers que de cartes jouées, puis on peut placer des ouvriers dans les ports, qui rapporteront des revenus réguliers en début de manche, puis on décomptes les ouvriers qui restent encore sur les phares, pour marquer les derniers points de majorité.
Ca réfléchit fort, ça fume comme un paquebot vapeur des années 30, et en plus c’est beau !!!
Bretagne est un jeu expert formidable, je vous invite à le découvrir avec ma news [ICI](//www.trictrac.net/actus/bretagne-l-alchimiste-met-plein-phare-sur-le-nouveau-jeu-expert)
Mais si vous êtes devant la boite dans la boutique, et que vous hésitez alors...
Si vous êtes gros joueur de jeu costaud, allez y tendez le bras ;)