Des règles faciles à intégrer, mais ne pas oublier les petits détails par ailleurs
Un jeu d'une pure beauté, mais un thème un peu en retrait
Un mécanique simple, je pose ou je prends, mais qui se limite à ces deux actions
Deux actions au choix, mais une multitude de manières de scorer.
Bref, un jeu agréable à jouer et calculatoire comme je les aime, mais le goût de revenez-y restera-t-il régulier. A voir.
S'il y a un jeu que devait voler à mes amis, je pense que c'est celui-ci que je choisirais.
Tout d'abord, le matériel est très agréable (et la roue offre une mécanique amusante pour l'évolution des ouvriers).
Ensuite, on est dans le plus pur jeu de pose d'ouvriers, avec ce que ça comporte de calcul, de stratégie et d'opportunisme. Peu de hasard (si ce n'est l'arrivée des bâtiments et les bonus initiaux). Les divers façons de marquer des points (via les monuments, les temples ou Chichen Itza) offrent de multiples stratégies qui devront s'adapter en fonction des monuments disponibles.
Un excellent jeu où on s'améliore après chaque partie, et où on identifie à chaque fois de nouvelles possibilités.
En deux mots : j'adore.
Jeu pour gros joueurs mais qui est tellement exceptionnel peut laisser la porte ouverte à des non-joueurs. Le système de roues imbriqués timant les actions est un délice. Ayant joué une bonne centaine de parties à 2, 3 ou 4 joueurs le plaisir est toujours là. Enfin, j'attends malgré tout avec frénésie la sortie de l'extension.
A posséder obligatoirement!
Tzolk'in tente d'apporter sa pierre à l'édifice la catégorie 'jeux de programmation post-Trajan'. La première chose qui saute aux yeux c'est évidemment son superbe plateau qui -je le confesse honteusement- m'a évoqué au premier abord Destin - le jeu de la vie. L'accessoire est ici la belle idée du jeu : la programmation de ses actions via ces roues crantées sensées évoquer le calendrier Maya. La solution ne manque clairement pas d'ingéniosité. Sur le fond je trouve Tzolk'in plutôt agréable à jouer mais pas transcendant non plus ; en fait il souffre d'un défaut que je trouve rédhibitoire dans le genre, c'est que chaque action efficace demande plusieurs actions pour être accomplie, ce qui donne la désagréable impression d'attendre beaucoup et de faire peu à chaque tour. Et quelques éléments de jeu s'inscrivent de manière vraiment artificielle dans la mécanique. Un jeu original sur la forme mais en définitive assez classique.
Le jeu tient son originalité dans le système d’engrenages qui obligent à planifier ses actions plusieurs tous à l’avance. Le jeu offre de multiples possibilités au niveau des actions ce qui renouvelle l’expérience du jeu à chaque partie. Pendant son tour, on peut soit poser, soit retirer, il faut donc bien calculer l'enchaînement des actions.
Dans une partie à deux joueurs, certaines places dans les roues sont occupées par un pion neutre tout au long du jeu ce qui impacte sur les possibilités de placement.
Très bon jeu de réflexion et de stratégie.
Dans Tzolk’in, on incarne une tribu Maya, qui va tâcher de vivre et prospérer. Et la tâche sera ardue, vue toutes les possibilités laissées au joueur.
Le jeu commence lors du dépunchage, on assemble un plateau de jeu magnifique, et surtout, les roues qui composent ce plateau. Passés les trois quarts d’heure à tourner les roues comme un idiot alors que l’on n’a pas encore lu les règles, on finit pas s’interroger sur leur utilité.
Chaque roue a, grosso modo, une fonction. Ici, on ira chercher du bois ou du maïs; là on récupérera des ressources de construction telle que de la pierre ou de l’or, la troisième roue nous permet de construire de nouveaux bâtiments ou d’améliorer les compétences de la tribu, la quatrième sert à agrandir la tribu ou échanger les ressources, et enfin la cinquième (!) permet de faire des offrandes aux dieux par le biais de cranes de cristal.
Chaque joueur peut soit poser des ouvriers sur les roues, soit reprendre les ouvriers des roues, et il est interdit de passer, il faut jouer une de ces deux actions. Lorsque l’on pose un ouvrier, il faut payer de la nourriture; et plus on envoie d’ouvrier, plus cela est couteux. Lorsque l’on reprend des ouvriers, on peut effectuer l’action en face de l’ouvrier que l’on vient d’enlever. Et c’est de là que vient toute l’intelligence du jeu.
A la fin de chaque tour, les roues tournent et font avancer les ouvriers posés dessus. Plus les ouvriers avancent, plus les actions sont intéressantes. A vous de voir le meilleur moment pour les enlever.
Tzolk’in est vraiment un excellent jeu. Le panel des stratégies offert est immense, et le jeu des autres joueurs ouvre à chaque parties des perspectives nouvelles.
C’est également un jeu exigeant, où les erreurs ne pardonnent pas. Amateurs d’Agricola ou de Caylus, ce jeu est fait pour vous.
Lorsque ce jeu est sorti je me suis dit "encore un jeu de pose d'ouvrier avec ressources auquel ils ont ajouté de jolis engrenages faisant office de poudre aux yeux". Et puis j'ai attendu et continué à jeter un oeil aux avis, aux différents retours de parties. Et puis j'ai franchi le cap parce que j'ai senti que le jeu était bon. C'est le cas. Ces engrenages ne sont pas de la poudre aux yeux. Ils apportent un réel vent de fraîcheur dans le domaine. Le jeu est réglé au poil de cul. Bon ceux qui cherchent du fun, passez votre chemin. Ceux que les maux de crâne rebutent passez votre chemin également. Ce qui m'a frappé dans ce jeu, c'est le peu d'action que l'on a à faire à son tour par rapport aux nombres de choix cornéliens et de stratégies différentes offertes par le jeu. Un grand jeu qui mérite sa place dans les hauteurs des classements.
Ce sera donc l'ère de la Roue !
Alors on va faire simple pour cet avis il s'agit du jeu qui tourne le plus dans mon cercle de joueur (plusieurs mois après son achat). Il y a dans ce jeu le petit plus qui fait que non seulement on veut y rejouer rapidement, mais que chaque partie ne ressemble pas à la précédente. Les stratégies sont différenciées, plaisantes, gagnantes ! On a cette tension durant toute la partie à ne pas savoir si le choix qu'on opère sera le bon, si avant de poser son ouvrier il n'y aurait pas un meilleur choix à faire et surtout si on oublie rien de la séquence de programmation de X coups à l'avance qu'on imagine.... bref c'est un jeu ou l'on ne rigole pas trop durant son tour, qui oblige à une gymnastique intellectuelle compliquée si tant est qu'on y trouve goût et qu'on cherche l'optimisation.
Bien entendu la contrepartie logique à tout cela c'est qu'il ne s'agit en aucun cas d'un jeu pour allergiques à la réflexion et aux joueurs lents. Mais si l'on aime jouer aux kubenbois alors il n'y a pas de doutes c'est un des jeux les plus plaisants et originaux du genre.
**Compatible deutéranomalie mais difficilement (nécessite grande concentration)**
Il y a des passions qui durent peu. C'est un peu mon expérience de ce jeu, joué à deux, trois ou quatre. Les règles sont simples, l'apprentissage des bonus de bâtiments et de monuments est assez rapide finalement, on interagit peu, juste ce qu'il faut : la partie pourrait très bien tenir dans les 90 mn annoncées sur la jolie boîte. Mais voilà, chacun veut bien faire, et comme les tactiques se font et se défont au gré des choix souvent surprenant des autres joueurs, on se prend à refaire le monde à chaque tour. Résultat, des parties de deux heures et demi ou trois heures sont monnaie courante. L'effet pervers est que l'on en sort rincé, heureux mais effrayé à l'idée que si on en faisait une autre, elle pourrait être tout aussi longue, voire plus. D'où la tentation de prendre un autre jeu car, quitte à y passer des heures, autant se faire un bon vieux Battlestar Galactica avec une bande de vrais fous-furieux!
P.S. Ne vous privez pas de peindre ou de faire peindre les six roues du jeu, l'effet immersion est décuplé.
Quand on voit le plateau de *Tzolk'in*, soit on est une petite nature ou un inconditionnel des jeux d'ambiance et on s'évanouit, soit on aime le challenge et on on se dit que là on est dans le lourd, le costaud des kubembois. Et puis au bout du compte, il faut bien avouer que la mécanique s'avère au final beaucoup plus simple que les engrenages ne le laissaient supposer.
Au contraire, même, ce système rend très lisible une foultitude de possibilités. Quand d'habitude on est paumé quand il s'agit d'optimiser et de calculer ses coups dans les habituels jeux à l'allemande, les différentes roues permettent d'évaluer assez efficacement les actions et ressources qu'on va pouvoir récupérer d'ici un ou deux tours.
Tout en satisfaisant les amateurs de jeux complexes comme *Troyes*, *Tzolk'in* peut aussi être le moyen de prendre du plaisir pour des débutants dans ce type de mécanique (comme c'est mon cas). Tout en ayant des règles relativement simples, on a conscience d'avoir accès à une grande richesse de possibilités stratégiques où la part de hasard est infinitésimale : seules les actions menées par les joueurs ont des conséquences sur la partie. Au moins, cette fois-ci, on ne peut pas imputer des défaites cuisantes à "la faute à pas de chance" !
Depuis le dernier Tric Trac d'or, ce jeu a représenté mon grand coup de coeur de la fin d'année.
A l'ouverture de la boite et à l'installation, on a devant nous du matériel de très belle qualité (même si le plateau brille un peu). La manipulation des tuiles des pions et des cubes en bois est très agréable, mais c'est surtout ce système d'engrenage qui fait toute l'originalité de ce jeu. Le système est simple mais il fallait y penser ; et l'utiliser avec ce thème sur phobie de fin du monde représente pour moi un vrai coup de marketing.
Nous avons une règle du jeu extrèmement simple puisqu'à chaque tour, soit je pose des ouvriers, soit je récupère des ouvriers. Le jeu est assez facile à expliquer, mais une pratique efficace demande de la pratique et une certaine expérience des jeux de gestion et de placement, qui demandent une réelle optimisation des actions.
Avec le choix des tuiles de départ, les différents monuments et l'arrivée aléatoire des bâtiments, le jeu propose une très belle rejouabilité et différentes stratégies à tester.
Un tout petit reproche quand même : la couleur des cubes d'or trop proche des cubes de bois. Ayant personnellement quelques soucis avec les couleurs foncées...
Pour conjurer le mauvais sort, nous avons joué notre première partie à 4 joueurs le 21/12/2012... Cela ne vous rappelle rien ?
Excellent jeu au thème assez immersif. Tzolkin est l'USB du Kubenboa: on ouvre et on joue. Tout ça grâce à des règles limpides et vite assimilées. Ce qui ne le rend pas pour autant simpliste.
Du tout bon qui renouvelle le genre avec un peu d'originalité grâce au mécanisme des roues.
Se joue parfaitement à deux, contrairement (et ce n'est que mon avis personnel) à Puerto Rico et Caylus qui trouvent toute leur saveur à partir de 3.
Bref, c'est du bonheur quasi instantané.
Fan d'agricola pour la pose d'ouvrier, le mécanisme des roues apportent une nouvelle approche forte intéressante.
A essayer et à jouer.
On peut jouer dans son coin certes, mais gêner ces adversaires est également possible, et c'est là que la stratégie est encore plus importante..
Tzolkin est un pur jeu de stratégie avec un thème assez original et un matériel de bonne qualité.
Un aspect tactique (voir mathématique) dans lequel vos dix doigts devraient être mis à contribution.
Un aspect stratégique sans égal : il faut maintenir le cap de sa stratégie toute la partie et ne pas se laisser tenter par certaines opportunités … celles-ci s'avérant souvent moins rentables qu’à l’apparence.
Normalment je n'aime pas les german games, mais celui est une exception. Le mechanisme des routes est intelligent, et le jeu ne devient jamais trop compliqué.
Je ne connaissais pas ce jeu et un vendeur dans une boutique m'a présenté Tzolk'in...
Il s'agit là d'une superbe découverte... Le mécanisme des roues est innovant est très intéressant! Il faut bien penser ses coups à l'avance, peser le pour et contre de chaque mouvement et on se prend rapidement au jeu!
Les plus:
* Mécanique innovatrice et intéressante
* Matériel soigné
* Tension jusqu'à la fin
* Une bonne rejouabilité
* Beaucoup de stratégies possibles
Les moins:
* Pourrait déplaire au joueurs qui n'aiment pas les jeu comportant trop de réflexion
* Partie qui peut durer avec des joueurs qui réfléchissent trop :)
Du tout bon!
Tzolk'in est beau, très beau. Il est même un peu trop beau que pour être bon... voilà ce que je me suis dit en voyant ses engrenages en plastique tape à l'oeil. Méfiance donc et fièreté d'avoir résisté à l'achat compulsif.
Lors donc je joue avec l'exemplaire d'un ami qui a craqué, le pauvre diable, victime de ses pulsions. Pour le consoler on rentabilise le jeu le temps d'une partie.
Et là, stupeur et tremblement : en fait le jeu est excellent. Les engrenages logiques et diaboliques, les voies de victoires plus nombreuses que prévu, le rythme très bon (passé les 15 premiers tours), et le dénouement incertain.
Tzolkin se révèle un très très bon jeux, de ceux qui donne envie de se remettre à table rapidement.
Tzolk'in est avant tout beau ! Un plateau laqué, des pétits pions partout, partout, des tuiles et de superbes roues dentées qui attirent l'oeil...
Mais Tzolk'in est aussi un jeu de gestion. Et le calcul devient retord lorsqu'on doit poser un ouvrier en début de roue et calculer les enchaînements : avancée des roues, coordination entre les actions de chaque roue et prévision à plusieurs tours.
Ce jeu s'adresse clairement aux joueurs avancés. Mais le joueur "moyen" pourra le sortir plusieurs fois et creuser sa stratégie.
Personnellement, je trouve que le jeu est bien ET beau et l'ensemble en fait un jeu excellent. A mon avis, il peut décrocher quelques prix d'ici fin 2013/2014
Cerise sur le gâteau, il est parfaitement jouable à deux ou trois ou quatre.
Je n'ai joué qu'une seule partie, mais je suis tellement enthousiaste que je met déjà mon avis sur ce jeu. Car waow décidément, après Trajan et Keyflower, voilà un nouveau gros jeu des années 2010 qui me remet une sacrée claque dans la gueule.
Tzolk'in, c'est un jeu de temporisation. Poser ses bonhommes au bon moment, les retirer au bon moment, etc. Cela peut paraître hyper lourd et calculatoire, et pourtant c'est finalement très intuitif et agréable (à part peut être à la fin, ou il faut bien compter le nombre de tours restants). Il y a quelques points communs avec Agricola (attendre une action pour qu'elle s'améliore, nourrir ses bonshommes), mais il n'y a pas ce côté blocage vicieux, ni ce côté frustrant-masochiste que peut avoir le jeu. Dans le même ordre d'idée, les bâtiments et monuments me font penser à L'Âge de Pierre.
Les différentes roues, les bâtiments, les monuments, les technologies et les temples offrent une énorme liberté de jeu. Le système de roue est génial, le thème est un coup de génie (autant pour l'idée que pour l'aspect commercial...)
Un jeu parfaitement équilibré, avec de nombreux facteurs qui varient les partie. Foncez !
Tzolk'in est un jeu original (le thème de la roue revisité) et qui donne fortement dès que l'on ouvre la boîte. Ensuite, les règles sont simples (2 actions et pas trop de petits points de détails : en 30 minutes d'explications, on peut se lancer à l'aventure) et surtout, il procure un plaisir ludique immédiat. Franchement, une des grandes réussites de la production ludique récente. Un dernier mot : Au début, il faut se faire à l'iconographie des actions mais on assimile aussi vite que les règles. Tzolk'in, c'est du tout bon !!! On peut foncer dessus les yeux fermés