Voilà un jeu, que j'ai vu passé plusieurs fois sous mon nez, et que j'ai mis du temps à découvrir. Connaissant le principe et aimant ce style de jeu, je l'ai acheté à l'aveugle chez mon ludicaire préféré.
Aucun regret, Deus fourmille de mécaniques dont je suis friand, avec ma femme on enchaîne les parties, ce qui permet d'assimiler tous les petits détails du jeu.
Du placement, des combos, de la stratégie, un peu d'interaction, bref un plaisir ludique à tous les étages.
Le hasard du tirage des cartes est contré par un système de défausse autant intéressant que primordial, car il participe indirectement à l'une des deux conditions de fin de partie.
Bref un jeu que je ressortirai sans problème et que j'ai hâte de faire découvrir à mon entourage.
Avec toutes ces sorties de fin d'année 2014, il m'aura fallu attendre Mars 2015 pour m'essayer à Deus... avec succès !
Les règles sont faciles à assimiler, et dès que vous maitrisez les termes et logos employés, tout ce que vous avez besoin de connaitre pour pouvoir jouer se trouve là devant vous. Toutes les règles.
On pourra regretter que le matos n'est pas des plus joli, ou que les forêts produisent des jetons marrons, mais ce sera fait sans bouder notre plaisir.
J'avais beaucoup aimé Elysium, dans la même thématique. Deus est un peu plus lourd, mais plus riche, meilleur.
Je le trouve également supérieur à Five Tribes, que j'ai apprécié comme ces deux là et qui a remporté l'As d'Or du jeu pour joueurs devant Deus.
Bref, tout ça pour vous dire qu'il s'agit là d'un jeu qu'il ne faut pas louper. Je range le mien aux côtés du seul Pearl Games que j'avais conservé jusque là (mais il me reste Bruxelles à essayer) : Ginkgopolis...
Deus est un **très bon compagnon de soirée**... Il peut se délecter seul, ou accompagné de **Minivilles** en hors d'oeuvre et de **Terra Mystica** comme fromage-dessert (*"Terra Mystica c'est carrément une pièce montée oui!"*). Deus fait un très bon lien entre ces jeux : un côté pioche / combo / activation de cartes en cascade de **Minivilles**, et un côté placement / conquête de zones / construction / ressources de **Terra Mystica**...
Deus est un jeu **contrôlable** et "**responsable**" comme on les aime : contrôlable car on contrôle (presque) tout de A à Z, responsable car si on se plante, on ne peut s'en prendre qu'à soi-même (*"Raaaah ! Pourquoi j'ai fait ça !"*).
Il n'y a que très peu de hasard : on peut à tout moment choisir de changer sa main pour une main meilleure. Mais tout le dilemne est là : il faut choisir quelles cartes défausser, et à quel moment.. Le hasard reste limité même si toutefois présent.
Rentrons un peu plus dans le détail :
Le principe du jeu est de construire des bâtiments sur des zones du plateau, que l'on conquiert petit à petit. Les bâtiments sont de 6 catégories différentes : maritimes, commerciaux, civils, scientifiques, militaires, ou bien religieux (temples). (A chaque catégorie est associé un dieu, mais le thème n'a que très peu d'impact).
A son tour de jeu, nous avons le choix entre :
- **Construire un bâtiment** : on dépose une carte de sa main sur son plateau individuel et on construit un bâtiment correspondant à la carte sur le plateau de jeu commun. On active l'effet de la carte nouvellement posée ainsi que toutes les autres cartes précédemment posées dans cette catégorie, dans l'ordre de pose des cartes.
Pour construire un bâtiment, il faut la carte correspondante ainsi que le bâtiment à construire en réserve. ("*Pas de carte, pas de bâtiment... pas de bâtiment, pas de palais......pas de palais, pas de palais..."*). Chose tout à fait logique, mais qui conduit à un dilemne avec le choix suivant.
- **Faire une offrande aux dieux** ("*C'est odieux !*") : globalement, cela se traduit par 3 actions :
\* Se défausser d'une ou plusieurs de ses cartes
\* Gagner dans sa réserve un bâtiment, des ressources
\* Compléter sa main avec de nouvelles cartes.
Il faut choisir à quel dieu on fait l'offrande (i.e. quelle est la catégorie visée).
En fonction du dieu invoqué, le type de bâtiment / ressource change (logique!) et l'ordre des actions ou les actions elles-mêmes peuvent légèrement varier.
Bien sûr **les effets des cartes intéragissent avec le plateau** : on peut gagner certaines ressources en fonction des zones que l'on occupe sur le plateau, on peut récupérer de l'or chez les adversaires sur les zones adjacentes, on peut déplacer ses unités militaires sur une plus grande distance etc ....
Le jeu prend fin lorsque tous les bâtiments temples ont été construits, ou bien que tous les villages barbares sur le plateau commun ont été attaqués.
Les points de victoire se gagnent en cours de partie mais également durant le décompte final.
Deus est donc un jeu plein de **surprises** et de **rebondissements** où l'**adaptabilité** est le maître mot. Il faut sans cesse composer avec les cartes de sa main, savoir en sacrifier, imaginer des combos avec les cartes déjà présentes sur son plateau individuel, conquérir les zones sur le plateau commun et jouer des coudes avec ses adversaires... le tout en restant maître de la longévité de la partie.
La stratégie est donc souvent remise en cause par les choix restreints qui nous sont offerts, mais également par l'évolution du jeu des adversaires.
**Chaque partie est unique car le plateau est évolutif**.
Un jeu où il faut penser sur plusieurs tours ...
Un jeu simple qui peut très vite se complexifier au niveau stratégique...
Un jeu où on s'éclate, n'ayant nul besoin de Doliprane ou autre Dafalgan...
Un jeu qui plus est **joli** et **très coloré**...
Un jeu qui cache bien son jeu...
Bref... **un jeu qu'il est très bien pour y jouer !**
On ne dirait pas comme ça avec leurs têtes de meeples mais ils sont agressifs… Ils auront vite fait de vous bloquer ou de vider les points de victoires du gros village barbare à 6 PV sur lequel vous lorgniez avant que vous n’ayez eu le temps de l’attaquer ! Enfin il ne faudra pas uniquement se méfier d’eux, il faudra aussi faire attention à vous étendre le mieux possible, garder un œil sur les gros combos que pourrait faire votre adversaire et éventuellement sauter sur les ressources dont il aurait besoin (si vous pouvez vous permettre bien sûr…) car les ressources ne sont pas illimités... Ou bien tenter de rapidement récupérer les terrains qui pourrait l’aider à exploser le score… Mais bon tout cela sans oublier notre propre développement et ce qui nous permettrait de faire exploser le score...
Et surtout il y a un timing à respecter, 4 temples construits ou 4 villages barbares attaqués (à 2 joueurs) et c’est fini ! Donc si dans 4 tours vous allez faire des combos de malade mais que votre adversaire déclenche la fin de partie ben ça n’aura servi à rien ! Essayer d’avoir par contre la possibilité de déclencher la fin de partie quand on le souhaite peut être intéressant… Mais il ne va pas falloir chômer, être à la fois stratégique et opportuniste, des fois aller vite et des fois prendre un peu le temps d’améliorer sa main, de se développer harmonieusement...
Ce Deus est pour moi un excellent jeu de gestion et de combo qui en a sous le capot... Avec une petite trentaine de parties, l’envie de rejouer encore et de tester plein de choses est toujours là, plutôt bon signe ça ! Comme cela a déjà été dit, je lui trouve aussi un petit côté Race For The Galaxy en moins compliqué à prendre en main (même s’il y a une vraie phase d’apprentissage). En effet les cartes sont une ressource qui peut servir à payer divers avantages (les offrandes aux dieux) et ce n’est pas toujours simple d’abandonner certaines cartes... Mais il y a aussi ses placements à optimiser et le système de plateau modulaire est bien pensé pour renouveler les situations à ce niveau. Ça fonctionne super bien à 2 joueurs, je n’ai pas encore testé à plus. Au début je me disais que le 1er joueur avait un avantage mais ma petite expérience de jeu m’a montré que ce n’était pas forcément le cas, des fois il vaut mieux prendre le temps d’améliorer sa main et de récupérer quelques ressources que de foncer tête baissé à l’endroit qui semble le plus avantageux…
En plus de cela la durée de jeu est courte (environ 30 minutes en ligne, sans doute 15 à 30 minutes de plus IRL) pour un jeu bien consistant à l’inverse d’autres jeux moins profonds et en plus de cela un peu longs pour ce qu’ils proposent... Non, je ne citerais pas de nom...^^ Après il y a bien sûr l’aléatoire des cartes qui peut soit aider, soit un peu ralentir mais ça ne prend pas du tout le pas sur le « bien joué » pour moi. En bref, un super jeu « intermédiaire » qui me semble avoir une très grosse rejouabilité !
Je ne résiste pas à l'envie de vous faire partager mon enthousiasme après mes deux premières parties de Deus.
Car c'est pour moi tout simplement le meilleur jeu de son genre/poids et de sa catégorie, auquel j'ai joué cette année, et même depuis longtemps. Il m'a vraiment fait une très très forte impression.
Un jeu qui se joue en une heure ou un peu moins, avec une règle courte et vraiment très abordable, une mécanique d'activation des cartes originale, pure, simple, élégante et formidablement efficace, qui offre un très grand nombre de choix tactiques et plusieurs axes stratégiques. Au service d'un développement à la fois sur les bâtiments (cartes) mais aussi sur une vraie map, modulable, avec de vraies interactions déterminantes, ça, j'adore, et c'est devenu très rare dans dans cette catégorie de jeux. Bref, pour le moment, je ne lui trouve que de grandes qualités, en plus, il semble avoir une énorme rejouabilité.
La map modulable, sobre et efficace, bénéficie d'une grande lisibilité, c'est parfait, l'iconographie des cartes est sans défaut et très bien pensée, ce qui permet de rapidement se concentrer et s'immerger dans la partie. Graphiquement, les cartes sont très agréables et assez sobre également, ce qui donne au jeu une identité graphique originale qui sort du lot, ce que j'apprécie grandement.
Le jeu est très prenant, très tendu, on concrétise son développement avec les cartes sur la map, c'est intimement lié et tout aussi important, et ça, c'est pour moi formidable dans cette catégorie et poids de jeu. On a tout de suite envie de rejouer pour découvrir de nouvelles cartes, essayer d'autres combinaisons, d'autres axes de développement. Bref, j'ai été plus qu'emballé par ces deux 1eres parties, et pourtant, en ce moment, ce n'est pas le genre de jeu qui m'attire le plus.
Le materiel, comme d'habitude avec Pearl Games est d'excellente qualité, et il y en a a profusion dans cette boite.
Un jeu de civilisation et de développement, simple, accessible, sur une vraie map, relativement rapide, une heure environ, avec une très grande profondeur tactique, des choix stratégiques, qui m'a paru juste exceptionnellement bon!
PS: Je ne note que les jeux que j'aime et auxquels je joue
Je l'ai enfin testé, Au départ pas très attiré par son aspect, et circonspect sur le jeu, mais interpellé par tous les excellents retours dont il bénéficie, je voulais quand même voir s'il pouvait me correspondre et apporter quelque chose de nouveau dans ma ludothèque, j'avoue être séduit , ce jeu est une merveille de mécanisme: placement, gestion de main, combos, développement,...Et cette originalité des offrandes, qui fait que l'on a toujours quelque chose à faire.Seulement une action à faire parmi deux, mais c'est intense pour optimiser!
Le tout est fluide, bien équilibré. Les parties sont assez rapide mettant la pression car on n'aura pas le temps de tout faire. Les stratégies peuvent être très différentes selon le choix de ses temples.
Finalement son design a le mérite d'être clair et son iconographie est particulièrement réussie, plus besoin de revenir dans la règle et c'est bien l'essentiel.
Et ce goût d'y revenir...Tout ce que j'aime dans un jeu aujourd'hui.
Deus aurait pu s'appeler ainsi... mais c'est un peu long vous en conviendrez 
J'aurais pu également choisir un titre du genre "Jamais Deus sans Troyes" mais restons sérieux tout de même... (au passage je signale à Mr Sebduj que le Uno est déjà pris... au cas où )
Pour les néophytes donc, qui ne sauraient pas de quoi il en retourne avec ce titre un peu bizarre, je retrouve (avis subjectif donc) dans Deus un savant mélange de deux jeux : Race For the Galaxy et Terra Mystica... étrange vous dis-je 
Race For The Galaxy est un jeu de carte que je n'aime pas (il n'est pas mauvais, je n'aime pas, nuance...) et pourtant j'aurais aimé l'aimer... c'est un jeu de carte (j'adooore les jeux de carte) avec tout plein de combo (j'adoooore les combos) mais voilà... j'ai tenté et après une dizaine de partie, je n'y suis pas arrivé. Des pictos, des couleurs, trop de trop... dommage.
Terra Mystica quant à lui est un pur gros jeu pour kubipousseur qui se mérite. De la gestion et du développement avec notre petit plateau individuel, du placement sur un grand plateau commun, du hasard quasi-absent... les ameritrasheurs sont obligés de faire un test de courage en voyant la boîte... Mais moi, j'adore 
Mais revenons-en à Deus ! Kezako ? Tout d'abord Deus n'est pas un jeu de civilisation, ou à l'extrême limite un civ' light. Les sensations de jeu sont très différentes d'un Clash of Cultures ou même d'un Nations (le temps de jeu également). Ce n'est pas une critique entendons-nous bien, ils ne boxent tout simplement pas dans la même catégorie.
Deus est donc avant tout un jeu de carte où de nombreux combos vont se dessiner. Un jeu de carte oui mais pas que, puisque le plateau de jeu (modulable) va venir sublimer ce jeu de carte avec du placement et du blocage.
Et voilà tout le génie du jeu : jeu de carte et jeu de plateau sont ici magistralement réunis et cohabitent en parfaite symbiose. Ils s'appuient l'un sur l'autre durant toute la partie, selon votre stratégie.
Deus est, de plus, un jeu que je qualifierais d'épuré. Ici il n'y a pas 50 actions à faire. Seulement 2 : jouer une carte ou défausser une ou plusieurs cartes pour refaire sa main avec bonus. Mais diantre  Seulement 2 actions possibles et ce Mr Dujardin arrive à nous laisser autant de possibilités, d'ouvertures et de stratégies possibles ! C'est un sacré tour de force à n'en pas douter.
Alors oui, il y a du hasard. Oui, on ne piochent pas toujours les cartes qu'ils nous faudrait à l'instant T mais alors là je vous dis stop : si vous en arrivez à avoir besoin de LA carte pour pouvoir jouer, et bien c'est qu'à un moment donné, vous avez peut-être fait le mauvais choix ou que tout simplement, vous n'avez pas su anticiper. Le hasard de la pioche (qui est le même pour tout le monde rappelons-le) fait que ce jeu se renouvelle sans cesse, fait que des stratégies vont se dessinées en cours de parties et nous rappelle inexorablement qu'il ne faut surtout pas rester attentiste. Certains vont qualifier Deus d'opportuniste, peut-être. Moi je dirais que c'est un jeu tactique. Je possède telles cartes en main, je vais faire au mieux en essayant d'ouvrir mon champs des possibles pour les prochains tours. Et ça fonctionne. Il vous en demandera cependant quelques parties pour bien connaître les cartes et tester les combos intéressants.
J'ai également lu par-ci par-là, dans certains commentaires, le trop peu d'interactions. Je ne sais pas ce que ces personnes attendent de Deus en terme d'interaction mais pour ma part, le jeu est très bien dosé. Les interactions se font majoritairement avec les unités militaires qui sont les seules à pouvoir se déplacer (attention aux blocages donc...) et/ou à pouvoir venir vous piquer de l'or ou des points de victoire. Ca reste léger, certes, mais ce jeu n'a pas vocation à entrer dans de l'affrontement (mais qui sait, Mr Sebduj aura peut-être quelques idées d'extensions!). Je dis donc à tous les sceptiques : attendez d'avoir fait 5/6 parties pour bien connaître le moteur du jeu et relevez le nez de votre plateau pour aller faire couiner vos adversaires... ça fonctionne !
J'en viens maintenant à ma seule petite déception. Avant d'aller plus loin, je laisse de côté ce petit cafouillage sur la confusion des couleurs pions/carte (la ressource bois est représentée par un pion marron mais est symbolisée par un icône vert sur toutes les cartes du jeu) qui est pour moi un non-problème. On l'a tous signalé, c'est dommage mais ça ne nuit en rien au bon déroulement du jeu. Non ma petite déception vient des cartes et des illustrations. Toutes les cartes temples ont les mêmes illustrations, de même avec les laboratoires, les guildes, les comptoirs et d'autres... C'est du pinaillage je le sais, mais en plus je les trouve quelconques. C'est vraiment dommage d'avoir fait le minimum syndical sur ce point, surtout connaissant les jeux précédemment édités (c'est ça de nous habituer au meilleur ).
Mais rassurez vous, autant je suis un peu déçu par ce point, autant ça ne nuit en rien aux qualités du jeu. J'ajouterai même que l'iconographie est ici au top et qu'on a le luxe d'avoir le texte associé sur chaque carte (plus besoin de retourner dans le livret de règles contrairement à Troyes ou Tournay). C'est donc un très gros point positif pour moi.
Je pense donc avoir fait le tour de mes impressions sur cet excellent jeu qu'est Deus. Il m'apparaît comme le jeu le plus accessible de chez Pearl Games en terme de règles mais nécessitera tout de même quelques parties pour en retirer la substantifique moelle. En tout cas, moi j'y ai goûté avec plaisir 
Quel plaisir de jouer à Deus! Enfin un jeu de cartes et de placement pas trop frustrant. Le jeu apporte de nombreuses mécaniques intéressantes qui se combinent bien, notamment une mécanique d'activation des cartes originale, simple, élégante et efficace, qui offre un grand nombre de choix tactiques et plusieurs axes stratégiques...
Ces cartes permettent de développer des bâtiments (de notre réserve) sur un plateau modulable, et offrent une bonne dose d'interactions! Un bonheur.
Le système d'offrande est excellent. Il permet de lisser le tirage des cartes, et de diminuer la part de hasard.
Et le jeu possède une très bonne rejouabilité, ainsi qu'une extension de qualité pour apporter encore plus de variétés! Que demande le peuple?
Conclusion: Quelle réussite! Jeu très prenant, très tendu, simple et accessible pour des parties plutôt rapides! Un jeu d'exception qui fait plaisir...
Deus est un jeu de cartes à combo sur le thème de développement de civilisation. C'est une combinaison classique (et souvent gagnante) qui fonctionne très bien ici : les différents axes de développement et de scoring sont bien identifiés ; la gestion des ressources est au coeur du jeu ; on peut se concentrer sur certains axes ou au contraire varier ; etc... tout ce qui fait les bons jeux de développement est présent !
Mais Deus est surtout un jeu de choix cornéliens à chaque tour : interdit de s'attacher trop à une carte, surtout en début de partie, car on doit constamment renouveler sa main afin de se créer les meilleures opportunités. Si vous aimez les jeux dans lesquels vous pouvez prévoir vos 5/6 prochains coup, testez mais je ne garantie pas que cela soit votre jeu préféré. En revanche si comme moi vous aimez vous adapter et voyez chaque tour comme un nouveau petit défi, alors là oui, Deus vous plaira à coup sûr !
**En bref : *dans la famille cartes à combo sur fond de civilisation, je demande le must-have du moment (et même plus je l'espère !)***
Redécouvert il y a peu, je prends le temps de poster cet avis sur ce jeu que j'aime beaucoup.
J'ai aimé :
-Une prise en mains très rapide, grâce à une règle simple et bien rédigée.
-Règle simple, mais jeu pas du tout simpliste et non dénué de stratégie.
-Seulement deux actions à son tour : poser une carte ou défausser une ou plusieurs cartes. Cette dernière action, l'offrande aux dieux, est très importante car elle permet de reconstituer sa main (et ainsi atténuer un précédent mauvais tirage de cartes) et de se procurer un bâtiment. Durant la première partie, il est souvent difficile de déterminer quand effectuer une telle opération. Cette action d'offrandes est très bien pensée.
- Deux manières de terminer la partie : avoir construit tous les temples ou avoir pillé tous les villages barbares.
- Un bon renouvellement grâce au plateau modulable et au grand nombre de cartes (96).
- Personnellement, je trouve le thème plutôt bien rendu. Les axes d'évolution (commerce, production, sciences, civil, militaire, religieux) sont bien traités et bien identifiés.
- Matériel minimaliste mais de bonne facture.
- Si Deus est un jeu de civilisation (ce que je ne pense pas) il présente l'énorme avantage d'être joué en 1 heure, 1heure 30.
- Une activation des cartes originale.
- Une mécanique fluide et bien pensée qui fait que l'on ne retourne pas se plonger dans la règle pour expliciter un point obscur. Tout s'imbrique très bien. Des règles simples pour un jeu qui l'est moins, j'adore.
- Deus n'est clairement pas un jeu dans lequel il faut prévoir une stratégie sur le long terme, mais bien plus un jeu dans lequel il faut s'adapter à chaque tour.
J'ai moins aimé :
- Une grande boite pleine de vide.
- Un plateau un peu fouillis en fin de partie.
- La part de hasard liée à la pioche de cartes. Si les dieux sont contre vous et s'obstinent à ne pas vouloir vous fournir un type de cartes bien précis, le jeu peut vite devenir frustrant.
- L'aspect belliqueux aurait peut-être pu être un peu plus accentué.
- On tâtonne beaucoup durant la première partie : lectures du texte sur les cartes, quand faire une offrande ? Faut-il garder cette carte qui semble forte ou non ?
- J'aurai aimé que toutes les cartes soient différentes, ainsi le jeu aurait sans doute gagné en profondeur.
Au final, un très grand et très bon jeu. Bravo M. Dujardin.
Pour éviter de vous énerver contre le jeu, souvenez-vous que défausser des cartes est une action stratégique. La maitrise viendra avec les parties et votre faculté de parcourir la pile de cartes tout en profitant des actions des dieux.
Deus réunit un jeu de carte (combinaison) avec un jeu de placement et majorité sur un plateau. Les règles sont vite acquises : on joue une carte ou on se défausse d'une partie de sa main ... quoi de plus simple ! La règle est vite expliquée (20 minutes) et le matériel est très agréable. L'iconographie des cartes est très simple et du coup pas besoin d'être plongé dans le livret de règle durant toute la partie : c'est fluide, ça va vite, on ne s'ennuie pas.
Durant son tour on pourra se défausser d'une partie de sa main ce qui permet de réaliser une action selon la couleur de la dernière carte délaissée (prendre des ressources, de l'argent, des bâtiments, avoir une main plus imposante pour les tours suivants, etc.). La seconde possibilité est de jouer une carte en payant son coût puis d'activer son pouvoir ainsi que le pouvoir des autres cartes cartes du même type jouées précédemment.
Durant la partie on va construire différents type de bâtiments : des navires sur les case d'eau, des bâtiments de production, etc. On ne pourra construire des bâtiments que sur des cases non occupées par l'adversaire. Un autre moyen de gagner des points est d'entourer des villages afin de les piller en étant majoritaires sur la carte.
Le jeu s'arrête quand on a construit un certains nombre de temple ou quand tous les villages ont été entourés et les butins qu'ils contenaient ramassés.
Un décompte final s'effectue pour déterminer les majorité en ressources, les points octroyés par les temples en plus des points acquis durant la partie (pillage de village, pouvoirs de certaines cartes).
Le hasard de la pioche est certes présent mais peut être facilement contrecarré, les possibilités sont grandes et si elles ne le sont pas c'est qu'on a sûrement commis une bourde !
L'interaction entre les joueurs, mis à part les majorités et les blocs militaires, n'est pas très importante : ce n'est pas un jeu de conquête.
Un jeu très apprécié de tous, qui fonctionne aussi très bien à deux joueurs, facile à prendre en main mais tout de même très stratégique, immersif (le thème colle parfaitement).
J ai acheté ce jeu il y a un an, et depuis j ai du faire une quinzaine de parties, toujours avec le même joueur, et je m amusé toujours autant (même si entre temps l notre niveau à bien évoluer, et que si je joue avec un novice, il se fait détruire). Avec ses différents gameplays (commerçant, citoyen, producteur, guerrier et chercheur), chaque partie est différentes. De plus, le territoire est aussi important, il ne suffit pas de faire les bonne optimisation de bâtiments, il faut aussi s approprier le territoire, au risque sinon de se retrouver bloquer.
Deus est l'un des classiques des Pearl Games.
Il s'agit d'un jeu de développement de tableau, où chaque tour s'enchaine avec "uniquement" deux choix à faire : poser une carte sur son plateau ou défausser des cartes. Les règles sont simples, ne prennent que 4 pages, et pourtant le jeu est d'une très grande richesse.
A vous de construire un plateau de jeu qui combotte bien, afin de produire ressources, richesses mais évidemment points de victoire. Mais aussi de conquérir le plateau central, d'une beauté majestueuse, composé de modules recto-verso arrangé de manières diverses et variées, qui servira à la fois à optimiser l'utilisation de certaines cartes, mais aussi à glaner des points de victoires en combattant des villages barbares où en y construisant vos temples. L'intéraction y est forte entre les joueurs, car les places sont chères, et certaines cartes (militaires) permettent de ponctionner les joueurs adverses voisins d'argent ou de PV !
Une extension Egypte existe, on attend impatiemment de voir ce que Monsieur Dujardin nous réserve encore pour cette saga :)
découvert sur la tard, a cause de l'esthétique un peu criarde et un manque d'interaction (selon beaucoup d'avis) qui me rebutait, j'ai acquis Deus il y a peu.
1ere surprise, dans la seconde édition, les tuiles sont bien plus jolies. Ca me donne tout de suite envie d'y jouer.
1ere partie, puis 2eme... je suis un peu dubitatif. je ne sais pas si j'aime le jeu. sensation de ne pas maitriser grand chose, d'etre dépendant du tirage des cartes, et aussi de jouer un peu tout seul dans mon coin, uniquement concentré sur mes cartes. et en meme temps, le sentiment de passer a côté de quelque chose.
et la, 3eme partie, et c'est la révélation.
oui on peut avoir des mains de merde par moment, mais on peut toujours faire des offrandes avec, pour ce faire un stock de ressources, ou augmenter sa main de carte par exemple. essayer d'aller chercher la carte, ou la couleur que l'on veut dans le deck. et c'est assez grisant. et finalement, meme si il y a une dose de hasard, et pas mal d'opportunisme, il y a un bon equilibre entre stratégie, tactique, hasard, opportunisme, profondeur de jeu et dynamisme.
au niveau de l'interaction, les premieres parties on joue dans son coin, sans trop faire attention aux autres. et c'est une erreur. entre la pénurie de ressources possible et les majorité sur la fin, l'importance du placement sur le plateau, pour bloquer les autres, leur couper l'herbe sous le pied sur les villages barbare ou certaines region qu'ils convoitent, ou encore essayer de gerer le temps de partie (rusher et essayer d'y mettre fin le plus rapidement possible ou essayer de la faire durer car on est une stratégie plus long terme), l'interaction est assez forte et on ne joue pas seul.
le ratio complexité/profondeur/durée est vraiment très bien. des regles simples pour un jeu riche d'une durée bien dosée. un rejouabilité importante. differentes stratégies, le hasard des tirages qui oblige a essayer differentes choses et la disposition des tuiles qui changent a chaque partie et apportent des parties differentes.
l'extension Egypte apporte encore de nouvelle mécaniques, de l'interaction supplémentaire et encore plus de rejouabilité ( a ne pas rater si on aime deus)
le seul défaut que je trouve a ce jeu est le thème peu présent. si j'avais un peu plus l'impression de faire évoluer ma civilisation ca aurait été parfait.
Mais Deus reste tout de meme une petite pépite. Simple mais riche, et très addictif. Il fait clairement parti de mes jeux préférés
Des hexagones rond (des hexarones ?) avec des terrains, des cartes à prendre et à placer avec un systeme de colonne pour ramasser plus à chaque activation. Des ressources a récuperer pour constuire.... et le fait de ne pas hésiter à defausser ses cartes pour avoir mieux.
Tout cela avec une gestion impeccable du timing..
Deus est simple, mais pas tant que ça, bien evidemment. Pas hard gamer,mais pas familial non plus...
Un jeu dont les stratégies se bonnifieront avec les parties et la connaissance des combos possibles. Opportuniste, il deviendra « anticipation » avec le temps.
Un jeu qui monte, parce qu'il le vaut bien
Deus est une très belle surprise après plusieurs découvertes un peu décevantes . Deus m'a séduit par :- une mécanique innovante de pose et de défausse des cartes- une gestion simple des ressources- des règles simples et logiques- une ergonomie bien pensée- un plateau modulable pour des parties renouvelées- moins abstrait que les 3 jeux cités au début : plus la partie avance, plus on voit son monde se développer, s'étendre sur la carte. On y croit, même si je n'emploierais pas le qualificatif "civilisation" pour ce jeu. On est loin d'un nations ou d'un clash of culture !- toujours quelque chose à faire- toujours un moyen de s'en sortir- de multiples façons de se développer- les moyens de scorer ne partent pas dans tous les sens : villages, temples, qq cartes en cours de jeu (M. Feld : jouez à Deus ^^)- pas de stratégie victorieuse unique, d'après ce que j'ai lu sur le forum, et cela me semble être le cas du haut de mes qq parties- un jeu qui fonctionne aussi bien à 2 qu'à plus- le dilemme entre se spécialiser ou se développer harmonieusementDeus me fait penser à 7 wonders. Des cartes qui arrivent et repartent rapidement de votre main, des combinaisons de cartes de même couleurs, faut il se spécialiser ou non ?, une gestion simple des ressources, un petit côté "civilisation", de l'interaction réelle mais pas violente.Conclusion qui m'a été soufflée par une TTTV :- j'ai aimé la 1ère partie- j'ai envie d'en refaire une après y avoir joué- j'en ferais au moins 10, sûr !
Je me doute que les propos qui vont suivre en feront bondir plus d'un. Qu'importe, tâchons d'être justes ! Commençons donc par refroidir tout le monde : j'ai un peu de mal à comprendre l'engouement absolument démesuré pour ce jeu. Une moyenne d'avis de plus de neuf, c'est carrément du délire ! A ce tarif-là, on se dit qu'il doit légitimement s'agir d'une déflagration ludique du même tonneau que Lewis & Clark, pour ma part dernière grosse cla(r)que en date. Et bien non ! Rien à voir.
En fait, Deus est un jeu plus qu'honnête qui procure bien du plaisir, mais non exempt de certains travers qui, à mon sens, laissent ce jeu au pied du podium.
Le point noir est la part faite au hasard, trop importante pour en faire un bon gros jeu bien poilu aux sensations prodigieuses. En effet, vous pouvez tout à fait vous ramasser des mauvaises mains toute la soirée, ce qui limitera de fait vos possibilités. Pour ma part, je ne me suis pas trop mal débrouillé toute la partie, mais par malchance, je n'ai eu qu'une seule et unique carte temple de toute la partie, sur la toute fin, et qui plus est une carte vraiment duraille (six points de victoires par territoires contenant au moins cinq bâtiments - une gageure, surtout à ce moment du jeu). Du coup, ben je me suis fait coiffé sur le poteau sans avoir eu la possibilité de réagir. Frustrant !
Et puis le thème est quasiment, pour ne pas dire totalement absent du jeu. On joue des cartes, on réalise toutes ses actions, et puis point barre. On n'a pas du tout l'impression de développer la moindre civilisation, ou d'être lancé à la conquête du monde. C'est grosso modo un jeu de gestion de main sur fond de pêche aux PV.
Cela étant dit, je serais malhonnête si je devais m'en tenir à ces considérations, car je l'ai dit, Deus est un bon jeu et je l'ai apprécié.
Tout d'abord, évoquons un détail : les illustrations sont vraiment belles, ce qui est appréciable. Le matos en général est tout à fait convenable, même si au début, ces hexagones en goutte d'eau surprennent à la fois par leur forme et par leurs couleurs criardes, résultat d'un parti pris graphique pour le moins osé.
Ensuite, le jeu est rapide au point qu'une heure pour une partie à quatre parait tout à fait envisageable. Très fluide et accessible, la mécanique tourne rond. Les cartes se combinent entre elles, augmentant ainsi rapidement le potentiel de vos actions, pour peu que vous ayez opéré les bons choix. En effet, tout n'est pas si noir car une stratégie reste tout à fait envisageable. Pour s'en convaincre, il suffit de voir les stratégies adoptées au cours de notre partie, toutes différentes.
J'ai aimé également le fait que les cartes soient limitées en nombre (pas plus de cinq par catégorie), ce qui vous oblige à anticiper un minimum afin de trouver une autre façon de réaliser les actions que vous ne pouvez plus réaliser faute d'avoir déjà claqué vos cinq cartes dans une catégorie. Et puis si vous comptez construire plus d'un temple, il va vous falloir songer à jouer dans chaque catégorie, vous poussant ainsi à un minimum de diversification. Il me parait difficile de gagner sans en avoir construit au moins un.
Petite originalité (mais, me souffle-t-on, apparemment reprise d'un jeu que je ne connais pas, à savoir Ginkopolis) : chaque carte nouvellement posée active les cartes posées précédemment. Sachant que l'on n'en pourra jouer que cinq (par catégorie je le rappelle) en tout et pour tout, il va falloir choisir avec soin quelles sont les cartes qui se retrouveront sur votre petit plateau de développement afin de comboter et d'optimiser à mort. Je dois dire que cette phase de jeu est particulièrement réussie car très dynamique.
Bien sympathique aussi le système de points de victoires, qu'ils soient obtenus par le vol de vos adversaires (ça aussi c'est sympa), par la capture des villages, ou par diverses actions offertes par vos cartes.
Il manque à mon avis un petit côté guerrier qui vous permettrait par exemple de chasser les militaires de vos adversaires d'une case. En effet, certaines positions sur le plateau, selon la configuration, peuvent s'avérer déterminantes, mais lorsqu'elle est occupée par le pion militaire d'un joueur, et bien vous n'avez plus qu'à le regarder engranger des points et/ou des pièces pendant une bonne partie de la soirée. C'est un peu dommage quand même, même si par ailleurs, il reste beaucoup d'autres voies à suivre. Ou pourra certes éventuellement concéder que cela fait intégralement partie du côté stratégique...
Voilà à chaud quelques remarques histoire d'éprouver les critiques dithyrambiques que je trouve personnellement un poil exagérées. Reste par ailleurs que j'ai malgré tout beaucoup apprécié ce jeu et y rejouerai certainement. L'envie est clairement là. Deus est un bon jeu donc, à ranger dans une gamme familiale plus que purement stratégique, mais certainement pas le meilleur jeu de la planète. Il n'atteint pas la complexité de Bruxelles, pour ne parler que de cet éditeur.
Comprenons-nous bien : je ne fais que relativiser. Deus reste un très bon jeu, plaisant, vite assimilé, dynamique, avec une rejouabilité à priori assurée, et offrant une large palette de stratégies possibles, mais peut-être plus proche d'un 7 Wonders (au niveau hasard - Deus laissant tout de même plus de latitude) que d'un Terra Mystica. On pourra tout à fait envisager de passer la soirée dessus, voire la nuit (Deus de couette ?), enchaînant belles sur revanches. Pour autant, si on ne risque pas de s'y flinguer un neurone, une chose est certaine : la boite ne prendra pas la poussière sur une étagère. Par les temps qui courent, avec cette surenchère de sorties tout azimut, cela constitue déjà un petit exploit.
PS : après plusieurs parties, je constate qu'une certaine lassitude s'est installée, avec cette sensation un peu poisseuse de toujours faire un peu la même partie.
3 parties à mon actif et à chaque fois le même ressenti : l'impression (très forte) de subir le tirage de cartes.
Si t'as une bonne main, vive les combos d'enfer...sinon bah tant pis pour toi. Tu essayes de faire tourner ta main...tu croises les doigts et.....bah non toujours pas!!
Et pendant ce temps un autre autour de la table te joues combo sur combos, encaisses un max de sous et de Pv...si bien que 2 fois sur 3 au bout de 30 min. il y en a un qui avait pris le large et impossible de revenir. On a quand même fini les parties mais oh surprise il avait gagné et largement!!
Je ne dis pas ça parce que je suis mauvais joueur car la dernière partie je 'l'ai gagné (car j'avais à chaque fois les bonnes cartes au bon moment, les choix s'imposaient d'eux même).
Bref je n'ai pas accroché, je lui préfère largement Seetlers: il y a aussi des cartes, du hasard dans la pioche mais on peut plus s'en sortir en utilisant d'autres stratégies.
Bon ,en préambule ,faut dire que je suis pas un adepte des jeux de cartes à combos...
Donc "ta gueule" me hurlerait Lionel et il aurait bien raison mais je peux pas m'empêcher de l'ouvrir!
J'ai trouvé,malgré tout, la mécanique de ce jeu bien au point , et je comprends que beaucoup l'apprécient.
C'est le type de jeu qui demande de beaucoup y jouer, de connaître les cartes (y en a pas tant) par coeur, et les aficionados de "Dominion" et autres mécaniques semblables (ici on penserait plutôt à "la gloire de Rome" autre assez bon jeu ,aussi emmerdant,du même type) s'y régalent, pas moi...
Un autre truc m'embête (petit truc) c'est que le premier joueur ne tourne pas et même si ça tombe sous le sens comme on m'a répondu dans le forum ,moi je trouve pas...Le plateau étant petit ,le jeu court et les places chères quand vous êtes 4ème ,vous avez toujours un coup de retard !
Si en plus ,comme moi,lors de 2 des 5 parties jouées, vous n'avez dans les mains pendant 3,4 tours que des cartes "maritime" ou "armée" (pas de bol je sais!), malgré vos nombreuses mais trop pauvres offrandes, vous allez ramer sec.
au 4-5ème tour de ces 2 parties là ( me souviens plus) ouais, enfin une carte production! mais bon ,le retard pris sur les 2 plateaux (le mien ,le commun) était tel que je ne croyais plus en aucun Dieu (est-ce aussi grave? sûrement pas...)
Bref, j'aime pas les jeux de cartes à combos(les JCC), et j'ai pas gagné une seule de ces 5 parties,même avec de meilleures cartes, bordel de Dieux!(un petit blasphème ça fait du bien par les temps qui courent...) mais ,je le jure ,c'est pas le problème (tiens ,devant Dieu par exemple,pour épargner la tête de mes enfants) le problème c'est que je m'y suis ennuyé ferme de chez Ferme!
Edit : Après quelques autres parties et 14 "je n'aime pas" je confirme :Jeu assez peu captivant quand même!