Deux parties jouées.
Voilà un jeu dont le materiel est de taille! 4.5kg net, des figurines de qualité, un plateau qui ne tient pas sur un lit; c'est sûr, les choses ont été faites en grand.
Au niveau du jeu, le groupe de joueurs s'est dit "chouette enfin un jeu pour se mettre dessus!" ce qui est vrai...mais pas que. En effet, avec la nouvelle règle le plaisir de lancer des pelletées de dés est bien là, mais le hasard est très bien limité: chaque bataille va voir le lancer de 3 dés, quel que soit le nombre de figurines. C'est très déstabilisant, mais vraiment efficace. Par ailleurs, le mécanisme des alliances est très bien vu et permet de construire une vraie stratégie. Le reste est "classique".
+ : système de combat
les alliances, variables tous les 4 rounds
le maniement des soldats ^\_^
- : Beaucoup trop grand: seules une dizaine de cases est utilisée, le reste est totalement inutile et rend le jeu vraiment lourd à utiliser.
Le jeu n'est equilibré qu'à un nombre de joueurs pair du fait du systeme d'alliance.
Bref, un très bon Risk expert, mais trop surdimensionné.
Ce jeu traînait depuis un moment dans ma ludothèque, je n'avais jamais eu le courage de le proposer à mes camarades joueurs tant il me paraissait déroutant, long et "geek" américain.
J'avais tort. Ce jeu est exceptionnel. C'est un jeu de conquète, mais vraiment original, où chaque action compte, où la menace de guerre est aussi importante que la guerre, ou ne pas se battre peut être plus utile que se battre, où on peut toujours revenir au score par des moyens politiques, où les astuces liées aux alliances, au positionnement sur la carte, au Sénat sont vraiment pûantes, tout dans le jeu distille une ambiance bas empire décadent vraiment jouissive.
Au bout de 2 parties complètes de 6 et 4 heures (comptez une heure par joueur), je ne peux vraiment pas décrire avec précision tout l'intérêt de ce jeu, tant les interactions sont complexes et les situations originales.
J'ai hâte, hâte d'en refaire une. Un 5/5 sans hésiter.
Si les deux jeux proposés ici prennent énormément de temps-comptez six heures par partie-ils proposent une expérience de jeu exceptionnelle, et ce pour bien des raisons : un matériel immersif (plateau énorme, pions démesurés et élégants), des règles adaptées pour les gros bourrins comme pour les fins stratèges; des surprises toujours possibles, des retournements incroyables, des erreurs fatales ; enfin de l'alliance et de la traîtrise.
Le jeu est aussi teinté d'un réalisme peu commun : un pion empereur matérialise le joueur sur le plateau, les légions peuvent se noyer dans leur galère, les déplacements doivent être planifiés soigneusement avec des chefs,l'argent ne tient pas dans la main, les catapultes sont plus efficaces contre les forts...
Après trois parties(trois défaites), je ressens les mêmes sensations : yeux rouges, léger mal de crâne, souvenirs excitants et regrets qui me donnent une grande satisfaction ludique. Un must à savourer de temps en temps, comme un plat délicieux mais hypercalorique
Un très bon jeu. La variante des règles (pas la classique, l'autre...), rend vraiment ce jeu passionnant. La guerre devient un mal nécessaire dans lequel on s'engage le moins possible, de peur de se faire déborder par un 3ème larron. Les renouvellements d'alliance à chaque phase sont aussi une excellente idée. Bizarrement, on se retrouve généralement allié avec son pire ennemie, histoire de s'en protéger et d'inciter un comparse à le dépouiller.
Bref, un jeu stratégique, diplomatique, long (5h) mais d'une très grande profondeur et qui laisse sa chance à tous jusq'aux derniers tours.
(Commentaire sur la version II uniquement)
Exelent risk-like graçes a l'ajout de l'obligation de chercher les points d'influence pour gagner; la partie militaire, le sénat ou les alliances ne sont que des moyens de gagner des points de victoire.
Les possibilités strategiques sont donc multiples et variées.
Le systeme de bataille est à revoir pour moi, trop aléatoire et illogique, (lors de ma premiere partie, un joueur s'est constitué une bonne cavalerie qui a causé sa perte prématurée à cause de son inneficacitée)d'ailleurs nous utilisons une variante qui a fait ses preuves, sans ajouter de materiel.
autre point noir, la non exploitation des zones "barbares" du nord, mise a part la dificulté de defendre rome qu'elles introduisent , elle n'ont aucune valeur et sont donc systematiquement negligées.
Néanmoins Conquest of the empire reste un tres bon jeu ou la réflexion est mise a rude épreuve, possedant une ambiance unique entrainant l'implication quasi systematique de tous les joueurs se prenant pour des petits empereur...
Si vous avez une grande table et des amis qui aiment les risk like, vous ne serez pas déçu.
Pour un aspect militaire du meme genre mais plus prononcé preferez un axies and allies, pour un peu moins d'aspect aléatoire privilégiez un Throne de fer par exemple ou encore si la majorité des joeurs sont jeunes, je conseille un risk napoléon dont les regles sont beaucoup plus digestes pour un jeune public.
Déjà la couverture m'inspirait beaucoup, son thème aussi.
Ensuite, en ouvrant la boîte, me première réaction fût "waou tout ce matos !!!"
Pour résumé le tout, ses points positifs :
- Côté immersif du jeu
- beaucoup de stratégie, de diplomatie, de bluff et de baston
- rejouabilité
- durée d'une partie (pas si longue que ça, quand on maîtrise les règles)
- la mécanique tout simplement bien huilée (petit bémol sur l'aspect aléatoire des phases de combats mais qui ne gâche en rien la jouabilité)
- beauté et qualité du matos
Et enfin ses points faibles:
- Est-ce qu'une table de banquet pourrait suffire à loger tout le matos ????
- tout se matériel n'est évident ni à installer et encore moins à stocker dans la boîte.
P'tit conseil -> mettez un sablier pour que les manches ne s'éternisent pas (j'ai instauré un sablier de 3 min)
Vous aimez combattre , gérer , parlementer et trahir pour devenir le maitre du monde !!! ce jeu est pour vous, le tous agrémenté de règles simples et claires ( je parle de la version évolué ) un must pour moi !!!
Comment j'ai dit que j'allais t'aider ??? huhuhu !!!
Je précise d'emblée que je n'ai joué qu'à la variante "inspirée de Martin Wallace", la seconde, donc, et selon moi la plus complète et la plus riche, avec son système d'enchères pour constituer les alliances, notamment.
Rien à redire pour le matériel, c'est du bon "Made in China" au sens pléthorique du terme, avec des cartes de facture honnête, mais surtout, des dizaines et dizaines de figurines de toutes les couleurs, avec des galères, des catapultes, des empereurs... Un rêve pour amateurs de petits soldats de leur enfance. Le plateau est cependant beaucoup trop grand (en plusieurs parties, comme, dans Railroad Tycoon), et par endroit, plutôt illisible.
Les règles sont limpides, assez simples en comparaison (mais comparaison n'est pas raison, hein), avec celles de Struggle of the Empires. Déjà, elles sont en couleur et avec des exemples de parties fort judicieux.
Le jeu lui-même tire un peu en longueur, si bien que la conquête de Rome, et de son empire, n'est guère évidente. A trois joueurs, le système des alliances est assez injuste, mais l'on s'en accomode tant bien que mal.
La réalisation et la mécanique du jeu sont rapidement assimilées, le jeu n'en devient que plus prenant, on s'imagine à la tête de ces armées, en général... Mais c'est sans compter avec les votes du Sénat, les perceptions d'impôts qui font grincer des dents (et "gagner" des points de chaos" et les batailles contre les concurrents, qui se jouent aux dés. Malheureusement, le nombre de dés est toujours limité à 3 (plus quelques aménagements selon les cités occupées et d'autres variations du genre), quel que soit le nombre de troupes stationnées dans la province attaquée. Et les dés, comme on le sait, ça ne me réussit que très moyennement.
Les parties peuvent donc s'éterniser, mais quelques événements viennent pimenter un peu les 4 campagnes qui s'enchaînent, ma foi, de façon assez naturelle pour ne pas trop rendre le jeu bancal, et la conquête, convaincante. Mis à part que les galères peuvent venir sur la terre ferme d'une province adjacente pour "aider" lors de batailles, ce jeu est une bonne simulation de conquête au temps des Romains, les cartes et les sénateurs y étant pour beaucoup sans doute, davantage que les soldats violets ou vert pomme.
Je suis venu, j'ai vu, et je n'ai pas vaincu, mais je reviendrai, c'est certain !
Le jeu est fait pour les amateurs de gros jeux où les armées s'affrontent à tout va!(Age of Empire III, Shogun, etc...)
Si vous aimez ce genre de jeux comme moi alors vous ne serez pas déçus si tant est que vous jouez à suffisamment, sinon le jeu perd tout intérêt!
Toutefois il ne faut pas s'attendre à une révolution ou à de la réelle subtilité tactique.
Le jeu est vraiment bourrin et sert aux bourrins!!!^^
une rareté: un matériel haute gamme, deux jeux complémentaires, pour un prix ridicule...
Ce jeu flatte autant mes neurones ludiques que mes yeux. Les figurines sont d'une bonne taille et de bonne finition. Le plateau est immense. La lecture du jeu n'en est que plus aisée.
les règles I sont intéressantes, proposant une version "Risk like" en plus jubilatoire. Mais ma préférence va aux Règles II qui amènent une dimension politique et diplomatique venant renforcer le caractère stratégique de ce jeu. Il ne s'agit plus d'écraser les armées de l'adversaire, mais plutôt d'exercer une influence importante sur l'ensemble de l'Empire. Dans cette situation il faut cesser de penser en termes de possession de territoire et s'habituer à travailler avec les alliés du moment.
Sans aller plus dans les détails, une fois passé l'assimilation des Règles II, les mécanismes de jeu sont fluides et relativement immersif. Les intrigues lors de la constitution des alliances, ou du vote du Sénat, rythment bien le jeu offrant un moment intense de plaisir ludique. Les batailles sont plus rares mais très stratégiques (vaut-il mieux renoncer ou défendre coûte que coûte ses jetons d'influences ?).
Un plaisir ludique rare !
A vous d'essayer :)
L’aiguille de la balance indique … 89 kilos… damned ! j’ai encore grossi.
Rien d’étonnant à cela. La pratique assidue du jeu de société fait le lit de la sédentarité et par là même des excès de graisse. Surtout, lorsque la susdite pratique - pour parler comme Meuh - voisine avec l’apéro et ses inévitables rondelles de riflard
En matière de surcharge pondérale, ma dernière livraison en provenance de Phil et Bébert, m’a l’air de se poser là, tiens.
CONQUEST OF THE VAMPIRES
pardon, mille fois pardon … on me souffle dans l’oreillette qu’il s’agit en fait de
CONQUEST OF THE EMPIRE
Simple curiosité, je suis allé dans ma salle de bain déposer l’objet du délit sur le pèse personne. Bein mon salaud … c’est du lourd, y’a pas à dire, grosso modo 4 kilos 500 Je dis grosso modo, voyez vous, car vu mon état de sous équipement électronique, je n’ai pas les moyens d’affiner davantage la mesure.
Rapporté aux prix payé, eh oui c’est les soldes, cela nous fait exactement .. quatre fois sept vingt-huit je retiens un … 6,6444444444444444444444444444444 € le kilo à ce prix là, dites-moi, qu’est qu’on a de nos jours, pas même un sac de riz premier prix, pas vrai ?
Alors ça vous tente, là, tout de suite un p’tit open the blox (non ça c’était ma dernière chronique) … un p’tit open the box hein ? Mais sans images. Pasque moi, vu mon état de sous équipement électronique, j’ai pas les moyens video d’un Phal hein ! 3,2,1 Clap C’est parti !
Fermez les yeux et imaginez tout d’abord une boite. Une boite de sardines. Une grande boite de sardines non pas oblongue mais carrée. Comment ça que ça n’existe pas carrée, mais puisque je vous demande de faire un p’tit effort d’imagination, bordel ! Donc, je reprends, dans la boite qui est je le répète carrée y’a … des sardines ? andouille! la boite elle regorge, mieux dit, elle dégorge non de sardines mais de p’tits soldats en plastoc, de cavaliers, de trirèmes, d’engins balistiques, comment qu’on dit déjà, pour bombarder hé hé l’ennemi. Et y’a de la thune tout plein. La vache ! Vise les pièces c’qu’elles sont grosses qu’on dirait presque des médailles olympiques. Les cons i’ m’ont pas mis celles en bronze ! Y’a des villes, des remparts, y’a des routes. Des marqueurs, des cartes à jouer, des dés. Et puis surtout il y a le plateau. Que dis-je les plateaux ! Un triptyque de panneaux qui, juxtaposés, nous donne à voir l’Empire jusqu’à ses marches. Une surface de jeu extravagante par ses proportions 115.5 cm sur 90.5 laquelle sans même le renfort de la garniture décrite plus haut vous laisse en état de sidération. Subitement, l’espace alentour se rétracte. Subitement, on devient le héros de Richard Matheson dans l’homme qui rétrécit. Mais, le malaise, à vrai dire, n’émane pas seulement de cette démesure. La grandiloquence avec laquelle Eagle Games s’est acquitté de l’habillage du plateau a un je-ne-sais-quoi de mussolinien. Voyez ce titre géant qui barre le haut en lettres monumentales comme une affiche de peplum CONQUEST OF THE EMPIRE. Voyez ces colonnes, la statuaire antique, ces sphinx, ces Atlantes sur l’Atlas. La louve allaitante. Remus et Romulus. Pompeux au possible. Indigeste. Pire, cette surcharge graphique mégalo, cette folie des grandeurs rend le jeu quasiment injouable en l’état. Où trouver, en effet, le mobilier apte à recevoir une mappe de cette échelle, d’une largeur excédant celle d’une table ordinaire. Bien-sûr, pour peu qu’on s’accomode de quelques débords sur le pourtour de celle-ci, rien n’empêche, en toute objectivité, de jouer. D’autant que le carton est épais et solide. Au passage, jetez un œil sur l’envers, façon sky simili cuir. Où en étais-je ? Oui les débords. Cela ne poserait pas de problème s’il ne s’agissait que d’un plateau. Alors trois, pensez donc ! A peine prend-on appui sur la table qu’il se produit immanquablement une dérive des continents. L’Afrique du Nord s’encastre dans l’Europe du Sud. Et vice-versa.
Pour atténuer cette tectonique des plaques, on s’est résolu à descendre d’un étage : on a joué parterre, à même le tapis. Cela se passait à dire vrai plutôt bien jusqu’à ce que le chat patatras ! ne vienne décimer nos centurions et leurs légions d’un seul revers de patte ! Alors que faire ?
Jouer à autre chose, probablement. Et attendre, qu’un jour prochain, Dieu sait quand, un professeur Shadoko n’invente la machine à miniaturiser. Espoir.
Malgré ces vicissitudes et donc le peu qu’on a pu y jouer, je vous livre pour finir notre retour d’expérience.Maigre, il est vrai. Le jeu dans sa version classique – vous avais-je dis qu’il y en a deux ? - n’est pas inintéressant bien que les règles restent parfois obscures et ne rendent pas compte avec beaucoup de clarté de tous les cas de figure. Une constante chez Eagle. C’est un Risk amélioré qui plaira sans l’ombre d’un doute aux gamins. Pour le Wallace, là je confesse, honteux, qu’on n’a pas eu le courage de s’y coller. On se rapportera, par conséquent, avec le plus grand profit au forum où, m'a-t-on dit, y’a un gars très versé là dedans. Je crois qu'il bosse chez Dacia.
Je ne parle que de la version 2. La première est un gentil Risk.
Le jeu est à la fois passionnant et déroutant. passionnant par ses mécanismes, les interventions au Sénat, le jeu des cartes, les alliances. Déroutant par sa géographie, parce que le plateau ne sert pas en entier, que les manoeuvres se concentrent (mais pas uniquement) autour de l'Italie, que les mouvements n'ont que peu de restrictions alors même que l'on ne peut enchaîner mouvements et combats dans le même tour. Beaucoup de joueurs se trouvent gênés par cet aspect du jeu, et il est souhaitable qu'un joueur connaissant la teneur du jeu l'explique avant le début de la partie.
Les parties demeurent assez épique, et le matériel est à la hauteur du souffle de l'Histoire. Si vous avez l'occasion, testez ce jeu.
+ de 15 parties
Un jeu de conquête très bien huilé. L'un des meilleurs AMA (avec Wallenstein mais complètement différent). Le système allège Struggle et le rend beaucoup plus fluide et abordable notamment pour les joueurs plus novices. Cela reste quand même un gros jeu pour gros joueur avec un matériel extrêmement bien fini. Contrairement à ce qui est écrit à droite à gauche, on fait les parties à 5 généralement en 3h.
Cela fait partie des 5-6 jeux auxquels je ne dis jamais non.
La version de base de ce jeu est réellement simpliste, je n'ose pas employer le mot "wargame" pour le définir.
La version Wallace, comme bien souvent, est beaucoup plus riche et très alambiquée.Je n'aime pas les enchères, qui plus est...Donc un jeu qui n'est pas pour moi?... Et bien oui, en fin de compte, j'aime jouer à ce jeu car:
\* Le matériel y est incroyable
\* Les parties sont finalement assez rapides ( 1h30 à 2 joueurs)
\* C'est un pur jeu de conquête sans l'ombre d'une gestion de cubes en bois..
\* Le matériel y est incroyable
\* Le matériel y est incroyable
\* Le matériel y est incroyable........
c'est du beau, vrament top, tout est bien et en profusion. Mais le blem c'est que si vous vous faite demonté au debut, bonne chance, vous allez ramer pour rattraper le coup :(
*"Wouah !!"*. C'est le bruit que vous ferez en ouvrant la boite et en vous ébahissant devant tout le matériel. En même temps, vu le prix du jeu, il vaut mieux. Ledit prix restreint d'ailleurs fortement l'espérance de faire de *"Conquest of the empire"* le jeu le plus vendu au monde.
Et qui dit beaucoup de figurines et de matériel dit beaucoup de temps passé à installer le jeu. Il faut souffrir un peu avant de se faire plaisir.
Après il faut passer aux règles. Et là aussi ce n'est pas une mince affaire. Accrochez vous pour votre première partie. En même temps si vous avez dépensé les quelques 60 euros pour vous offrir ce jeu (c'est toujours moins cher que *"Twilight of the Imperium"*) c'est que vous êtes déjà très motivés(es).
Mais le jeu en vaut vraiment la chandelle.
Bien sur, comme toujours dans ce type de jeu, il faut plusieurs parties pour en apprécier vraiment toute la richesse et toutes les possibilités stratégiques.
Il ne vous reste donc plus qu'à refaire une partie !!
En effet, je fais (presque) toujours une partie à chaque we jeux.
Je le préfère à SoE car il a l'avantage de se renouveler à chaque partie au niveau des cartes tirées au début des tours.
Un seul bémol, le système de sénat est buggé à mon sens car il permet à un joueur d'acheter une carte puis de la squatter toute la partie sans la lancer en vote.
Idem pour le principe des votes que je trouve peu ludique (au premier tour, je pose mes 6 voix de sénateur et j'ai gagné mon vote).
Tout ceci explique la note de 4/5 (et non 5/5).
Je teste actuellement une variante que je proposerai surement un jour.
Passons sur la version I, sans intérêt, la version II (avec Wallace derrière) ne manque pas d'atouts:
- système d'alliance bien vu
- combats bien équilibrés
- règles claires
- système de jeu de majorité éprouvé
mais le jeu souffre de 2 défauts importants à mon goût:
le déséquilibre entre ceux qui ont bcp de revenu et ceux qui en ont bcp moins s'amplifie bcp trop dans la phase d'alliance qui se fait avec les sous justement: les deux + faibles peuvent se retrouver ensemble toute la partie et rament...sans la moindre chance de revenir (surtout que ça peut durer 5 heures)
le manque de clarté de la carte bcp trop grande avec la présence d'une dizaine de pays qui ne servent à rien dans la version II
Bref: moyen.