Il y a deux niveaux de difficultés dans Gaia, et, à part pour une partie de découverte, on se rendra directement à la case « expert ».
Dans Gaia, il faut donc piocher des tuiles selon certaines conditions inscrites sur les dites tuiles (par rapport au relief environnant). Elles doivent jouxter certains paysages pour être validées. On peut ensuite améliorer le score en posant meeples, animaux, cités etc.... ou en finalisant un objectif.
Si dans la version « + » j’apprécie le fait de chasser un meeple adverse hors de sa cité, j’aime moins les cartes catastrophes qui balaient assez facilement les efforts du moment. Détail.
Difficile de ne pas, à chaque fois que sort un jeu de pose de tuiles, évoquer Carcassonne, ce qui est le cas ici. Gaia n’est pas un jeu stratégique très profond (la chance de tirer les bonnes tuiles y est pour beaucoup), mais il est dynamique, et par rapport à son illustre prédécesseur, beaucoup plus fourni dans ses choix.
Le jeu est donc plaisant, confortable à jouer, et joli à regarder. A part la boîte ridiculement trop volumineuse pour ce qu’elle contient...
Les avis étant partagés, essayez le avant.