C'est un super jeu, destiné initialement au plus jeunes mais qui peut se jouer à tout âge, sans problème et toujours avec le même plaisir... Très malin, les enfants adorent le concept, simple à comprendre mais qui fera travailler la mémoire...
Sympa pour passer un petit moment quand on est seul avec des défis de plus en plus complexes... L'humour est sympa et rend le casse-tête plus convivial car il faut reconnaitre que ce n'est rien de plus qu'un pentamino mais en moins abstrait ce qui peut séduire un public plus jeune ou ayant du mal avec les jeux abstraits...
Pour les petits, la première partie va (peut-être) être dôle mais ensuite.... c'est plat, et.... pas grand chose de plus... un des jeux les plus nuls de la ludothèque (jeu demandé par l'une de mes filles à un Noël quand elle était toute petite...) car aucun intérêt à l'acquérir...
Petit jeu malin ou il y a quand même un peu de zizanie mais c'est tellement drôle.... bon, il faut éviter les mauvais joueurs qui auront l'impression qu'on se ligue contre eux si leur canard se font cibler mais c'est simple, marrant et parfait pour réunir toutes les générations...
Les + :
Règles simples et originales
Parties rapides
Fonctionne bien de 2 à 4 joueurs
Rangement bien pensé (surtout lorsque l’on a rajouté le séparateur de cartes)
Stratégies toujours renouvelées avec les 25 séries de cartes différentes
Les – :
Cher pour un jeu de cartes
Il est où le thème ?
Chacun joue dans son coin
Quelqu’un a un mélangeur de cartes ?
Donc :
C’est le manque d’interactivité qui fait que Dominion n’a pas la note maximum.
Un gloibi goulba de mécaniques connues qui ne prend pas...peu d intérêt , peu palpitant...et l extension n apporte pas grand chose hormis tenter de corriger quelques défauts du jeu de base mais sans succès.
On apprécie :
- Un jeu facile à expliquer et accessible pour les plus jeunes
- Des parties rapides, fluides pour un plaisir instantané
- Un jeu de draft avec des petits choix stratégiques (il faut compter les cartes) et des prises de risques
- Jouable à 2 comme à 8 pour un résultat toujours aussi bon
- Une bonne rejouabilité grâce à des cartes ayant chacune leurs petites particularités
- L'édition est agréable avec un plateau double couche, un rangement malin pour les cartes et la boîte qui est en métal
On déplore :
- Les cartes auraient pu être plus solides et ce d'autant que les parties s'enchainent
- Le mélange et le rangement des cartes qui est un peu fastidieux (ce sera le seul temps mort de la partie)
Bref, la recette de Sushi Go Party est simple mais parfaite : une bonne base d'anticipation et d'opportunisme, mélangée au hasard du tirage et à une pincé de fourberie, le tout avec un sacré goût de "reviens-y". Que l'on trouve la direction artistique kawaï ou enfantine (nous penchons plutôt vers le second), on se doit de reconnaître que ce petit jeu à tout d'un grand. Y jouer est un régal !
Une sacré connerie que ce jeu là... L'essentiel du jeu consiste à se faire passer la patate chaude : un ours culbuto ou culbutours, c'est selon, que l'on doit redresser d'un mouvement de doigt (ce n'est pas si facile). Rapidité et adresse seront donc de mise dans ce jeu d'ambiance universel. J'étais dubitatif mais ça marche, on rit bien, preuve qu'il ne faut parfois pas grand-chose pour s'amuser... Le jeu est idéal pour apporter un souffle de folie entre deux parties plus stratégiques. Notons toutefois que le prix d'entrée est un peu cher au regard du matériel.
Je l'avoue, quand j'ai pris la boîte de jeu, je n'avais pas vraiment de grandes attentes quant à Happy City. Le but était d'avoir un petit jeu rapide pour essayer de jouer avec mon fils.
Plusieurs dizaines de parties plus tard, force est de constater que j'y joue principalement avec des adultes !
Avec son design mignon (ou un peu niais, selon les points de vue), ses mini cartes tout aussi jolies (mais qui semblent s'user vite, et à la colorimétrie pas franchement homogène) le jeu attire le regard immédiatement, et la simplicité de sa mécanique, la durée courte d'une partie et son faible encombrement en font un jeu idéal pour initier les nouvelles joueuses tout en douceur. Notez bien que je parle au féminin parce que la plupart de mes partenaires de jeu sont des filles, pas parce que "c'est pas un jeu de bonhomme", hein.
Les règles sont expliquées en 3 minutes en prenant son temps. Après deux parties en mode simplifié avec les cartes spéciales roses pour assimiler les règles, on se lance en "mode expert" avec les cartes rouges et les cartes de départ colorées, qui apportent un peu plus de profondeur au jeu sans tout chambouler non plus. Ce mode expert fera sans doute sourire les vétérans du jeu, mais apporte une petite courbe de progression bienvenue pour les débutants.
Et quand vous commencez à vous faire pulvériser par votre adversaire, c'est qu'il est temps de passer à quelque chose d'un peu plus complexe.
Au final, Happy City est un petit jeu sympathique, loin d'être ridicule, qui permet d'appréhender entre autres les notions de construction de tableau, ordre du tour, phases de jeu, iconographie, observation du jeu adverse pour sentir le rythme de la partie. Une sorte de Race for the galaxy ultra-mega-light au pays des licornes, forcément limité dans son intérêt sur la longueur mais qui constitue une vraie porte d'entrée agréable dans le monde du jeu pour des néophytes, qui prendront confiance dans leur capacité à comprendre un jeu et à en tirer du plaisir. Oui, parce que chez les adultes, l'air de rien, en jeu comme en musique comme dans plein d'autres domaines, le discours est souvent le même: "je n'y connais rien, je vais être ridicule, vous n'allez pas vous amuser avec moi, etc". Avec Happy City, j'ai trouvé le jeu qui fait l'unanimité, même si je ne doute pas qu'il existe d'autres jeux qui cochent toutes les cases.