ce jeu est autant surprenant que la déco de la boite et du jeu lui même est moche...... essayez le, vraiment c'est sympa, mécanisme vraiment sympa....un peu à la smallworld
Voir Tempus comme un jeu de civilisation est un peu présomptueux, le thème fonctionne (comme chez Prosperity, c a d "avec un peu d 'imagination"), c est par contre un jeu d'évolution ou chaque palier franchi amène une amélioration chez le joueur (actions supplémentaires/plus de naissances, plus de déplacements.....).... De ce fait, cela peut générer un effet "rouleau compresseur" si la distance se creuse entre les joueurs....
pour le reste, Tempus est clair dans ces règles, fluide, pour une partie d'une heure.
On construit son île de départ, on place ses pions (important de bien les placer pour s'étendre) et on calcule: on tente la majorité à ce tour où on se place pour la manche suivante, on prend plutôt des cartes, on attaque.....
Des cartes actions/terrains viennent en renfort et peuvent bouleverser vos stratégies
bref, il y a une petite part d'aléatoire, de calcul et d'opportunisme....cela en fait un jeu fort agréable, pas forcément indispensable, mais en tous cas, pour un Wallace, léger, un peu comme si son cerveau tortueux avait décidé de prendre des vacances
Tempus est un sympathique jeu de placement/développement qui, sans casser trois pattes à un canard, fonctionne très bien et présente une bonne alternative aux autres « Civilisation-lite » comme Antique ou Vinci.
Tempus est plein de rebondissements et de dilemmes : dois-je me placer pour le progrès qui vient ou le suivant, accroître ma population? A moins que ce ne soit le moment M pour attaquer...
Un joueur commençant apparemment mal peut réellement se refaire.
Malheureusement l'ensemble a un aspect négligé : cubes inutiles, tuiles 5 imprévues par l'auteur, illustrations mi-réalistes, mi-simplistes,mi-nimalistes...Plus grave la règle fait débat. Par exemple nulle part il n'est fait mention de l'accès aux cités qui ne serait logiquement possible qu'à l'étape cités, qui apporte déjà d'autres améliorations.
Même le thème est à moitié ressenti. Le joueur le plus présent sur les collines fera des cités et volera en premier, bien vu. Ne faire des enfants que dans les prairies, ah bon? Au moins ça fait marrer.
Mais inventer l'écriture parce qu'on est dans les champs alors que l'agriculture est pas découverte, ouh lala...et l'imprimerie dans les collines faudra m'expliquer. On s'éloigne du thème et on optimise le placement de ses puces.
En bref un jeu qui manque de finition mais original et prenant.
Wallace m'étonne pour sa diversité de jeux,
Un bon wallace est un wallace qui va a l'essentiel est la c'est le cas.
je le trouve simple efficace, précis une vrais horloge suisse, pas de fioriture inutile.
Ce que je trouve un peut étonnant c'est qu'il n'est pas très connu.
Est pourtant il le mérite bien.
Je me suis toujours régalé dans les parties de Tempus, je ne comprends pas qu'il n'ai pas rencontré plus de succès ?!?
Le matos est assez joli, le thème pas bien mis en valeur, certes, mais la mécanique de coups prévisionnels est excellente...
C'est assez rapide de surcroit, bref, à dénicher pour pas cher !
Ça m a surpris que la règle soit signe Wallace. C'est simple, on dirait un petit jeu tranquille. Mais attention, il y a quand même pas mal de stratégie, et même si je ne mets pas,la note maxi, ce jeu est un très bon jeu, simple et agréable a jouer !!!!!
*Tempus* est un agréable jeu de placement à l'allemande, c'est-à-dire que la thématique est complètement déconnectée du mécanisme. Il est très difficile de voir dans les phases qui s'enchainent une quelconque évolution d'une civilisation. Éventuellement, en se forçant un peu, on peut voir l'invention de la traversée maritime comme un moyen de traverser les océans mais pour le reste, cela me semble totalement artificiel. Par contre, le jeu est assez agréable, tendu car l'espace de jeu est restreint et les positions géographiques intéressantes sont peu nombreuses. Comme d'habitude avec Wallace, il existe une part de hasard non négligeable avec un tirage de cartes.
Un Wallace malheureusement un peu méconnu mais qui a des règles simples, des objectifs bien défini et seulement 2 heures de temps de jeu.
Un des plus de ce jeu est la construction de l'île sur laquelle va se dérouler notre aventure qui pourra suivant la configuration initiale ressembler à un jeu de placement avec quelques combats ou à une vraie bataille acharnée et violente.
Ce placement initiale ne pourra être appréhendé seulement lors de la deuxième partie tellement la répercussion de la géographie globale du plateau influencera toute la partie.
De plus, avec un peu d'expérience, on pourra assez facilement évaluer la stratégie globale choisit par ses adversaire en fonction de leur placement initial.
Après avoir pris tout çà en compte, le jeu se résumera à : "Comment se développer au mieux en embêtant le plus ses adversaires". Et çà c'est bon
Un thème assez banal, l'évolution d'une société au cours du temps mais contrairement aux classiques du genre (Civilisation...) le jeu est bouclé en 90 minutes.
C'est un bon jeu de conquête, d'affrontement et de placement. J'aime beaucoup le petit avantage donné au "meilleur" de la période qui passe à la suivante sans que pour autant les retardataires soient laissés au bord de la route car c'est souvent un autre qui sera premier à la période suivante.
Bien équilibré, beau matos (pour du wallace) et le terrain en tuiles évite que les parties se ressemblent de trop. Je le conseille vivement.
... mais sans plus. Pourtant on voudrait bien mais... non. Il lui manque quelque chose. C'est pourtant bien trouvé, fluide, prometteur à la lecture des règles... Mais il manque le petit plus qui en ferait un super jeu; on reste un peu sur sa faim après une partie.
Pourquoi? Pour ma part je crois que ce sont les évolutions qui ne sont pas assez franches : certaines caractéristiques n'évoluent quasiment pas tout au long du jeu, d'autres par trop petits pas ou pas assez souvent, et il y a ainsi des époques clairement intéressantes et d'autres un peu trop bof. C'est sans doute prévu comme ça pour équilibrer le jeu, qu'on ne devienne pas trop puissant, qu'on ne se répande pas trop trop vite, notamment en regard de la taille du plateau, mais ça laisse un goût un peu fade.
C'est néanmoins un jeu bien sympathique, il ne faut pas hésiter à l'essayer si on en a l'occasion, le principe est bien pensé.
On pourrait imaginer refaire le tableau des époques, pour voir...
Je ne suis certes pas un grand fan de jeux de gestion/developpement, mais je sais enccore apprécier les qualités d'un Puerto Rico et consors.
Et là Tempus...
Construisez le monde...
Développez une civilisation de l'âge de pierre à l'aviation...
Que de promesse pour pas grand chose !
Et surtout quel ennui !
En gros on passe un tour de jeu à faire deux ou trois toutes petites choses. On prévoit une attaque pour tenter de récupérer un tout petit peu plus de territoire et là le combat se joue... aux cartes !
A savoir que si vous ne piochez pas ce dont vous avez besoin, vous pouvez toujours laisser tomber, rien ne vous sauvra.
Bref, beaucoup de mécanisme et de règles pour pas grand chose.
Ni stratégique, ni drôle. Surtout très lent et contemplatif.
Un jeu qui ne tient pas ses promesses à mon avis.
Mécanisme simple, plateau sympa, originalité du fait de jouer sans dés. Un jeu réussi où il ne faut pas mettre tous ses oeufs dans le même panier : il faut à la fois progresser dans les technologies tout en oubliant pas de positionner ses colons et de faire des villes. Un jeu intéressant dans le sens où il faut gérer de multiples contraintes.
Surement l\'un des meilleurs jeux auquel j\'ai joué depuis un moment !
Si l\'on recherche les qualités suivantes, tempus fait un sans faute :
- facile à expliquer
- Pas très long
- Très bon dès 3 joueurs
- Chaque choix parait crucial, tension enorme
- Tactique et stratégique
- Plateau modulable
- Très peu de hasard - Les rares cartes piochées sont toutes très puissantes du moment qu\'on adapte sa stratégie (ce qui rend les parties différentes les unes des autres)
Vous l\'aurez compris, je suis conquis. Les mécanismes est très élégant et l\'équilibre du jeu m\'impressionne encore. Pas de stratégie gagnante, on est obligé de s\'adapter sans cesse ! Je suis conquis et impressionné devant l\'ampleur stratégique pour un jeu aussi leger !
Il faut aimer reflechir et calculer et le matériel n\'est pas des plus glamour même si il tient très bien la route.
Encore merci Mr Wallace
Sur un thème de civilisation ce jeu (un peu trop ?) simple et rapide, manque sans doute de variété. Malgré le thème, en fait il s'agit d'un jeu de contrôle de terrain, et de construction, car les bénéfices d'améliorations technologiques sont limités, et leur acquisition trop instable. Les options de destruction sont très limitées, si bien qu'au bout du compte le jeu s'avère un mauvais investissement à long terme, et ne mérite même pas d'être considéré comme un bon jeu introductif ou pour débutants dans la thématique "civilisation".
Apres avoir joué à ce jeu, je suis mitigé... Mais 12h plus tard, je suis convaincu que j'ai joué à un tres bon jeu.
La consigne essentielle avant de jouer : NE PAS JUGER SUR LES APPARENCES, ce jeu cumule les faute de goût et l'absence de lisibilité. Le t^hème n'est pas tres tres présent... Les cartes sont d'inspiration médiévale et le fond du plateau ressemble à un cyber wargame de l'espace.
Mais le jeu est BON ! La partie est assez rapide pour ne pas s'ennuyer, l'alternance des actions permet de ne pas poireauté pour son tour et même si les interactions tardent à venir, c'est pour la bonne cause : se tenir pret pour l'invasion finale.
Il faut connaitre tout un tas de paramettre pour en pas se planter et le regretter, c'est pour ça que mon avis etait mitigé a la fin de partie, mais maintenant, je suis partant pour réessayer. Pour information, j'ai remarqué qu'il nefallait surtout pas oublier :
1. ON NE PEUT PAS CONSTRUIRE DEUX CITES MITOYENNES, donc, si on en pose une au centre d'un quartier, on n'en posera AUCUNE autre dans ce quartier.
2. les citoyens sur les montagnes NE COMPTENT PAS à la fin du jeu, autant s'étaler sur les plaines, les champs, les forets...
3. rien ne sert de construire ses villes de 2 points, vous n'aurez plus de place pour construire celle de 3 ou 4 points.
4. la course au progrès n'EST PAS UNE OBLIGATION
Etc... Essayer deux ou trois parties et normalement si vous intégrerez les contraintes, vous n'aurez pas d'impression de "déjà-vu" car les plateau sont a construire au début de chaque partie différement.
C'est un agreable mix de Vinci et Kings & Things, on optimise ses trop rares actions possibles, on pioche des cartes en esperant faire de jolis combos
c'est ce qui me fait aimer le jeu : les cartes servent à trois choses à la fois : optimiser les actions, gagner des points de progrès ou combattre
la victoire se fait sur la constructions de cités, sur la présence sur le terrain et le fait d'avoir progresser sans trop depenser
Il est surprenant et raffraîchissant de jouer à un jeu de Martin Wallace avec des règles qui ne nécessitent pas une demi-heure d'explication. Les règles sont courtes et bien illustrées.
C'est un jeu d'occupation de territoire où l'on retrouve un mécanisme cher à Wallace, l'inertie : plus on avance dans la partie, plus les possibilités de développements, d'expansion, et même le nombre d'actions par tour augmentent. On est donc à l'étroit dans les premiers tours, avec peu de pions et peu de choix, et plus cela avance, plus on se sent libre et puissant : mécanisme qui fait tout le charme d'Age of Steam.
La mécanique d'évolution d'un tour à l'autre est très originale et très bien sentie : il y a plusieurs types de terrain, plaine, colline, prairie, montagne. Le ou les joueurs en majorité sur le type de terrain maître du tour suivant "passe" dans l'ère suivante et gagne des bonus d'évolution tandis que les autres font du surplace : bonus d'actions (extension du mouvement, augmentation de la production de pions en cas de reproduction, etc.) ou augmentation du nombre d'actions jouables. On commence à 3, on finit à 6. Les autres ne seront pas trop à la traîne : les grands principes de civilisation se véhiculant de bouches à oreilles, tous les autres joueurs à la fin du tour suivant rattrapent leur retard. A la suite de quoi on refait un saut d'évolution en regardant les majorité sur le type de terrain maître de l'ère suivante. Comme on connaît à l'avance les types de terrain qu'il faut maîtriser à chaque tour pour faire les avancées de civilisation, on peut plannifier ses prises de pouvoir car on ne pourra pas jouer sur tous les terrains. C'est donc un jeu de placement (il faut un maximum d'hexagone tout types de terrain confondu) et un jeu de majorités tour à tour qui confère des mini-victoires. (Actorios, il faut donc l'essayer)
A noter, gagner ces majorités pour avancer plus vite dans l'évolution n'est pas un gage de victoire finale. Mais c'est comme toujours : jouer plus que les autres, avec des bonus... aide.
Dans sa fluidité, ce jeu me fait penser à Antique, mais en mieux : les mécanismes sont plus originaux et les stratégies me semblent moins tracées. Il a un autre point commun : la guerre n'est pas rentable, et les joueurs, s'ils échangent des échaudfourrées occasionnelles, devront prendre sur eux pour ne pas sombrer dans une guerre d'usure qui ruinera leur partie. N'est-ce pas Vincent.
Tempus emprunte aussi à Goa, dans son tirage de cartes, dans ses possibilités de jouer plus que les autres comme je l'ai dit, dans les sauts d'évolution qui font piocher des cartes.
Le matériel est, une fois n'est pas coûtume, très soigné pour un Martin Wallace : aussi bien les illustrations qu'au toucher.
La première partie a duré plus de 3h, avec découverte des règles et certains joueurs particulièrement lents à la table. (Mais jooouuuue putain Florent !)
Cela devrait effectivement ne pas dépasser les 2h30 avec des joueurs moyennement rapides, 2h pour des joueurs rôdés et rapides. C'est un jeu qui se joue vite, d'autant que les tours des autres peuvent largement être mis à profit.
J'ai donc envie d'y rejouer, mais si je ne lui mets pas 5, c'est que je ne sais pas, au sens propre, si le jeu a une durée de vie très longue. (Comme Antique)
PS : ne passer pas à côté de l'errata. Les villes comptent comme hexagone occupé dans les 3 hexagones limites qui empêchent les attaques.
La moyenne dans tous les critères.
Graphiquement réussi, à mi chemin entre laideur et beauté. Un matériel simple.
De ce côté de nombreux jeux se suffisent de peu pour être fonctionnels, comme Age of Steam, par exemple. Cependant Tempus souffre d’un premier soucis : des couleurs trop approchantes. Pions bleus clairs ou bleus foncées et tuiles cités au teintes dissonantes et peu contrastées.
On se perd parfois... souvent.
Mais le jeu reste parfaitement jouable. Disons que nous y perdons en reconnaissance du terrain ce qui freine rythme et compréhension des situations.
Le jeu dans sa mécanique est très agréable, souvent malin mais semble trop guider le joueur.
L’évolution d’époque en époque est très ingénieuse tant on est rapidement suivi par les adversaires ce qui pousse à vouloir lutter pour une évolution particulière pour en profiter un tour de plus que les autres.
Double tranchant : certains se laissent guider par le courant optant pour une autre stratégie, celle de l’attaque ou du développement sournois.
Mais les combats sont, bien que simples en théorie, complexes à mener. A moins de se refuser tout développement on ne peut miser sur l’offensive sans une bonne mains de cartes. Et qui dit carte dit action « avoir une idée » (piocher)… et les actions sont rares au début.
Mais il ne faut pas louper son entrée en jeu, son développement… il faut s’étendre, donc miser sur d’autres actions : « avoir des enfants », « se déplacer »…
Mais on a des enfants que sur les plaines (rares)… donc le placement initial est crucial (déséquilibre évident entre celui qui n’a fait ne serait-ce qu’une partie contre le novice).
En vérité, tous les évènements poussent vers d'autres évènements , comme un effet boule de neige. On se sent guider dés les deux premiers tours.
Ajoutons un déséquilibre évident du pouvoir des cartes (« Religion » est d’une puissance incroyable quant aux autres).
En bref, le jeu est tout de même agréable. On lutte, on se démène mais souvent en vain. J’aurais personnellement appelé ce jeu « Destinée » car l’avenir y semble écrit dés la pose des premières pierres.
Le but du jeu est donc lutter contre ce destin, cette fatalité que déclenche le système et non contre ses adversaires. En effet tout ceux qui ont eu sous mes yeux une stratégie destructrice ont perdu.
Je retiendrai cette phrase : « Pour faire la paix, prépare la guerre ». Se développer assez pour que tout adversaire renonce à vous attaquer sur votre terrain tout en allant le chatouiller un peu dans ses contrées et qu’il vous y attaque, juste pour qu’il perde du temps dans son développement.
On croirait voir le développement des pays occidentaux face au reste du monde : Si je me bat avec toi, tu stagnes tandis que dans mon pays je m’engraisse.
Voilà le caractère le plus intéressant du jeu.
2 parties jouées et la même sensation à chaque fois : ça ne bouge pas beaucoup.
Le jeu est très bien huilé, c'est du Wallace, rien à redire de ce côté. Mais ce n'est pas un jeu de conquête, ou si peu...
Le jeu a toutefois beaucoup de qualités qui m'ont séduites.
La table des évolutions est très bien pensée, on prévoit les territoires que l'on souhaite disposer à l'avance, fonction des progrès dont on souhaite profiter.
Les cartes ont un double emploi, elles servent au combat ou au progrès, ça c'est bien foutu.
Le plateau change à chaque partie, les configurations de départ changent à chaque fois.
Mais l'ensemble m'a semblé finalement très statique. On ne se fritte pas souvent, on peut même espérer gagner sans vraiment combattre, il faut impressionner pour ne pas se faire envahir et on est tranquille pour quelques tours. De plus, les combats finissent souvent par des égalités où du coup, rien ne se passe.
Les deux parties se sont déroulées de la même façon : on se développe chacun de son côté, on espère être suffisamment fort pour taper le voisin, ça marche... ou pas, et le jeu s'arrète alors qu'on commence à peine à avoir une armée assez forte pour attaquer. Deux trois tours de jeu de plus m'aurait plu, là, les deux fois, je suis resté sur ma faim.
De plus, le matos (les cartes !) n'est pas des plus lisible.
En gros, j'ai apprécié jouer à ce jeu, je ne refuserais pas une partie, mais je ne l'achèterai pas.