Même s'il est plutôt orienté expansion de territoire, Deus a tous les atouts d'un vrai jeu de civilisation, sans l'inconvénient des interminables parties que supposent généralement les jeux de ce type.
Dans Deus, nous ne pouvons faire qu'une action à chaque tour. C'est peu, sachant que l'on doit gérer ses ressources, ses bâtiments disponibles et ses points de victoire. Chaque action devra donc être très réfléchie et choisie avec beaucoup d'opportunisme en fonction des cartes que l'on aura en main et de notre politique de développement sur le territoire à conquérir.
En raison de la réaction en chaîne des activations des effets des cartes, Deus est clairement orienté jeu de combinaisons. La connaissance des cartes après deux ou trois parties sera donc un avantage indéniable sur des néo-joueurs.
Mais pour des personnes ayant une connaissance identique du jeu, rien ne sera joué avant les derniers tours, et il ne sera pas rare de voir une certitude de victoire disparaître rageusement à cause d'une traître combo de dernière minute.
L'interaction entre les joueurs est assez faible mis à part quelques attaques militaires qui pourront néanmoins être pénibles si l'on y prend pas garde.
Le thème est relativement accessoire avec un matériel, correct, mais qui n'aide pas à l'immersion.
Les points forts de Deus sont donc des mécanismes originaux qui permettent de jouer un jeu d'expansion territoriale en 90 minutes, avec des parties tendues et équilibrées.
Un très bon jeu.
Toute la terre est occupée, toute? non! il existe encore quelques villages barbares qui résistent encore et toujours à l'envahisseur. Vous voila donc à la tête d'une civilisation que vous allez développer et installer tout au long du jeu.
Le jeu est êxtremement fluide et simple à expliquer. Un tour se résume à:
- construire un bâtiment sur le plateau de jeu en jouant la carte correspondante et la plaçant dans la colonne du type de bâtiment correspondant. Cela entraine l'activation en séquence des effets de toutes les cartes jouées précédemment du même type.
ou
- défausser sa main en tout ou partie pour faire une offrande à un des dieux afin de bénéficier de son pouvoir et forcer le destin à nous envoyer les cartes dont on a besoin.
Des combos entre les cartes intéressantes, on en découvre de nouvelles à chaque partie. Ne pas être allergique au hasard, la dose d'aléatoire nous invite à chaque partie à jouer différemment, cependant, il est contrôlable grâce aux offrandes. Le tempo de la partie peut être accélérer ou ralenti grâce aux deux conditions de fin de partie à savoir: attaquer tous les villages barbares ou construire tous les temples.
Très addictif, un jeu ou l'on doit s'adapter constamment. Les tours de jeu s'enchainent assez vite ce qui est très agréable.
Bref, un très très bon jeu que l'on ressort facilement, jusqu'ici tout le monde en redemande!
jeu de cartes. donc le hasard nous met trop en defaut suivant votre tirage. par contre toutes les actions de jeu sont interessantes !!!
mais quand on n'a pas de chance, on n'a pas de chance donc on s'emmerde durant toute la partie à ramer pour essayer de rattraper un retard qui ne sera jamais rattrapé...
donc tes tres decevant
de plus avec tout le monde l'a dit, les pions et cartes de couleur tres discutable (je crois qu'ils y ont remédier avec le temps...) et le graphisme non plus nem'a pas convaincu
donc.... plutot négatif comme avis
Après une dizaine de parties, je peux dire que ce jeu est vraiment addictif. Une vraie envie d'y revenir.
Les règles sont assez simples et rapidement expliquées pour un jeu de ce genre.
Je vous conseille d'ailleurs de regarder la tric trac TV vidéo de l'explication du jeu avec son auteur.
J'aime beaucoup la sobriété des choix d'action (uniquement 2 - construire ou faire une offrande à un dieu) mais la multiplicité des possibilités due aux cartes et aux différents dieux.
Avec la multiplication des parties, on appréhende le jeu différemment car on connaît mieux les cartes et les combos.
A l'image d'un 7 Wonders, les possibilités de victoire sont plurielles et le jeu peut devenir très fluide et rapide si vous jouez avec des personnes qui ont plusieurs parties à leur actif.
Pour finir, c'est mon jeu de développement du moment et je ne m'en lasse pas. Deus maximus ludus est !
Ce jeu contient tout ce qui me plait ! Des combos de cartes, du scoring suivant une stratégie établie tout au long de la partie, une expension territoriale avec un systeme de blocage et des retournements de situation grace au manoeuvres militaires ! Bref, j'adore ♥
J'ai l'impression de faire toujours la même chose, sur une même partie et d'autant plus d'une partie à l'autre. Dans ces conditions, hmmmm... Bah voilà! Bye bye Deus! :)
Alors j'ai envie de commencer avec une remarque qui n'a rien a voir avec la mécanique de jeu mais avec son PRIX.
Ce jeu est un vol caractérisé. Prix exorbitant par rapport aux matériel proposé et ce n'est pas le développement du jeu, le temps passé, l'investissement humain etc etc... qui peut justifier ce prix. Simplement HONTEUX.
Evidemment comme tout bon geek je l'ai acheté, mais je me permet, du coup, de ne PAS LE RECOMMANDER à l'achat.
Ceci étant dit, le jeu tourne bien et la mécanique, bien que pas forcement originale, fonctionne bien.
On voit rapidement qu'il y a un système de combo sympa et drole lorsque cela s'organise bien et que l'on devra pratiquer de nombreuses parties pour bien voir les interactions diverses et variées entre les cartes et options de placement et de jeu.
Bon faut pas non plus en faire des tartines, quand je vois les éloges qu'on fait à ce jeu, je me dis qu'on n'a pas jouer au même. Mais il y a sans aucun doute un effet de Communication / Adoration de la communauté Trictrac qui adule les auteurs visibles et c'est le cas de SebDuj.
Auteur adorable au demeurant, mais cela n'est pas pour autant que tout ce qu'il fait doit être mis sur un tel pied d'estale.
Bref. Bon jeu mais sans plus, ou je lui préfère un ZhanGuo bien plus profond et intense.
si tant est que ces jeux puissent être comparés.
Faut reconnaître une qualité, c'est que le jeu ce joue plutôt vite.
Et malheureusement ce critère de rapidité de partie n'est pas forcement un bon critère pour moi. Et les jeux qui ont tendance a faire de la frustration de jeu de part leur "rapidité" de jeu n'ont pas forcement mes faveurs.
25 parties : 20 en ligne, 5 parties à 4 joueurs
J'adore ce jeu, il correspond exactement à ce que j'aime : des règles (relativement) simples qui donnent une bonne fluidité aux parties, des durées de parties raisonnables, des décisions difficiles.
J'apprécie surtout le mix combo de cartes dans son coin / placement sur un plateau commun qui apporte un peu d'interactivité.
Alors attention tout de même, ce n'est à mon avis, pas un jeu de civilisation, dans le sens qu'on ne sens pas une montée en puissance très importante (même si il y a des combos) et surtout qu'il n'y a pas de notion d'age ou d'ère.
J'aime ces jeux complexes avec une bonne courbe de progression, mais à la mécanique fluide et limpide, sans fourmillement d'exception et de cas particulier. La règle est courte, l'explication dure moins d'un quart d'heure, tout se retient facilement, les coups sont rapides et s'enchaînent rapidement.
Il faut du temps pour apprécier les meilleurs combinaisons, savoir quelles sont les cartes de début de partie et celles qu'ils vaut mieux garder pour la fin, s'il vaut mieux être dense et puissant ou étendu sur le territoire, analyser les régions, ... Mais ce qui est très malin, c'est que dès la première partie (celle où on lit encore ce qui est écrit sur les cartes au lieu de se référer à l'iconographie), on s'éclate !!
**Le top :**
* Le système de pose ou défausse de cartes (qui permet de limiter de hasard de la pioche)
* La conquête du plateau et les blocages qui s'en suivent
* Règles très simple pour un jeu de ce calibre
* Tour de jeu très fluide (une action et au suivant...)
* L'interaction
**Le flop :**
* Les couleurs criardes du plateau et son côté « photoshopé »
* L'iconographie pas très claire (surtout au niveau des ressources) qui fait un peu amateur
*Encore un très bon jeu chez Pearl Games !*
A partir d'un système cumulatif des rangées de carte entraperçu dans Ginkgopolis, on combote pour occuper la carte , renouveler ses bâtiments, ses cartes, ses ressources, et accessoirement marquer des points. Un must, addictif...
De prime abord le jeu est assez agréable. Les règles sont simple et facilement accessible. Les mécanique de jeu à mi-chemin entre le *deck-building*, la réalisation de *combo* et la *gestion de ressources* promettent une profondeur de jeu permettant aux joueurs et joueuses de tout niveaux d'accrocher au jeu.
Les problèmes commencent à pointer le bout de leurs nez dès lors qu'on se met à regarder le jeu de plus près. Tout d'abord ces fameux jetons marron qui devrait être vert selon les illustrations. En suite, après quelques parties on se rend vite compte du déséquilibre entre les différentes cartes et au finale très peu ont un réel intérêt quand il s'agit de "scorer". Tout cela me laisse penser que le jeu a été édité à la vas vite et aurait clairement mérité de rester en phase de "proto" un peu plus longtemps afin de corriger ces quelques défaut.
Toutefois, ce jeu reste un très bon familial+ comme sait si bien le faire Mr Dujardin. Dommage que les défauts présent dans les créations de l'auteur soient encore une fois reproduit dans Deus.
Deus, un jeu qui regorge de bâtiments à construire et de ressources, bon pas en cubes, mais en disques. Et de thune !! Le tout sur un plateau aux formes, euh, comment dire. Bah on va pas dire hein, regardez les photos ça ira plus vite.
Le principe du jeu : construire des bâtiments (productifs, scolaires, commerçants), des armées, des navires, contrôler des territoires, conquérir des villages barbares (mais en demandant gentiment, hein, on est des gentils dans ce jeu), produire des ressources et gagner de l’argent. Ah et construire des temples. Oui c’est vrai que ça s’appelle Deus après tout… Bref, rien qui casse trois pates à un canard, on ne peut qu’admirer le subtil équilibre entre toutes ces composantes, aussi importantes les unes que les autres tout au long de la partie.
Mais la grande originalité, outre le plateau très réussi, c’est la mécanique de jeu. En gros, c’est de la gestion de main : on pose ou on pioche. Jusqu’ici ça va. Sauf que poser, c’est construire l’un des cinq types de bâtiment, placer sur l’une des zones du plateau que l’on contrôle déjà ou à adjacente à elles le jeton correspondant qu’on veillera à avoir rendu disponible auparavant (avec toujours le petit effet « nan mais en fait on peut aussi se téléporter » que je déteste toujours autant : payer 3PV pour se placer n’importe où… entre le jeu de placement et les jetons martiens il faut choisir), et activer tous les bâtiments du même type qui ont été déjà construits… dans leur ordre de construction. C’est même la seule manière de les activer, en fait. Ouh punaise.
On voit la futitude de la chose : jouer une carte ce n’est pas seulement se demander si on a l’or, les ressources, le jeton bâtiment adéquat, un emplacement approprié pour recevoir le bâtiment, c’est surtout se demander si l’on va optimiser l’effet des autres bâtiments déjà posés avec toutes les combos que l’on peut souhaiter dans ce genre de jeu. Bref, c’est une question qui demande très rapidement maintes réflexions. Pour s’apercevoir qu’au final on ferait mieux de défausser, refaire sa main, et bénéficier de l’avantage correspondant puisqu’à chaque type de bâtiment (donc de carte défaussée) correspond un effet qui permet de récupérer tel ou tel pion bâtiment, des ressources, de la thune, et, toujours, de récupérer de nouvelles cartes. Voilà donc un jeu dont l’intérêt repose essentiellement sur cette mécanique bien huilée.
Revers de la médaille : bye bye la thématique ! « Deus » laisse planer une atmosphère nimbée de mythologie et de demi-dieux… qui se dissipe bien vite, puisqu’on se sent très vite au pays du bûcheron bavarois qui va couper de l’arbre et charpenter ses bâtiments fissa. Passe encore qu’on ne puisse construire deux fois le même bâtiment sur une même case, mais figurez-vous, les armées sont des bâtiments, les bateaux aussi… Bon. Et tant qu’ils ne sont pas conquis, les villages barbares ne permettent aucune construction. Mais une fois conquis, bah toujours pas. Moui.
Bien sûr, ça s’appelle Deus parce qu’il y a un sixième type de bâtiment un peu spécial et qui rapporte tout plein de PV, ce sont les temples. Donc on va faire plaisir aux dieux. Sauf que déjà je vois mal à quel dieu du panthéon on fait plaisir en alignant « des séries de 5 bâtiments de couleurs différentes » ou en contrôlant « des zones où il y a au moins 3 bâtiments ». Mais ce n’est même pas le moyen le plus décisif de marquer des PV, on en récolte tout autant avec les pouvoirs des bâtiments ou la conquête des villages barbares.
On est d’accord, la thématique est rarement le point fort de ce genre de jeux. Finissons donc sur un point nettement plus positif et qui concerne l’autre écueil des jeux de gestion / construction : l’absence d’interaction. L’écueil est globalement évité grâce à plusieurs règles qui ne sont pas toutes aussi convaincantes. Récompenser les majorités sur les ressources en fin de partie est somme toute assez anecdotique. Mais l’idée d’une course dans la conquête des villages barbares est réalisée à merveille, les contraintes de placement sont fortes, et les cartes des unités-bâtiments militaires permettent des coups de pute comme on les aime bien (en gros, du vol de PV et de thune), et dignes des plus fourbes des dieux fourbes du panthéon grec !
Deus, on en dit que du bien !
Il faut dire que la mécanique est bien faite, assez originale, le tout servi par du joli matériel. Les règles sont faciles à expliquer/comprendre et les parties ne s'eternisent pas. Il a tout pour plaire. Et il plait , à commencer par mon épouse.
Mais moi, je n'accroche pas ! Je le trouve trop froid et manquant d'interaction. C'est difficile , de prime abord, de voir quel choix est plus intéressant qu'un autre. Ca demande surement plusieurs partie pour bien appréhender le jeu et donc toute sa subtilité. Mais comme les premières parties ne m'ont pas emballées , j'ai tendance à priviligier d'autre jeu au lieu de "progresser" dans celui-ci.
Je passe peut être à coté d'un grand jeu, comme ce fut déjà le cas avec Puerto Rico.
Accro à 7W, fan de Catane, DEUS m'a plu dès la lecture des règles et qq parties en ligne ont fini de me convaincre qu'il me fallait ce jeu. Une partie pour assimiler les règles et dès la deuxième, on commence à sentir toute la subtilité du jeu et les puissants combos que l'on peut créer en superposant les batiments. CE que j'apprécié énormément par rapport à7W (la référence pour moi) c'est la visibilité de PV dès la début qui permet de se rendre compte rapidement si on est bien placé ou pas. Dernière chose non négligeable pour ma part: les parties à 2 sont vraiment prenantes.
Pour finir, le tirage des cartes ainsi que le placement des tuiles offrent une excellente rejouabilité.
Un jeu que j'aurais regretté passer à coté ! Pour moi Deus frôle le 10/10 et c'est une partie du matériel qui vient un peu réduire la note.
Les tuiles plateau me plaisent beaucoup, contrairement à ce que disent d'autres joueurs. C'est davantage les pièces d'argent qui ne sont pas belles, les jetons ressources cylindriques peu adapté (des cubes seraient plus agréable à manipuler) et j'aurais aimé que le nom des Dieux figure sur les minis-plateaux des joueurs.
Sinon tout le reste est parfait.
Coté jeu la simplicité des actions et l'étendue des possibilités en font un jeu très accessible et très riche en stratégie : les prises de positions sont constamment des bras de fers intense, nous obligeant parfois à revoir nos ambitions.
Ce jeu me donne une certaine sensation comme Olympos, à savoir cette coté course contre la montre pour acquérir les merveilles (ici des temples) et emporter la victoire. Il me donne aussi cette impression de Terra Mystica, contrôle de territoires et placement de bâtiments.
C'est pour moi du 7 Wonders sur plateau, du 7 Wonders comme je préfère qu'il soit. Une grosse réussite en somme. Un jeu aussi bien pour les nouveaux joueurs que les joueurs experts.
PS: Terra Mystica, Deus... ouvrent une nouvelle voie du jeu de plateau qui prommettent, à mon avis, des futurs perles inspirés de ces mécaniques.
Je suis pas un grand fan des jeux Pearl games, trop froids et calculatoires pour moi. Alors, certes, Deus ne fait pas vraiment exception à la règle, mais au moins, ici, je comprends l'histoire qu'on raconte (coloniser plus vite que les autres avec un peu de développement), et la mécanique astucieuse de réactivation des cartes du même type est extrêmement simple à comprendre - mais bien compliquée à mettre intelligemment en oeuvre ^^
Du coup, j'aime bien, ce serait donc peut être le Pearl games pour ceux qui n'aiment pas les Pearl games ?
ou alors une grande nappe, parce qu'il faut quand même pas mal de place pour étaler ses combos de cartes.
**+** notamment le véritable enjeu de la géographie du plateau (trop souvent accessoire chez les concurrents), les associations en X et Y des types de bâtiments (ca rappelle quand même énormément la science des 7 Merveilles au passage), les invocations (passer son tour reste constructif) et la gestion des combats qui est digeste (ô miracle).
**-** je pense aux effets qui s'enchaînent : c'est toujours gratifiant mais on réactive tout un paquet de cartes dans les derniers tours et ca peut devenir franchement longuet. et en pinaillant quelques légers déséquilibres dans les invocations et les capacités de bâtiments (en général la production me semble faiblarde, et certains temples sont difficilement attractifs).
bon, ca ne m'empêche pas de lui céder une bonne note, car l'équilibre est presque parfait.
Deus est le jeu auquel j'ai le plus joué en 2015 jusqu'à ce mois de juillet.
J'aime les jeux de civilisation/développement même si il faut l'avouer dans Deus quand vous construisez une brasserie ou une université vous ne le ressentez pas vraiment, vous venez de poser une usine à PV ou à sousous!
Et bien ça ne me dérange pas j'aime aussi les kubenbois et leur thème souvent plaqué.
J'aime :
Le matériel en bois
Les règles tellement simples
La diversité des stratégies envisageables
Les parties relativement rapides
J'aime moins :
L'interactivité pas toujours présente
Les symboles de bois qui ne correspondent pas aux jetons (mais bon on s'y fait vite)
La couverture de la boite qui est bien fade (les cartes sont mieux je trouve)
Le plateau de jeu qui pique les yeux, a l'air fluo et les formes rondes des cases laissent des jours entre les tuiles, pas fan
Deus est un excellent jeu qui peut être sorti avec plaisir en famille (règles simples) comme avec un groupe de joueurs aguerris (diversité des stratégies).