Excellent jeu d'enchères et de construction de tableaux.
Fonctionne parfaitement à 2 joueurs comme à plus.
Rapide, simple mais tactique, beau. Une franche réussite.
Un univers cohérent et créé pour l'occasion, et de beaux graphismes accompagnent ce jeu à la mécanique originale et aux multiples possibilités tactiques !
Tout aussi intéressant à 2 qu'à 5 !
Un (petit) bémol cependant pour le livret de règles que je n'ai pas trouvé très simple à appréhender (même si j'ai apprécié l'écriture inclusive et la parité dans le jeu) de par la mise en page pas très claire. M'enfin, ça n'affecte en rien le bon fonctionnement du jeu :)
Qu'il est bon ce jeu!!!
Des enchères, qui mènent à un espèce de draft pour construire la plus belle armée, mais aussi parfois pour empêcher l'autre d'avoir la plus grosse (armée...)... et donc: interaction, frustration, adaptation....
Seul le comptage des points en fin de partie est un peu fastidieux mais qu'importe, la partie est relativement courte (30'), et on peut aisément en enchaîner 2/3 avec plaisir...
Foncez!
Dernière oeuvre en date de Serge Laget, Nidavellir est un jeu d’enchères cachées et de collection, deux mécaniques auxquelles j’ai habituellement quelques réticences, si finement associées et pensées ici que le jeu m’a passionné. C’est déjà qu’aucune carte n’est mauvaise, toutes s’ajoutant aux autres de la leur classe pour renforcer (parfois exponentiellement) les points qu’elle apporte, et si l’on en avait encore aucune parce que l’on ne misait décidément rien sur cette couleur, c’est encore une aubaine, chaque rangée de cartes d’une collection différente octroyant un puissant avantage.
C’est en outre que perdre une enchère accroît ses chances de remporter la suivante, puisque l’on commence avec le même lot de cinq pièces de valeurs différentes, de sorte qu’attribuer une pièce plus faible (probablement plus perdante) à un lot permet d’en attribuer une plus forte à un autre. Et si l’on est battu sur tous les lots, c’est probablement parce que l’on a volontairement recouru à ses pièces les plus faibles… afin de faire fructifier les plus fortes, de les rendre plus fortes encore, dans un coin-building particulièrement stimulant.
Tout dans Nidavellir est ainsi pensé pour être satisfaisant, pour conférer sans jamais s’avérer punitif, frustrant ou long un sentiment de puissance croissante, dans un captivant travail d’équilibrage donnant pleinement son sens à chaque action, et plus généralement à chaque mécanique. Il est difficile de décrire sans trop rentrer dans les détails tout ce qui fonctionne dans ce jeu, et à quel point il faut dépasser ses légitimes réticences face à un manuel de règles trop touffu pour se laisser séduire par son accessibilité et sa très grande richesse, et même par une thématisation fantasy qui sait ne pas être trop pesante, si soignée qu’elle pourrait laisser espérer une extension – peut-être pour affronter le dragon ?
L'intégralité de la critique de Nidavellir est lisible sur VonGuru : <https://vonguru.fr/2020/04/12/nidavellir-collectionnez-la-meilleure-armee-de-nains-pour-vaincre-le-dragon/>
Le Dragon Fafnir s’est réveillé et menace le royaume des nains. Le roi envoie des recruteurs constituer la meilleure armée parmi les différentes castes de nains. Celui qui aura constitué l’armée la plus puissante gagnera le respect du roi et aura le privilège d’affronter le dragon.
Un très bon jeu d’enchères et de collection. Si vous aimez les nains, les tavernes et combattre des dragons, vous aimerez le jeu. Si vous êtes comptable de formation aussi 🙂 . J’ai pris de plaisir à jouer et on a envie d’y rejouer pour tenter d’autres stratégies.
Retrouvez l'article complet sur mon blog: <https://undecent.fr/2020/03/14/nidavellir/>
Pour le moment joué à deux joueurs on a bien accroché. Un système super sympa au niveau gameplay le coté faire évoluer ses pièces pour pouvoir à la fin ajouter sa meilleure pièce au score il faut pas oublier ce petit détail de bien faire évoluer son argent pour marquer aussi des points en plus en fin de partie.
Niveau des cartes dessins sympathiques.
Les règles sont assez accessible seule petit bémol sur les iconographie des certaines cartes heros sans le livret de règles pas facile de comprendre le sens de certaines. Apres on a testé que a 2 joueurs pour l'instant mais on l'estime bien tactique et on peux justement bien essayer de contrer la stratégie de l'adversaire. On est tout le temps entrain de se poser la question dois je privilégier mes points ou essayer de ne pas laisser l'opportunité à mon adversaire d'avancer plus dans cette guilde ....
Les règles sont assez simples à assimiler. Tres bon boulot et le matériel est de bon e qualité. Tres sympathique les réglettes pour poser les cartes c'est une super idee
Cet avis ne concerne que des parties à deux joueurs pas encore essayé à plus, mais ca ne saurait tarder, une petite dizaine de parties.
Bon, petit coup de coeur à deux joueurs qui s’accompagne très bien avec abyss conspiracy.
Faut pas l'oublier, on lutte contre Fafnir et le reste c’est de l'histoire. Thème : Recrutement d’une armée de nains dans une mythologie très bien imbriquée dans les mécaniques du jeu qui sont : enchère, collections. Comme nous sommes menacés par Fafnir, nous devons recruter des nains pour notre armée. Ils sont dans trois tavernes différentes. Il faut miser sur chaque emplacement. Le système de progression des valeurs des pièces est superbement trouvé et fait le sel du jeu d’autant plus qu’en fin de partie, la valeur totale de nos pièces est comptée.
Maintenant, réfléchissons. Quel jeu à enchères se joue à deux correctement et nous sommes larges ... les princes de Florence, Lutèce... oui,oui, bon. Mais pourquoi cette satisfaction ou cette rage à la fin de la partie... parce que le thème est là . Les parties sont rapides, la règle du jeu est bien faite, le matériel permet une immersion rapide ( les illustrations, les icônes, le module de rangement des pièces...).
Une fois les règles absorbées, le jeu est plutôt rapide, une petite demi-heure à deux. Il y a deux moments de comptage, à la fin du premier âge et à la fin du deuxième âge. Le premier comptage apporte des bonus aux joueurs selon un système de majorité (avec les parties, la lutte est rude pour ces bonus) et le deuxième voit les différentes classes de nains rapporter les points.
Voilà, le jeu est immersif et fluide, il peut être opportuniste et il ne semble pas y avoir une stratégie dominante. Evidemment, si on laisse l’adversaire s’acoquiner avec les frères Dwerg, ça peut faire mal mais d’autres héros peuvent faire mal aussi.
Bref, un grand plaisir de jeu, une édition parfaite, on se prend à imaginer des extensions (notons qu’une variante solo est disponible sur un grand site américain d’informations ludiques)... bravo à l’auteur pour un jeu aux allures de classique. Jouissif et addictif, pour peu que l’on supporte la compagnie de nains avinés, Fafnir va venir mais nous sommes prêts à l’accueillir comme il se doit.
Excellent jeu, très simple à expliquer.
Le principe de pouvoir augmenter la valeur des pièces avec une mise de 0 est vraiment une super idée.
C'est à la foi simple, imagée, creuse méninge et avec du bluff.
Bref, un excellent jeu.
des règles claires et des tours de jeu rapides rendent ce jeu abordable même pour un néophyte.
Vu le nombre de manières de scores , il n’y a pas une stratégie pour gagner.
Un bon jeu familial qui ressortira facilement.
Dans Nidavellir il faut recruter des nains pour construire l'armée ayant le plus de bravoure : comprendre il faut recruter des cartes et les combiner au mieux pour marquer le plus de points possible.
Dans la façon de scorer avec 5 familles de nains qui rapporteront d'autant plus ont en possède en grand nombre, et d'autant mieux on les combine intelligemment, ce jeu rappelle un peu 7 wonders. Ce qui change par contre c'est qu'il n'est pas question de draft mais d'enchères pour recruter les fameux nains. Et le système d'enchères à base de pièces, dont on pourra améliorer la valeur au fur et à mesure de la partie est particulièrement malin.
Cela donne une tension des plus agréable, les choix sont tendus à souhait : où mettre ma meilleure pièce ce tour-ci ? Quels nains mes adversaires souhaitent il recruter ? Où puis je faire l'impasse ce tour-ci pour bonifier mon set de pièces ? Franchement c'est extrêmement malin.
En général une partie appelle immédiatement une revanche... C'est le jeu du moment chez moi !
Même si ça manque de chopes de bières, le jeu est très très agréable à jouer
le seul petit hic serait le nombre important de héros/héroïnes à choisir, cela peut s'avérer "complexe" lors des toutes premières parties...Une fois tout cela assimilé... le reste n'est que du bonheur
jeu somme toute classique aux règles logiques et à la mécanique originale de "coin-building", un mécanisme nouveau et c'est toujours bien les mécanismes nouveaux...
Belle édition d'un bon jeu
b r a v o !
Ma meilleure surprise du Fij. Bon il faut aimer le thème (j'aime le thème), ce qui aidera grandement à apprécier le jeu, dont la qualité tient beaucoup à la mécanique très en adéquation avec sa thématique. Cela lui confère une forte identité. Il faut voir nos yeux briller quand on découvre les cartes héros que l'on pourra acquérir si on est majoritaire dans une couleur. On a envie de se précipiter dans le jeu pour se les approprier, ces héros. Je vois rarement autant d'enthousiasme et d'envie d'y aller ! Le jeu est basé sur de l'enchère, de la collection de cartes et de la majorité. Deux manches seulement (moins d'1h de jeu, on a envie que ça dure plus) pour améliorer nos sous de départ (coin building), pour constituer notre armée, et optimiser à mort en suivant une ou plusieurs voies de scoring parmi les nombreuses possibles. Moins fluide qu'un Hadara (mais dans le même style), plus typé aussi, très jouissif. Arg on ne pourra pas tout faire, c'est très frustrant. Vite, une autre partie !
L'ambiance à la "Seigneur des Anneaux" nous a tout d'abord séduits (petit clin d'oeil la taverne du "Cheval Fringant").
Le matériel et la mise en place sur table nous ont conquis.
Les illustrations en N&B nous ont interpellés par leur originalité.
Visuellement le jeu nous a clairement donné envie.
Et maintenant en pratique ?
Le jeu se prend facilement en main, même si sur les toutes premières parties il faudra faire quelques aller-retour vers la règle car certains héros et certains calculs de nains ne sont pas si faciles à comprendre avec l'icono. Mais là c'est une pure histoire de pratique.
Le système d'enchères cachées fonctionne bien, on tente des trucs, on prend des risques, on est un peu tactique. Ca reste léger mais appréciable.
Une fois les enchères révélées il faut choisir son nain. Evidemment l'aléatoire des cartes entrera en compte mais il faudra savoir optimiser ses choix : faire du scoring ou accéder aux héros ? A cette phase le jeu prend une dimension mathématique, laissant de côté l'ambiance des nains, des tavernes et de la bière qui coule au sol.
Il en est de même pour les héros, leur intérêt est mathématique et l'accumulation de certains (les Frères Dwerg notamment) est d'une puissance que je trouve déséquilibrée (mais pas au-delà de 3).
On aurait aimé avoir des pouvoirs plus taquins pour casser cet esprit mathématique. Des pouvoir à l'esprit des nains farceurs, parce que bon on les connaît ces nains malins, ils peuvent vous renverser des tables de tavernes pleines de bières et de cartes ! Peut-être dans une extension à venir ;-).
Au final le joueur qui aura le plus vite compris que ce jeu n'est pas de l'enchère familiale mais plutôt un jeu mathématique et qui aura vite repéré les lignes gagnantes emportera à coup sûr le jeu.