Je ne suis pas un grand adepte des jeux abstraits, mais celui-ci est très efficace. C'est simple (règles), rapide, mais profond. C'est un jeu où il faut être de bonne humeur, car un joueur un peu susceptible risque de mal le prendre quand vous le bloquerez au dernier moment.
Ce jeu est excellent !!
C'est un petit jeu tactique assez bien pensé mais qui manque un peu de profondeur par rapport aux GIPF, Yinsh, Echecs, Pente...
Le matériel participe au plaisir du jeu, la compréhension des règles ainsi que sa prise en main sont très accessibles.
Les parties dépassent rarement plus de 20 minutes, il faut préparer ses coups avec réflexion et poser ses barrières avec parcimonie et intelligence.
Quoridor est fait pour plaire au plus grand nombre.
C'est un bon jeu de stratégie abstraite, qui manque, pour ma part, d'un peu de richesse tactique.
En fait, voilà un jeu qui m'a semblé attirant au point d'avoir été aller l'acquérir en Allemagne. Largement primé, encensé par nombre d'autres membres de la communauté TricTrac, je m'attendais à... bien mieux.
La première partie (à deux) était rapide, trop rapide à mon goût. En moins de 10 minutes et sans véritable tactique requise, et ressemblant furieusement à une partie de Sokoban. C'est-à-dire, vas-y que je pousse mon pion case par case pour qu'il évite de rentrer dans les murs... Pas découragés pour un sou, nous décidons de persévérer, et de recommencer une, puis deux parties. Franchement, il n'y a pas eu d'amélioration. Il est trop facile de bloquer l'adversaire et soi-même, par la même occasion, car une fois tous les murs posés, la tactique disparaît. Le déplacement des murs en cours de partie aurait pu éventuellement contribuer à améliorer le jeu, mais là...
Le matériel est sublime et à la hauteur des promesses du fabricant, mais le jeu en lui même : bôf.
Vraiment déçue !
a jouer a 2 ou a 3,
il faut soit avancer son pion, soit mettre une barriere à l'autre pour l empecher d avancer
tres sympa
une psy l utilise pour travailler avec les gens ayant des prob de limite
J'adore !
Un jeu magnifique qui peut rester troner sur les beaux meubles Louis XVI (ou Ikea, c'est selon).
Tres interessant a jouer a deux, il en devient un peu plus chaotique a quatre. Ca devient plus un jeu d'ambiance (toute proportion gardee) ou l'un des joueurs risque de se faire lyncher par les trois autres quand il touchera au but (qu'il se rassure, deux des trois qui l'ont lynche vont perdre aussi).
A deux, c'est vraiment chouette. Les regles on ne peut plus simples a apprendre aide a en faire un jeu susceptible de plaire meme au non-joueurs. Et apres une ou deux parties ou on se fait coincer l'herbe sous le nez juste a l'arrivee (cette fameuse regle qui veut qu'au moins un chemin soit possible pour arrivee... et qui par extension vous permet de creer le votre en fermant les autres chemins qui ne vous plaisent pas), tout s'equilibre et les meninges vont chauffer.
Un jeu rapide et sympa. Soit tu bouges ton pion, soit tu poses un mur pour bloquer ton adversaire (attention, il va faire pareil).
C'est juste un peu dommage que le vainqueur soit connu dès la moitié du jeu, ça donne pas trop envie de finir la partie. Au moins, les parties sont rapides.
Bon petit jeu :-)
Ce jeu ne saurait complètement me satisfaire. En fait, il possède le gros défaut de contraindre les joueurs à agir assez mécaniquement. Les murs sont esquivés aussi rapidemment qu'ils sont placés. De fait, une attaque ne peut (sauf cas très particulier) se limiter à la pose d'une planche unique. Si bien que toute contre-attaque est interdite. Une partie se joue donc en plusieurs phases d'attaques ou de défenses.
D'autre part, et c'était prévisible, les premiers coups ont tendance à être identiques d'une partie à l'autre.
Le jeu à trois est quant à lui assez déséquilibré.
De nombreux défauts donc, que la simplicité et la rapidité d'une partie peuvent à l'occasion faire oublier.
Je n'ai malheureusement pas essayé le jeu à quatre, sans doute bien meilleur. Cet espoir me fait noter ce jeu 2/5 et non moins.
On repassera...
Les règles sont simples, mais je n'ai pas trouvé les parties intéressantes. Vite "gonflant".
J'ai beau lire d'autres avis, j'ai du mal à comprendre que ce jeu soit aussi bien noté !
Dans Quoridor, le but est d'être le premier à traverser le plateau de jeu. Mais, on peut gener l'adversaire (ou se gener soi-même si on veut, mais c'est stupide) en placant des murs. Et là, ça devient marrant. Le must, c'est de laisser venir l'adversaire, et de faire en sorte qu'il recule le plus loin possible, jusque sa ligne de départ.
A deux joueurs, le jeu est plus technique qu'à quatre mais moins fun.
C'est un jeu plaisant, même pour les gens qui n'apprécient pas forcément les jeux de reflexions abstraits.
je suis en train de me demander ce que je reproche à Quoridor, ce qui fait que je ne le trouve pas extraordinaire, alors qu'il a plein de qualités pour me plaire:
-règles simples.
-légère tension.
-beau matériel.
Alors que dire... Le jeu à 4 me semble assez chaotique, mais amusant ! Le jeu à 2 est plus tactique et plein de tension... Pourquoi je n'accroche pas plus que ça ? Allez savoir... Peut-être ai-je une peur enfouies pour de sombres quoridors traversés dans mon enfance !!!
Bref, rien de rationnel dans tout ça donc ! Un bon jeu, j'en convient, sans être complètement convaincu pour autant !
Cela fait un peu trop longtemps que je n'ai plus joué que pour pouvoir me souvenir exactement de la raison de ce 2/5 intuitif. Ce dont je suis certain de me souvenir c'est que je n'ai pas dépassé la dizaine de parties… beaucoup trop court. Le jeu n'a pas réussi à me faire rejouer et rejouer encore. Ce n'est pas un mauvais jeu, laid, mal foutu ou quoi que ce soit, non, je n'ai juste pas été captivé.
Ingalls
Parties : beaucoup a deux, une a 4.
Le jeux a deux est pas mal. Il consiste a se couper soi meme la route : assez tactique. Avec ma copine on est a egalite sur ce jeu (contrairement aux echecs que je prefere largement)... Il est agreable a manipuler et assez court.
Une partie a 4 : j'ai bien aime. assez tordu et difficilement controlable. La soeur de ma copine a gagne : ma copine n'a pas voulu lui bloquer la route en esperant que je le ferai. Si je le faisais c'est ma copine qui gagnait. J'ai refuse ce chantage.
J'ai la version voyage de quoridor. C'est marrant car on peu y jouer dans le train comme ça. Bien que ce soit une version voyage, le jeu est excellent.
Mes premières partie se sont faites dans un magasin d'orléans. Quoridor c'est le jeu qui est souvent exposer et que vous pouvez tester en 10 minutes (dont 1 pour les explications).
En 3 coups on se rend compte de la profondeur stratégique du machin. Plusieurs stratégie sont possible et il faut savoir avancer, bloquer et économiser pour s'en sortir.
A 3 c'est un peu moins bien, mais à 2 (surtout) et à 4 c'est génial.
Trés beau jeu et trés bon jeu en somme.
Je le précise tout de suite, je n'ai joué à ce jeu que dans la configuration 4 joueurs.
C'est un jeu sympa et assez fun. Collez des planchettes (ou des murs si vous préférez) dans la gueule de ses copains ça m'amuse. Mine de rien c'est assez fin et pour bien s'en sortir il ne faut pas se contenter d'aller tout droit.
Je regrette une peu qu'à 4 les parties créent souvent des situations de kingmaker, mais tant pis : "C'est elle qui va gagner parce que t'avais qu'à pas me coller une planchette dans la figure, non mais !". Et puis les parties sont relativement courtes donc "on remet ça !".
A 2, je pense que le jeu prend toute sa dimension tactique et vaut probablement un plus grand sourire de pouic, mais je ne juge que ce que je connais, pas ce que je suppose...
Ben oui, on se précipite pour avancer son chti piounet et on fait des kilomètres entre les chtites barrières et on avance à rien et ça énerve. Oui mais si on prend du temps pour poser aussi des barrières, alors l'autre, le vilain adversaire, il va en profiter pour avancer sournoisement pendant ce temps-là. Heureusement, pendant qu'il avance il peut pas poser des barrières pour m'empêcher d'avancer. Sauf qu'il avance quand même et que j'ai plus beaucoup de barrière. Il en a une de plus que moi, ça craint. Oui mais il est à une case de plus de l'arrivée et si il pose sa barrière au prochain coup alors moi, j'aurai peut-être le temps de...
Bref, un bon jeu.
Un jeu aux règles simples, mais pas simpliste. J'ai fais plusieurs partie à deux, et la variété des situations recontrées montre que le jeu est interessant et possède une bonne durée de vie. La règle qui donne tout son sel au jeu est l'interdiction de bloquer complètement le passage au joueur adverse : le moment où se bloquage se produit est déterminant.
Un jeu interessant à deux joueurs.
On commence à jouer en se disant qu'il n'y a pas beaucoup de possibilité dans ce jeu... Et qu'on va vite faire le tour des stratégies... Et bien détrompez-vous! J'en découvre chaque fois une nouvelle!
Une bonne surprise! Expliqué en 10 secondes, n'importe qui peut s'amuser très vite... (il faut tout de même aimer les jeux abstraits bien évidemment)
nombre de parties : 5-6
Concept simple mais tellement jouissif : celui de faire croire à votre adversaire qu'il s'apprete à gagner en s'approchant de votre bordure pour finalement l'obliger à faire un long, mais alors bien long demi-tour !
Le jeu est plus intéressant à 2 qu'à 4.
( Musique : Closer de Joy Division)
Une fois n'est pas coutume, parlons philosophie. Aïe ! ... tout le monde est déjà parti ... non il y en a un qui est resté, là au fond ... Monsieur Phal! ... c’est trop d’honneur ! Alors poursuivons.
Quoridor, c'est le jeu qu'aurait inventé Franz Kafka s'il avait exercé son génie dans la création ludique. Une vision cauchemardesque de notre condition humaine réduite à l'échelle d'un plateau de jeu. Rien que ça.
Dans Quoridor, deux, trois, quatre silhouettes fantomatiques se profilent à la périphérie d'un no man's land géomètrique et froid. Leur quête absurde : parvenir à gagner l'autre bord, où, pourtant, nulle promesse d'un ailleurs meilleur ne les appelle. Au gré d'une déambulation toujours plus claustrophobique, ils vont errer dans un monde où les seules lignes de fuite, les seules perspectives se réduisent à ce corridor que, cloison après cloison, ils s’ingénient à construire sans comprendre que, à entraver l’autre, c’est d’abord sa liberté qu’on aliène. Illustration hallucinante du principe qui veut que pour conforter son avance il faut aussi savoir faire obstacle au progrès d’autrui, Quoridor se révèle ainsi très riche de sens. On pourra le lire aussi comme une fable taoïste. En échos à cet homme ayant rêvé qu’il était un papillon rêvant qu’il était un homme, on découvre par un renversement subit de perspective que nous ne sommes pas en définitive les maîtres du jeu, seulement les jouets d’une déraison inaccessible. Quoridor concilie l’impensable : doter un jeu abstrait d’un thème vertigineux.
A jouer, maintenant, je préfère la version kid et son format réduit, plus maîtrisable. Et surtout moins angoissante par son rétablissement de l’ordre des choses. Des souris et des hommes ...