Les + :
- Les cartes et leurs jeux de mots foireux
- L'idée de construction du meilleur film ou du navet
Les - :
- Les tours très répétitifs
- Les parties sont invariablement les mêmes
Le mystère qui peut résider autour de la création d'un film est maintenant levé : tout se joue par millions, les stars et autres accessoires nécessaires allant bien évidemment là où l'argent coule le plus...
Au final, on tient là un jeu d'enchère fort sympathique, au thème bien rendu, aux parties courtes dans lesquelles la chance joue certes un rôle mais minime. Il faudra arriver à anticiper (sur la fin de partie) et arriver à miser la juste somme pour arriver vainqueur (ce qui n'a pas encore été mon cas! gasp!!)
On le compare inévitablement à Art Moderne, du même auteur.
Dream Factory est beaucoup plus accrocheur point de vue thème, beaucoup plus accessible, et donc plus léger et plus fun qu'Art Moderne, plus subtil et calculatoire.
C'est une question de goût. A la maison, on est 2 à préférer Art Moderne et 2 à préférer Dream Factory. Du coup, on joue à tout!
Dream Factory à tout pour réussir : joli et moins sombre que les précédentes versions, il est un jeu d'enchères qui a une règle vite expliquée et une prise en main rapide.
En plus on reste dans le thème : même l'argent des enchères tourne ;)
De plus, le jeu reste fun et tactique et plaira à tous types de joueurs.
On peut dire ça de plusieurs jeux, mais d'un jeu d'enchères, c'est bien plus rare.
En voilà un qui pourrait sortir souvent ...
Voici un jeu d’enchères en circuit fermé on ne peut plus traditionnel avec divers systèmes de bonus dans l’attribution des points de victoire dont Knizia est passé maître. Mais contrairement aux autres jeux d’enchères de l’auteur il n’y a pas ici la touche de génie qui crée l’étincelle. On dirait que Knizia s’est un peu reposé sur ses lauriers et s'est pour une fois un peu plus appuyé sur le thème qu’à l’accoutumée, ce qui ne lui a pas trop bien réussi.
Donc si vous avez d’autres jeux d’enchères comme Medici, DF ne me semble pas incontournable. Dans le genre enchère en circuit fermé, Nefertiti est également autrement plus novateur.
De plus il a le malheur d’être réédité en même temps que Modern Art, dont il n’a ni l’élégance des mécanismes, ni la dimension bluff.
En effet, assez paradoxalement, même si DF se veut plus accessible que MA (l’ensemble des lots d’une phase est visible), les explications ne sont pas plus courtes et le jeu peut être très calculatoire. Dernier reproche, sans vouloir développer ici, il me semble que les nombreux systèmes de bonus sont très favorables à la personne ayant pris un bon départ
Un chouette petit jeu d'enchère, bien familial qu'on peut prendre plaisir à jouer en début/fin de soirée. Reste qu'on doit quand même vite s'en lasser. Le matériel est assez quelconque, ni beau ni moche, mais il ne fait pas rêver en tout cas.
Non, parce qu'il y en a assez dans le jeu. Ca j'aime déjà assez moyennement, mais bon, ce n'est pas sur cela que je base mon évaluation. Je n'ai fait qu'une partie, mais elle m'a déçu, parce que j'ai eu l'impression que le résultat était très, trop vite plié. Si un des joueurs parvient à obtenir des acteurs, il engrengera facilement d'autres tuiles. Et s'il fait d'entrée un très très bon film, il obtiendra à plusieurs reprises les 5 pts attribués au meilleur film. Et le dernier tour a tourné quasiment à vide pour les trois joueurs, car nous n'avions plus de films à réaliser. Donc bof, bof, bof.
Pour résumer mon avis après 4-5 parties au compteur, je dirai que DreamFactory est un très bon jeu mais à consommer avec modération.
Dreamfactory est en effet victime à mon sens de sa simplicité : le jeu ne reposant à lui seul que sur un seul mécanisme, l'enchère simple, il peut s'avérer vite répétitif.
Le jeu n'est ne fait qu'une succession d'enchères.
Pour les qualités, c'est un excellent jeu pour initier et séduire des joueurs occasionnels : matériel sympa, humour omniprésent, simplicité des règles...tout y est !
Un bon jeu donc, mais à ne sortir qu'occasionnelement.
Un de mes derniers achats. J'y joue avec ma famille, c'est à dire des gens pas forcément passionnés par le jdp mais qui aiment bien une soirée conviviale.
Lors des premières parties, je m'attendais à un engouement certain, vu les règles simples (trop?) et le mécanisme on ne peut plus fluide, mais à chaque fois que je le sors, on me rétorque: "on ferait pas une partie de dice town plutôt"
Bref très sympa la première partie
sympa la deuxième
un peu bof la 3ième...
et à la quatrième: " on joue à d
ice town ?..."
Bref vite lassant, surtout que la stratégie de faire le plus de film est en général la plus payante (mais je n'ai pas fait assez de partie pour pouvoir le certifier)
Je le ressortirai de temps en temps, mais c'est pas la passion, d'où ma note, bon jeu mais sans plus.
Cela dit c'est un jeu très sympathique pour jouer avec des non initiés au jdp sans prise de tête et les parties sont relativement courtes. Mais dans cette catégorie, j'ai déjà trouvé mieux.
Voila un jeu qui a eu le merite de ressortir et de faire en sorte de se moderniser.
Les jeux de mots sont assez bons (à terme, ce sera plus tres drole c'est sur...mais bon).
le système permettant de voir els sommes d'argent tourner entre les joueurs est excellent et on ne peux pas rester en tete des encheres tres longtemps.
Peut etre que le fait de doner le meilleur film du trimestre toujours au meme film au lieu de le donner au meilleur film réalisé ce meme trimestre serait moins violent, mais sinon c'est un jeu qui tourne parfaitement, qui reste tres abordable et qu'on ressort avec plaisir.
Voilà encore un bon jeu d'enchères de Knizia qui complète bien la trilogie "enchères" composée de Ra et Art Moderne.
Le matériel est de bonne qualité comme d'habitude chez Filosofia. Quant au jeu, le thème est certes plaqué mais plus fun que les précédents opus de Knizia. Le jeu est moins difficile qu'Art Moderne car il n'y a qu'un seul type d'enchères donc le jeu se veut plus familial. Ce qui ne signifie pas qu'il est facile !. Il faudra arriver à évaluer des lots de tuiles composés d'éléments très différents. Sinon, quel plaisir d'obtenir des récompenses et de donner le titre et le casting du film qu'on vient d'achever !.
Bon tournage à tous et toutes !
Nombre de parties jouées pour le moment: 2
Dream Factory est un jeu d'enchères très simple et explicable en 5 minutes. Une partie se joue en principe en moins d'une heure. Autant d'arguments pour en faire un bon jeu familial...
En plus, l'idée de traiter de façon humoristique et parfois irrévérencieuse toutes ces icones du 7ème Art apporte vraiment un plus à cette édition. Maintenant, au delà du traitement parodique du thème, les joueurs y trouveront un jeu d'enchères très fin et astucieux du maître Reiner Knizia. Donc, pas de souci pour les amateurs de "je me retourne les méninges pour essayer de gagner et d'être le meilleur", Dream Factory leur apportera tout ça aussi!
Du jeu de mot à deux balles pour faire des films improbables. On a l'impression que le thème est plaqué sur un jeu d'enchères bien huilé...
...ben oui mais la sauce prend quand même. On se prend pour un studio hollywoodien, on tente de faire ses films avant les autres et les plus mieux.
Et bien sûr, le système d'enchères est au poil, facile à expliquer, le enjeux se comprennent vite, la tension est là sans qu'il faille être expert pour en sortir du plaisir. Du tout bon.
Dream Factory est un agréable jeu d'enchères sur le thème du cinéma, plus léger que Modern Art et donc plus familial.
Certains regrettent l'abandon de vrais noms de films au profit de pastiches aux jeux de mots approximatifs, juste une affaire de goût qui rend le jeu moins sérieux.
Je pense quand même que Dream Factory à une durée de vie limitée vu la mécanique utilisée, le matériel est agréable sans plus.
Un thème assez bien rendu au final pour ce bon mais pas inoubliable opus ludique.
Salut les Producteurs!
Enfinnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn!!!! Enfin un jeu à la mécanique intelligente ET à l'ambiance fédératrice quelque soit le public!
Car on a beau crier sur tous les toits que Caylus, Agricola, Puerto Rico et compagnie sont des jeux excellents (ce qui est vrai!), force est de constater que leur esthétique est des plus austères... Du coup les joueurs occasionnels refusent d'y jouer avant même que l'on ai eu l'occasion d'ouvrir la boite! Bilan des courses pour moi, ces très bons jeux prennent la poussière... :(
Alors que pour Dream Factory, c'est tout l'inverse: De suite le thème plait... et surtout il plait A TOUS!!!
Certes les jeux de mots ne sont pas toujours le summum de l'humour mais certains sont irresistibles (Ex : "Miss Daisy et son Choux Fleur")!
Et puis quel plaisir de voir les caricatures très réussies d'Hudeux Murphy ou de Brave Pitre!
Pour ce qui est de la mécanique, c'est de l'enchère très simple d'accès. Pas la peine d'expliquer les règles pendant 3 heures (ça aussi, ça plait beaucoup!).
Bref, un très bon jeu, simple, intelligent, plutôt rapide et ENFIN (!!!!!) super Fun pour jouer entre joueurs ou en famille (et ce n'est pas le moindre des compliments;) )!
Un "Must Have" de plus chez Filosofia!
Parties jouées : cinq à trois joueurs
Matériel : une grande boîte, ça c’est sûr, et on aurait pu envisager quelque chose de beaucoup plus petit parce qu’il y a beaucoup de vide. On ne peut pas dire que le matériel soit somptueux : des jetons contrat (la monnaie du jeu) bien ternes, des mini-plateaux « films », assez moches, gris et noirs, des paravents pas formidablement bien illustrés. Seules les bobines de films pour les points de victoire trouvent grâce à mes yeux et les tuiles acteur qui reprennent des photos de vrais acteurs.
Thème : voilà un thème original pour moi : un jeu sur le cinéma. C’est l’occasion de faire plein de plaisanteries, de citer des navets qu’on connaît, de mauvais réalisateurs… Je m’y sens à l’aise dans ce thème, même si les mécanismes ne collent pas du tout à mon avis avec : mettre des lots d’acteurs, de mauvaises musiques et d’équipes techniques aux enchères, ça n’évoque pas tellement le métier de producteur. Bon, ça ne me dérange pas plus que ça parce qu’on arrive à parler de cinéma toute la partie et c’est déjà ça.
Avis ("C'est mon opinion et je la partage") : Voilà un jeu basé sur un mécanisme d’enchère, toujours le même. L’argent tourne en vase clos, ce qu’on paye est donné aux autres joueurs. Il y a pas mal de lièvres différents à courir, il faut surveiller ce que cherchent les autres pour pouvoir les faire payer un maximum les lots qui les intéressent ou leur rafler sous le nez. Et récupérer un maximum d’argent pour acheter le lot indispensable pour faire LE navet du siècle ! Ainsi, même si l’action est toujours la même, on ne s’ennuie pas une seconde et la partie passe vraiment vite (une heure de jeu, peut-être ?).
Je crois qu’un objectif à essayer d’atteindre est celui de faire le meilleur film, ça rapporte quand même beaucoup de points (meilleur film pour 10, les points du film, à peu près 20, meilleur film du tour (5, 10 ou 15 selon la vitesse à laquelle on le fait). Après, comme dans beaucoup d’autres jeux, il faut vraiment s’adapter au jeu des autres, et au prochain film qu’on peut produire (sachant que quand on a fini un film, on en repioche un autre, qui attend face visible sur la pioche des films non encore attribués).
C’est un jeu qui me donnerait presqu’envie de modifier les tuiles, pour y coller des noms de réalisateurs, des noms d’auteurs de musiques, de changer quelques acteurs, de personnaliser les effets spéciaux (arts martiaux, poursuites en voiture, morphing…) histoire de rendre la chose encore plus rigolote…
En tous cas, un très bon moyen de faire découvrir les enchères et leurs subtilités aux néophytes.
Bref, un bon jeu pour la soirée entre amis. Et si vos amis n’aiment ni les films d’arts martiaux, ni les poursuites en voiture, ni le morphing, ne changez surtout pas d'amis, jouez à Fabrik.
Voilà, tout est dans le titre.
D'habitude je ne suis pas fan des jeux d'enchères, mais celui-ci me plaît bien. c'est même le meilleur que je connaisse pour l'instant.
et puis il est assez joli.
pour l'instant, j'ai surtout joué à 2. et bien même à deux, c'est sympa. ça rajoute d'ailleurs un soupçon de mesquinerie car on connaît le stock de son adversaire par déduction (ce qui n'est pas possible à + de 2).
gniark, gniark.