Règles super simples mais les manches sont parfois ardues pour gagner, ou plutôt pour ne pas perdre ![](http://cdn1.trictrac.net/images/smilies/icon_e_biggrin.gif)
Pousser l'autre là où l'on veut tout en faisant gaffe d'être pris au piège.
On perd parfois bêtement en étant trop focalisé sur un problème.
10€ donne un sentiment "d'un peu chèr" pour le peu de contenu mais, matériel joliment illustré qui fait basculer sur un prix juste.
Pour ma part, j'aime bien, c'est simple et ça change. Je préfère la variante où l'on compte des points avec les tuiles restantes, ça donne un challenge supplémentaire.
En revanche, ce que j'aime moins c'est le côté calme du jeu. Je suis plus habitué à des jeux "vivants" les commentaires de chacun font partie de l'ambiance.
Ce ne sont pas ces illustrations qui m’ont attiré (contrairement à d’autres) mais son thème Japonisant et son coté bien abstrait m'ont séduit. Et je n’ai pas à le regretter. Ce jeu est une réussite. Il se joue très rapidement, donc on a facilement envie de refaire une partie. Il est bien pensé et agréable à jouer. En ce qui me concerne c’est un jeu à avoir dans sa ludothèque, il n’y a pas photo !
Un petit jeu simple et rapide, dont les graphismes me font forcément penser aux cartes d'Hanafuda.
Ce jeu est une version revisitée et embellie dans ses graphismes du morpion.
Un peu de tactique et d'observation sont présents dans ce jeu.
Pas de souci, Okiya est fluide, agréable à jouer, simple à expliquer.
Le problème se situe ailleurs... Le jeu est *fini*, au sens mathématique du terme. C'est à dire qu'un peu comme aux échecs, c'est celui qui anticipe le plus de coups qui gagne. Sauf que là où les échecs et le Go sont des jeux finis à grande complexité, là on est au dessus du morpion et en dessous d'Othello. Donc mon bilan est mitigé : pour un public mainstream, sans doute pas de problème, mais pour le gamer moyen habitué à penser avec plein de coups d'avance, c'est gênant.
**Points forts**
- Un très beau matériel, joliment illustré, au thème poétique.
- Une idée simplissime, mais rudement efficace.
**Points faibles**
- Certaines caractéristiques (notamment entre différentes plantes) auraient pu être davantage distinguées par les illustrations avec un jeu de couleurs plus net.
- Un petit côté amer après des parties finies par la dernière condition de victoire alors que tous les jetons auront été placés : la rançon de la grande simplicité des règles ? Il reste difficile d'élaborer une véritable stratégie.
Bref un sentiment mitigé, une impression générale plutôt bonne (et ça reste définitivement une excellente idée "cadeau"), mais ce n'est pas un jeu auquel je rejouerais beaucoup de fois.
Très bon petit jeu, tout en élégance et en subtilité. Le jeu ressemble à DAO, mais il ajoute un élément de contrainte comme on en trouve dans Quarto. Le nombre de possibilités étant peu élevé, ce jeu invite à l'élaobration de stratégie retorce pour forcer l'adversaire à nous offrir la victoire (un peu comme le jeu où l'on coche des sacs et puis l'on perd si l'on coche le dernier).
L'édition est très belle, les dessins sont très réussis et nous plonge dans une ambiance japonaise qui colle magnifiquement à ce jeu abstrait.
Les parties sont courtes, on les enchaîne rapidemment. Le type de jeu que j'aime avoir avec moi pour passer le temps. Un jeu qui s'installe quasi n'importe où, pour peu que vous trouviez une surface plane de 30 cm de côté.
Un très très bon petit jeu, simple, malin et poétique comme indiqué sur la boite.
En plus c'est vraiment pas cher et joli, alors ne vous en privez pas.
Le jeu à deux qui sort le plus souvent chez nous en ce moment.
Okiya est un haïku de Kamon du même Bruno des montagnes, même mécanismes de contraintes (par le respect d'un critère sur deux), et quasi-même triple manière de gagner (alignement ou joindre les bords opposés, carré ou cercle, bloquer l'adversaire). Le nombres d'emplacements réduits (et donc de tours) permet un jeu rapide. Le thème n'y est pour pas grand chose mais son graphisme a quelque chose d'apaisant. Un p'tit haïku en guise d'hommage : Pluie de cerisier. Soleil levant sous l'érable. L'oiseau-pin s'envole.
Dans le top 3 de mes jeux à deux préférés, qui sont tous du même auteur ;-) [Mr Jack Pocket, the Blue Lion]
Ce qui m'a d'abord attiré, c'est la beauté de la boîte et du matériel. C'est rafraîchissant et différent.
Les règles s'expliquent en 2 minutes, les parties s'enchaînent rapidement et laissent un goût de reviens-y qui incite à faire la revanche, la belle, et ainsi de suite.
Le petit format permet de l'emporter partout - mais je vous déconseille l'avion, en cas de turbulences vous risquerez de perdre des pièces et devoir racheter tout le jeu au retour (expérience vécue ^^).
Principe du puissance 4, faire une ligne 4 pions de sa couleur vertical ou horizontal ou faire un carré de 2x2.
Les mécanismes sont simples, mais les choix sont cornéliens car c'est l'adversaire qui décide où l'on place ses pions (enfin il nous force à jouer à certains endroits) du coup ça rend très tactique les parties qui sont courtes et frénétiques.
On enchaîne, on enchaîne, on enchaîne ! Du très bon Cathala encore !
Les illustrations sont très belles et sobres aussi !
Juste un petit hic, les tuiles sont assez fragiles, attention au dépunchage !
Un excellent jeu pour 2 joueurs, très beau et très tactique, ne laissant aucune place au hasard. On a entre les mains le puissance 4, le morpion et le carré réuni avec une règle tactique supplémentaire qui donne tout son sel au jeu !
bref, à un prix modique (9 à 10€) c'est à prendre de toute urgence pour toutes les bonnes ludothèques !
Il ne faut pas s'arrêter au thème du jeu, car sous celui-ci se cache un bon petit jeu abstrait pour deux joueurs.
Une fois les règles connues (en moins de 5 min), les parties s'enchaînent sans temps mort, c'est simple, malin et rapide mais pas dénué de réflexion pour autant.
Okiya est un petit jeu abstrait de style asiatique qui reprend un peu le principe du Quarto ou du Kamon.
Le format de poche, les belles illustrations et le petit prix sont attractifs .
Ces dernières s'inspirent d'un jeu de cartes traditionnel japonais ou coréen. Les 2 pays en revendiquent l'origine.
La mécanique par contre n'a strictement rien à voir avec ce jeu asiatique.
Elle reprend avantageusement le principe du Quarto avec la possibilité de gagner en faisant également un carré.
Les manches s’enchaînent rapidement et on est tout de suite séduit par un petit jeu rapide, facile d’accès et joliment présenté.
Dans sa catégorie, Okiya ne déçoit pas. On peut seulement affirmer que les règles et le principe même n'ont rien d'original.
Les illustrations poétiques et volontairement peu aisées à différencier du premier coup d’œil font de ce petit jeu sans prétention un divertissement tout à fait recommandable qui peut être consommé et partagé à 2 au coin d'une table aussi rapidement qu'un sushi.
Il pleut et vous êtes enfermés à deux dans votre appartement, ça part mal, mais heureusement, vous avez Okiya ! Jouable et rejouable à l'infini, simplement expliqué, au design sympa. Bref, le Cathala il a encore frappé.
Seul petit hic : une impression de léger avantage pour le premier joueur qui oblige souvent la partie de revanche, mais vu que ça ne s'éternise pas, ça tombe bien.
Ce nouvel arrivant dans la famille des jeux abstrait à deux a quelques atouts pour séduire.
Son format de poche, son accessibilité, et le style de ses illustrations japanisantes sont un plus.
La lecture instantanée du jeu et des possibilités est par contre relativement peu aisée à mes yeux, des éléments identiques dans les faits étant diversement représentés (oiseaux...). Le choix d'une palette de couleurs assez limitée va dans le même sens : l'esthétique certaine met légèrement à mal la facilité de la réflexion.
Côté mécanique, Okiya réexploite de manière assez réussie le principe d'imposer, par son propre coup, des contraintes au coup suivant de l'adversaire (vu dans Kamisado notamment).
Comme dans Quarto!, on aime par contre moins le fait de perdre un peu par défaut, sans avoir fait de réelle erreur à part ne pas avoir anticipé 5 coups plus tôt que, entre tel et tel mouvements possibles, un des deux serait perdant (or, la chose est humainement difficile).
Si le jeu est donc globalement plaisant, plus fin que le morpion et joliment habillé, il est malgré tout loin d'être inoubliable.
Tout d'abord, les graphismes sont vraiment jolis, et ils font partie intégrante du jeu, je trouve.
Ensuite, en mélangeant un peu de morpion (il faut aligner ses pions) avec du Quarto (son coup donne une contrainte à l'adversaire), on obtient un jeu bien retors, dont il est difficile de déterminer l'issue (si on n'y joue pas façon "joueur d'échecs" bien sûr !)
Ce jeu est plutôt reposant dans ce qui est des jeux pour deux joueur dans lequel il faut réfléchir un peu en avance à ce qu'on va faire.
C'est vrai qu'il est peut être difficile de calculer 16 coups en avance, mais après quelque tour de jeux c'est beaucoup plus évident.
Un bon petit jeu pour deux joueurs dans lequel les geisha se font la guerre en toute zeinitude.
Si les dessins sont bien jolis et rendent le matériel très agréable, le thème est complètement artificiel et il s'agit d'un jeu purement abstrait dont les règles s'expliquent en 2 minutes pour des parties très courtes (5-10 min maximum) qu'on enchaine avec plaisir.
Les premiers coups sont joués un peu au pif et très vite on se met à réfléchir, à anticiper quelques coups à l'avance.
Extrêmement plaisant.
Edit: après de nombreuses parties, je ne m'en lasse pas. Je remonte ma note !