*"Revolucion"* doit être l'un des premiers jeu de cartes édité par Asmodée que j'ai acheté, voir même l'un de mes premiers jeu de cartes tout court. Alors forcément, j'ai un brin de nostalgie qu'en j'y joue.
l'expresions *"Joyeux bazard"* est ce qui caractérise le mieux ce jeu. Alors on adhère ou pas à ce beau bordel.
Bordel d'abord car le jeu comporte beaucoup de cartes, parfois trop. Il est ainsi parfois difficile de s'y retrouver, tant les effets sont différents. Mais quelques parties peuvent aisément corriger ce petit défaut.
Ce qui est plus ennuyant, c'est que après quelques tours, on peut se retrouver avec une batterie de cartes dans les mains à n'en plus savoir qu'en faire. La lisibilité et la rapidité des tours de jeu s'en trouve alors alourdie. Ainsi, une règle limitant le nombre de cartes que l'on peut garder en main aurait été bienvenue. Malheureusement c'est là un défaut inhérant à ce type de jeux de cartes.
Bordel ensuite, car le principe du jeu y concourt. Ainsi, on reproduit l'esprit désorganisé d'une révolution ou tout part dans tous les sens avant qu'un leader n'apparaisse et mette tout le monde d'accord. Après tout, il faut se débarasser de ses concurents. Et l'on peut le faire par la force, comme par l'envoi d'une jolie bombe. Mais le facteur peut se tromper de porte et la bombre revenir à l'envoyeur.
Les marqueurs politiques (démocratie et révolution) sont aussi une idée intéressante
Bordel enfin car mes parties se sont toujours faites à l'ombre des sombreros, chaque joueur usant et abusant de l'accent espagnol ... et prenant un malin plaisir à se faire des crasses.
Du coup les parties sont souvent hilarantes, mais parfois un peu longue à se finir. On retrouve aussi ce défaut sur l'excellent *"Service compris"* ou il fallait parfois attendre la bonne carte pour battre son adversaire. La difficultée est ici décuplée car, encore une fois, on a beaucoup (trop) de cartes dans les mains, et que l'on peut souvent se protéger de beaucoup de mésaventures.
Malgré tout *"Revolucion"* reste un excellent jeu ce cartes qui permet de passer un bon moment et qui tourne très bien. Un peu d'investissement des joueurs pour se mettre dans l'ambiance apporte une touche drôle fortement conseillée.
Les cartes sont superbes et très drôles, l'ambiance est géniale, mais le jeu ne prend pas vraiment. Trop de hasard, des tours trop courts, on reste un peu spectateur.
Quand je veux rire un bon coup, je relis les règles et je me demande pourquoi je l'ai acheté.
Il y a néanmoins une variante rigolote pour ce jeu : lancer la boîte aussi loin que possible.
Bon petit jeu (les parties durent quand même une petite heure) où l'interaction est bien présente et les cartes assez nombreuses pour faire des combinaisons amusantes.
La chance est présente mais juste ce qu'il faut!
Un des gros points positifs est le fait de pouvoir changer ses cartes à chaque tour, ainsi vous ètes quasiment sûr d'avoir des bonnes cartes.
le seul petit point négatif : le manque d'action si on ne vous envoie pas la bombe mais bon c'est rare si l'ambiance est bonne ;)
Un bon jeu d'ambiance de fin de soirée. Ne cherchez pas de grandes stratégies, le jeu est chaotique mais souvent dans ce type de jeu, les dessins sont croustillants, l'idée de la bombe qu'on fait circuler au plus vite est sympa. Une bombe à posséder pour tout révolutionnaire qui a été.
Un jeu de pioche, la main doit vite tourner pour avoir un maximum de bonnes cartes.
Comme tous les jeux d'élimination, les premiers à partir doivent trouver à s'occuper à côté ! Mais ceux qui restent dans la partie restent concentrés pour se frayer un chemin vers la victoire.
Oui, bon, un petit jeu sans prétention qui peut passer dans une soirée en discutant.
Il est tout de même long, et l'aspect "il ne doit en rester qu'un" qui se rajoute, c'est un peu pénible quand on est éliminé au bout de 10 minutes.
Le thème était fort, les illustrations réussies, le concept de la bombe qui se déplace de joueur en joueur était une belle trouvaille mais le résultat est très médiocre. Des règles lourdes peu intuitives, des fins de partie pénibles... on à l'impression que la phase de test n'est pas terminé. Dommage.
A jouer avec des tacos, de la tequilla et parfois deux bonne heures devant soi...
Belles illsutrations, de très bonnes idées, une mecanique en parfaite adequation avec le théme, du stress par moment avec
la bombe qui s'approche, s'approche,l'alternance des phases revolution et democratie, qui amenent des changement de rythmes.
Mais le principal default de ce jeu c'est la longueur des parties qui se trainent pafois à la façon d'une locomotive souffreuteuse !
Déçu Décu.
J'y ai joué deux fois.
Première partie : interminable
Deuxième parite : éliminé au deuxième tour.
Et a chaque fois, un accord commun des joueurs pour dire que ce jeu est ennuyeux....
Ce jeu est loin d'être une révolution
Le système n'est pas très original mais malgré tout l'ambiance est là et on s'amuse bien.
Le matèriel est très sympa et le thème plutôt bien choisi.
Un petit jeu coloré à sortir de temps en temps.
Sans que ce soit un Immanquable, j'ai eu la bonne surprise de faire de nombreuses parties sans jamais m'ennuyer.
Je le recommande chaudement pour son ambiance très sympa. Ca tourne vite, la longueur de la partie reste maitrisée, et y (re-)joue avec plaisir.
Dans la même collection que Service compris ! Revolucion use du même mécanisme : la possibilité de court-circuiter le tour, ce qui permet de briser le ronron du « l’un après l’autre, de la gauche vers la droite ». Malheureusement, les mêmes causes ont souvent les mêmes effets, et Révoluciòn est aussi peu abouti que l’est Service compris !. Le problème est toujours le même : les cartes se ressemblent toutes, et quand par miracles on en tient une différente, elle a les mêmes effets que les autres. Dès lors, quelques bonnes cartes du jeu, beaucoup plus rares, le déséquilibrent. Les règles sont encore plus confuses, et réalisent l’exploit d’assommer le lecteur avec 16 pages qui oublient de dire que tout est marqué sur les cartes (à la différence de SC) et qu’il n’y a absolument rien à réfléchir, s’attardant sur des multitudes de cas particuliers, qui prouvent que le caractère bancal du peu de règles jetées en pâture aux joueurs. Bref, on fait ce qu’on peut, si un autre joueur daigne vous en laisser l’occasion.
Car le plus grave est l’éventualité pour un joueur, incroyable mais vraie, de ne jamais pouvoir jouer. En effet, c’est le premier joueur qui décide à qui va la bombe, et seul celui qui détient la bombe peut jouer. Or, si le joueur qui la réceptionne décide de la lui redonner, il peut s’en suivre un va-et-vient dont les autres joueurs sont les spectateurs aussi médusés qu’impuissants. Bref, deux joueurs alliés peuvent éliminer tous leurs adversaires sans que ceux-ci ne puissent rien faire. Aboutir à ce non-sens est incroyable, mais j’ai beau me pincer, Asmodée l’a fait. Révolutionnaire, y a pas à dire.
Résultat, le gagnant étant toujours celui qui possède la bombe, puis les meilleures cartes. Pourtant, avoir la bombe devait sembler un avantage insuffisant pour l’auteur, il a alors ajouté qu’en cas d’attaque, le joueur qui a la bombe ne perdrait aucun lieutenant. Dès lors, dès qu’on tient enfin la bombe, on attaque a tout bout de champ pour faire perdre à ses adversaires un maximum de lieutenants. Comme on a rien a perdre, on aurait tort de s’en priver, on a toujours une chance d’éliminer un lieutenant adverse. Comme on dit au marché, "si ça paie pas, ça débarrasse" ! Je vous laisse imaginer si le joueur avec la bombe a en outre les meilleures cartes, éliminant ainsi un tiers des lieutenant de ses adversaires chaque fois qu’il a le tour. Comme lorsqu’on n’a plus de lieutenant on a perdu… Ah oui, j’avais oublié de vous dire que le gagnant d’un combat fait perdre toutes les cartes engagées dans le combat à son malheureux adversaire, tandis que lui conserve les siennes. C’est connu, on ne prête qu’aux riches. Bref, la stratégie se résume dans un premier temps à prier qu’on ait la bombe avant qu’elle n’explose, de manière à pouvoir joueur un peu. Puis à prier qu’elle explose, afin que ce jeu se termine au plus vite. Car comme dans Service Compris ! on est éliminé un par un, au gré des attaques de vos adversaires et des explosions de la bombe.
Faut-il rappeler qu’on joue avant tout pour être ensemble, et pas pour exclure la moitié de ses amis ? Il faut croire que chez Asmodée, on ne joue qu’entre ennemis. Je dois dire pour ma part que mes amis on réagi par légitime défense, et m’ont d’emblée éliminé de la table pour m’être fait offrir un si mauvais jeu. Il faut dire qu’ils avaient des circonstances atténuantes : ils m’avait écouté leur lire les règles (ce que je ne fait que lorsqu’elles sont particulièrement confuses), et n’avaient rien compris, juste que le jeu ne valait pas le carton sur lequel il était imprimé. Ils ont raison, les arbres sont morts pour rien.
Il semble que pour Asmodée, un jeu pour toute la famille est un jeu pour personne en particulier, donc pour personne tout court. Un rappel à l'éditeur : des règles claires et simples, s’énoncent aisément. Quand vous désirez créer un jeu pour toute la famille (= pas prise de tête pour deux sous), faites nous des règles en 2 pages, ce serait sympa. Et puis vous vous apercevrez ainsi plus aisément si ces règles tiennent la route, sans les cacher derrière un blabla aussi indigeste qu’inutile. Alors, si au final vous vous retrouvez avec 16 pages, soit votre jeu n’est pas familial, soit il y a un problème quelque part. En tout cas c’est sûr, la Revoluciòn, elle ne passera pas par moi.
Pour : Les illustrations très sympas de Franck Dion… ah, et le format de la boîte qui passe bien au broyeur. On peut quand même récupérer le dé auparavant, pour un vrai jeu cette fois.
Contre : Où sont les règles ? Ce jeu n’est ni fait, ni à faire. Qu’est-ce qui peut justifier le prix exorbitant de 150 f pour une si petite boîte remplie de cartes ? Le seul jeu de société ou l’un des joueurs peut ne jamais jouer. Révolutionnaire, vraiment.
Ce jeu ne mérite pas des notes aussi basses!!
D'accord, il n'a pas l'intéret stratégique d'un Citadelle, mais il n'en a pas non plus la froideur!!!
C'est pas vraiment tactique, encore que quelqu'un de diplomate économisant ses forces prend une bonne option sur la victoire.
Mais on s'amuse!!!
Un jeu, c'est pas fait pour ça?
Dans la catégorie des petits jeux à oublier bien vite, Revolucion! détient la palme.
Soporifique, tout tourne autour du hasard.
Pour info, j'ai réussi à disputer une partie (et à la perdre cela va sans dire) sans prendre la main : la classe !
C'est pas le jeu de l'année, d'accord mais il n'en demeure pas moins que l'ambiance est là, les mécanismes de jeu sont simples et à la portée d'un public non initié.
Moi j'adore le matériel et surtout les illustrations très réussies, les noms des lieutenants sont tordant.
Comme petit jeu, ça passe bien!
Voici un bon jeu sympaythique, plein de rebondissement avec un mécanisme assez simple.
Jouable de 3 à 6, il est préférable d'être 3 ou 4, sinon certain joueur peuvent être éliminés sans avoir réellement joué.
Le hasard y a une grande place mais la stratégie, les alliances, ainsi qu'un peu de bleuf font de révolucion un coktail d'étonnant.
Méfier des traitres, surveillez l'irlandais, évitez le sorcier Yaqui et les attentas. Attaquez les banques, détérez les butins, entourez vous de garde du corps et priez la Santa Maria. Puis à la tête de vos troupes et du soutient ALLEMAND devenez le maître du Méxique. Tout ca avant qu'un infame opposant décide de faire péter un chariot d'explosif dans votre Hacienda présidentielle.
Un bon cigarillo allumé, un verre de téquila à la main et dans l'autre votre bon vieux 6 coups. Dans la chaleur moite des nuits méxiquaines, le vent de la REVOLUCION souffle sur vos nuques.
Hasta la vista amigo.