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Tous les avis pour : Die Baumeister von Arkadia (2006)
Un jeu d'opportunité, peut être un peu imprévisible...
Attention, cet avis n'est donné qu'après une première partie. Arkadia est assez séduisant au premier abord : joli matériel, petites tours sympathiques, petits pions, sceaux colorés. Les règles sont apprises rapidement, les tours sont très peu complexes à comprendre : soit on pose un batiment, soit des paysans. Optionnellement, on vend. On commence donc vite à jouer, à réfléchir à ce qu'on va faire. Mais : on joue à 4, donc, quoique vous prévoyez, trois joueurs joueront entre vos deux tours. Donc, la plupart des choses que vous avez prévues peuvent largement changer : emplacements occupés, sceaux déjà pris, changement des cours... sans que vous ayez vraiment la possibilité de préparer des coups sûrs d'un coup sur l'autre. Donc, le jeu consiste à essayer de "voir" des bons coups là où les autres n'en ont pas vu, où ils ont fait des erreurs, de placer des paysans pour attendre des dividendes de ces emplacements : il faut utiliser au maximum les opportunités qui apparaissent au gré du jeu, sans qu'on les controle vraiment. Cela dit, le jeu est agréable, pas prise de tête et se joue assez vite. Il y a encore matière à réflexion dessus, et tout le monde y a ses chances. J'y rejouerai.

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28/02/2007

6
Ca donne envie d'y rejouer !!!
Acheté un peu par hasard, c'est un excellent jeu de développement et de stratégie. Après une seule partie, l'envie d'y rejouer est quasi immédiate et laisse entrevoir pas mal de possibilités sur la manière de gagner. Système original de vente des sceaux en fonction d'un cours variable, il permet de se "refaire" et de ne pas être définitivement hors course... A conseiller aux amateurs de "gamberge"

chocoborama

19/02/2007

8
Je retourne ma veste toujours du bon côté
Ce jeu est un plaisir. Il faut être super opportuniste pour savoir à quel moment gagner un maximum de brousouffes en construisant des palais luxueux et immenses, de préférence sur de petits villages en les faisant disparaître de la carte ce qui permet de récupérer et d'utiliser des réfugiés pour gagner encore plus vite du flouse !!!!! Un peu dommage que les décomptes joués par chaque "collaborateurs" (autant utiliser un vocabulaire libéral) ne permettent pas que les autres puissent le faire en même temps. Ca donnerait de l'interactivité dans cette phase. Mais bon, faut pas ce priver de bons gros monopoles où chacun prend dans un domaine tout le fric quand il veut. Oups... pardon il faut pas dire que ça existe! Y a des règles quand même ! Oufff !! Ce n'est qu'un jeu... J'ai dit une bêtise? Mais il est plutôt bon…le jeu.

tt-e957b75223b5034...

08/02/2007

8
L'artisanat, première entreprise d'Arkadia
Die Baumeister von Arkadia a un certain air d'Elasund quand on y regarde de loin. ce petit côté Tétris ou il faut optimiser le placement des bâtiments. Pourtant (et heureusement) la ressemblance s'arrête là. Dans Arkadia, on joue sur deux niveaux : la ville et le château (comme quoi, il n'y a pas que dans Caylus...). Dans la ville, il s'agit de récolter des sceaux familiaux en entourant complétement des bâtiments avec des ouvriers et d'autres constructions. Nous avons là un bon jeu de placement assez traditionnel mais efficace et bénéficiant de pas mal de petits plus qui font son charme. Dans le château, on influe sur la puissance financière des familles en changeant la valeur des sceaux. Là encore, le système est très bien pensé et offre beaucoup de possibilités tactiques aux joueurs. Mais c'est dnas la combinaison de ces deux aspects que réside le génie d'Arkadia. Il faut en permanence prendre en considération les deux aspects pour faire ses choix et il faut pouvoir anticiper le cours du jeu. Le système de vente, restrictif et pourtant agréable, renforce cette nécessité de prévoyance. Bref, Arkadia est un excellent jeu de part sa double casquette construction/commerce qui, de plus, apporte son lot d'inovation qui le font se démarquer parmis les autres jeux du genre. Pourquoi ne lui mettre que 4/5 alors ? Peut-être parce qu'on a là un pur jeu allemand et, qu'en tant que tel, on regrette un peu sa froideur...

tt-da1a61cba2c1981...

04/02/2007

8
un jeu sympa, dans la moyenne.
bon matériel règles limpides mécanique qui tourne bien bon mélange tactique + hasard bien pour une ou 2 parties...sans plus.

ioiocaro

16/01/2007

6
très bon compomis
Salut, voici l'exemple d'un jeu que l'on met 5 minutes, allez 10 minutes à expliquer, mais que l'on savoure tout de suite et c'est assez rare pour le souligner! certes vous n'aurez pas mal au crane, ça ressemble à certains jeux que 'on connait mais si vous êtes la pour jouer, prenez le, vous ne regretterez pas

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15/01/2007

8
Un futur Hit
J'ai été conquis par la simplicité des règles, et la mécanique du jeu. L'aspect "je construits pour moi mais en fait aussi profiter les autres" engendre des calculs plus subtils qu'il n'y paraît. Ce jeu est très abordable tout en étant stratégique à souhait pour les joueurs initiés. Un jeu qui mérite de figurer dans sa ludothèque.

tt-ebeda89c88f3880...

14/01/2007

8
Que fait ce palais sur ma tente ?
Joué à 2 et à 4. Simple sans être simpliste. Parfait pour attirer des non-joueurs. On rentre tout de suite dedans et on peut faire une "vraie" partie dès la première sans forcément connaître toutes les subtilités d'un mécanisme abscon. Gestion de la pénurie des ouvriers, pari sur les fluctuations monétaires (sans avoir fait de MBA !), placement au cordeau des bâtiments, coups à prévoir sur plusieurs tours... On n'y passe pas toute une après-midi, mais on y rejoue à chaque fois. Et un jeu auquel on joue... c'est forcément un bon jeu !

tt-af400f704b042fe...

13/12/2006

8
Haut en couleurs!
Le seul autre jeu que je possède de cet auteur est Emerald (V.avis) et il semblerait que sa spécialité aille aux mécaniques hyper-fluides sur thèmes plaqués. Arkadia possède l'atout d'une publication chez Ravensburger, gage de beau matos, et emprunte des idées de-ci de-là ( Enchères de sceaux de couleurs, optimisation de placements de tuiles, choix limités entre constructions et majorités, opportunisme...), bref un petit melting-pot sympa qui en fait un jeu certes familial, mais pas une daube pour décérébrés! Moi qui le suis presque(décérébré: il me reste un morceau d'hypothalamus jeté dans un recoin de mon crâne), je trouve ce jeu juste comme il faut! Vive le Roi (d'Arcadie, c'est où au fait???)!

tt-ba8d7e7ad8851b8...

10/12/2006

10
Beauté et ingéniosité...
Le petit dernier de rudiger dorn, chez ravensurger cette fois-ci. Une belle réussite, une fois de plus, dans un jeu assez familial (dans la lignée d'un australia), au matériel qui étonnera meme le plus sceptique, et aux règles simples, épurées, amenant une mécanique qui tourne aux petits oignons... Une grande réussite, en toute simplicité! Les tours de jeux sont très fluides, la gestion des décomptes, chacun choisissant quand il fait les siens, est vraiment bien pensée et, je dois dire, assez novatrice! On a bien vu Colovini amener des décomptes imposés par tel ou tel joueur, mais qui s'appliquait à tous, ici, non, le décompte ne se fait que pour le joueur qui l'a lancé. Et ce décompte lui permet en plus de remettre la main sur quelques ouvriers indispensables à la marche du jeu, quand on sait à quel point ils sont rares! On est donc en territoire connu avec baumeister von arkadia, mais avec quelques petites mécaniques sorties de derrieres les fagots qui valent la peine qu'on s'y attarde un peu, surtout que le jeu est tellement bon... merlin

merlin2812

30/11/2006

8
Un sot portait un sceau dans un seau peu large…
**Type de jeu :** D’opportunistes. **Nombre de parties jouées :** 5 **Avis compendieux :** J’aime bien les jeux de Rüdiger Dorn, celui-là n’y fera pas exception. Il est léger certes, court (une heure à vue de nez), mais tourne diablement bien et comporte tous les ressorts qui font le succès des jeux allemands : on voudrait faire plein de choses, mais on ne peut en faire qu’un nombre limité. C’est en outre typiquement un jeu d’opportunistes (« Ah, tu as mis un bâtiment là ? Ben attends, c’est parfait pour y poser mes ouvriers, ça. ») où il faut bien penser aux conséquences que la pose d’un bâtiment pourrait avoir sur le jeu des autres : éviter de leur créer des ouvertures intéressantes, tout en essayant de s’en ménager pour la suite. **Clarté des règles (4) :** J’ai lu les règles en Anglais, et mis à part un paragraphe où je me demandai où ils voulaient en venir, elles sont plutôt bien rédigées. **Qualité du matériel (5) :** Ben, il est plutôt bien, quand même, non ? Les figurines sont travaillées et tout, bon, c’est pas des cubes, d’accord, mais quand même, les couleurs sont chatoyantes, les paravents avec les petits drapeaux du plus bel effet (surtout gorgé de vin), les tours aussi, les sceaux itou, bref, tout ça, quoi. Par contre, quand le château s’érige, il peut être peu évident de voir ce qui se passe de l’autre côté, et du coup, on a tendance à négliger ce qui se passe de ce côté là (le côté obscur du château, en quelque sorte), alors que ça peut être vachement important, parce que les adversaires, y font rien qu’à y ourdir de noirs complots, à l’ombre du château, les bougres. **Reflet du thème (2) :** Bon, alors l’Arcadie, est, je crois, une région de Grèce. Bon, là, ça a l’air d’être le cadet des soucis de l’auteur, le petit paragraphe jetant les linéaments du thème semble évoquer une utopie dans une uchronie pour user d’un mot à la mode et qui, selon certains esprits chagrins, affaiblit et contourne le sens du mot forgé par Thomas More, enfin je crois. Bref, nous voilà donc encore une fois en train de construire un château et une ville autour. Bon, là, au moins, le château, on le construit pour de bon et tout. Bon, que le château indique le taux de change des sceaux, ça peut surprendre. Ensuite, que des bâtiments soient terminés dès lors qu’ils sont entourés d’ouvriers ou par d’autres bâtiments, cela surprend encore plus. D’autant si c’est un bâtiment qu’on va coincer entre d’autres bâtiments. C’est pas pratique de terminer un bâtiment alors qu’il y a plein de trucs autour qui en bloquent l’accès. Enfin, ce que j’en pense. Donc, le thème, bon, en cherchant un peu, je suis sûr qu’on aurait pu trouver un truc avec des crevettes qui défendent leur bout de gras contre des vilains coraux ennemis. **Avis comportant ratiocinations et autres superfétations :** C’est sûr que c’est un jeu léger dans lequel on ne devra pas rechercher ce que l’on trouve dans Goa pour citer un jeu du même auteur, ou Puerto Rico, Caylus et compagnie pour citer des jeux du même calibre (que Goa, hein). Je dirai même comme ça, à vue de nez, qu’il est nettement plus léger que Louis XIV. Dans un tout autre style du reste, et on ne peut que souligner ici que l’auteur crée des jeux de qualité dont les rouages sont extrêmement différents (qu’on pense à Die Händler von Genua). Bref, mais qui dit jeu léger ne dit pas jeu peu intéressant. Alors évidemment, à chaque tour, on a le choix entre jouer une carte et en piocher une autre, ou poser des ouvriers avec en plus en prime la possibilité d’en récupérer deux et éventuellement de vendre des sceaux au taux de change actuel. Ca peut rappeler des jeux où ce genre de choix ne me passionne pas plus que cela, mais le choix de l’emplacement des pièces, de leur forme, du sceau qu’elles portent sont autant d’aspect à peser et dont l’importance n’est pas négligeable. L’orientation des couleurs du château aussi : une couleur forte dans la première phase aura des chances de ne pas l’être dans les phases subséquentes par le truchement du report des pierres restantes ; il faut donc produire et vendre les sceaux correspondants quand on peut, ou éviter qu’une couleur ne prenne trop d’importance lorsqu’on ne l’a pas. On peut aussi choisir de cumuler une couleur en perte de vitesse en attendant des jours meilleurs pour icelle, tout en s’efforçant évidemment de la mettre au goût du jour. Pour cela, il faut construire. Et un bâtiment construit par soi, même s’il ne rapporte qu’un sceau, permet de construire en outre un élément du château : il ne faut donc pas négliger la possibilité de placer un bâtiment dans un emplacement libre ayant juste sa forme (les bâtiments de deux cases sont très bien pour ça). Par ailleurs, en début de partie, il est semble bon de partir à la chasse aux ouvriers neutres. Il vaut mieux en avoir trop (sauf si le fait de les avoir chassé a fait perdre du temps) que de les laisser aux autres. Savoir quand utiliser ses drapeaux est aussi essentiel : trop tôt, on peut ne pas avoir l’occasion de vendre assez de sceaux à un taux intéressant ; trop tard, on risque de manquer d’ouvriers pour réaliser un bon coup. Ah, et évidemment, ses ouvriers, il faut les rentabiliser : un bon ouvrier sera celui qui est au contact de trois, voire quatre bâtiments qu’il faudra achever évidemment. Il peut être intéressant de positionner ses ouvriers assez tôt dans ce genre de carrefour. Ou de poser très rapidement un bâtiment à côté d’un de ses ouvriers, avant que ce ne soit plus possible (plus de place ou un autre ouvrier qui bloque la case). Ah oui, un petit truc encore, on a souvent trouvé que le tas de carte descendait vite par rapport à l’érection du château (si je puis dire). Mais c’est là qu’on voit que le jeu est bougrement bien fait, à un moment, du fait de la concentration sur le plateau, les pierres du château partent comme des petits pains : il s’agit de bien ouvrir l’œil à ce moment-là, car la fin de la partie, le dénouement, quoi, arrivent très vite. Et du reste, il est très intéressant de la provoquer soi-même, on peut gagner un tour (ou éviter que d’autres n’en gagnent un). Bref, ce n’est donc pas un jeu au souffle épique, aux mécanismes truculents et rutilants et qui vous laisse tout pantois le séant collé sur la chaise, mais il tient bien la route, reste très intéressant et est idéal pour jouer avec des joueurs occasionnels comme on dit.

Meeeuuhhh

21/11/2006

8
Grand public oui mais...
J'ai vraiment apprécié le mécanisme, l'ambiance (même si elle est un peu tendue) et le matériel. C’est typiquement le genre de jeu que je ferais volontiers découvrir à des non joueurs ou des joueurs occasionnels. Dans cette gamme et chez cet éditeur, ça faisait longtemps que je n’avais pas été aussi enthousiaste.

tt-fd57a351aff7da0...

14/11/2006

8
Jouer pour les autres
Jouer pour mes adversaires ne m'a jamais plu au point de ne jouer qu'à ça. Je n'ai peut-être pas tout compris et modifierai mon avis (et ma note) si nécessaire,car il est bien possible que celui-ci soit bon, pour les opportunistes en tout cas. Mais les jeux où l'on pose un truc sans pouvoir se douter de ce qui va se passer avant que votre tour revienne, si bien qu'on se trouve à regretter à chaque tour de n'avoir pas fait autre chose, ces jeux là ne m'amusent pas.

tt-0f3cbeb9423f34a...

14/11/2006

6
J'ador(n)e
Un matos bien foutu (à part le termoformé), un auteur renommé, chez ravensburger, y avait de quoi créér des attentes (et des déceptions). On a là un petit jeu d'opportunistes, développé à fond, simple et hyper fluide. A tel point qu'on en oublie presque la frustration qu'un tel jeu peut causer avec l'ordre du tour (qu'un joueur en avantage trop un autre). Les actions sont simples mais subtiles: - poser un bâtiment qui rapporte des neutres (aidant ensuite à cloturer), qui cloture éventuellement, qui amène une couleur de sceau particulière, qui pourrit des architectes adverses posés sur le plateau, ou on contraire assure nos architectes de participer à plusieurs bâtiments - poser des architectes qui est probablement l'action la plus délicate (on se dévoile aux autres) La clôture d'un bâtiment, outre le bonus, permet d'influencer habilement le cours, et les 4 ventes qu'il faudra gérer durant la partie, le moyen de récupérer assez d'architectes. Mais il faut absolument utiliser ces ventes (une vente à vide est souvent synonyme de défaites) pour gagner des points et ne jamais se trouver à cours d'architectes. Une très bonne surprise! [EDIT] Après plus de parties, je ne suis pas déçu par ce jeu (voir [mon avis sur Ludigaume](http://www.ludigaume.net/tbs/php/tbs_fiche.php?&IdJeu=892#CRID8)) qui en plus tourne merveilleusement bien à 2 joueurs (et beaucoup moins à 4 joueurs). Bravo Mr Dorn!!!

Grunt

10/11/2006

10
Pierre sèche
But du jeu : finir le plus riche... du commerce ? de la spéculation ? des marchandages ? Que nenni : ici, on bâtit à la pierre sèche... Chaque joueur à son tour peut poser un architecte ou construire un bâtiment (genre pentamino). Encaissera le bénéfice celui qui se rendra maître de la construction et celui qui y a participé. Attention, vous avez peu de personnel disponible et vous n'encaissez vos revenus qu'après avoir échangé votre monnaie au cours du jour. 4 transactions que vous engagerez au moment opportun vous permettront à la fois de recruter et de vous enrichir. Si vous passez à côté d'une bonne affaire, elle ne sera pas perdue pour tout le monde et quand votre tour reviendra, il sera trop tard... Le matériel est dans la lignée "Ravensburger", des tours, des petites figurines, de beaux paravents... Le jeu demeure cependant assez froid malgré ses couleurs chatoyantes. La mécanique pourtant bien huilée, ne m'a pas accrochée.

kouynemum

08/11/2006

6
Vive l'opportunisme !
Arkadia est un jeu d'opportunistes aux règles simples. Chaque tour, il faut construire un bâtiment ou poser des bonhomme de façon à entourer un bâtiment déjà posé. La planification long terme est impossible, il s'agit réellement d'un jeu de réaction ou chaque opportunité doit être saisie. Le système de décompte est assez original. Chaque joueur peut déclencher jusque 4 décomptes dans la partie qui ne concerneront que lui et qui généreront la récupération de pions supplémentaires pour jouer.

Dim

31/10/2006

8
Ah ! C'est à moi de jouer ?
z'êtes sûr ? En gros, c'est pas que le jeu m'ai déplu mais pendant qu'on le teste sur le salon d'Essen, on se dit qu'il y a sûrement mieux a tester sur un autre stand... C'est pas vilain, le matos est un peu cheap avec les figurines en plastique (je préfère toujours le bois) et les tours de Torrès (dès fois qu'on connaitrait pas). A chaque tour on décide si on pose ses bonshommes qu'ils puissent être bien placés prêt des batiments, et des bonshommes, on n'en a pas tant que ça. On doit décider aussi si on vend maintenant ou plus tard, dès fois que la monnaie ait un cours plus important plus loin dans la partie... Encore un jeu poids léger/moyen, facile a expliquer, facile à jouer. Il devrait plaire (un SDJ en ligne de mire ?). Mais bon, il n'a pas soulevé l'entousiasme de mes partenaires de jeu ni le mien. Mais je ne refuserai pas une partie... comme on dit...

ElGrillo

25/10/2006

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