**Les plus**
-Matériel superbe et foisonnant
-Règles très simples pour un gros jeu
-Très tactique
-Scores serrés
**les moins**
-Le rangement
-Chaotique à 4-5 joueurs
**Verdict**
Excellent !
Très riche... beaucoup d'actions sont possibles. Les systèmes de jeux sont très subtiles. La lutte pour être le premier ou dernier joueur très acharnées. Un jeu qui nécessite une stratégie, un planning, mais ou il faut être assez flexible pour parfois l'abandonner.
Je l'ai joué quelques fois maintenant, et j'ai l'impression que les manières de jouer deviennent de plus en plus nombreuses.
Santé!!
Une seule partie au compteur et c’est bien regrettable car le pote proprio du jeu a fini la partie en piétinant, vociférant, pestant, aboyant, limite mordant nous autres ses pôvres compagnons. Et pourtant nous n’y sommes pour rien si cette partie a confirmé (pour lui) le défaut du jeu qui fausse tout… L’idée est de chercher à récolter des agents supplémentaires afin de temporiser son jeu, de s’adapter à ce que font les autres pour optimiser ses placements d’agents. Avec un max d’entre eux, il suffit juste d’en jouer un par tour pendant que les autres joueurs se précipitent pour faire au mieux avec leurs agents peu nombreux. Ensuite reste plus qu’à poser ses agents tranquillement… Du coup mon pote (oui j’écris à sa place) considère qu’il n’y a qu’une seule stratégie gagnante, celle-là. Il en a essayé d’autres et c’est toujours celle-là qui paye le plus. On a beau eu lui dire qu’il faut quand même réussir à chopper plusieurs agents pour arriver à se démarquer de façon nette il ne veut pas en démordre. Moi j’aurais quand même voulu voir comment ça tournait une fois que tout le monde connaissait la faille ! Car sinon le jeu est bon, il fait bien fumer le cerveau, le matos est sympa (particulièrement les « citoyens » qui ont de la gueule), le mécanisme est terrible, il oblige à se lever souvent pour voir ce que font les autres, regarder les pouvoirs des citoyens trop loin sur la table (car il en faut de la place à cinq !).
Mais voilà, tel que je connais Ben, le jeu doit déjà être en vente sur ebay et du coup jamais on y rejouera. Fais chier quand même… On a rencontré le même problème avec Caylus où il y a une stratégie gagnante qui supplante les autres. On y a jamais rejoué depuis…
Désolé Ben mais ça sera quand même 4 pouics !
Une seule partie de jouée mais pourtant je suis déjà fan...
C'est un très bon jeu, à la mécanique bien huilée et qui se présente subtil de par nos choix...
J'ai beaucoup aimé les plateaux centraux, le choix des couleurs des produits (rose et violet ça en jette!) enfin j'aime tout...
Un peu de programmation cachée, du placement digeste, de la gestion du commerce, de l'opportunisme des actions spéciales, bref, le jeu se déplie sans histoire avec une petite touche de fun malgré un principe de jeu bien calculatoire, peut-être est-ce dû au matériel de très bonne qualité.
Pas grand chose de nouveau (les mécanismes ne sont pas révolutionnaires comme dans un jeu comme Space alert ou Imperial par exemple mais c'est un très bon jeu qui deviendra un petit classique, j'en suis certain, d'où ma note maximale.
J'etais un peu sceptique pour jouer a ce jeu, deja le packaging me faisais peur, il faut admettre que la boite est fin laide et moche et ne donne pas envie de s'y interressé ( question de Gout peut etre )
Mais une fois la boite ouverte ca donne envie, c est beau, les plateaux le materiel, les tuiles... hey ca a l'air sympa
Lecture des regles... heee mais ca sens le bon jeu ca... essayons
Et la OOOhhhh Jour de Liese et de Joie !
Un jeu vraiment tres sympa, bien strategique et ou l'argent est fort cher, parfois il vaux mieux passer pour gerer au mieux ses ressources et sa fortune ;)
Mais les parties sont un vrai Bonheur
Mieux a 3,4,5 qu' a 2 a deux on se focalise plus sur l autre et ca donne une façon de jouer tres differente !
Honnetement ce jeu merrite qu'on s'y interresse !
Je vous le conseil vivement !
Un trés bon jeu avec une trés belle édition. Il manque juste une petite aide de jeu principalement pour les scores de fin de partie. Cela dis, elle se trouve facilement sur le net et je crois même, sur le site de l'éditeur.
Sinon le jeu est bien prise de tête et il faudra vraiment réussir à anticiper les actions des adversaires pour s'en sortir. Grillage de neurones au programme
Les règles sont assez simples et les tours s'enchainent assez rapidement. Seule la phase de programmation peut prendre du temps si certains cherchent vraiment à tout anticiper.
Le jeu semble en tout cas trés équilibré.
Bref, c'est du bon
Les +
+ matériel impeccable
+ une grande profondeur stratégique avec des choix simples pourtant
+ parties relativement courtes sans temps morts
+ bon dans toutes les configurations
Les -
- pas facile à appréhender la première partie
- Le thème, y'a un eu d'amélioration par rapport à hansa teutonica mais bon...
Je ne connaissais pas l'auteur mais les critiques ici m'ont fait pressentir un excellent jeu et en effet voilà encore un bijou de jeu.
S'il ne paie pas de mine par son nom et son emballage ce jeu contient un matériel très plaisant à voir et à manipuler.
Mais cela ne s'arrête pas là bien sûr, c'est surtout un système original où le joueur averti devra mesurer ses actions, anticiper ses coups et ceux des autres, élaborer une stratégie qui saura s'adapter aux actions des autres joueurs car l'interaction est forte.
La durée de vie semble longue au vu des innombrables configurations possibles.
Bref, du tout bon. Un "must have" comme on dit.
Avis à chaud après une seule partie !!!
J’ai aimé :
-Le matériel, sobre mais d’excellente facture
-Les mécanismes et particulièrement les différentes manières de marquer des points
-L’interactivité
-L’envie d’en refaire une pour jouer autrement
Ça ma laissé froid :
-Le thème
Je n’ai pas aimé :
-L’absence de lien thème/mécanique
Après un très bon Hansa Teutonica en 2009, Andreas Steding récidive en 2010 avec un excellent Norenberc. A ne pas rater
Un nom à la con et une boite laide dissimulent un bon gros jeu, car Norenberc est un gros jeu. Le matos est d'emblée sympathique, et se révèle très agréable à manipuler. La lecture des règles est limpide, et la prise en main immédiate. On perçoit de suite les possibilités stratégiques que permet le jeu, grâce notamment au système complet de comptage de points de victoire.
Les mécanismes sont en outre très originaux sans être complètement innovants, ni déstabilisants. La dernière des quatre manches est très très tendue. A Norenberc, il faut aussi savoir saisir les opportunités qui se présentent au bon moment. Le hasard intervient aux marges, dans le tirage des personnages. Nickel !
Cependant, si le hasard brut est quasiment absent (tirage de nouvelles tuiles), le jeu revêt un aspect très chaotique au sens où les joueurs adverses, à leurs tours de jeu, peuvent considérablement perturber vos plans. Il est par conséquent assez hasardeux (c'est du coup le cas de le dire) d'établir une stratégie à laquelle se tenir toute la partie durant. C'est la raison pour laquelle je parlais de "saisir les opportunités qui se présentent au bon moment"... C'est tellement chaotique que je ne sais toujours pas comment il est possible de gagner à Norenberc. C'est toujours un peu la loterie au moment du décompte final.
En outre, certains personnages semblent sans grand intérêt, comme le maire, ou les gardes dans une moindre mesure.
Pour conclure, je dirais qu'il s'agit d'un excellent jeu pour se torturer les méninges, qu'il est très beau et très agréable à manipuler, mais qu'il faut trois ou quatre choses essentielles pour y jouer : abandonner toute idée de contrôler le jeu pendant l'intégralité de la partie, accepter la part de chaos que contient cette belle salade mécanique, aimer les retournements de situation et savoir saisir des opportunités quand elles se présentent à vous. Ceci fait, tout de bon !
Un matos vraiment bien fait, de belles illustrations, les objets qui ne sont pas de simples cubes, un gros point positif.
Le jeu a des mécanismes originaux, il faut utiliser ses personnages pour soit acheter soit vendre soit acquérir de l'influance dans les guildes (points de victoire si on est majoritaire).
Les règles peuvent faire peur, nous sommes plusieurs à avoir été découragé lors de leur lecture....l'explication est donc également assez longue.
Enfin un des principes du jeu est d'apprendre à ne pas trop dévoiler ses intentions (le placement des actions est caché et en plusieurs phases). Avec des joueurs avertis et calculatoires ca risque de durer des plombes.
Dans Norenberc (ancien nom médiéval de la ville de Nuremberg en Allemagne), il faut gagner les faveurs des différentes guildes de marchands. Vous devrez gérer au mieux l'offre et la demande ainsi que vos biens pour pouvoir gagner en réputation dans cette belle ville qu'est Norenberc.
Matériel 5/5 : Une boite bien pleine, remplie de très beau matériel. Des pions en cartons, des ressources en bois ainsi que des bonshommes en bois de grande taille. Des plateaux pour les différentes guildes. Tout est très beau de d'excellente qualité. Petit reproche tout de même : pas de thermoformage.
Plaisir de jeu 5/5 : une très grande richesse. Un nombre d'actions croissant au fur et à mesure de la partie. Plusieurs manières de faire des points de victoire. Des parties tendues à souhait. On doit avoir les yeux partout et bien réfléchir à nos actions et pourtant, le jeu n'est pas prise de tête.
Accessibilité / Prise en main 3/5 : les règles sont un peu longues et plutôt complexes. Cependant, elles sont claires et bien écrites. Ne convient pas à un public familial mais parfait pour des joueurs confirmés.
Donc : pour les amateurs de jeu de gestion, celui-ci est vraiment très bon.
Norenberc... Voici un de mes favoris !
Les + :
- Très très agréable à manipuler : matériel magnifique. Les pions sont très gros et d'excellentes qualité. La boîte, les cartes et les tuiles sont elles aussi magnifiques.
- Mécanique simple mais rudement efficace. On achète, on revent quand les prix sont plus interressants, on regarde chez les voisins, le jeux est toujours sous tension... Pas mal de prise du risque également.
- Du triturages de neurones en perspectives !
- Parties pas trop longues pour un jeu d'un tel gabarit.
- Parties très différentes suivant la configuration de départ.
Les - :
- On a jamais assez d'argent ;-)
J'adore tout simplement ce jeu !
Un thème inexistant, des majorités de marchandises à posséder pour obtenir des majorités d’artisans générateurs de points de victoire, tout çà n’a rien de sexy de prime à bord.
Et pourtant nous nous trouvons là en face d’une bombe ludique et d’une mécanique originale et machiavélique à souhait.
Il y a moyen d’expliquer le jeu en 10-15 minutes. Après, gérer au mieux les 3 types d’actions possibles sera un véritable casse-tête tant celles-ci sont contradictoires les unes par rapport aux autres :
•Acheter des marchandises sera nécessaire pour obtenir des artisans et des blasons grâce aux majorités.
•Vendre des marchandises sera nécessaire pour récupérer de l’argent mais au risque de perdre ses majorités
•Recruter directement des artisans avec ses marchandises paraît intéressant car on peut dans certains cas également récupérer un peu d’argent mais c’est faire une croix sur les blasons (une source non négligeable de points de victoire) qui ne s’obtiennent que grâce aux majorités.
Si vous aimez vous creusez les méninges, vous êtes à la bonne adresse.
On y a joué à 2 et on a aimé!!!
Ce jeu de commerce aux règles aussi simples que celles d'Endeavor est tout aussi riche! Chaque partie est complètement différente dans la mesure où la config des guildes sont changeantes et qu'il faut constamment s'adapter/anticiper/bloquer/se développer en fonction de ce que fait l'autre. De ce point de vue, le jeu est sans doute meilleur à 3 ou 4 joueurs, néanmoins il tourne très bien à 2. Les parties sont disputées et calculatoires: beaux choix cornéliens en perspective! Pour couronner l'oeuvre, le matériel et les illustrations sont sympathiques!
Voilà un jeu que j'avais repéré depuis un moment. D'abord l'auteur est celui de Hansa teutonica et cela a suffit pour que je m'intéresse très fortement à Norenberc.
On retrouve toute la subtilité de l'auteur dans Norenberc.
En premier lieu, la partie n'est jamais perdue ni jamais gagnée et il faut s'accrocher jusqu'au bout.
cela me rappelle hansa...
Le thème en est très éloigné avec ces guildes où il faut commercer. Voilà la première clef du succès, acheter peu cher et vendre cher, l'essence même du commerce. L'argent c'est essentiel.
Ensuite, il faut des agents sur le terrain. Un agent = 1 action. tiens, un nombre d'actions à développer cela me rappelle : hans...
Oui mais des agents sans argent, cela ne sert à rien.
Ensuite, il faut récolter des artisans et des invités, de préférence à grosse valeur.
Ensuite, la multiplicité des types d'artisans récoltés dans chaque guilde a son importance. Il faut aussi récupérer des blasons et en collectionner au moins un dans chaque guilde sous peine de se faire distancer au score.
Bref, il faut être bon partout, récolter plus que les autres, mieux que les autres, arriver avant les autres.
Bref, un défi exceptionnel ! Certains seront rebutés par tant d'exigence, une telle alchimie de d'opportunisme, de préparation, de calcul, de réactivité, d'intelligence, de machiavélisme. La règle est pourtant très simple. Le jeu l'est beaucoup moins.
Alors même que le thème parait austère, les tuiles sont rigolotes et colorées. Le matériel est riche, la boite de qualité.
Monsieur Andreas Steding, continuez à nous faire des jeux comme celui là et nous serons enchantés !
Après la découverte d'Andreas Steding avec Hansa Teutonica, mon coup de cœur 2009, j'espérais beaucoup de Norenberc.
Je m'attendais à un jeu plutôt familial du fait de sa mécanique de base qui est assez simple (achat/vente) mais il y a vraiment de quoi se cramer les neurones.
Le but est de collectionner les blasons ainsi que les artisans des différentes guildes. Mais la difficulté vient que les autres joueurs vont aussi vouloir s'accaparer de ces tuiles, il va donc falloir mettre des priorités sur ce que l'on veut acquérir, les citadins, les artisans, l'argent. Parfois un achat mal négocier peut être fatal pour la conquête d'un blason.
Il faut cependant une première partie pour bien assimiler la valeur potentiel des citadins.
Les parties se renouvelles grâce au placement aléatoire des tuiles citadins et artisans. Les tours de jeu s'enchainent avec fluidité, le matériel est magnifique, le gobelin blanc ne se moque pas de sa clientèle lui au moins.
Des mécaniques simples et innovantes qui permettent de jouer en famille ou avec des joueurs confirmés et qui font de Norenberc un jeu différent de ce que l'on a l'habitude de voir.
Mon premier coup de cœur de l'année 2010.
ce jeu prend de la place avec ses 6 plateaux représentant les différentes guildes, mais cela vaut le coup d'avoir une grande table !
tout d'abord j'apprécie fortement de ne pas retrouver dans ce jeu de gestion les sempiternels cubes de pierre et de bois !! :)
en fait dans Norenberc il y a un peu de tout :
de la majorité, du placement d'ouvriers, du commerce, de la programmation, du développement, un peu de bluff... c'est très riche tout ça !
ici on commerce avec des chapeaux, des bottes, des patisseries, du papier, du tissu, et de la bière ! le jeu est tendu et très interactif car il faut constamment surveiller ce que font les autres joueurs, pour protéger certaines de ses majorités ou pour en accaparer de nouvelles... mais il faudra surtout être capable d'adapter à tout moment sa stratégie, et saisir les opportunités !...
tendu aussi car pour obtenir les blasons dans les différentes guildes il faudra avoir la majorité à la fin d'un tour dans le type de marchandise concerné (il faut donc avoir cette marchandise en stock) - mais pour obtenir le plus d'influence dans une guilde (ce qui score aussi en fin de partie) il faudra recruter des personnages et pour cela dépenser des marchandises... - et les marchandises servent aussi à gagner des sous lorsqu'on les revend !!... un jeu où plusieurs objectifs contradictoires s'entremêlent, ce qui en fait tout le piquant !